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Universidad de Los Andes

Núcleo Universitario Rafael Rangel

Departamento de Lenguas Modernas

Trujillo, Edo Trujillo

L’Evolution
de

l’Enseignement

Professeur:

Andrés Morales

Etudiante:

Jhoseirann Mariel Sulbarán


C.I : 18349554
Les Tablettes

Les Sumériennes sont la


première civilisation connu
dans le monde, aujourd’hui
Irak, localisé près le golf
Persique. Ils sont les
créateurs de la langue écrite, appelé
Cunéiforme.

L’écriture Sumérienne :

L’écriture est apparue en Mésopotamie, vers 4 000 avant Jésus-


Christ. Les sumériens écrivaient pour compter leurs récoltes, leurs
marchandises ou leurs troupeaux. Ils écrivaient sur des palettes en argile,
les tablettes. Ils ont inventé le premier alphabet (à un signe correspondait
une syllabe ou un son).

Les écritures cunéiformes sont les plus vieille que nous possédions,
c'est notre source d'informations la plus ancienne.

Les archives de la Mésopotamie


constituent donc les écritures les plus
anciennes sur cette planète. Elles ont
5800 ans d'âge mais décrivent des
événements qui se sont produits il y a des
millions d'années et plus en détail encore,
des choses qui se sont passées, il y a 450
000 ans ou plus.

En creusant dans les couches de soleil qui les recouvraient, il y a des


milliers de tablettes cylindriques en argile sur lesquelles l'histoire de
Sumer et de la Terre sont enregistrées jusque dans leurs moindres détails.
Et cela remonte à des centaines de milliers d'années.

Peu à peu l’écriture devint un formidable moyen de culture. En effet,


les mythes anciens et les histoires des peuples, qui se transmettaient
jusqu’alors par la voie de l’oralité, furent retranscrits par écrit. L’école
devint alors un établissement où les grandes œuvres furent d’abord
couchées sur les tablettes, puis recopiées pour être enfin diffusées et
étudiées pour notre plus grand bonheur. Les sumériens étaient également
de grands scientifiques qui étudiaient autant les astres que la terre, les
mathématiques que la géométrie. Aussi l’écrit apporta le moyen de traiter
des théories et d’établir des plans architecturaux en vue de grandes
constructions.

Organisation de l'enseignement :

L'enseignement était prodigué dans un établissement spécialisé,


l'ÉDUBBA/bīt tuppi(m) (« maison des tablettes »), à l'époque d'Ur III
(XXIe siècle). Cette école dépendait souvent d'un palais ou d'un temple
(auquel cas l'enseignant était un prêtre), hauts lieux de savoir, et servait à
former les futurs cadres de l'administration du royaume.

Les écoles visaient à former des scribes. Les études revenaient très
chères, ce qui en faisait un privilège réservé aux plus riches personnages
des classes urbaines. Elles étaient aussi réservées aux hommes (très peu de
femmes ont été des scribes). L'école à l'époque d'Ur III était dirigée par
un UMMIA/ummanu(m) (« spécialiste » en sumérien), appelé aussi « père de
l'école » (les élèves étant les « fils de l'école »). Il était assisté par un
enseignant appelé « grand frère », qui surveillait si les élèves
accomplissaient leurs devoirs. Il pouvait aussi exister des enseignants
spécialisés dans un domaine précis. On trouvait aussi des surveillants, tels
le « chargé du fouet », qui s'occupait de la discipline.

Les punitions corporelles étaient en effet courantes. Certains textes


expliquent la dure vie des écoliers : travail harassant (du lever au coucher
du soleil, avec une pause pour le déjeuner, et peu de jours de repos),
punitions corporelles (au fouet), dureté du maître.

Pour autre part, la complexité de l'écriture cunéiforme et la


nécessité de former des scribes spécialisés dans différents domaines
nécessitaient une formation souvent longue. Leur rôle particulier, essentiel
dans ces civilisations de l'écrit qu'étaient celles du Proche-Orient ancien
(Mésopotamie, Syrie, Hatti, Élam, etc.) leur
conférait un statut social particulier.

La Maât

Maât est, dans la mythologie


égyptienne, la déesse de l'ordre, de
l'équilibre du monde, de l'équité, de
la paix, de la vérité et de la justice.
Elle est l'antithèse de l'isfet (le chaos, l'injustice, le désordre
social).

