m



 
 

  m


  

 m

m  



 m
  

  !"#
 

$%""&


'( 
m  

  
)

)
**
*

**
*))

m
 


- Expert comptable diplômé d¶État ( France ).

- Diplôme de 3ème cycle en Audit et Contrôle de gestion I.A.E de Paris
- Maîtrise en Gestion et Administration des Entreprises (INPED)
- Commissaire aux comptes agrée
- Ancien professeur en sciences financières et comptables ± INPED ±
- Ancien professeur sciences financières et audit financier I.E.D.F Koléa
- Ancien membre de la commission nationale d¶évaluation de la pression fiscale
auprès du Ministère des Finances
- Ancien membre de la commission de réforme du P.C.N -Conseil National de la
Comptabilité - Ministère des Finances-
- Ancien membre du groupe d¶experts chargé de l¶évaluation du projet portant
«Système Comptable et Financier » aux normes I.F.R.S
- Membre de la commission « Normes et Principe Comptable » auprès du
(CNC - Ministère des Finances -)
- Consultant auprès du Conseil National de la Comptabilité - Ministère des Finances-
m
m  


 


|


v PRÉSENTER LES PRINCIPALES

CARACTÉRISTIQUES DU NOUVEAU SYSTEME
COMPTABLE ET FINANCIER (SCF)

v IDENTIFIER LǯIMPACT DU SCF SUR LA FISCALITE

v IDENTIFIER LES ACTIONS À ENTREPRENDRE

PAR LA DGI.
m
m  


 




 

v Le principe de connexion forte entre les règles
comptables et fiscales :Î

 

 





 


 




 



 





 
!
 
 





"



 ".
m
m  


 


Ê


  




v Ainsi, en lǯabsence de dispositions fiscales

particulières, le résultat fiscal est déterminé à
partir des règles comptables. Lǯapplication du
SCF dans les comptes individuels conduit à la
constatation de divergences entre les règles
comptables et fiscales.

v Cet exposé reprend les points majeurs introduits

par le nouveau SCF.
 
m   

m  
  

ÊÊ   Ê    Ê

Ê

† Le Plan Comptable National a été conçu dans le contexte

des années 70 pour répondre à un double objectif :

v déconnecter notre système comptable du Plan

comptable général français alors en vigueur,

v et mettre en place un outil permettant dǯobtenir des

informations utilisables par lǯentreprise, par le fisc et
par agrégation, par la comptabilité nationale et les
statistiques.
 
m   

m  
  
† Le PCN, à priori destiné aux entreprises industrielles et
commerciales, a fait lǯobjet dǯadaptations à lǯactivité de certains
secteurs particuliers comme le tourisme, les travaux publics,
lǯagriculture ou lǯassurance avec parfois beaucoup de difficultés,

† Mais nǯa subi, depuis sa mise en place, aucune révision

significative qui aurait permis :

v de régler les problèmes soulevés par son application,

v de lǯadapter à lǯéconomie moderne et aux changements
intervenus, surtout après les réformes économiques,
dans lǯenvironnement juridique, économique et social
de lǯentreprise.
  
m   

m  
  
      


   

v décalage par rapport à lǯévolution actuelle des normes et des

techniques comptables et à la pratique comptable
internationale,
v non prise en charge des besoins dǯinformations dǯautres
utilisateurs tels que les investisseurs (actuels ou potentiels),
v absence de cadre conceptuel et de règles dǯévaluation
explicites permettant de définir les principes et les objectifs
fondamentaux sur lesquels les règles de comptabilité et
dǯétablissement des états financiers sont fondées,
v absence de normalisation dans certains domaines comme :
- les biens acquis en crédit-bail,
 
m   

m  
  

· la comptabilisation des contrats à long terme,

· la comptabilisation des opérations faites pour
le compte de tiers,
· les provisions pour retraite,
· les opérations effectuées en monnaies
étrangères,
· la comptabilisation des concessions de service
public, des régimes dǯassociation, ǥ
 
m   

m  
  

v Dans la pratique, le PCN de 1975 ne pouvait

être efficacement utilisé :
· ni pour répondre avec pertinence aux besoins
des différents acteurs : entreprises,
investisseurs, partenaires sociaux,
établissements financiersǥ,
· ni pour enregistrer lǯensemble des opérations
que peut réaliser une entreprise.
 
