Le responsable OSHMS mesure les indicateurs suivants : fréquence des accidents du

travail, gravité des accidents du travail et absentéisme. Elle considère qu'en l'absence de
maladies professionnelles et d'accidents mortels, elle ne procède à aucune mesure de ceux-
ci et ne les considère pas comme des indicateurs à prendre en compte. Selon le scénario, le
poste de gestionnaire OSH-SMS

a. a. Correct car il n'est pas nécessaire de les mesurer

b. b. Incorrect, car ces éléments font partie des indicateurs minimaux du SGSSO et
doivent être enregistrés.

L'examen du SGSSO a permis de constater que l'entreprise dispose d'indicateurs de structure, de

processus et de résultats pour chacun des éléments proposés comme nécessaires à l'élaboration
de ces derniers, chaque indicateur étant assorti d'un dossier, mais rien ne prouve que les
indicateurs sont mesurés ou examinés. Au vu de ce qui précède, l'entreprise :

a. Satisfait à l'exigence

b. Ne répond pas à l'exigence

Le nouveau responsable OSHMS de votre entreprise a identifié qu'au 31 décembre 2017,

l'évaluation initiale en vertu des normes minimales de la résolution 0312 de 2019 n'a pas été
réalisée et qu'un plan d'amélioration n'a pas été élaboré. En tenant compte des phases de
transition et d'adaptation des normes minimales de l'OSHMS, comme indiqué dans l'article 25 de
la résolution 0312 de 2019, l'entreprise est :

a. Respecter les phases

b. Non-respect des phases

Dans l'entreprise où vous travaillez, un accident du travail survient qui génère un jour d'incapacité,
conformément à l'article 30 de la résolution 0312 de 2017, cela doit-il être pris en compte dans les
indicateurs minimaux du SGSST ?

a. Oui

b. Non

Le plan de travail de l'OSHMS définit les activités du système, mais celles-ci ne sont pas axées sur
la réalisation des objectifs de sécurité et de santé au travail, et les ressources allouées dans le
budget ne sont pas alignées sur le plan de travail. Compte tenu du cas et des dispositions de
l'article 2.2.4.6.8 du décret 1072 de 2015, que recommanderiez-vous à l'entreprise ?

a. Maintenir le plan de travail qu'ils ont défini

b. Ajuster le plan de travail en tenant compte des objectifs de sécurité et de santé au travail qui
ont été définis.

c. Ajuster le plan de travail, y compris les ressources nécessaires à la mise en œuvre des activités
pour atteindre les objectifs définis en matière de SST.

d. b et c
Dans l'entreprise où il travaille, le système de gestion de la santé et de la sécurité au travail a été
planifié en tenant compte du résultat de l'évaluation initiale et d'autres éléments importants tels
que les risques prioritaires et les statistiques relatives aux accidents, aux maladies professionnelles
et à l'absentéisme. Qu'est-ce qui permet de définir une planification tenant compte des éléments
évoqués ?

a. Priorités et ressources pour la gestion

b. Plan de travail annuel, objectifs

c. Indicateurs

d. Toutes les réponses ci-dessus

Lors d'un audit réalisé dans l'entreprise où vous travaillez, les aspects suivants ont été relevés dans
l'identification des dangers, l'évaluation et l'appréciation des risques : - Il existe des mesures
définies pour la prévention et le contrôle des risques prioritaires, qui n'ont pas été mises en œuvre
par les responsables. Après validation auprès des responsables des domaines où la constatation a
été identifiée, ceux-ci ont déclaré qu'ils n'étaient pas au courant des mesures proposées parce
qu'ils n'ont jamais participé à l'exercice d'identification des dangers, d'évaluation des risques et
d'évaluation, et qu'ils considèrent également que le domaine de la sécurité et de la santé au
travail est chargé de réaliser toutes ces activités. - La dernière révision a été effectuée il y a 18
mois - Les mesures de prévention et de contrôle ne sont pas établies conformément à la hiérarchie
des contrôles Compte tenu du cas, sur quel chiffre feriez-vous porter la non-conformité :