Enseignement du Maât :

La religion a été l’aspect plus marquée dans leur culture, l’enseignement


du langage tournait autour la religion. La Maât dictait maximes et
sentences que les Égyptiens devaient apprendre.

L’école vise à enseigner la technique de l’écriture, ainsi que cette


doctrine, qui est le fondement même de la monarchie.

La Maât est la lumière qui illumine le monde de son souffle de justice


et de vie, celle qui s'oppose dans son concept à toute forme d'injustice, à
tout acte immoral, à toute négation. Elle est la nourriture première de tout
être vivant et de tous Dieux, elle est la récompense du juste devant le
tribunal divin d'Osiris. La Maât vient du verbe maâ (Mei (en copte et Meyi
dans certaine langue bantu) favoriser la Maât c'est encourager ce qui est
vrai, reconstruire la vérité historique, naturelle, c'est encourager la
science, le savoir.

Formes d’Écriture :

Il n'y avait pas d'orthographe, au sens strict du mot, mais la


calligraphie en tenait lieu. Ce qui paraissait beau était correct et on
préférait écrire erronément que vilainement. Les hiéroglyphes ayant
différentes grandeurs et certains pouvant être dessinés couchés oudebout,
il était toujours possible de les disposer en un carré régulier (quadrat). Les
hiéroglyphes figuratifs restèrent constamment en usage jusqu'au 4e siècle
a p. J.-C., mais seulement dans le domaine monumental.

Une forme cursive se développa très tôt. Elle est appelée hiératique.
Cependant, elle ne servit pas au début à des fins religieuses, mais
exclusivement profanes. Durant son histoire longue de plus de trois
millénaires, cette écriture livresque et commerciale a subi diverses
transformations.

A côté du graphisme harmonieux des rouleaux de papyrus du Moyen


Empire, on rencontre des manuscrits à l'écriture très individualisée,
surtout dans les documents de chancellerie d'époque ramesside. Ainsi, il
devint souvent difficile pour un fonctionnaire de Basse Egypte de lire un
texte écrit par un collègue de Haute Egypte en « hiératique anormal ».
C'est pourquoi le démotique, né de ce dernier en Haute Egypte, fut
introduit comme écriture officielle au 7e siècle a v. J.-C. Les mots courants
y sont écrits en abrégé et d'autres avec des signes unilitères, à la manière
d'une écriture alphabétique. Après la conquête de l'Egypte par Alexandre
le Grand, le grec devint la langue administrative dans la vallée du Nil. La
population indigène parlait et écrivait le démotique.

Vers 200 a p. J.-C., on adopta finalement pour la langue égyptienne


l'alphabet grec augmenté de sept signes empruntés au démotique. Ce
dernier stade de l'égyptien, qu'on appelle le copte, fut essentiellement
d'usage dans les premiers temps du christianisme. En l'espace d'environ
3000 ans de tradition écrite continue, la langue évolua aussi dans son
phonétisme, sa morphologie et sa syntaxe. Nous distinguons comme langues
écrites : l'ancien égyptien, langue du 3e millénaire av. J.-C. et des Textes
des Pyramides, le moyen égyptien, c'est-à-dire la langue classique en
laquelle les plus remarquables œuvres littéraires furent composées de 2000
à 1500 av. J.-C., le néo-égyptien jusqu'au 7e siècle av. J.-C. et, enfin, le
démotique jusque dans le courant du 5e siècle a p. J.-C.

Le matériel du scribe :

Pour écrire, le scribe avait besoin d’un support à la fois souple et


résistant. C’est pourquoi il choisissait le papyrus. On le fabriquait à partir
de la tige de la plante du même nom.
Plante de Papyrus

Il suffisait d’enlever l’écorce de la tige


et de découper ce qui restait en fines
lamelles. Ces lamelles devaient ensuite être
juxtaposés en plusieurs couches et martelées
à l’aide d’une sorte de broyeur jusqu’à ce que
l’ensemble soit adhérent. On obtenait ainsi
des feuilles qui, mises bout à bout, formaient
le rouleau de papyrus. La dernière opération
consistait à lisser le support grâce à une
pierre pour permettre une écriture de
meilleure qualité.

Les Scribes :

Les scribes de l'Égypte antique étaient


chargés de répertorier, classer, recopier en utilisant
l'hiératique, écriture cursive permettant d'écrire
rapidement à l'aide d'un calame sur du papyrus ou
des ostraca.

Les scribes formaient une caste de lettrés,


représentant la bureaucratie. Les scribes servaient à
tous les étages de l'administration jusqu'au scribe
royal.