m   

m  
  

† C¶est pour ces deux raisons fondamentales

qu¶ont été engagés en 2002, sur la base d¶une
évaluation, des travaux de réforme qui ont
abouti à l¶élaboration d¶un projet de
nouveau Système Comptable Financier.
 
m   

m  
  


 

  

  
  

â Garder lǯactuel PCN en ajoutant des comptes et

des règles dǯévaluation

â Injecter dans le PCN quelques normes

internationales

â Concevoir un nouveau référentiel.

 
m   

m  
  

 


  !

† La 3ème option a été retenue car elle permet entre autres

:
 un alignement sur une tendance mondiale qui fait de la
comptabilité un outil stratégique de communication,

 dǯinciter les flux dǯinvestissement,

 de mettre à la disposition des praticiens, des étudiants

et des enseignants une documentation riche.
 
m   

m  
  

  
 

  
 


  

 

† de maintenir le PCN dans le décalage par

rapport à la pratique internationale,

† dǯavoir un système hybride conduisant au

« vagabondage comptable ».
*

 

  +


  " |Ê 

v DEUX PARTIES + ANNEXES

v CADRE CONCEPTUEL, REGLES DǯEVALUATION ET ETATS
FINANCIERS (Ajouts importants par rapport au PCN 1975)
- Principes, conventions, définitions,
- Règles dǯévaluation et de comptabilisation,
- Modèles dǯétats financiers.
v NOMENCLATURE ET FONCTIONNEMENT DES COMPTES

v ANNEXE
v Système simplifié pour T.P.E
*

 

  +


   
!

v Indique le champ dǯapplication et définitions

v Introduit les concepts :
v conventions comptables de base,
v principes comptables fondamentaux,
v caractéristiques qualitatives de lǯInformation
financière.
v Définit les actifs, passifs, capitaux propres, charges et
produits,
v Constitue une référence pour lǯévolution de la
normalisation,
v Facilite lǯinterprétation des règles et lǯappréhension des
transactions ou évènements non prévus,
v mais il ne permet en aucun cas de contourner les règles.
*

 

  +


  

  
   

v Comptabilisation sur la base des droits constatés

(comptabilité dǯexercice) :
† 


  

 
"

v Continuité dǯexploitation :

† #





 

*

 

  +


 

 

  
 

1. Périodicité (12 mois, mais dérogation possible au 31/12)

2. Indépendance des exercices,
3. Convention de lǯentité,
4. Convention de lǯunité monétaire,
5. Principe de lǯimportance relative,
6. Principe de prudence,
*

 

  +


7. Permanence des méthodes,

8. Convention du coût historique,
9. Intangibilité du bilan dǯouverture,
10. Prééminence de la réalité économique sur
lǯapparence juridique,
11. Principe de non compensation,
12. Image fidèle.
*

 

  +


 




   




 
 



 

 

† ? rti
c
† i ilit
† r ilit
† I
t lli i ilit
*

 

  +


|  |   Ê|Ê|

#ÊÊ  Ê Ê

v Un bilan
v Un compte de résultat
v Un tableau des variations des capitaux propres
v Un tableau des flux de trésorerie
v Une annexe explicative.

