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L’urbanisation, facteur clé de l’expansion tant économique que socio-culturel d’un état ou d’une
région est généralement cause de phénomène insalubrité et d’érosion incontrôlé transformant très
souvent zone en zone de précarité dont les accès sont impraticables suite à des constructions
anarchiques aux absence études d’ouvrage hydrologique ayant pour but assainissement de la zone.
Ces phénomènes sont plus accentuer dans des du littoral baigne dont les climats venant de la mer
baignent les cote une intensité pluviométrique supérieure au zone plus enfonce dans le continent et
dont l’aspect géologique est favorable au érosion cet dans le but d, apporte des solutions durables
que nous avons porté un mini projet dans la ville de douala plus précisément au quartier maképé.
L’objectif de notre travail dans cette zone est de mettre en place un système de réseaux
d’égout capacité d’évacuer tant les eaux pluviales que des eaux domestique avec des
conditions agréables (sans aucun problème, curage, débordement.)
Etude hydrologique
Etudes démographique
Etudes topographique
Évaluation des débits
Dimensionnement et Calcul Hydraulique
Les éléments du réseau d’égout
Devis estimatif
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Chapitre I : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUD
CHAPITRE I Présentation de la Zone d’étude
La prise de connaissance global du site étude est une étape très primordiale, indispensable dont toute
les étapes qui la suive sont fonction elles, les données majeur dans la présentation du site sont les
suivant .
Donnés géographique et cartographique de la zone,
Les données topographiques,
Les données démographiques,
Les données climatiques
I-1 DONNES GEOGRAPHIQUE ET CARTOGRAPHIQUE DE LA ZONE
Ici nous avons porté nos études sur une portion d’un quartier résidentiel de la ville de douala dénommé
MAKEPE, d’une superficie environs 35 hectares de forme parallélépipédique dont les limitations
géographiques du projet sont les suivantes :
Au Nord par la voie de circulation rondpoint MAKEPE a espace sportif parcours Vita ;
Au Sud par un cour d’eau servant de limite naturel entre les quartiers MAKEPE et MAKEPE
MISSOKE ;
À l'Est par un la vois de circulation n’allant de rond-point petit pays a la stations BOCOM
MAKEPE MISSOKE ;
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CHAPITRE I Présentation de la Zone d’étude
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CHAPITRE I Présentation de la Zone d’étude
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CHAPITRE I Présentation de la Zone d’étude
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CHAPITRE I Présentation de la Zone d’étude
Les talus importants doivent être maintenus par des murs de soutènements équipés d’un
système de drainage des eaux d’infiltration, afin d’éviter le déséquilibre des couches superficielles
en particulier aux endroits plastiques et humides.
Tab leau N° 1 : D if fér e nt s S eu ils d e P e nt es
Pentes Surface (ha) %
0% - 8% 87.76 85.46
8% - 15% 13.44 13.09
15% - 25% 01.02 01.00
La lecture de ce tableau nous permet de qualifier le terrain étudié comme un site d’une
Morphologie à pentes douces et moyennes où prédomine le seuil de pentes de 0% à 8% qui couvre
98.55% du terrain étudié.
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CHAPITRE I Présentation de la Zone d’étude
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B. Pluviométrie
Les précipitations sont un facteur très important dans l’établissement du bilan hydrique, elle joue un rôle primordial dans l’alimentation des
nappes aquifères et aussi dans le comportement hydrologique des cours d’eau.
L’influence océanique crée des conditions plus homogènes pour les nombres de jours pluvieux en région côtière où la plupart des stations
comptent autour de 220 jours de pluie par an. La région côtière du Cameroun est également connue pour le phénomène des pluies continues,
notamment au cours de la période de juillet à octobre. D’après les données pluviométriques issus de la climatologie au Cameroun nous avons
pour notre zone étude une pluviométrie moyenne de 4200 mm de pluies par an soit une pluviométrie mensuel de 555 mm sur une période de
10ans.
IV. Situation géologique
La ville de Douala se situe dans les séries sédimentaires côtières composées du bassin qui porte son nom
et du bassin de Campo. Ce bassin qui est encore dénommé « bassin sédimentaire de Douala », d'environ
7000 km² de superficie, est le plus vaste des bassins sédimentaires côtiers du Cameroun. La lithologie du
bassin se présente ainsi, du haut en bas :
- les sédiments du Quaternaire de type fluviaux-deltaïque, principalement des sables à matrice argileuse ;
- les sédiments du Tertiaire constitués essentiellement de formations argileuses ;
- les sédiments du Secondaire constitués de grès et d'argiles schisteuses.
Les sols sont de type ferralitiques sur les parties émergées et de type hydro morphes en bordure côtière.
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Présentation de la Zone d’étud e
V.1 Hydrologie
Le bassin de Seybouse est l’un des plus grands bassins hydrographiques en Algérie, sa
superficie est de l’ordre de 6471 km2. L’oued prend naissance dans les hautes plaines de Ain
Abid et Sedrata et se termine dans la mer Méditerranée au nord, après un parcours de 160
km.
La zone d’étude est située à l’aval de l’oued Seybouse, entre la ville de Drean et la mer
Méditerranée, elle s'étend sur une superficie de 200 km2 ; elle comprend deux oueds :
la basse vallée de l’oued Seybouse ;
l’oued Meboudja, le dernier affluent de l'oued Seybouse, qui constitue le collecteur
des eaux du lac Fetzara et draine une superficie de 203 km2.
