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L’HOMME ET LE SOL

I. L’impact négatif de l’homme sur le sol

 La Déforestation
 La Dégradation Biologique du sol
 Le surpâturage
 La desertification

Adam,Ahmed,Mourad,Youssef
I. L’IMPACT NÉGATIF DE L’HOMME SUR LE SOL

• La déforestation est le phénomène de régression durable des surfaces


couvertes de forêts, qu'il soit d'origine anthropique ou naturelle. Si une forêt
repousse après une coupe, une attaque d'insectes xylophage ou un feu, on ne
parle pas de déforestation. Le phénomène de déforestation est souvent évoqué
en lien avec celui de dégradation (fonctionnelle ou biologique) de la forêt. La
perte de couvert forestier fait référence à la perte de surface forestière brute,
elle est souvent observée par satellite.
• Elle résulte des actions de déboisement puis de défrichement, liées à l'extension
des terres agricoles, à l'exploitation des ressources minières du sous-sol, à des
travaux d'infrastructures tels que barrage hydroélectrique ou route, à
l‘urbanisation, voire à l‘exploitation excessive ou anarchique de
certaines essences forestières. Les entreprises forestières légales ne semblent
pas être les premiers responsables de la déforestation.
• La déforestation n'est pas un phénomène récent puisque déjà signalé par
certains chroniqueurs dès le Néolithique. Mais elle a pris des proportions et une
rapidité jamais atteintes.
• La dégradation des sols est due à de nombreux facteurs, dont les phénomènes
climatiques extrêmes, en particulier la sécheresse, et aux activités humaines qui
polluent les sols ou nuisent à leur qualité ou leur utilité, ce qui a une incidence
négative sur la production agroalimentaire, les moyens de subsistance et la

production et la fourniture d’autres biens et services écosystémiques.


 On parle de surpâturage à chaque fois que le tapis herbacé subit une pression de broutage
trop importante, compte tenu, par exemple, de ses capacités des régénérations.
Le plus souvent, le surpâturage est le fait des animaux domestiques, donc en premier lieu de
l'homme.
 Les raisons pour lesquelles les hommes possèdent trop d'animaux ou se retrouvent à la tête
d'un cheptel trop important pour les ressources dont il disposera, sont nombreuses. Dans le
cas des élevages extensifs, et particulièrement dans les pays pauvres, les raisons sont pour
parties culturelles quand la richesse, la capacité à marier ses enfants, l'assurance de vivre
ses vieux jours dépendent du troupeau. Mais il y a aussi des facteurs autres, climatiques par
exemple, quand la sécheresse perdure plus longtemps que souhaitable.
Le malheur veut que des vaches, même faméliques et qui, probablement, vont mourir sans
bénéfice pour personne, avant de disparaître vont brouter et brouter encore jusqu'à obérer
sérieusement la régénération du tapis herbacé. Le surpâturage est un processus important
dans les mécanismes initiaux de la désertification.
3. LE SURPÂTURAGE
 La désertification est un processus, naturel ou non, de dégradation des sols qui a
pour origine des changements climatiques et/ou les conséquences d'activités
humaines. Il s'ensuit une aridification et une sécheresse locales consécutives à la
dégradation des terres, qui mènent à un territoire (biome) de type désertique. La
théorie de l'avancée du désert de Lamprey (1975), qui était liée à l'observation de
variations de couvert végétal dues à la variabilité climatique, a depuis évolué vers
une approche d'un phénomène plus diffus. Ce phénomène peut avoir lieu dans des
zones arides, semi-arides et subhumides sèches, à l'exclusion des déserts (zones
hyper-arides).
 La désertification constitue une catastrophe naturelle à long terme. La
désertification est amplifiée par le réchauffement de la planète et par l'extension
des activités humaines telles que l'agriculture intensive, lirrigation, l'industrialisation,
le tourisme et le surpâturage Ses effets, qui résultent d'une dégradation lente des
terres, sont souvent confondus avec ceux des sécheresses, avec lesquelles elle
interagit.

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