Ú  
    
 
$%&

*

 

  +






 

v Actifs
v Passifs
v Capitaux propres
v Produits
v Charges
v Résultat net
*

 

  +






v 
 
 #
  ' 


 
  
 

  

 (
'
  
" (


 

  

  

"

† Conséquence : les charges et produits sur

exercices antérieurs ne rentrent pas dans
le résultat net (ils constituent des
erreurs, directement comptabilisés en
capitaux propres).
*

 

  +


$  %ÊÊ|   |Ê Ê|

v Principes généraux de comptabilisation

v Principes généraux dǯévaluation

v Comptabilisation et évaluation de certains postes des

états financiers
v Modalités de comptabilisation et dǯévaluation
dǯopérations particulières
v Comptes consolidés

v Comptes des T.P.E.

*

 

  +


 
  
  
 &  

l les nouveaux besoins,

l les opérations non prévues par le PCN.
NB : Cette nomenclature de comptes constitue
une des adaptations des normes internationales
au contexte national.



   
  


 

 
 


'
*

 

  +

  $%%Ê ÊÊ| 

&)*+$,-.$*/-01&

)# 


 
2
 
 

 
"
2
 #
 

#(
 


.


3
4
*

 

  +

Ê


  (
&


 
† Biens acquis
l à titre onéreux : coût dǯacquisition,
l à titre gratuit : juste valeur à la date dǯentrée,
l voie dǯéchange :
v Actifs dissemblables : juste valeur
v Actifs similaires : valeur comptable des
actifs donnés en échange
† Biens reçus en apport : valeur dǯapport
† Biens produits : coûts de production
,


"
  
" 
 

*

 

  +



   


CONSTATATION DǯUNE PERTE DE VALEUR SUR ACTIF
Sur la forme, pas de modification sensible par rapport à
la provision pour dépréciation dǯactif prévue par le PCN
1975.
Ê &) 
  
 
Lǯentité doit apprécier sǯil existe un quelconque
indice montrant quǯun actif a pu perdre de la valeur.
Si un tel indice existe, il faut estimer la valeur
recouvrable de lǯactif
Perte de valeur = Valeur Comptable l Valeur recouvrable
*

 

  +


  

Valeur la plus élevée entre :

† le prix de vente net

et
† la valeur dǯutilité.
*

 

  +

 

  
 
m  5
   
# 


  


 




 
 

 
 

  "
 
 6



 



 
7

 
 


 

  

 # 
 #

  
  
 


#
*

 

  +

|Ê Ê|  ÊÊ| 
Ê |

1. IMMOBILISATIONS CORPORELLES ET
INCORPORELLES,
2. INSTRUMENTS FINANCIERS (EMPRUNTS,
CRÉANCESǥ),
3. STOCKS ET EN COURS,
4. SUBVENTIONS,
5. PROVISIONS POUR CHARGES,
6. CHARGES ET PRODUITS FINANCIERS
* m m
,,
 
'
 
% %  % Ê
† Durée économique plus longue et
variable
† Durée correspondante aux usages plus
courte
† Amortissements dérogatoires (dégressif)
non admis par SCF
Conséquences:
† Les durées fiscales et réelles ne sont pas
connues et affichées
† Remise en cause des plan initiaux
* m m
,,
 
'
 
Ê|* Ê ||Ê
† les composants dǯun actif sont traités séparément si :
ö durée utilité différente et valeur significative,
ö procurent des avantages à rythme différent,

† les pièces de rechanges spécifiques.

Conséquences : le résultat est impacté

ö plan dǯamortissement séparé,
ö P.R : ne sont plus des stocks et amorties au
même rythme
* m m
,,
 
'
 

Ê %
† le coût de lǯactif est diminué de la V.R si :
ö la V.R est significative
ö lǯestimation est fiable

Conséquences :
' a fiscalité ne pas connaît pas V.R
' Cumule des amortissement comptables < Cumule
amortissements selon linéaire
* m m
,,
 
'
 
  Ê +Ê|

† si valeur recouvrable < VNC

† valeur recouvrable est la plus élevée entre :