Les deux oueds parcourent la nappe alluviale de la basse plaine de la Seybouse qui est
constituée par des formations sablo-argileuses de 2 à 20 m d’épaisseur avec une perméabilité
de l’ordre de 10-6 à 5.10-5 m.s-1 (in Kherici 1993) et une transmissivité de l’ordre de 2,4.10 -3 à
4,2.10-3 m2.s-1. Par contre au niveau du lit de l’oued, les formations sont constituées par des
matériaux alluvionnaires, des limons et des cailloux.
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Le débit de l’oued Seybouse varie entre 0 et 100 m3.s-1, mais pendant les périodes de
fortes averses il atteint des valeurs de l’ordre de 630 m3.s -1 (observées le 1/1/1985, selon
l’Agence Nationale des Ressources Hydrauliques d’Annaba (ANRH). Le débit de l'oued
Meboudja est moins important que celui de l'oued Seybouse (aucune station de jaugeage n'a
été installée au niveau de cet oued), une estimation de son débit par jaugeage au flotteur,
pendant la période du suivi (février – décembre 1999) a donné des valeurs qui varient entre 1 et
20 m3.s -1.
Cette nappe est fortement utilisée pour l’irrigation, l’industrie et l’alimentation en eau
potable.
Le calcul du bilan hydrologique selon la méthode de Thornthwaite pour l’année 1999,
montre qu’à partir d’une précipitation de 575 mm, seulement 14% s’infiltrent vers la nappe,
le reste partant sous forme d’évaporation (60%) et de ruissellement (26%).
La piézométrie de la nappe superficielle montre un écoulement convergent des
bordures vers le centre de la plaine. Après, il prend une direction S-N.
Par contre au niveau de la nappe des graviers, vu la limitation des forages et piézomètres
au voisinage de l’oued Seybouse, n’a pu être observée qu’une direction S-N dans la partie est
de la nappe.
V.3 Le réseau hydrographique d’Ain El Berda :
La partie montagneuse, à versants relativement raides, est sillonnée par un réseau
hydrographique dense et ramifié (Chaabets) à écoulement dense et temporaire. Ces
Chaabets convergent en aval pour former quatre oueds principaux :
L’Oued Munchar, situé à la limite occidentale de la commune. Il se dirige vers le Nord et
rejoint l’Oued El Hout, qui se jette dans le lac Fetzara au Nord-Ouest.
L’Oued Er Ressoul, qui occupe la partie centrale de la commune. Il reçoit deux
affluents à la hauteur de l’agglomération de Ain El Berda : l’Oued Guis et l’Oued El
Berda. Il se dirige ensuite vers le Nord, pour rejoindre l’Oued mebouja.
L’Oued Kranga, qui occupe la périphérie orientale de la commune. Il prend sa source
au niveau des versants Nord des monts de Guelma, se dirige ensuite vers le Nord Est et
se jette dans l’Oued Sebouse.
L’Oued Bou Athout. Ses affluents principaux, l’Oued Nechem et l’Oued Mekrane,
drainent une partie des versants du Djebel Hadjar Nahla à 203 m d’altitude et Djebel
Ouast qui culminé à 347 m d’altitude. Il se jette dans l’Oued meboudja, à la hauteur
du complexe sidérurgique d’El Hadjar.
VI. Situation Géotechnique
La reconnaissance géologique et géotechnique des sols constitue une donnée
fondamentale pour le choix et la conception des infrastructures de toute construction.
Elle permettrait de se prémunir des éventuels risques de désordres occasionnés par
des terrassements excessifs ou des affaissements et des glissements de terrains dans le cas
de fondations non adaptés aux contraintes locales des sols.
Cependant, la présente classification géotechnique qui est basée uniquement sur la nature
géologique et la déclivité des pentes ne constitue qu’une approche préliminaire. Des études
ponctuelles basées sur les sondages et les essais de laboratoire sont obligatoires pour cette
étude de maitrise d'œuvre.
Le terrain est différencie en trois zones de constructibilité.
VI.1 Zone favorable à la construction
Le terrain de cette zone est composé par les argiles de Numidie à blocs de grés et les
alluvions limono-sableuses et caillouteuses à pentes douces à moyennes (≤ 15 %). Les sols
possèdent des portances variables selon leur état physico-mécanique et hydrique ; les
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limons
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Présentation de la Zone d’étud e
sableux et graveleux offrent de bons sols de fondation par contre les argiles sont plastique et
compressibles à l’état humide.
Cependant le terrain permet en général l’implantation de constructions sur des fondations
superficielles.
VI.2 Zone moyennement favorable à la construction
Le terrain est composé par les argiles de Numidie à blocs et bancs de grés à pentes
assez raides comprises entre 15% et 25 %.
Les sols sont assez portants et stables à l’état sec mais peu portants à l’état humide ou
les terrassements importants peuvent provoquer des glissements superficiels d’où la
nécessité du drainage des eaux superficielles et souterrains.
Le terrain permet encore l’implantation de constructions sur des fondations superficielles.
VI.3 Zone Défavorable à la construction
Cette zone est partagée en deux sous zones :
C1 : les sols argileux de classe B dont les pentes sont raides (supérieures à 25%) ;
les terrassements importants présentent de grands risques de glissements de terrain.
