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7 Fvrier 2012
Sur les rseaux mobiles, lillimit na jamais exist que lon parle dappels, de SMS/MMS ou de 3G (le WEB) mobile. Il y a systmatiquement des limites (qui sexpriment trs diffremment et qui ne sont jamais apparentes) mais toutes ne se valent pas. A. Les limites quantitatives - Celles sur lunit : nombre dheures appeles, de SMS/MMS envoys ou de Mgaoctets changs elles sont contraires la notion mme dillimit. En loccurrence, toutes les offres ayant ce type de limites ne devrait pas utiliser comme dnomination commerciale Illimit . - Celles sur le nombre de destinataires par composante (appels/SMS/MMS) B. Les limites la discrtion de loprateur: Des restrictions subjectives telles que usages raisonnables ou en bon pre de famille : le consommateur est dans limpossibilit dintgrer ce critre dans son arbitrage puisquil ne sait pas ce quil est en droit de faire ou pas.
Les contrats peuvent contenir une quinzaine de clauses abusives avec des degrs varis de gravit. Les entorses la loi restent trop nombreuses. 5 exemples :
Documents contractuels : clauses faisant prsumer la prise de connaissance de documents contractuels par le consommateur, alors que ceux-ci ne lui ont pas assurment t remis. Portage : clauses octroyant loprateur un dlai de portage illicite ou exonrant loprateur de son obligation de portage du numro. Simlockage : le verrouillage du tlphone, vendu nu, dans le cadre dun forfait sans engagement. Limitation de responsabilit : prtendre que la responsabilit de loprateur ne peut tre engage quen cas de faute, alors quil est tenu une responsabilit de plein droit. Autre exemple, loprateur qui soctroie un dlai de franchise en cas dinterruption/dysfonctionnement du service, alors quil est tenu une obligation de rsultat. Cession du contrat par loprateur : clauses permettant loprateur de cder le contrat sans laccord du consommateur et lorsque cette cession est susceptible dengendrer une diminution des droits du consommateur.