Está en la página 1de 61

LPourAfaireSCIENTOLOGIE :

du monde un endroit où il fasse meilleur vivre


Fondée et développée par Ron Hubbard, la Scientologie est une philosophie
religieuse appliquée offrant une route par laquelle quiconque peut recouvrer la vérité
et la simplicité de son identité spirituelle.
La Scientologie consiste en axiomes spécifiques qui définissent la cause première
et les principes fondamentaux de l’existence et en une immense quantité
d’observations sur les domaines des sciences humaines, formant une philosophie qui
s’applique à la vie tout entière.
De ce vaste ensemble de données sont nés deux champs d’application pour la
Scientologie : d’abord, une technologie par laquelle l’homme peut accroître son
niveau de conscience spirituelle et atteindre la liberté qui a été recherchée par de
nombreux grands penseurs et philosophes ; et ensuite, un grand nombre de principes
fondamentaux que les hommes peuvent mettre en œuvre pour améliorer leur vie.
D’ailleurs, avec cette seconde application, la Scientologie n’offre rien moins que des
méthodes pratiques permettant d’améliorer chacun des aspects de notre vie — le
moyen de créer une nouvelle existence. Et c’est à ce domaine qu’appartient ce que
vous êtes sur le point de lire.
Compilé à partir des œuvres de Ron Hubbard, le contenu de ce livret ne
comprend que l’un des outils présentés dans Le Manuel de Scientologie. Le manuel est
un guide détaillé et complet contenant de nombreuses applications de la Scientologie,
lesquelles pourront être utilisées pour améliorer bien d’autres aspects de la vie.
Pour ce livret, les éditeurs ont ajouté aux données mêmes une courte
introduction, des exercices pratiques et quelques exemples d’applications et de leurs
résultats plus que positifs.
Des cours permettant d’augmenter votre compréhension du sujet ainsi que des
ouvrages supplémentaires pour élargir vos connaissances peuvent être suivis ou
acquis à votre église ou mission de Scientologie la plus proche.Vous pouvez trouver
les listes d’adresses à www.scientology.org.
La Scientologie ayant décrit de nombreux phénomènes jusqu’ici inconnus
concernant l’homme et la vie, il se peut que vous rencontriez dans ces pages des
termes que vous ne connaissez pas. Ils sont expliqués la première fois qu’ils
apparaissent et sont aussi définis dans le glossaire, à la fin de ce livret.
La Scientologie est destinée à être utilisée. C’est une philosophie pratique. Elle se
traduit par des actions. En vous servant de ces données, vous pourrez changer l’état
des choses.
Des millions de gens qui veulent faire quelque chose pour changer les choses et
le monde autour d’eux ont mis cette connaissance en pratique. Ils savent que la vie
peut être rendue meilleure. Et ils savent que la Scientologie marche.
Utilisez ce que vous lirez dans ces pages pour vous aider vous-même et aider les
autres, et vous le saurez aussi.
L’ÉGLISE DE SCIENTOLOGIE INTERNATIONALE
D ire que les drogues sont devenues une calamité majeure de la
société n’est pas une affirmation exagérée. Aucun secteur de la vie
n’est épargné par cette épidémie. Le crime et la violence en sont les
sous-produits les plus évidents, mais l’amoralité, les éducations
interrompues et, de fait, les vies ruinées, n’en sont pas pour autant
moins graves ni moins répandues.
Et le problème ne se limite pas aux drogues de la rue ; les effets
des drogues médicales et psychiatriques, qu’il s’agisse d’antidouleur,
de tranquillisants ou d’ « antidépresseurs », sont aussi désastreux.
Ron Hubbard s’attaqua à ce problème, non pas dans le but de
résoudre les maladies physiques des individus, mais dans le cadre de
sa recherche visant à libérer l’homme en tant qu’esprit, et à résoudre
le long de cette route toute barrière devant être résolue. Les drogues
se sont révélées être une de ces barrières.
Il n’y avait aucune solution jusqu’à ce que M. Hubbard ait déve­
loppé un programme efficace de réhabilitation des toxicomanes. Les
programmes inspirés par la psychiatrie connaissaient beaucoup plus
d’échecs que de succès, et certains aggravaient même la dépendance
par rapport aux drogues. D’autres personnes mieux intentionnées
trouvaient que les bonnes intentions n’étaient pas suffisantes. Il leur
manquait une technologie qui fonctionne.
Cette technologie est fournie par le programme de M. Hubbard.
Ce programme est sans doute le plus complet et le plus efficace au
monde, car il permet non seulement d’aider la personne à découvrir
pourquoi elle avait pris des drogues en premier lieu, mais comment
éliminer les dommages mentaux et spirituels provoqués par les
drogues, libérer le corps des résidus et toxiques de drogues s’y
trouvant depuis longtemps et fournir à la personne les moyens lui
permettant de rester définitivement à l’écart des drogues.
Aujourd’hui, pour la première fois, comme des centaines de milliers
de personnes peuvent l’attester, les personnes sous la dépendance des
drogues ou de l’alcool peuvent se libérer de cette tyrannie, et faire
face à la vie avec une énergie et un espoir renouvelés. Ce livret
contient quelques-uns des principes élémentaires de ce programme,
et offre pour la première fois une compréhension réelle des problèmes
posés par l’abus de substances toxiques.❋