C2 : les sols rocheux très compacts : les terrassements sont très onéreux et difficiles
à
réaliser qui nécessitent l’emploi des explosifs et des engins de brise
roche.
VII. La Séismicité
Le Violant séisme du 21 mai 2003 de Boumerdes, par son intensité, les dégâts matériels
et les pertes Humaines ont donné à réfléchir aux spécialistes. Pour cela une version du RPA
99-
2003 Dite a Cour Terme
Sous le sigle de ADDENDA du DTR –BC2 48 (document technique réglementaire) a
été adoptée et qui définit un nouveau zonage du territoire National
Cinq Zones sont définies en fonction de leur sismicité croissante.
Zone O : sismicité négligeable
Zone I : sismicité Faible
Zone II : II-a et II-b : Sismicité Moyenne
Zone III : Sismicité élevée
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Figure N°8 : Zonage sismique de l’Algérie (RPA 2003)
La wilaya d’ANNABA est située dans la zone sismique II-a et II-b de Moyenne
Sismicité
Conclusion
Ce chapitre qui concerne la collecte des données pour notre projet, nous a permis d’avoir
une situation plus claire pour proposer une variante adéquate du système d’assainissement
afin d’évacuer les rejets de notre Parc industriel. Ces données nous permettent ainsi de
calculer tous les débits de base, qui serviront de base pour le dimensionnement de tous les
ouvrages nécessaires au bon fonctionnement de notre système projeté.
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Chapitre II :
CHAPITRE II Etude Hydrologique
Introduction
L’étude hydrologique est indispensable pour toute mise en œuvre des projets,
d’Assainissement, de drainage, d’Irrigation, de Barrages et de navigation fluviale.
Dans le domaine d’Assainissement ; le but principal de cette étude est de déterminer
l’intensité moyenne maximale d’après l’étude des averses qui revêt une importante capitale
en Hydrologie dont l’intérêt est d’évaluer la quantité des eaux pluviales pour un bassin
versant donné.
On est contraint de passer par certaines étapes qui seront illustrées ultérieurement. A
cette fin, on définit les notions et les termes suivants :
I. Analyse des données pluviométriques
I.1. Pluie moyenne annuelle
L’analyse des pluies est basée sur les relevés pluviométriques effectués dans un certain
nombre de stations sur une surface topographique considérée. Elle est basée sur l’hypothèse
que la pluie tombée à une station soit représentative de celle tombée tout autour de cette
station sur une étendue plus ou moins large selon la densité du réseau que l’on appelle zone
d’influence du pluviomètre.
En général, l’analyse des données disponibles est le premier pas à franchir dans l’étude
d’un projet d’assainissement. Pour cela on a besoin d’une série pluviométrique qui comporte
les précipitations maximales journalières pour la période la plus longue possible.
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III. Calcul de l’intensité de la pluie de durée de 15 minutes et de période de retour de 10
I = 160mm/h
Chapitre III :
Introduction :
Dans l’étude d’un projet d’Assainissement, il est nécessaire de définir tous les paramètres
et la
Méthodologie à suivre pour effectuer cette étude.
Il est indispensable de prendre en considération la surface d’influence et sa pente,
ainsi que les systèmes d’évacuation, leurs schémas et les coefficients caractérisant cette
surface, pour avoir une meilleure estimation des débits à évacuer dans des conditions
d’écoulement favorables.
Dans cette partie, on va s’intéresser aux éléments de base qui sont nécessaires pour le
dimensionnement du réseau appelé à assurer l’évacuation des eaux pluviales et domestique
de ladite zone étudier sans qu’il y ait de débordement. Le système et le schéma de réseau,
le nombre de sous bassins adoptés et le coefficient de ruissellement correspondant feront
également l’objet de ce chapitre.
Evaluation des débits d’eaux
Découpage de l’aire d’étude en sous bassins élémentaires
En général, le bassin versant est un secteur géographique qui est limité par les
lignes de crête ou par les lignes de partage des eaux.
Toutes les eaux qui ruissellent en surface sont recueillies par une seule ligne d’écoulement.
Donc, le découpage du site en sous bassins élémentaires doit être fait selon :
L a nature des sols
L e s courbes de niveaux ;
L e s limites naturelles ;
Pour notre projet le découpage de la zone à étudier c’est fait suivant les vois de
lotissement existant
L’établissement d u r é s e a u d ’ u n e a g g l o m é r a t i o n d o i t r é p o n d r e a u x
Préoccupation majeur, à savoir :
Assurer l’évacuation des eaux usées ménagères, les eaux vannes, ainsi que
les eaux résiduaires industrielles. Il est permis d’imaginer un ou plusieurs réseaux de
canalisations où l’effluent s’écoule généralement gravitaire.
Trois systèmes d’évacuation susceptibles d’être mis en service sont :
Système unitaire
Système séparatif
Système pseudo séparatif
I.
. Système unitaire
Dans les quels un seul collecteur assure le transport des eaux usées et des eaux
pluviales. En principe, toutes les eaux arrivent à la station d'épuration qui reçoit
alors un effluent de quantité et de qualité très variables. Pour éviter cela, des
ouvrages de déviation sont répartis sur le réseau pour permettre à la station de ne pas
recevoir un débit supérieur à sa capacité. Ce système est intéressant par sa simplicité
puisqu’ il suffit d’une canalisation unique dans chaque voie publique et d’un seul
branchement pour chaque immeuble. Dans le cas où la population est relativement
dense et si le terrain accuse des dénivellations assez marquées pour qu’une évacuation
gravitaire soit possible, le système unitaire est recommandé.