Les postes se transmettaient souvent de père


en fils, le célèbre texte dit « de l'enseignement de
Khéti » en fait un métier noble.

Avant d'écrire, les scribes récitaient une prière à Thot, leur patron.
L’Iliade et l’Odyssée

Ce sont deux longs poèmes divisés

chacun en 24 chants (qui correspondent aux

24 lettres de l’alphabet grec).

Leur thème est la Guerre de Troie

entre Achéens (Grecs) et Troyens et le retour

d’un des guerriers, Ulysse.

L'Iliade et l'Odyssée reposent sur des légendes. Si la ville de Troie


a existé, Ulysse et Hector sont des créations de l'imagination. Dans son
récit, Homère a mêlé des éléments de différentes époques : certaines
descriptions d'armes en bronze remontent sans doute à l'époque des
anciens Grecs ; mais lorsqu'il décrit l'assemblée du peuple sur une place
publique appelée agora, Homère fait allusion aux cités grecques naissantes
du VIIIe siècle av. J.-C. Enfin, plus que la présence d'éléments historiques,
c'est surtout la familiarité que vont développer les Grecs avec l'Iliade et
l'Odyssée qui importe. Les poèmes homériques deviennent des piliers de la
culture grecque.

Qui est Homère?

Les Grecs le considéraient comme leur


éducateur. Tout enfant grec, puis romain, devait en
effet apprendre par cœur des passages entiers de
l’Iliade et de l’Odyssée.

Homère est probablement un Grec d’Asie


mineure (actuelle Turquie) qui aurait vécu au VIIIe
siècle avant J.C. C’est un aède (poète
s’accompagnant d’une lyre), représenté souvent en vieil homme aveugle. Il
aurait écrit (ou fait écrire) ces poèmes en s’inspirant de vieilles légendes
d’abord transmises oralement.

L’Education Grec :

En Grèce, l’éducation des jeunes enfants relève des femmes et des


pédagogues, généralement des esclaves, puis ensuite des maîtres, vers l’âge
adulte et les valeurs de la Cité antique comme le théâtre, la guerre, le
sport, la politique. Éducation idéale en apparence, elle alliait le
développement physique des enfants à celle des arts (musique), des valeurs
morales antiques de force et de vertu (militaire), et de l’intellect (poésie).
Elle procurait le développement harmonieux des corps grâce au sport vers
un idéal de beauté de l’adulte. Elle était cependant marquée par trois
constantes : le rejet total des enfants faibles et des malades, la mise à
l’écart des filles de cet idéal (elles ne pratiquent les sports qu’à Sparte), et
la pédérastie.

À Sparte, (Des sciences de l'ordre), Est la


première nation avec une institution militaire. Les
enfants à partir de sept ans recevaient une
éducation faite par la cité, sportive et fondée sur
le développement physique (les enfants spartiates
ne sont pas emmaillotés) et intellectuelle
solidement encadrée, collective. Les jeunes
spartiates proche de l’âge adulte passaient par
quelques épreuves initiatiques comme celle de
la kryptie (survivre seul dans la nature en
autonomie : les jeunes devaient apprendre à se débrouiller seuls).

L’éducation athénienne (Enseignement


Unilingue). Le Koinè ou Grec Classique a été
étudié. Joignant celle du corps se
développement harmonieusement grâce à
l’éducation physique, et au sport, et celle de
l’âme, les arts et les lettres, et les
mathématiques ou la philosophie était faite
en vue de faire un jeune athénien « καλος
καγαθοσ », c’est-à-dire « beau et bon » suivant les critères antiques ou
même laid, mais très intelligent, d’après le Théétète de Platon, qui excelle
en mathématiques.
L'objectif de l'enseignement :

C’est de développer des valeurs civiques, de préparer l'enfant au


métier de citoyen dans une cité démocratique, mais aussi de former un
homme « beau » et « bon », ce qui correspond à un modèle idéal de qualités
physiques et morales. Trois disciplines concourent à cet objectif. Le sport,
tout d'abord car il s'agit de former un citoyen soldat, de développer là
aussi des qualités techniques et morales. La musique, ensuite. Elle relève du
domaine des muses. On connaît l'importance que les Athéniens et surtout
les philosophes lui accordent, mais assez peu les formes musicales utilisées.
Et enfin les lettres, l'apprentissage de l'écriture et de la lecture. En
démocratie, un citoyen doit savoir lire et écrire, car à Athènes, les lois sont
écrites.