ö Prix de vente
ö valeur dǯutilité
Conséquences :
ö La P. Valeur modifie prospectivement la base dǯamortissements
ö Pour lǯadministration la perte de valeur est énoncée par :
- #
89 


 



 .
* m m
,,
 
'
 

Ê


   
 Ê



 

†Ú r
t>2
s
† s rt s l r cti l s

.
*,
 
-
m    
-,   

 

`',' %Ê|  |- %

`',','
  

 
  


† Notion contrôle des avantages économiques

futures,
† Notion de propriété,
† date dǯacquisition ou de mise en service.
*,
 
-
m    
-,   

 

`',' %Ê|  |- %

`','`' (



clairement définit par SCF mais pas par le code

des impôts direct Cf. art. 141 « ǥcoût de revientǥ. ».
*,
 
-
m    
-,   

 

`',' %Ê|  |- %

`','.' 



  
 
  (


† Coût de démantèlement,
† Dépenses ultérieures,
† Coût dǯemprunts et frais financiers.
*,
 
-
m    
-,   

 

`'`' |  *Ê$  | Ê|

† Frais préliminaires et étalement A/C 2010

(1ére application)
† Coûts de démantèlement, dǯenlèvement et de
restauration de site sont des coût à la valeur
actuelle et non nominale
† sort provision constatée pour démantèlement ?
† Implique amortissements supplémentaires
*,
 
-
m    
-,   

 

`'`' |  *Ê$  | Ê|

† Dépenses postérieures ( maintenance, entretien ǥ.)

ö Activées si avantages économiques

ö Modification du plan dǯamortissement
ö Coût résultant obligation démantèlement (activée)

Dispositions Fiscales : aucune

*,
 
-
m    
-,   

 

`'`' |  *Ê$  | Ê|

† Frais de recherche et développement

ö Activés si six critères sont satisfaits
ö Si non : charges

Úispositions Fiscales : aucune

*,
 
-
m    
-,   

 

`'`' |  *Ê$  | Ê|

† Actifs biologiques

ö Juste valeur (entrée et clôture)

Úispositions Fiscales : aucune

K*

m .
.','||
 Ê
† Évaluation postérieure des immobilisations

APRÈS COMPTABILISATION INITIALE, UNE IMMOBILISATION :

ö Est comptabilisée à son coût, moins les amortissements
et moins la perte de valeur
ö Peut être réévaluée : autre traitement (par catégorie)
Comment ?

† juste valeur † valeur marché

† Écart positif † capitaux propre
† 4cart négatif † résultat (perte de valeur!
K*

m .

.','||
 Ê

† Amortissement † base réévaluer
† Réévaluation positive † produit si elle compense
une réévaluation négative antérieurement portée
en charge,
† Si réévaluation fait apparaître perte valeur, elle est
imputée en priorité sur lǯécart inscrit en capitaux
propres.
Exception : pour les immobilisation incorporelles, il
faut un marché ACTIF.
 

m .
K*

m .
.','||
 Ê

CAS DES IMMEUBLES DE PLACEMENT

† Deux possibilités dǯévaluation

ö modèle coût amorti : absence marché ACTIF
ö modèle de la juste valeur : si marché ACTIF
l Écart † résultat

Úispositions Fiscales : aucune

K*

m .

3.1.NOTIONS JUSTE VALEUR

CAS DES INSTRUMENTS FINANCIERS :

Sont évalués : juste valeur, coût amorti et valeur marché

† juste valeur retenue :

ö titres de participation et créances rattachées

ö titres immobilisés activité portefeuille
l Écarts † capitaux propres
K*

m .
3.1.NOTIONS JUSTE VALEUR
† coût amorti retenu :
ö instruments financiers détenus jusquǯà échéance
ö soumis à test de dépréciation:
† l value = résultat (perte de valeur)
† + value = non constatée
† Valeur marché retenue : pour instruments financiers
et dérivés immédiatement négociables
† ' écarts = résultat
Úispositions Fiscales : aucune
K*

m .
3.2. VARIATION DES CAPITAUX PROPRE

Changement de méthode dǯestimation et corrections

dǯerreurs

† si significatifs
ö Disparition des comptes 69 et 79
ö ± values inscrites directement capitaux propres

† cette méthode implique:

ö résultat de lǯexercice nǯest pas impacté
ö base de lǯimpôt est assise dans la pratique sur le TCR
ö retraitement rétrospectif en pro forma des états
financiers
K*

m .