Système séparatif
Réseau Pluvial : il est conçu pour évacuer les eaux d’origine pluviale, c’est à dire les
pointes pluviales, il suit la ligne de plus grande pente. Il transite l’eau vers les cours d’eau
les plus proches.
Réseau d’Eaux Usées : il est prévu pour l’évacuation des eaux usées d’origine domestique
et industrielle jusqu’à la station d’épuration avec une pente qui peut être faible.
Le tracé des collecteurs n’est obligatoirement pas le même, ce qui est le cas la plupart du
temps. Le tracé du réseau d’eaux usées est en fonction de l’implantation des différentes entités
qu’il dessert en suivant les routes existantes. Ce réseau ne demande pas de grandes pentes vu que
les sections ne sont pas trop importantes.
Le réseau prend fin obligatoirement à la station d’épuration qui se trouve en général à la
sortie de l’agglomération.
Par contre le tracé du réseau d’eaux pluviales dépend de l’implantation des espaces
producteurs du ruissellement des eaux pluviales sont rejetées directement dans le cours d’eau le
Plus proche naturel soit-il ou artificiel.
Domaine d'utilisation Avantages Inconvénients Contraintes d'exploitation
privilégié -
- petites et diminution - encombrement
du - Surveillance accrue des
moyennes important du sous-sol
Diamètre moyen branchements ;
agglomérations
; du réseau de - coût
collecte des eaux d'investissement
usées élevé - entretien d'un linéaire
- extension des villes ; - risque important important de collecteurs (eaux
- exploitation plus
facile de la station d'erreur de usées et pluviales) ;
d'épuration branchement.
- entretien des ouvrages
- meilleure particuliers
- faible débit d'étiage du préservation de
cours d'eau récepteur. (syphons, chasses d'eau,
l'environnement des avaloirs) ;
flux polluants
domestiques - entretien des postes de
- certains coûts relèvement et des chambres à
d'exploitation sables ;
sont limités
(relevage des - détection et localisation des
effluents anomalies (inversion de
notamment). branchement, arrivée d'eaux
parasites, passage caméra).
Le système pseudo séparatif est un système dans lequel on divise les apports d’eaux
Pluviales en deux parties :
L’une provenant uniquement des surfaces de voirie qui s’écoule par des
ouvrages particuliers des services de la voirie municipale : caniveaux aqueducs, fossés avec
évacuation directe dans la nature
L’autre p r o v e n a n t des toitures et cours intérieures qui sont
r a c c o r d é e s a u r é s e a u d’assainissement à l’aide des mêmes branchements que ceux des
eaux usées domestiques. On recoupe ainsi les évacuations des eaux d’un même immeuble.
L’objectif de cette étude étant assainissement d’un bloc du quartier maképé on a dont orienté notre
Dans les réseaux d’assainissement l’écoulement est en général, gravitaire, sauf dans des
cas particuliers, ils sont en fonction du relief et de la topographie, on distingue quatre schémas
d’évacuation.
On adopte ce type de schéma quand il y’a obligation de traitement des eaux usées, ou
toutes les eaux sont acheminées vers un seul point dans la mesure du possible.
Ce schéma est tracé pour augmenter la pente du collecteur quand celle de la rivière n’est
pas suffisante afin de profiter de la pente du terrain vers la rivière.
Lorsqu'on veut éviter de rendre notre réseau en charge, et lorsque notre agglomération est
étendue et notre pente est assez faible, il est nécessaire d’effectuer l’assainissement à plusieurs
niveaux.
Figure III.N°4 : Schéma à Collecteur Etagé
Si notre agglomération est sur un terrain plat, il faut donner une pente aux collecteurs en
faisant varier la profondeur de la tranchée, vers un bassin de collecte par la suite un relevage
Est nécessaire au niveau ou à partir du bassin vers la station d’épuration.
Le coefficient de ruissellement d’une surface donnée est défini comme étant le rapport du
volume d’eau qui ruisselle sur le volume tombé sur le bassin considéré. Il a un rôle prépondérant dans
l’évaluation des débits de pointes pluviaux qui servent au dimensionnement du réseau.
Ce coefficient a la possibilité de faire varier le débit d’eau pluviale du simple au double, c’est
pour cela que lors du découpage des sous bassins il faut que ces derniers soient aussi homogènes
que possible, pour minimiser les erreurs commises sur l’évaluation du coefficient de ruissellement.
La valeur du coefficient de ruissellement varie de 0,05 à 1, elle dépend de plusieurs facteurs :
La nature du sol.
La pente du terrain.
Le mode d’occupation du sol.
La densité de la population.
La durée de pluie.
L’humidité de l’air et du sol.
III.7.1. Evaluation du coefficient de ruissellement
Pour le cas de notre projet, le coefficient de ruissellement est estimé en fonction des surfaces
drainées en tenant compte la densité des habitats.
