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L’eau sous toutes ses formes est abondante sur terre (planète bleue) : elle représente 1380
Millions de Km3. L’essentiel est constitué d’eau de mer (97,2 %) et de glace (2,15 %) inutilisable
directement. L’eau douce, facilement disponible (lacs, fleuves, certaines eaux souterraines,…) ne
représente que 0,07 % de la ressource de la ressource totale, soit Un Million de kilomètre cube (1
Km3 = 1 Mds de m3). Autrement, « si on ramène la terre à la taille d’une orange, cette eau douce
aurait la dimension d’une tête d’épingle». Lothaire Zilliox.
La question est de savoir si cette quantité d’eau est suffisante pour satisfaire les besoins en
eau de l’humanité ?
10 pays se partage 60 % les réserves d’eau douce (Brésil, Russie, Chine, ..). Cette inégalité est
essentiellement liée au climat : « en Afrique quand il tombe 1000 ml, il s’en évapore 1500 ml. En
Europe pour 1000 ml, il en retourne autant dans l’atmosphère ». Lothaire Zilliox
Sur une base d’un quota par personne en eau douce, les disponibilités par pays varient de
600 000 m3 par an (Islande) à 75 m3 par personne et par an (Koweit). L’Amérique du nord se situe à
19 000 m3 par an et par personne, suivi de l’Asie (4 000 m3 ).
On dit qu’un pays est en difficulté d’eau quand le volume annuel d’eau disponible tombe au -
dessous de 1700 m3 par personne et par an. A des niveaux compris entre 1700 et 1000 m 3 par
personne et par an, on peut s’attendre à des pénuries d’eau périodiques ou limitées. Quant l’eau
disponible tombe au-dessous de 1000 m3 par personne, le pays a une pénurie chronique, qui menace
sa production alimentaire, entravant son développement économique et endommageant ses
écosystèmes.
personne et par an (1995). En l’an 2025, ce ratio serait de 313 m3 par personne et par an ». SNAT-
2025
Aujourd’hui 450 Millions de personnes dans 29 pays (localisés pour la plupart en Afrique du
Nord, au Moyen Orient et en Afrique Subsaharienne), sont confrontés à une pénurie chronique
d’eau. Cette proportion peut atteindre 2,5 Milliards de personnes en 2025, du fait de la pression
démographique de la population mondiale qui compte environ 6 Milliards d’individus.
Notons, que la population mondiale a triplé en 100 ans. Durant la même période les
consommations en eau ont été multipliées par 6. Si la moitié de cette augmentation est à mettre sur
le compte de la croissance démographique, l’autre moitié résulterait de l’inflation de la
consommation par habitant, liée à l’accroissement du bien-être social, au développement industriel
et au développement agricole.
Par ailleurs, l’accès à l’eau douce diminue par la part grandissante de la ressource polluée du fait
des rejets incontrôlés des pesticides et fertilisants, métaux lourds, …etc. L’expansion urbaine des
villes génère quant à lui une concentration spatiale d’effluents domestiques et industriels, ce qui
réduit le pouvoir tampon du milieu naturel.
Depuis longtemps, les autorités ont répondu au manque d’eau par une augmentation de l’offre :
construction de gigantesque réservoirs, grands réseaux d’adduction, réalisation de forages
profonds…L’idée a même germé de remorquer quelques icebergs…Puis on a pensé à la manière
dont nos stocks pouvaient être étendues, grâce à l’exploitation des sources d’eau non
conventionnelles : eau de mer, eau saumâtre, eaux usées,…etc.
Il est devenu techniquement possible de rendre potable n’importe quelle eau, mais à quel prix ?
Ainsi, la logique de « toujours plus d’eau » n’est plus durable. Cette politique de grands travaux est
devenue extrêmement coûteuse et a conduit à des surexploitations. …Il est temps de revoir notre
façon de gérer la ressource.
Il nous est apparu important, avant de se plonger dans la gestion de l’eau comme telle, de bien
cadrer la ‘’question de l’eau’’ et son évolution dans la pensée collective de ceux qui la font avancer,
et ce au gré de certains événements internationaux récents.
