Affectation des ateliers DASA - Patrick Flood

Loi sur la dignité de tous les élèves

Patrick Flood

Hunter College

École supérieure d'éducation

Atelier de formation DASA

Printemps 2015

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Exercice n° 1

1) Quelle est la prémisse principale qui fait que cette question relève avant tout du droit de

l'éducation et non du droit pénal ? Expliquez le lien avec toutes les déclarations de mission de

l'école.

Les brimades dans l'enfance font malheureusement encore partie de l'enfance de

nombreuses personnes. Grandir, c'est notamment apprendre ce que sont les brimades et le

harcèlement et être plus aimable les uns envers les autres. Le principe de base est que les

brimades ne relèvent pas nécessairement du droit pénal. Les écoles ont des déclarations de

mission qui stipulent qu'elles doivent créer un environnement sûr, exempt d'intimidation, de

harcèlement et de discrimination.

2) Dans le cas du genre ou de la sexualité, pourquoi la perception du genre ou de la sexualité

est-elle indiquée au même titre que le genre ou la sexualité réels de l'élève ?

La perception du genre ou de la sexualité d'un élève est indiquée, de même que le genre

ou la sexualité réels de l'élève, car les élèves peuvent être intimidés pour l'une ou l'autre raison et,

quoi qu'il en soit, ce n'est pas acceptable. Le fait que les auteurs aient ou non des idées fausses

sur le genre ou la sexualité d'un élève n'a pas d'importance.

3) Comment la loi élargit-elle la capacité des écoles à lutter contre la cyberintimidation

lorsqu'elle se produit dans l'intimité du domicile d'un élève ?

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La loi élargit la capacité de l'école à lutter contre les brimades qui se produisent dans

l'intimité du domicile de l'élève, car la cyberintimidation peut se produire lorsque l'élève est à la

maison.

4) Si un enseignant a connaissance d'un cas de harcèlement fondé sur une question qui n'est

pas spécifiquement énumérée dans la loi, doit-il le signaler ? Expliquez pourquoi.

Oui, un enseignant doit signaler les cas de harcèlement fondés sur une question qui n'est

pas spécifiquement énumérée dans la loi. Il s'agit toujours de harcèlement, qui ne devrait pas être

toléré, même s'il n'est pas spécifiquement énuméré dans la loi. L'enseignant doit tout de même le

signaler et assurer le suivi avec le(s) responsable(s) scolaire(s) désigné(s).

5) Comment démontrez-vous le respect de la partie 2 de la section 12 ci-dessus dans votre

classe ? Donnez au moins deux exemples précis.

1. Je peux distribuer une copie du code de conduite adapté à l'âge des élèves de ma classe ;

et,

2. Je peux lire un résumé des politiques (du § 12, partie 1) à ma classe.

6) Quels sont les délais spécifiques pour les deux types de rapports qui doivent être déposés en

vertu de cette loi ?

Les délais sont d'un jour d'école et de deux jours d'école et sont décrits dans la partie (c)

de l'article 13, qui stipule : "exiger des employés scolaires qui sont témoins de harcèlement, de

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brimades ou de discrimination, ou qui reçoivent un rapport oral ou écrit de harcèlement, de

brimades ou de discrimination, qu'ils informent rapidement et oralement le principal, le

surintendant ou la personne désignée par le principal ou le surintendantau plus tard un jour de

classe après avoir été témoin ou avoir reçu un rapport de harcèlement, d'intimidation ou de

discrimination, et de déposer un rapport écrit auprès du directeur, du surintendant ou de la

personne désignée par le directeur ou le surintendant au plus tard deux jours de classe après

avoir fait un tel rapport oral [...].]."

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7) Pourquoi les délais sont-ils fixés de manière à ce qu'un rapport soit établi dès que le

problème est identifié ? Indiquez au moins trois conséquences négatives possibles pour les

étudiants si le rapport n'a pas été déposé dans les délais.

Les délais sont fixés de manière à ce que les rapports soient établis dès que possible après

l'identification du problème. Dans le cas contraire, il pourrait en résulter des conséquences

négatives, telles que

➢ un danger pour le bien-être de l'élève ;

➢ des dommages à la propriété de l'école ; et/ou,

➢ danger pour les employés de l'école.

8) Donnez deux exemples de ce que l'école pourrait faire en réponse au rapport et qui

indiquerait qu'elle respecte la lettre et l'esprit de cette loi.

1. Ils peuvent mener une enquête approfondie. 2. Ils peuvent également avertir les forces de

l'ordre locales compétentes si un élève est en danger physique.

9) Quand l'école a-t-elle l'obligation de signaler l'incident aux services de police locaux ?

La loi exige que "le directeur, le surintendant ou la personne désignée par le directeur ou le

surintendant, notifie rapidement l'agence locale appropriée chargée de l'application de la loi

lorsque ce directeur, ce surintendant ou la personne désignée par le directeur ou le surintendant,

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estime que tout harcèlement, toute intimidation ou toute discrimination constitue une conduite

criminelle".

10) Indiquez au moins trois similitudes/différences en comparant les exigences de l'État de

New York en matière de maltraitance des enfants et les mandats de la loi DASA.

1. En tant que rapporteurs obligatoires, les enseignants doivent signaler les cas de

maltraitance d'enfants.

2. En tant qu'enseignants, nous devons également signaler les brimades, le harcèlement et la

discrimination.

3. Les deux mandats sont conçus pour détecter, prévenir et remédier aux situations abusives.

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Exercice n° 2

En tant qu'enseignant, je m'efforcerai d'introduire dans mes cours des informations utiles

sur l'utilisation appropriée des technologies. Lorsque j'enseignerai l'algèbre à mes élèves de 8e

année, je leur ferai connaître les nombreuses cultures et personnes qui ont contribué à notre

compréhension moderne des mathématiques. L'un des principaux thèmes de cette leçon est le

respect des différences de pensée, de race, de religion, de sexe, d'identité de genre, de sexualité,

etc.

En ce qui concerne la cyberintimidation, je ferai savoir aux élèves que la technologie

actuelle a une "mémoire longue" en ce sens que les informations peuvent être difficiles, voire

presque impossibles, à effacer. Les élèves ne doivent donc pas envoyer de sextos ou transmettre

des images d'eux-mêmes ou d'autres personnes. Il ne faut pas leur faire croire qu'ils sont

anonymes sur l'internet. On insistera sur le fait que des personnes réelles (par exemple, des

enfants tels que des élèves de 8e année) peuvent être blessées par vos actions - tout comme vous

pouvez l'être vous-même.

J'espère utiliser chaque moment comme une opportunité d'apprentissage. J'inviterais des

conférenciers dans ma classe. J'aimerais également que les élèves sachent qu'ils peuvent partager

leurs sentiments et leur douleur et faire savoir à leurs parents et à leurs enseignants qu'ils sont

victimes d'abus et qu'ils ne sont pas seuls.