Le coefficient de ruissellement augmente avec l’accroissement de la population car on aura une
augmentation d e la s u r f a c e c o u v e r t e p a r r a p p o r t à c e l l e p e r m é a b l e . Ce q u i d o n n e u n
ruissellement important
Catégorie d’urbanisation Cr
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Habitations très denses 0.90
Habitations denses 0.60 – 0.70
Habitations moins denses 0.40 – 0.50
Quartiers résidentiels 0.20 – 0.30
Square – garde – prairie 0.05 – 0.20
Le but principal de l’évaluation des débits des eaux usées est de connaître la quantité et la
Qualité des rejets liquides provenant des habitations et lieux d’activités.
Comme ces eaux ont une composition qui peut être source de maladies à transmission
hydrique (choléra fièvre typhoïde ; fièvre paratyphoïde ; dysenterie ; diarrhées infectieuses), il
faut les évacuer le plus tôt possible et par le moyen le plus sûr.
La nature des matières polluantes contenues dans l’effluent dépend de l’origine de ces eaux
Usées.
On distingue :
Ce sont des eaux qui trouvent leur origine à partir des habitations de l’agglomération,
Elles sont constituées essentiellement des eaux ménagères et des eaux des vannes.
les eaux ménagères englobent les eaux des vaisselles, de lavage, de bain et de douche.
les eaux des vannes englobent les eaux provenant des sanitaires.
Ces eaux ici seront le sujet principal du calcul de nos conduit assainissement domestique
La quantité des eaux évacuées par les industries dépend de plusieurs facteurs :
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Mis à part la quantité à évacuer, il y a toujours certains paramètres à prendre
en considération à savoir :
. Quantités à évacuer
La quantité des eaux à évacuer dépend des normes de consommation en eaux potable
et qui à leur tour dépendent de :
Les eaux usées du service public proviennent essentiellement du lavage des espaces
publics et pour éteindre les incendies. Ces eaux sont généralement chargées de matières grasses.
Les autres besoins publics seront pris en compte avec les besoins domestiques.
L’évacuation quantitative des rejets est fonction du type de l’agglomération ainsi que le
mode d’occupation du sol. Plus l’agglomération est urbanisée, plus la proportion d’eau
rejetée est élevée.
Pour calculer le débit des eaux usées à évacuer, nous prendrons comme base une
dotation d’eau potable de 150 l/j hab., et nous considérons que les 80% de l’eau consommée
sont rejetées comme eaux usées dans le réseau d’évacuation.
51
Calcul du nombre d’habitants de la zone du projet
Evaluation du nombre habitant c’est fait par une campagne de comptage sommaire majoré d’un
coefficient accroissement dans le temps de notre population
Nombre habitant suite au comptage a étés évaluer à 13500 hab.
La va valeur exact retenue cour le calcul de notre débit a étés la valeur nominale du nombre habitant
multiplier par le coefficient accroissement sur 10 ans de la population de douala
Ce coefficient fournit par la communauté urbaine de douala est de 6,4%
La base de calcul de ce débit est la consommation en eau potable, à laquelle on ajoute un coefficient
de rejet Kr
Qmoy = = =0,01995m3/S
Qmoy=0,01995m3/S
Avec :
Qmoy: Débit d’eau usée rejetée quotidiennement (l/s).
Kr : Coefficient de rejet, on estime que 80% de l’eau potable consommée est rejetée.
D : Dotation journalière en eau potable, estimée à 0,150 m3/j/ hab.
N : Nombre d’habitants total, N = 14364 habitants.
. Evaluation du débit de pointe
Le régime du rejet est conditionné par le train de vie des citadins, ce qui nous donne des
heures ou on a un pic et des heures creuses où le débit est presque nul (la nuit).
Avec :
Kp : coefficient de pointe.
La consommation moyenne journalière de notre zone d’étude est égale 19,95 (l/s) ce qui est
Supérieure à 2,8 (Qmoy > 2,8 (l/s) alors le Kpse calcul par la formule suivante :
Kp=1,5+
Kp=1,5+ =2,059
D’où le volume d’eau domestique rejeter est de
Q pte = 2,059.x0,01995 = 0 , 0 4 1 m 3
Q pte = 0,041m 3
D=1,5483x
AN : D=1,5483x
D=500mm
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n = coefficient de Manning=75
Pm=pente moyenne=0,028
D=diamètres du tronçon en mm
Calcul de l’aire de la section
A=
A= 0,19625m2
Calcul de la vitesse moyenne
V=
V= V=
V=0,1m/s
C’est une méthode qui consiste à estimer le débit à partir d’un découpage du bassin versant
en secteurs limités par les lignes isochrones, cette méthode fut découverte en 1889, mais ce n’est
qu’en 1906 qu’elle a été généralsé, elle est connue aussi par la méthode de LIOYD DAVIS,
c’est une méthode qui a fait et fait ses preuves surtout pour les bassins urbains a faible surface
( 10 ha).
Elle consiste à estimer les débits pluviaux suite à une averse d’intensité moyenne « i »
Supposée constante durant la chute de pluie sur des surfaces d’influence de superficie « A »,
caractérisée par un coefficient de ruissellement « Cr ».
55
ales
L’intensité de l’averse en mm/h est uniforme, dans le temps et dans l’espace, sur
l’ensemble du bassin drainé .
Cette méthode est utilisée pour les surfaces limitées (généralement inférieures à 10 ha) le
résultat est encore plus fiable du fait de la bonne estimation du coefficient de ruissellement, ainsi
elle est applicable pour des zones ou le temps de concentration ne dépasse pas 30 minutes. Par
contre, elle n’est pas susceptible d’être utilisée que pour les zones étendues, car les calculs
deviendraient fastidieux.