3.2. VARIATION DES CAPITAUX PROPRE

Úispositions Fiscales :

ö nécessité de clarifier la position administration

(risque fuite devant lǯIBS)

ö taxation immédiate ou étalée des différences

K*

m .

3.3. ACTUALISATION

Actualisation obligatoire si effet significatif sur :

† provisions : actualisation des dépenses

attendues pour éteindre lǯobligation

† les produits : la notion de C.A actuelle nǯexiste

pas dans le S.C.F en cas différé de paiement
K*

m .

3.3. ACTUALISATION

Actualisation obligatoire si effet significatif sur :

† le coût d¶entrée des immobilisations: si paiement

différé (écart : charge financière)
† la détermination des flux de trésorerie futures.

impact fiscalité
ö génère des charges et des produits
ö nécessité dǯune position de lǯadministration
K*

m .
3.4. contrat de location (crédit-
(crédit-bail)

† Implique
ö Comptabilisation dǯactif et de passif
ö Constatation amortissements
ö Constatation de charges financières et produits
financiers
ö Créances évaluées à la juste valeur (actualisation)
Impact fiscalité

ö Question non traitée par C.I.D

ö le crédit-bail implique prise en charge tous aspects
ö fait générateur de la T.V.A ? (transfert)
K*

m .

3.5. Évaluation postérieure des avantages aux

personnels

† congé payés
† prime de départ en retraite

Impact fiscalité

† Déductibles ou pas ?
 '*  


4.1. RECONNAISSANCE DES PRODUITS

† Contrats à L.T
ö Méthode de lǯavancement
† Produit (sauf si résultat ne peut être estimé de
façons fiable)
† Si total coût du contrat total produit =
provision
ö Méthode de lǯachèvement (autre traitement)
Impact fiscalité
† Méthode avancement non prévue par C.I.D;
† la provision pour perte terminaison ?
'*  


4.2. ÉVALUATION DES STOCKS

Au plus fiable de leur coût et valeur nette de réalisation

ö le coût est celui de clôture

ö valeur nette réalisation (prix vente moins le coût
dǯachèvement et commercialisation)
† perte de valeur éventuellement si coût valeur
nette.
Impact fiscale

† position pour le mode de détermination perte de valeur

† C.I.D ne prévoit ce niveau de précision
'*  



4.3.IMPOTS DIFFERES

En S.C.F : la charge dǯimpôts ou le produit IBS est égale :

† IBS exigible ou déficit
† ± lǯimpôt différé (créances et dettes dǯimpôts
diffères).

ö Lǯimpôt exigible : montant impôt payable

(bénéfice) ou récupérable (perte)

ö le passif dǯimpôt différé : montant IBS payable dans

futur
'*  



4.3.IMPOTS DIFFERES
È l¶actif d¶impôt différé : montant IBS recouvrable dans
futur
È les différés d¶impôts non aucune incidence sur l¶IBS
È sont enregistrés en charge ou produit par les comptes
capitaux propres

Impact fiscale

Afficher une position

'*  



4.4. PRÉSENTATION DES ÉTATS FINANCIERS

Présentation des états financiers :