En effet, en moins de 20 ans, le débat sur l’eau est passé d’un débat technique, axé d’abord sur
l’évaluation des ressources disponibles et la répartition entre les usages dominants dite ‘’gestion de
l’offre’’, à une approche dite plus «intégrée» et impliquant un large éventail de domaines, dont des
aspects sociaux et politiques (gestion de la demande, incluant celle de la nature).
Cette reconnaissance de la valeur de l’eau sous ses multiples facettes est certainement un des
événements marquants de la fin du XXe siècle en matière de développement durable.
Plusieurs événements internationaux sont venus marquer l’évolution des idées en matière de gestion
des ressources en eau :
En 1977, la conférence de Mar del Plata lance le débat sur les enjeux de l’eau et propose
l’organisation d’une décennie de l’eau (1980-1990) ;
En 1992, lors de la conférence de Dublin, un certain nombre de principes déterminants sont
adoptés par la communauté internationale en matière d’utilisation durable des ressources en
eau :
L’eau est une ressource limitée et vulnérable qui est indispensable à la vie, au développement et
à l’environnement ;
La mise en valeur et la gestion de l’eau doivent avoir un caractère participatif et associer les
utilisateurs, les planificateurs et les décideurs à tous les niveaux ;
Les femmes jouent un rôle déterminant dans l’approvisionnement, la gestion et la préservation
de l’eau;
L’eau est utilisée à de multiples fins et a une valeur économique, et l’on doit donc la reconnaître
comme un bien économique.
Parmi, les principales idées développées par cette large consultation consacrée à «la Vision», trois
énoncés retiennent l’attention :
Le premier énoncé fait un constat : «Il existe aujourd’hui une crise de l’eau, mais cette crise
n’est pas due à son insuffisance à satisfaire nos besoins; elle résulte plutôt d’une si mauvaise
gestion de cette ressource que des milliards de personnes – et l’environnement – en souffrent
grandement » et qu’une partie de la solution de cette grave crise actuelle de l’eau réside donc
dans une « meilleure gestion de son utilisation».
Le second énoncé vise à la fois le développement durable des ressources en eau et la gestion
intégrée «La Vision prône un monde dans lequel la population a accès à des ressources en eau
saines et suffisantes pour satisfaire ses besoins, y compris sur le plan alimentaire, mais de
manière à maintenir l’intégrité des écosystèmes d’eau douce». Le but ultime du processus de
« la Vision » vise à sensibiliser l’opinion mondiale à la crise de l’eau par l’élaboration de
nouvelles politiques et de nouveaux cadres législatifs et institutionnels, afin de servir
efficacement, rentablement et équitablement les intérêts de l’humanité et de la planète.
Le troisième énoncé touche plus particulièrement le partage des rôles entre les divers niveaux
d’intervenants, de l’individu aux autorités publiques, en passant par celui des professionnels,
pour que le rôle et les comportements vis à vis de l’eau doivent changer afin que l’utilisation et
le développement des ressources en eau aient un caractère durable.
Les principaux enjeux qui peuvent s’avérer des «points tournants dans l’avenir de l’eau»,
dépendent de nombreuses tendances d’interdépendances au sein d’un système complexe, ce qui est
à l’origine de la démarche de gestion intégrée de l’eau, s’articulant sur trois (3) principes :
L’eau voyage sur la terre, sous la terre et dans l’atmosphère selon un cycle bien connu :
- Les nuages apportent des précipitations sous forme de pluie, de neige ou de grêle.
- L’eau ruisselle sur la terre. Une partie est captée par la végétation. Le restant alimente les
écoulements de surface ou va s’infiltrer dans le sous-sol pour rejoindre les nappes.
- L’eau de surface et des océans s’évapore sous l’action des rayons du soleil et se retrouve à l’état
gazeux dans l’atmosphère.