a. Article 2.2.4.6.15 du décret 1072 de 2015

b. Article 2.2.2.4.6.8 du décret 1072 de 2015

c. Article 2.2.4.6.23 du décret 1072 de 2015

d. Article 18 de la résolution 1111 de 2017

Dans une entreprise de messagerie, un plan de formation annuel a été élaboré, dans lequel des
thèmes tels que les inspections de sécurité, le rapport et l'enquête sur les accidents du travail,
l'hygiène posturale, les soins des mains, la communication assertive et la préservation de l'ouïe
ont été inclus pour tous les employés de l'entreprise. Si, dans le cadre de l'identification, de
l'évaluation et de l'appréciation des risques, le risque lié à la circulation est considéré comme
prioritaire en raison de l'exposition élevée des travailleurs à ce risque et du fait qu'il a déjà été mis
en évidence dans plusieurs accidents, que recommanderiez-vous à l'entreprise ?

a. Maintenir les questions soulevées

b. Supprimer toutes les autres questions et n'inclure que les questions liées au risque de trafic

c. Examiner le plan, classer les questions en fonction du public cible et inclure les questions liées à
la prévention des risques routiers.

d. Inclure les risques liés au trafic dans les thèmes

Dans votre entreprise, il a été décidé que toute la documentation OSHMS serait conservée sous
forme électronique pendant 20 ans, ce qui garantit la préservation des informations. Le
responsable OSHMS aura accès à tous les documents et dossiers du système, à l'exception des
dossiers médicaux des travailleurs, car il ne correspond pas au profil d'un médecin spécialisé dans
la santé et la sécurité au travail. Elle considère que la décision est

a. Adéquat

b. Insuffisant

Dans l'entreprise où il travaille, il est responsable du SGSST et, pour l'exercice de planification du
SGSST, il a recueilli des informations relatives aux statistiques d'accidents des deux dernières
années, aux maladies professionnelles au fil du temps depuis la création de l'entreprise, aux
statistiques sur l'absentéisme d'origine courante et professionnelle, et il a constaté ce qui suit : -
Statistiques des accidents : les accidents liés à la manutention de charges et aux postures
prolongées prédominent (lésions du dos, des mains et des membres supérieurs), suivis par les
accidents liés à l'exposition à des substances chimiques (lésions oculaires et cutanées) et par un
accident de la circulation du courrier classé comme grave. - Statistiques sur les maladies
professionnelles : deux maladies professionnelles ont été classées (syndrome du canal carpien et
bursite de la main), toutes deux liées à des agents ergonomiques, conformément au décret 1477
de 2014 - Statistiques sur l'absentéisme d'origine commune et professionnelle : principalement
des incapacités dues à des lésions lombaires et à des infections respiratoires : principalement des
incapacités dues à des lésions lombaires et à des infections respiratoires - Résultat de l'évaluation
initiale selon les normes minimales : trouvé, selon les critères des normes minimales de l'OSH-SMS
à 28% (CRITIQUE) Compte tenu du scénario, j'établirais des objectifs en matière de SST
principalement axés sur :

a. Intervention sur les risques ergonomiques

b. Intervention sur le risque chimique

c. Intervention publique en matière de risques

d. Aucune de ces réponses

Lors de l'application de l'évaluation initiale au titre des normes minimales du SGSST, le

responsable SGSST a identifié que le comité paritaire pour la sécurité et la santé au travail,
effectue la réunion mensuelle et dispose du procès-verbal de chacune d'elles, la présence n'est pas
très cohérente et n'accompagne pas les inspections de sécurité, ni ne participe aux enquêtes sur
les accidents du travail, comment évalueriez-vous les critères d'évaluation en tenant compte des
constats selon les critères des normes minimales du SGSST ?Comment évalueriez-vous les critères
d'évaluation en tenant compte des constatations selon les critères des normes minimales du
SGSST, compte tenu de l'article 27 de la résolution 0312 de 2019 ?