Tableau : Domaines de validité de la méthode rationnelle
. Temps de concentration
C’est une caractéristique d’un bassin, définie comme étant le temps mis par la pluie
tombée au point le plus éloigné en durée de l’écoulement, pour atteindre l’entrée du collecteur
qui doit évacuer l’apport de l’aire considérée.
0.77 -.0385
Pour Bassin versant sans réseaux : Tc1 = 0. 0195.L .I
Pour B.V avec réseaux : Tc = Tc1 + Tc2
0.77 -.0385
Tc1 = 0. 0195.L .I
Avec :
C’est une méthode globale de calcul du débit maximum correspondant à une période de
retour donnée, à l’exutoire d’un bassin versant urbain.
. Coefficient d’allongement
Le coefficient d’allongement d’un sous bassin est définie comme étant le rapport du
plus long parcourt hydraulique (L) par le coté du carré ayant une surface équivalente à celle du
Bassin en question, d’où on a :
L
M
A
Avec :
La pente moyenne d’un sou bassin est prise généralement égale à la pente moyenne du
Collecteur qui le dessert.
Quand le parcours de l’eau ruisselante ne présente pas de déclivité, la pente serra calculée
Comme étant le rapport entre la différence des cotes amont et aval sur la longueur de ce parcours.
57
ales
Cam Cav
I (m/m)
L
Evalution des débits d’eaux usées et pluviales
Avec :
Tableau: Détermination des paramètres équivalents dans le cas de l’assemblage des bassins
versants en série ou en parallèle
Paramètres
N
Ci A i
2
N
Bassins
i 1N Li N
Ai Ni 1
Li
Li
( Ii )
i 1
En série N
Ai i 1
N
i 1
Ai
i 1
i 1
N
Ci A i
2
N IiQi
Bassins N L(Q pjMAX )
Ai N
i 1
i 1N
En parallèle i 1
i 1 Qi A
N
i 1 i
i 1
59
Le coefficient de ruissellement supérieur à 20 % ;
Le coefficient d’allongement M ≥ 0.8 ;
De façon plus qualitative ; la méthode de Caquot ne s’applique correctement qu’à des
bassins v e r s a n t s urbains, h o m o g è n e s , é q u i p é d ’ u n r é s e a u d ’ A s s a i n i s s e m e n t
c o r r e c t e m e n t dimensionné, sans ouvrages spéciaux (Particulièrement de stockage), et
fonctionnant à surface libre.
. Choix de la méthode
Temps de concentration
C'est une caractéristique du bassin, définie comme étant le temps mis par la pluie tombée au
point le plus éloigné en durée de l'écoulement, pour atteindre 1'entrée du collecteur qui doit
évacuer 1'apport de la surface considérée.
Pour notre agglomération, il s’agit d'un bassin versant urbanisé qui doit comporter des
Canalisations d'évacuation.
Le calcul du débit et du diamètre théorique du collecteur de fera par les formules suivantes :
Calcul du Débit orage brute
61
Q=1,4 3xPm0,29xCr1,20xA0,75
Avec :
Q : débit d’eau de ruissellement brute en
m3/s
Cr : coefficient de ruissellement
Qp=2,70x10-3xCrxAxI
Avec :
A=surface du bassin
I=intensité de la pluie
Cr=coefficient de ruissellement
Calcul du Débit corriger
Qc=m x Qp
Le calcul du coefficient de correction s’effectue suivant la formule si
dessous
M= et m= avec X=0,5979
Ces calculs ont été programmés dans le tableur Excel et sont consigné
sans le tableau ci-dessous
intensité Longueur
surface
de la débit Orage débit de suivant la Débit
N°SB en ha Pente Cr M coéf m
pluie brute pointe direction corriger
(A)
I( m/h) du bassin
144 1,34003997 0,59915867
1 1,38 0,16 0,0138889 0,75 0,372986012 0,44712 1,2258094
116 1,35960569 0,41408151
2 0,94 0,16 0,0086207 0,75 0,243535781 0,30456 1,19644865
52,7 2,26516346 0,78528687
3 1,07 0,16 0,0189753 0,75 0,337382145 0,34668 0,50947013
0,017762 56,3 1,57222066 0,18338382
4 0,36 0,16 0,75 0,146214038 0,11664 0,93833333
63
87,8 1,19527987 0,13554474
5 0,35 0,16 0,0113895 0,75 0,12584818 0,1134 1,48409087
6 0,98 0,16 0,0435256 0,75 0,401850956 0,31752 91,9 0,92833019 1,58232804 0,5024208
7 0,85 0,16 0,04944376 0,75 0,374771088 0,2754 80,9 0,8774837 1,6365271 0,45069956
8 0,53 0,16 0,013947 0,75 0,182186372 0,17172 71,7 0,98487524 1,52736629 0,26227934
9 0,72 0,16 0,013947 0,75 0,229249479 0,23328 71,7 0,8449926 1,6738652 0,39047927
10 0,31 0,16 0,041841 0,75 0,167569672 0,10044 71,7 1,28777002 1,30110849 0,13068334