† T.C.R par nature au choix

† T.C.R par fonction de lǯentité

Impact fiscale

† quel choix pour D.G.I

† si
par nature uniquement : retraitements
importants
'*  



4.4.PRÉSENTATION DES ÉTATS FINANCIERS

M.A.J liasse fiscale

† bilan du fait
Suppression, reclassement et rajouts
ö Frais préliminaires
ö Équipements sociaux
ö immobilisation financières
ö concessions ǥǥ

† T.C.R
Suppression (75, 78, 69, et 79)
o* 
 
 

 
/
 

Les actions qui devraient être lancées, par ordre

de priorité, sont les suivantes :

I - LA FORMATION AU NOUVEAU S.C.F

† V
FORMATIO G

RA

† V
FORMATIO SP
CIFIQV

† V
FORMATIO SVR
ÚISPOSITIF
R
G
M
TAIR
AM
Ú4
II - LA MISE EN PLACE DE GROUPES DE
REFLEXION.

III - IDENTIFICATION DES RESSOURCES DE

PRISE EN CHARGE
o* 
 
 

 
/
 

I - A FORMATIO AV OVV
AV S.C.F

† V
FORMATIO G

RA

C¶est une formation de recyclage et de mise à niveau

des connaissances pour leur permettre de
communiquer avec les contribuables (utiliser le même
langage) et limiter ainsi les risques de contentieux
inhérents aux incompréhensions et interprétations
compte tenu de l¶importance des concepts introduits et
des règles d¶évaluation par rapport au PC .
o* 
 
 

 
/
 

I - A FORMATIO AV OVV
AV S.C.F

† V
FORMATIO SP
CIFIQV

Après avoir reçu une formation générale au S.C.F

proprement, ces mêmes agents devraient avoir une
formation spécifique où il sera question de la mise en
évidence les connections fiscalité et comptabilité.
n fait
il est question de mettre en relief les divergences qui
résultent de l¶application de l¶ensemble des normes
introduites par le S.C.F et les dispositions
réglementaires actuelles d¶ordre fiscal.
o* 
 
 

 
/
 

I - A FORMATIO AV OVV
AV S.C.F

† V
FORMATIO SVR
ÚISPOSITIF

R
G
M
TAIR
AM
Ú

nfin cette dernière formation viendra couronner

les deux premières pour permettre aux agents de
connaître et surtout maîtriser l¶application du
dispositif fiscal par rapport aux normes comptables
du SCF lorsqu¶elles sont divergentes
o* 
 
 

 
/
 

II - A MIS

P AC
Ú
GROVP
S Ú
R
F
IO .

a Ú.G.I devrait installer des groupes de réflexion qui auront

pour mission :

È Arrêter les modalités de détermination des valeurs l¶entrée

È Arrêter modalités détermination évaluations postérieures
È Identifier incidences opérations inscrites capitaux propres
È Réfléchir modifications a apporter à l¶arsenal réglementaire
È Modifier la liasse fiscale
È
tc.
o* 
 
 

 
/
 

II - A MIS

P AC
Ú
GROVP
S Ú
R
F
IO .

Ces groupes de travail sont indispensables pour limiter les

risques de contentieux qui pourraient naître en cas de vide
dans le dispositif réglementaire de la ÚGI.

n effet, en l¶absence d¶une prise de position par rapport
aux nouvelles normes introduites par le SCF, les
contribuables seraient dans leur bon droit d¶opposer à
l¶administration le droit comptable (cas de l¶article 191
qui fait référence aux articles 9 et 11 du PC pour les
rejets de comptabilité)
o* 
 
 

 
/
 

III - IDENTIFICATION DES RESSOURCES DE

PRISE EN CHARGE
v La question de lǯidentification des moyens
humains de prise en charge de ces actions est
toute aussi importante que la formation elle-
même, pour la simple raison que la ressource
humaine constitue le principal vecteur de la
transmission des connaissances.

v En effet, le projet peut être porté soit par une

expertise propre à la DGI, soit par une expertise
nationale, soit par une expertise Étrangère en
partenariat avec lǯexpertise nationale.

m


m