- La vapeur d’eau de l’atmosphère se condense en gouttelettes au contact des masses d’air froid, ce
qui entraîne la formation de nuages.
Les phénomènes invisibles :(1) : Évaporation: toute surface d’eau ; (2-3) : Absorption par les
racines des végétaux et évapotranspiration par les feuillages (4-6) : Vapeur d’eau (gaz) et transport
par les vents ; (5) : Énergie du cycle : Soleil.
Les phénomènes visibles : (A): Condensation (nuages, brouillards ;(B) : Précipitations (pluie, grêle,
neige) ;(C-D-E) : Fonte, ruissellement, infiltration ; (F) : Écoulements superficiels ou souterrains
L’eau et le climat sont donc intimement liés; il suffit d’une modification régionale à court terme du
cycle hydrologique de quelques jours, mois ou années pour entraîner une inondation ou une
sécheresse.
Dans l’environnement naturel, la majorité de l’eau est recyclée vers l’atmosphère (65%) par la
transpiration des arbres et un autre 25% s’infiltre dans le sol pour recharger les nappes souterraines.
Pour simplifier, chaque bassin versant est caractérisée par son régime d’écoulement. On calcule son
débit, généralement exprimé en mètres cubes par seconde (m3/s). Celui-ci est représentatif du
volume d’eau transporté par la rivière dans un temps donné. Il varie au cours des saisons.
Ce cycle de variations annuelles évoque le rythme d’une respiration naturelle. La rivière s’écoule
normalement dans son lit mineur, mais déborde quelques fois dans son lit moyen et, plus rarement,
dans son lit majeur. La limite de son lit majeur correspond à la «ligne des plus hautes eaux»
atteintes par la rivière lors de crues exceptionnelles.
Un bassin versant a des frontières naturelles, qui suivent la crête des montagnes «ligne de partage
des eaux». Les gouttes de pluies qui tombent sur un versant de la montagne vont rejoindre le cours
d’eau ou s’infiltrer dans la roche et former des réservoirs ou nappes souterraines. Il existe alors une
circulation souterraine des eaux.
La notion de qualité de l’eau varie en fonction de l’usage que l’on veut en faire: eau de boisson ou
de cuisson, irrigation, eau de procédé industriel, baignade, etc. Quel que soit l’emploi fait de l’eau,
il demeure essentiel que sa qualité soit préservée. Il s’agit de définir les conditions moyennes
caractéristiques de la plupart des eaux naturelles et salubres. Passé un certain seuil, l’eau sera
déclarée polluée.
« La pollution de l’eau est une modification néfaste des eaux causée par l’ajout de substances
susceptibles d’en changer la qualité, l’aspect esthétique et son utilisation à des fins humaines.
L’agent polluant peut être d’origine physique, chimique ou biologique, ayant provoqué une gêne,
une nuisance ou une contamination ». (Office international de l’eau, 2001).
De par sa qualité, une ressource en eau devra s’assurer que l’eau peut, satisfaire aussi bien les
besoins de l’homme que le maintien des fonctions naturelles de l’écosystème qui les abrite.
Pour assurer une sécurité hydrique pour tous les secteurs, il faudrait disposer entre 15 à 20 milliards
de m3 par an et ce, en réservant 70 % à l’agriculture, alors que l’Algérie ne mobilise que 5 milliards
de m3 par an. Les besoins en alimentation en eau potable seront multipliés par 2,5 environ en 25 ans
et ils représentent 40% des ressources mobilisables vers l’an 2025.
Dans le nord de l’Algérie, les ressources mobilisées totales sont destinées, à raison de 55,3% à
l’irrigation (2,1 milliards de m3), 34,2% à l’adduction d’eau potable (1,3 milliards de m3) et10,5%
à l’industrie (0,4 milliards de m3)
Selon des données du FAO et de l’ONU, l’Algerie est déjà considéré en pénurie avec seulement
500 mètres cubes d’eau par habitant et par an, contre 2.500 mètres cubes en 1960
Les ressources en eau dépendent évidemment du climat, à la fois dans leur répartition spatiale et
dans l’évaluation de leur bilan saisonnier ou annuel. Les eaux superficielles sont, pour leur plus
grande part, entraînées, par ruissellement et par écoulement torrentiels, vers la mer ou les
dépressions fermées ; la violence des précipitations, les fortes pentes, l’importance des terrains
imperméables, tels sont les principaux responsables de cette énorme déperdition.