11 0,44 0,16 0,02083333 0,75 0,17800782 0,14256 48 0,72362723 1,8364617 0,26180598
12 1,04 0,16 0 0,75 0 0,33696 59,7 0,58540666 2,08460079 0,70242708
13 0,41 0,16 0 0,75 0 0,13284 50,2 0,78399228 1,75055926 0,23254429
14 0,34 0,16 0,01992032 0,75 0,144815374 0,11016 99,7 1,70984089 1,09825104 0,12098333
15 0,32 0,16 0,01003009 0,75 0,113409762 0,10368 98,8 1,74655375 1,08438935 0,11242949
16 0,26 0,16 0,02024291 0,75 0,118975823 0,08424 103 2,01999619 0,99406948 0,08374041
17 0,22 0,16 0,01941748 0,75 0,103705669 0,07128 109 2,32388781 0,91416753 0,06516186
18 0,22 0,16 0,00917431 0,75 0,083439723 0,07128 83,2 1,77382996 1,07438852 0,07658241
19 0,98 0,16 0,01201923 0,75 0,27668992 0,31752 51,2 0,5171981 2,24486568 0,71278975
20 0,23 0,16 0,01953125 0,75 0,10740318 0,07452 138 2,87749891 0,80452708 0,05995336
21 0,23 0,16 0,00724638 0,75 0,080563913 0,07452 139 2,89835036 0,80106143 0,0596951
22 0,84 0,16 0,02158273 0,75 0,292085412 0,27216 98 1,06926766 1,45410262 0,39574857
23 0,57 0,16 0,02040816 0,75 0,214861603 0,18468 75 0,99339927 1,51951675 0,28062435
24 0,65 0,16 0,02666667 0,75 0,25622737 0,2106 75,8 0,94018329 1,57037027 0,33071998
25 0,91 0,16 0,01319261 0,75 0,268897341 0,29484 83,6 0,87636612 1,63777458 0,48288146
26 0,66 0,16 0,01196172 0,75 0,205412874 0,21384 83,7 1,03027578 1,48676025 0,31792881
27 0,72 0,16 0,02389486 0,75 0,26798916 0,23328 64,6 0,7613183 1,78154732 0,41559936
28 0,21 0,16 0,01547988 0,75 0,093779222 0,06804 141 3,07687225 0,77293894 0,05259077
29 0,88 0,16 0,0212766 0,75 0,301205712 0,28512 111 1,18326398 1,36864344 0,39022762
30 0,69 0,16 0,01801802 0,75 0,239167091 0,22356 115 1,38443731 1,2460014 0,27855607
31 0,34 0,16 0,04347826 0,75 0,181600762 0,11016 115 1,97223373 1,00839392 0,11108467
32 0,46 0,16 0,03478261 0,75 0,213536911 0,14904 109 1,60711732 1,13969852 0,16986067
33 0,6 0,16 0,02752294 0,75 0,243519919 0,1944 111 1,43300384 1,22057801 0,23728037
34 0,32 0,16 0,00900901 0,75 0,109933078 0,10368 108 1,90918831 1,02817338 0,10660102
35 0,25 0,16 0,00925926 0,75 0,092081351 0,081 101 2,02 0,99406836 0,08051954
36 0,59 0,16 0,01980198 0,75 0,218571766 0,19116 99 1,28887022 1,30044431 0,24859294
37 0,51 0,16 0,01010101 0,75 0,161195524 0,16524 157 2,19843973 0,94500811 0,15615314
38 0,32 0,16 0,00636943 0,75 0,099417126 0,10368 17,5 0,30935922 3,05237559 0,3164703
39 0,71 0,16 0 0,75 0 0,23004 174 2,06500009 0,98105899 0,22568281
40 0,67 0,16 0,00574713 0,75 0,167960227 0,21708 104 1,27056222 1,31161587 0,28472557
41 0,81 0,16 0,03846154 0,75 0,33607101 0,26244 103 1,14444444 1,39621421 0,36642246
42 0,78 0,16 0,01941748 0,75 0,267951651 0,25272 170 1,92487096 1,02315659 0,25857213
43 0,65 0,16 0,02352941 0,75 0,247093756 0,2106 79 0,9798744 1,53202215 0,32264386
44 0,68 0,16 0,02531646 0,75 0,261082704 0,22032 91,1 1,10474977 1,4259961 0,31417546
45 0,84 0,16 0,01097695 0,75 0,240081506 0,27216 92 1,0038023 1,51008149 0,41098378
46 0,09 0,16 0,02173913 0,75 0,054814021 0,02916 95,9 3,19666667 0,75548751 0,02203002
47 0,55 0,16 0,05213764 0,75 0,274571507 0,1782 176 2,37318352 0,90276609 0,16087292
48 0,81 0,16 0,0113636 0,75 0,235978774 0,26244 95 1,05555556 1,46536727 0,38457099
49 0,91 0,16 0,0210526 0,75 0,307928057 0,29484 127 1,33132174 1,27548987 0,37606543
50 1,9 0,16 0,01547988 0,75 0,489223551 0,6156 96 0,6964572 1,87896743 1,15669235
51 0,43 0,16 0,0212766 0,75 0,176036426 0,13932 72 1,09798971 1,43123889 0,1994002
52 0,5 0,16 0,01801802 0,75 0,187841741 0,162 45 0,6363961 1,98306594 0,32125668
53 0,58 0,16 0,04347826 0,75 0,271068763 0,18792 67 0,8797531 1,63400172 0,3070616
54 0,56 0,16 0,03478261 0,75 0,247483131 0,18144 66 0,8819621 1,63155353 0,29602907
55 1,11 0,16 0,02752294 0,75 0,386289841 0,35964 91 0,86373378 1,6520542 0,59414477
volume total en tete d'egout 11,39956379 11,10672 500 0,89087081 1,62177876 18,0126426
Dth=
Avec :
n : coefficient de Manning caractérisant le matériau de la conduite
Qmoy : débit moyen corriger
I : La pente de la conduite.
