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Paula Fayos-Perez
University of Cambridge
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All content following this page was uploaded by Paula Fayos-Perez on 16 December 2019.
Grandville: la transformación
fantástica de la fisionomía
Paula Fayos Pérez
14. «[…] pointes dures comme du fer, aiguës comme un stylet italien, qui le rend d’un accès
fort difficile, et lui permet de faire l’insolent, surtout vis-à-vis des faibles, licence dont il se
passe de temps en temps la fantaisie»; Les métamorphoses du jour, París, 1829, p. 81.
15. Estas criaturas recuerdan a los monstruos chupópteros de Goya del Capricho 45:
Mucho hay que chupar y del Capricho 51: Se repulen, que ya habían sido copiados
por Grandville para la preparación del artículo de 1834 en Le Magasin pittoresque.
16. Règne animal: Cabinet d’Histoire naturelle, La Caricature, 128, 18 de abril de 1833,
láms. 265-266.
19. P.-J. Stahl (ed.), Scènes de la vie privée et publique des animaux, París, 1842.
Publicado por J. Hetzel et Paulin, incluye trescientas veinte xilografías. Dispo-
nible en: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b86002022 (última consulta 12 de
julio de 2019).
20. En España se publicaría su equivalente, Los españoles pintados por sí mismos
(Madrid, 1843-1844), editado por Ignacio Boix.
21. Keri Yousif, Balzac, Grandville, and the Rise of Book Illustration, Nueva York,
2016, p. 2.
22. «Un esprit maladivement littéraire»; Baudelaire, op. cit., p. 411.
23. «Sería suponer demasiada ignorancia en las bellas artes el advertir al público, que en
ninguna de las composiciones que forman esta colección se ha propuesto el autor, para ri-
diculizar los defectos particulares a uno u otro individuo […]»
24. «Dieu nous garde d’avoir pu blesser qui que ce soit; nous avons choisi cette forme
plutôt que toute autre parce qu’elle nous permettait d’être franc sans être brutal, et de
n’avoir affaire aux personnes ni aux faits directement, mais bien aux caractères seulement
et aux types […]. Notre critique a pu devenir ainsi plus générale, et, nous l’espérons, plus
digne et moins blessante»; P.-J. Stahl (ed.), op. cit., s.p., antes del prólogo.
25. «Jusqu’à présent, en effet, dans la fable, dans l’apologue, dans la comédie, l’Homme
avait été toujours l’historien et le raconteur. […] Il était toujours le principal, et la Bête
l’accessoire et comme la doublure; c’était l’Homme enfin qui s’occupait de l’Animal; ici
c’est l’Animal qui s’inquiète de l’Homme, qui le juge en se jugeant lui-même. Le point de
vue, comme on voit, est changé. Nous avons différé enfin en ceci, que l’Homme ne prend
jamais la parole de lui-même, qu’il la reçoit au contraire de l’Animal devenu à son tour
le juge, l’historien, le chroniqueur, et, si l’on veut, le chef d’emploi»; id.
Un autre monde
28. «La figure de leur juge leur apparaissait avec terreur dans son aveugle impartialité»
(La figura de sus jueces se les aparecía con terror en su ciega imparcialidad);
Grandville y Delord, op. cit., p. 80.
29. Esta ceguera mental aparece claramente reflejada en Goya, en el Capricho 50:
Los Chinchillas.
30. «Le masque a été donné à l’homme pour faire connaître sa pensée»; Grandville y
Delord, op. cit., p. 45.
31. «Le bal masqué deviendra un cours complet de philosophie. Plus l’homme sera dé-
guisé, plus il se fera connaître. Mes déguisements sont doubles comme le cœur»; ibid.,
p. 47.
32. «Toutes les bêtes sont des hommes plus ou moins déguisés, et tous les hommes sont des
bêtes plus ou moins travesties»; ibid., p. 41. Esta cita proviene de un artículo anóni-
mo, firmado por «Un desconocido» y publicado en La Presse el 11 de febrero
de 1843, que menciona las ilustraciones de Grandville en Les français peints par
eux-mêmes.
33. «Avais-je devant les yeux des hommes déguisés en bêtes, ou des bêtes masquées en
hommes?»; ibid., p. 42.
34. «L’homme, se dit-il, se croit un et il est toujours deux; sa physionomie et son caractère
se livrent une guerre perpétuelle»; ibid., p. 44.
Lo onírico
35. Le songe de Grandville, dibujo a pluma, tinta marrón y lápiz, 345 × 228 mm.
Está publicado en Kaenel, op. cit., p. 54, fig. 5 y Grandville. Dessins originaux, Clive
F. Getty (ed.), cat. exp., Nancy, 1986, p. 138, núm.109.
36. Crimen y castigo de Fiódor Dostoievski se publicaría en 1866, casi veinte años
después. También Goya usó la retórica de los sueños para titular la serie de dibu-
jos que originó los Caprichos; en el Sueño 1. Ydioma universal. El Autor soñando
(Madrid, Museo Nacional del Prado), el autor se representa a sí mismo soñando,
dibujo que daría lugar al futuro Capricho 43.
37. Un insect fort bien mis et beau danseur (Un insecto muy elegante y excelente baila-
rín). Esta imagen tiene una fuerte correlación con la serie de dibujos de Goya
conocidos como El espejo mágico (Madrid, Museo Nacional del Prado), donde una
dama, un alguacil, un estudiante y otros tipos sociales se miran a un espejo que
devuelve su imagen convertida en su animal correspondiente.
38. Vérité est la massue qui chacun assome et tue (La Verdad es el garrote que a todos
abate y mata).
El arte
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