Il s’y ajoute cependant une très forte évaporation, plus directement perceptible sur les nappes
d’eau stagnantes, eaux douces permanentes ou temporaires, ou les retenues artificielles des
barrages.
En Algérie, l’eau est une ressource de plus en plus précieuse. La concurrence que se livrent
l’agriculture, l’industrie, l’AEP, pour avoir accès à des disponibilités limitées en eau grève d’ores et
déjà des efforts de développement de nombreux pays.
La pluviométrie moyenne annuelle est évaluée entre 95 et 100 milliards de m3 dont seulement
plus de 80 milliards de m3 s’évaporent, 3 milliards de m3 s’infiltrent et 12.5 milliards de m3
s’écoulent dans les cours d’eau. Dans cette partie de l’Algérie, l’apport principal vient du
ruissèlement. Les eaux de surfaces sont stockées dans les barrages. En 2002, l’Algérie dispose de 52
grands barrages d’une capacité de 5.2 milliards de m3, donc le reste (7.3 milliards de m3) se
déverse directement dans la mer (figure 1.1).
Autrement dit la moitié même des eaux qui ruissèlent ne sont pas mobilisées.
Les potentialités en eaux souterraines directement exploitables sont évaluées, par les services
techniques de l’ANRH, à 1,8 milliards de m3 dans la région Nord. Ces ressources sont
relativement faciles à mobiliser et sont, aujourd’hui, exploitées à plus de 90 %.
Dans le sud, les ressources en eau souterraines sont beaucoup plus importantes et sont contenues
principalement dans des aquifères, qui s’étendent, pour certains, au delà même des frontières
algériennes : il s’agit des nappes du Continental Intercalaire (CI), et du Complexe
Terminal (CT).
Les potentialités hydriques des deux aquifères CT et CI sont évaluées à 4935 Hm3/an dont le
volume exploité est estimé à 1296.5 Hm3/an.
La nappe du continental intercalaire qui est la plus étendue et la plus profondes que celle du
complexe terminal, il couvre une superficie de plus de 10 millions de km2, répartie entre les
trois pays (Algérie–Tunisie et la Libye) (Rémini, 2005).
A part le dessalement de l’eau de mer au nord d’Algérie, il a été prévu la déminéralisation des eaux
saumâtres dans les hauts plateaux et le sud. Plusieurs stations de débit faible de traitement entre 100
et 200 m3/j existantes dans le sud, sont en exploitation par les collectivités locales et Sonatrach.
Réutilisation des eaux usées épurées
La mobilisation des eaux usées épurées, est très faible actuellement, le seul ouvrage existant est
celui situé à l’aval de la station d’épuration de Bordj Bou Arreridj d’une capacité de 2 500 m3/j
destiné à l’irrigation d’un périmètre de superficie près de 100ha.
La répartition des barrages sur les cinq bassins hydrographiques indiquent clairement que les
barrages de la région de Chéllif –Zahrez sont les barrages les plus menacés par le phénomène de
l’envasement (Remini, 2003).
Puisque le taux de sédimentation annuel est de 0,75% (figure 05). Ceci est dû à la forte érosion
des bassins versants de la région, favorisé par la nature des sols et l’absence de boisement. Même
pour les petits barrages, le taux de comblement évalué en 2002 dans le bassin hydrographique
Chellif –Zahrez est de 16% de lacapacité totale, il est beaucoup plus grand par rapport à celui des
autres régions (Remini et Hallouche, 2003)
Un milliard de m3 d’eau sur les 13 milliards de m3 stockés dans les 90 barrages du Maroc
s’évapore chaque année. Sur l’oued Ziz (Maroc), un barrage classique retient un grand volume
d’eau dont une partie (20 à 25%) est perdu par évaporation. L’évaporation des eaux du barrage
Monsour Ed-dahbi s’élève à 40millions de m3/an (Lahlou., 2000).