a. Conforme

b. Partiellement conforme

c. Non conforme
d. Aucune de ces réponses

Dans le cadre d'une activité planifiée par le service de maintenance de l'entreprise, une entreprise
sous-traitante a été engagée sans en avoir préalablement informé le service de sécurité et de
santé au travail et sans avoir été clairement informée des exigences à respecter en matière de
sécurité. Au cours de l'exécution du contrat, l'un des travailleurs du contractant est victime d'un
accident du travail, qui n'est pas signalé à la société contractante et n'est pas pris en compte dans
les indicateurs de fréquence et de gravité des accidents. Compte tenu de ce qui précède, y a-t-il
une non-conformité conformément à l'article 30 de la résolution 0312 de 2019 ?

a. Vrai

b. Faux

Une fois la politique de SST de l'entreprise évaluée conformément aux articles 2.2.4.6.5 et
2.2.4.6.6, il s'est avéré qu'elle comportait les éléments suivants : - Engagement en faveur de la SST,
avec l'identification des dangers, l'évaluation des risques et la mise en place de contrôles, ainsi que
la promotion et la prévention de la santé des travailleurs par l'amélioration continue du
SGSST.Signature de la personne responsable du SGSST et date d'élaboration ou de révision de la
politique - Elle est documentée et communiquée au COPASST Compte tenu du scénario, cette
politique doit :

a. À adapter en incluant un engagement à respecter les exigences légales et la signature du

représentant légal.

b. Rester en l'état

c. À adapter, y compris la communication à toutes les parties prenantes et la publication dans des
lieux visibles.

d. a et c sont corrects

Dans l'entreprise où vous travaillez, des boîtes aux lettres ont été mises en place comme
mécanisme de communication interne pour recevoir les préoccupations, les idées et les
contributions des travailleurs sur les questions de SST. En tenant compte de l'article 2.2.4.6.14 du
décret 1072 de 2015, l'entreprise doit s'assurer que :

a. Recevoir et documenter les communications dans la boîte aux lettres.

b. Recevoir et classer comme preuves les communications trouvées dans la boîte aux lettres.

c. Recevoir, documenter et répondre à toutes les communications dans la boîte aux lettres.

d. Aucune de ces réponses

Lors de la dernière réunion du COPASST, un des membres du groupe a demandé au responsable

du SGSST les résultats de la dernière mesure de l'éclairage qui avait été effectuée dans
l'entreprise, car il estimait qu'il était important de connaître les résultats de ces mesures et de
formuler des recommandations à cet égard. Le responsable OSHMS a estimé que la
communication des résultats au COPASST n'était pas pertinente. Compte tenu du cas et des
dispositions de l'article 2.2.4.6.15 du décret 1072 de 2015, elle considère que le poste de
responsable du SGSST est :

a. Conformément à l'exigence

b. Non conforme à l'exigence

Dans une entreprise de 75 travailleurs classée dans la catégorie de risque IV, la direction générale
a affecté des ressources physiques, humaines et financières à la mise en œuvre, à la maintenance
et à l'amélioration du système de gestion de la sécurité et de la santé au travail (OSHMS). Au sein
des ressources humaines, il a été décidé que le responsable du SGSSO serait le chef des ressources
humaines, bien qu'il n'ait pas le profil défini à l'article 17 de la résolution 0312 de 2019. Au vu de
l'affaire, elle considère que la décision prise est :

a. Conformément à l'exigence

b. Non conforme à l'exigence

L'examen du SGSSO a permis de constater que l'entreprise dispose d'indicateurs de structure, de

processus et de résultats pour chacun des éléments proposés comme nécessaires à l'élaboration
de ces derniers, chaque indicateur étant assorti d'un dossier, mais rien ne prouve que les
indicateurs sont mesurés ou examinés. Au vu de ce qui précède, l'entreprise :

a. Satisfait à l'exigence

b. Ne répond pas à l'exigence