Le Grec :

La formation du grec ancien a commencé vers le


II  millénaire avant notre ère. Les premiers
e

documents de l’époque mycénienne datent de 35


siècles; les poèmes d’Homère (VIII e avant notre ère)
ont été transcrits à l’aide d’un alphabet emprunté aux
Phéniciens qu’on appelle aujourd’hui l’alphabet grec.

Le grec ancien était fragmenté en plusieurs


variétés dialectales réparties en quatre groupes
correspondant aux vagues successives des invasions indo-européennes:
l’éolien (parlé en Thessalie, en Béotie et en Asie mineure), l’ionien avec son
sous-dialecte l'attique (Attique, Eubée, Cyclades et Asie mineure),
le dorien (Laconie, Crète, Rhodes, Thêra, Achaïe, Étolie, Épire, Sicile) et
l'arcado-chypriote appelé aussi l’achéen (Mycènes et Cnossos, Arcadie,
Chypre). 

C’est l’attique des Athéniens, qui devint progressivement la langue


commune des Grecs et qui s’est substitué à tous les autres dialectes à
partir du IVe siècle avant notre ère.
L’Empire Romain

L’Empire romain est la période


post-républicaine de la civilisation de la
Rome antique, caractérisée par une forme
autocratique du gouvernement et une
grande expansion territoriale en Europe
et tout autour de la Méditerranée.
L’expression est utilisée pour décrire l’État romain pendant et après
l’époque du premier empereur, Auguste. L'Empire romain succède à la
République romaine, vieille de 500 ans (509 av. J.-C. – 27 av. J.-C.) et
affaiblie par la guerre civile.

Les premières écoles :

Les premières écoles qui s'ouvrirent à Rome datent des dernières


années du troisième siècle avant Jésus-Christ. Jusque-là les Romains
n'avaient été élevés que par leurs parents et par la nature. Rome était
comme une école naturelle de vertus civiques et militaires.

Les conditions principales du développement spontané des grandes


qualités romaines, sont:

 Une forte éducation physique.


 L'éducation morale, l'enfant apprenait par cœur la loi des
Douze Tables.
 L'étude précoce de la législation.
 L'enfant qui apprenait à lire dans le code civil de son pays, et
dont les premières pensées se fixaient sur les lois sociales,
s'accoutumait nécessairement à considérer ces lois comme
quelque chose de sacré et d'inviolable
 Le droit écrit n'étant pas autre chose que l'expression
nécessaire et matérielle de la discipline morale.
 L'habitude de l'ordre, de l'obéissance.

Les écoles romaines sont mixtes, mais cependant les filles ne


poussent pas leurs études aussi loin que les garçons, elles arrêtent souvent
leurs études après le ludi magister, pour apprendre les tâches ménagères
avec leur mère. De 7 à 11 ans, l’élève est instruit par le magister ludi, qui lui
apprend les lettres, les syllabes, les mots et les bases du calcul. Dès 11 ans,
et jusqu’à 15 ans, l’élève se rend chez le grammaticus. Il apprend à expliquer
un texte, à découper des mots, des phrases, des vers. Il fait des
rédactions, et l’apprentissage du calcul est poussé. Les professeurs sont
assez mal payés par les pères des élèves. Ils sont assez autoritaires avec
les élèves. L’enseignement est basé sur le par cœur et l’imitation et le
rythme est relativement lent.

Le Grec et le latin :

Vers la fin du troisième siècle avant Jésus-Christ, les rapports de


plus en plus fréquents de Rome avec la Grèce altérèrent cette éducation
domestique et nationale, en y introduisant des éléments étrangers, qui
n'étaient pas tous de nature à l'améliorer. Dans la plupart des familles,
l'éducation était confiée à des esclaves. Il devint rare que le père se
chargeât lui-même de l'instruction de ses enfants.

Ce ne fut pas sans résistance que l'éducation grecque s'établit à


Rome. Elle y produisit une véritable révolution dans les mœurs. Caton et les
vieux Romains luttèrent contre l'invasion des vaincus; mais, peu à peu, leur
sévérité, et, pour tout dire, leur rusticité, fit place à un esprit nouveau. Les
Romains s'éprirent, à leur tour, du beau langage, de la dialectique subtile.
Les rhéteurs et les philosophes devinrent les maîtres de l'éducation.