Le phénomène de l’évaporation des lacs des barrages en Algérie est considérable ; une perte de
volume très élevée est enregistrée annuellement dans les barrages. Les mesures de l’évaporation
refont à l’aide d’un bac Colorado installé à proximité de la retenue.
Nous avons représenté sur la figure (07), l’évolution du volume évaporé dans les retenues de
39barrages, d’une capacité de 3,8 milliards de m3 durant la période:1992-2002. Sur le même
graphe, nous avons illustré l’évolution de la consommation en A.E.P., l’irrigation et l’industrie
pour mieux montrer l’ampleur de l’évaporation.
Pour éviter de répercuter fatalement le déficit en eau d’ici l’an 2025, il faut mobiliser le
maximum des ressources superficielles et souterraines, cherchant de nouvelles ressources, lutter
contre les pertes et améliorer la qualité des eaux disponibles. C’est la qualité de l’eau qui est
devenue un problème crucial, carde puis une trentaine d’années, cette qualité est menacée par
les activités humaines.
Pour prolonger la durée de vie des grands barrages, l’entretien de ces ouvrages est devenu
aujourd’hui une nécessité pour les services d’hydraulique.
Nous pouvons déterminer les principaux moyens techniques de lutte contre l’envasement
utilisés actuellement dans les différents bassins versants et barrages algériens.
4. La technique de chasse
La technique de chasse consiste à évacuer une quantité des sédiments par l’ouverture des
vannes de vidange de fand a l’arrivé des crues.
Suite à la sécheresse de ces dernières années qui a provoqué un manque d’eau potable
dans la majorité de communes, un programme d’urgence a été élaboré par le gouvernement pour
palier au déficit des ressources en eau. Il s’agit de réaliser 21 stations de dessalement d’une
production de 57500 m3/j .
13. Lutte contre l’intrusion des eaux marines dans les aquifères côtiers :
On assiste ces vingt dernières années à une évolution spectaculaire des secteurs vulnérables
à l’intrusion le long du littoral suite à la sécheresse, au pompage anarchique de la nappe et à
l’extraction abusive du sable marin.
- Un mécanisme de gestion de la demande qui permet une réglementation et une allocation de l’eau
afin qu’elle soit utilisée plus efficacement en fixant des limites à la
distribution et à l’usage de l’eau ;
- Des instruments de changement social pour favoriser une société civile tournée vers l’eau et des
mécanismes de résolution des conflits afin de gérer les litiges en
garantissant le partage de l’eau ;
- Des instruments économiques afin d’utiliser la valeur et les prix de l’eau pour l’efficacité et
l’équité et des mécanismes de gestion des informations afin d’améliorer
les connaissances pour une meilleure gestion de l’eau.
Le législateur révèle les organismes qu'il juge nécessaires pour activer la stratégie de gestion des
eaux :
-Les schémas directeurs d’aménagement des ressources hydriques.
-Le plan national de l’eau.
-Les autorités : comme le conseil consultatif national qui apporte dans ses départements les conseils
locaux et les institutions publiques.
-Les règles d'exploitation de l'eau minérale naturelle et des eaux de source et sa protection.
Cours: Gestion des ressources hydriques. Responsable de la matière : Mr Ouadja.A
II-2-Structures de gestion et d’exploitation:
Du côté structurel, L'Algérie a travaillé sur l'attribution du ministère des ressources en eaux et une
administration centrale dans ce ministère.
-L’Algérienne des Eaux est aussi bien chargée de la maîtrise d’ouvrage et de la maîtrise d’œuvre
pour son propre compte et/ou par délégation pour le compte de
l’état ou des collectivités locales, la gestion de la concession du service public de l’eau accordée à
des personnes morales publiques ou privés.