Le calcul de nos diamètres a été fait avec le programme Excel et figure dans le tableau si dessus
A la suite du calcul du diamètre théorique de nos égouts il est question de recalculer le débit a
plaine section
Vps= .n.Pm.
Avec
n = coefficient de Manning Strickler
Pm= pente moyenne
Dc=diamètre de la conduite
Rq=
Condition 2:
Vmin> 0.60 m/s pour (QPS / 10) Qmin
Vmin> 0.30 m/s pour (QPS / 100) Qmin
67
Ces calculs ont été programmés dans le tableur Excel et sont
consigné sans le tableau ci-dessous
calcul du
vitesse en
diamètre diamètre calcul du
section V (m/s) H vérification
théorique commercial débit QPs
pleine
Dth
0,564324229 0,6 2,31345561 1,867253472 2,12866896 0,48 supérieure ou égal a 1
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1,5 m. La longueur utile ne doit pas être supérieure à 2m.
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. Conduites en chlorure de polyvinyle (P.V.C) non plastifié :
Les tuyaux sont sensibles à l'effet de température au-dessous de 0°C. Ils présentent une
certaine sensibilité aux chocs. L'influence de la dilatation est spécialement importante et il
doit en être tenu compte au moment de la pose. La longueur minimale est 6 m.
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Organe de protection des conduit
Les bouches d'égout : sont les éléments (ponctuels) d'un réseau d'assainissement permettant
l'introduction des eaux de ruissellement dans le réseau. Elles peuvent être avec ou sans grille,
avec ou sans puisard.
Les Siphoïdes : ils sont à utiliser en cas de problème d’odeur ou pour piéger des flottants,
mais ne doivent pas être généralisés car lorsqu’un siphoïde se bouche, il reste en eau et on est
"aveugle" pour le désobstruer. D'autres dispositifs anti-odeurs peuvent être installés. Les
coudes plongeurs doivent être en forme de T ou amovible an de permettre le passage d’un
tuyau d’aspiration. Le fond des bouches d'égout avec un coude plongeur ne doit pas être pente
Grille sélective : le choix entre une bouche d’engorgement ou une grille doit être fait en
fonction de la localisation, des activités à proximité, de la fréquence et du type passage
(piétons, routier. Attention, si beaucoup d’arbres, il y a un risque d’obstruction de la grille par
les feuilles. Le type de grille sélective (espacement, verrouillage, cadre, )doit être choisi au cas
par cas en fonction de la localisation
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Les bétons utilisés pour la fabrication des tuyaux et ouvrages d'assainissement subissent
des formes d'agression ; sous l'aspect de corrosion chimique qui entraîne la destruction des
canalisations ; sous l'aspect d'abrasion qui est une action physique non négligée du fait de
faible résistance du matériau et compte tenu de la vitesse limite maximale des écoulements
dans le réseau.
Pour cela les moyens de lutte peuvent se résumer comme suit
Les temps de rétention des eaux usées dans les canalisations doivent être réduits au
maximum.
L'élimination des dépôts doit s'opérer régulièrement, car ceux-ci favorisent le
Développement des fermentations anaérobies génératrices d'hydrogène sulfuré (H 2S).
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Une bonne aération permet d'éviter les condensations d'humidité sur les parois et
de réduire ainsi la teneur en H2S.
Revêtement intérieur des conduites par du ciment limoneux ou du ciment sulfaté avec
un dosage suffisant dans le béton (300 à 350 kg/m3 de béton). [06]
Empêcher l'entrée des sables par l'implantation des bouches d'égout.
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. Les bouches d'égout :
. Ouvrages d'accès au réseau (les regards) :
Les bouches d'égout sont destinées à collecter les eaux en surface (pluviale et de lavage
des chaussées) Elles sont généralement disposées au point bas des caniveaux, soit sur le
trottoir. La distance entre deux bouches d'égout est en moyenne de 50m, la section d'entrée est
en fonction de l'écartement entre les deux bouches afin d'absorber le flot d'orage venant de
l’amont. Elles peuvent être classées selon deux critères : la manière de recueillir des eaux et la
manière dont les déchets sont retenus.
Les regards sont en fait des fenêtres par lesquelles le personnel d'entretien pénètre
pour assurer le service et la surveillance du réseau. Ce type de regard varie en fonction de
l'encombrement et de la pente du terrain ainsi que du système d'évacuation.
Regard de jonction simple : pour raccordement des collecteurs de mêmes ou
différents diamètres.
Regard latéral : en cas d'encombrement du V.R.D ou collecteurs de diamètre important.
Regard double : pour système séparatif
Regard toboggan : en cas d'exhaussement de remous
Regard de chute : à forte pente
La distance entre deux regards est variable
35 à 50 m en terrain accidenté.
50 à 80 m en terrain plat.
Sur les canalisations les regards doivent être installés :
- À chaque changement direction ;
- À chaque jonction de canalisation ;
- Aux points de chute ;
À chaque changement pente ;
À chaque changement diamètre ;
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