C'est la langue grecque que les romaines apprenaient d'abord dans les
écoles de Rome. Homère était le premier livre mis aux mains des enfants.
Puis, de l'école du grammairien, l'écolier passait dans celle du rhéteur et du
philosophe. La langue grecque s'est converti en langue maternelle pour
plusieurs Romains.
Un point en commun entre les
Écoles

Sumérienne Égyptien Grec


Romaine
Dans l’évolution de l’Enseignement, ces civilisations ont été ses
propres méthodes et systèmes pour assurer la transmission des
connaissances.

Durant l’histoire, les sociétés ont mis en œuvre différents moyens


pour assurer l’éducation de leurs membres et pour favoriser le passage
d’un certain nombre de valeurs culturelles et connaissances entre
générations; la création des méthodes d’enseignements montre la
nécessité des civilisations pour laisser un legs et conserver sa culture dans
le temps.

Aucune de ces civilisations ne s'est occupée pas à enseigner la langue


comme telle, mais ils le faisaient aux fins politiques, militaires, religieuses
et sociales.

Le dénominateur en commun consiste en que toutes ces civilisations


utilisaient comme référence pour enseigner, un texte. À travers de qui, ils
enseignent toute espèce des connaissances; militaire, administrative,
religieuse, etc.

Comme j’ai dit avant, chaque civilisation a son propre texte de


référence; par exemple, les sumériennes utilisaient les tablettes, où non
seulement ils ont copiés, recopiaient et étudiaient là les œuvres du passé,
mais aussi de nouvelles œuvres s'arrangeaient.
Par ailleurs les Égyptiens utilisaient la Maât (les 42 Commandements),
le texte sacré par lequel il apprenait des maximes et des sentences. La
Maât signifie elle-même l’action juste, la vérité, le bien, le respect et
l’équité. Et ont oriente la vie sur la terre de ce civilisation, pour obtenir la
grâce de Dieu (Ra), et pour cela ils apprennent les 42 commandements basés
sur : le respect de soit, la pensée juste qui permet d'avoir la parole et la
paix juste.

L’Iliade et l’Odyssée ont été les textes que les Grecs utilisaient pour
enseigner. Les poèmes homériques permettent d’introduire l’étude de la
Grèce antique d’un triple point de vue : culturel, en se reconnaissant dans
des ancêtres mythiques, les Grecs des cités affirment leur appartenance
commune à l’Hellade; politique, de l’opposition entre le monde grec et les
Barbares, de la guerre de Troie, aux invasions perses du Ve siècle avant J.-
C. et à la conquête d’Alexandre, et l’invasion de l’empire romaine, et
finalement, religieux; les poèmes homériques proposent de nombreux
exemples pour expliquer comment les Grecs concevaient les rapports des
dieux et des hommes.

Les Grecs ont crée l’une des civilisations les plus brillantes de
l’Antiquité. Cette civilisation est en large partie à l’origine de notre culture.
Nous devons aux Grecs l’alphabet, le théâtre, la philosophie, l’histoire, la
démocratie, etc.

Et finalement, le texte que les Romaines utilisaient est, La Loi des Douze
Tables, constitue le premier corpus de lois romaines écrites. Leur
rédaction est l'acte fondateur du ius scriptum (droit écrit). Elle est
rédigée par un collège autour de 450 av. J.-C.. L'apparition de ces lois
écrites marquent une certaine laïcisation du droit romain, par rapport
au ius oral pratiqué auparavant, ainsi qu'un conflit entre la plèbe et
les patriciens. Aussi cette civilisation, l’école apprenait avec l'alphabet et
beaucoup de textes Grecques, comme les poèmes homériques. L'éducation
romaine devient alors, au Ie s. av. J.C., une variante de l'éducation grecque.
Mais c'est une variante latine où il subsistera toujours quelques traces de
l'originalité romaine des anciens temps.

Avec l’invasion de Romains dans le territoire Grecs les cultures ont


été mêlées, les Romains ont copié plusieurs des techniques des Grecs, en
politique, des lettres, etc. Mai c’est ne pas le cas de Grecs, son orgueil n'a
pas permis que plusieurs des coutumes romaines passassent la frontière, et
la langue a résisté à cette attaque, en se maintenant sans des modifications
devant l'avance romaine.

Toute cette information est très importante, comme étudiant et


professeur d’une langue étrangère, on doit connaitre l’évolution de notre
langue dans l’histoire, de cette manière c’est plus facile de entendre notre
origine, et l’origine de la faculté que comme humaines nous avons développé.

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