2
LA RAISON
SOUS-JACENTE
AU PROBLÈME DES DROGUES

D
epuis les premiers instants où ils ont tenté de calmer une
douleur ou d’éviter un problème, les gens ont utilisé des
drogues. Toutefois, les drogues se sont considérablement
répandues depuis le début des années soixante. Avant cela,
elles étaient rares. Cette décennie a connu une expansion
mondiale des drogues, et un grand pourcentage de la popu­
lation est devenu consommateur de drogues.
Par drogues (pour n’en mentionner que quelques-unes),
nous voulons dire les tranquillisants, l’opium, la cocaïne, la
marijuana, le peyotl, les amphétamines et les dons du psychiatre à l’humanité :
le L.S.D. et le PCP étant les pires de toutes. Toutes les drogues médicales sont
aussi incluses. Les drogues sont des drogues. Il existe des milliers de noms de
marques et de termes d’argot pour les décrire. L’alcool est également considéré
comme une drogue.
Les drogues sont censées faire des choses merveilleuses, mais en réalité elles
ne font que détruire la personne.
Les problèmes liés aux drogues ne cessent pas lorsque la personne arrête
d’en prendre. Les effets accumulés de l’absorption de drogues peuvent
sérieusement détériorer la santé d’une personne, à la fois physiquement et
mentalement. Même les personnes ayant abandonné les drogues depuis
plusieurs années ont encore des périodes de « vide ». Les drogues peuvent nuire
à l’aptitude d’une personne à se concentrer, à travailler, à apprendre ; en résumé,
elles peuvent briser une vie.
Et pourtant, bien que les dangers et les effets des drogues soient flagrants
et de mieux en mieux documentés, les gens continuent à en absorber.
Pourquoi ?
Lorsqu’une personne est déprimée ou qu’elle souffre et que son traitement
ne lui apporte pas de soulagement physique, elle finira par découvrir par
elle-même que les drogues suppriment ses symptômes.

3
Et ceci est également vrai pour les douleurs « psychosomatiques ». Le terme
« psychosomatique » signifie que le mental rend le corps malade ou qu’il s’agit
d’une maladie provoquée par l’intermédiaire du mental. « Psycho » fait
référence au « mental » et « soma » au « corps ».
Dans pratiquement tous les cas de douleur, de maladie ou d’inconfort
psychosomatique, la personne a cherché un remède pour son bouleversement.
Lorsque finalement elle découvre que seules les drogues peuvent la
soulager, elle y succombe et tombe dans un état de dépendance, allant souvent
jusqu’à devenir « accro ».
Si quelques années plus tôt il y avait eu une autre solution, la plupart des
gens l’auraient employée. Mais quand on leur dit qu’il n’y a pas de remède, que
leurs douleurs sont « imaginaires », la vie tend à devenir insupportable. Ils
peuvent ensuite devenir des toxicomanes chroniques et sombrer dans un état
de dépendance.
Devenir toxicomane peut bien entendu demander plus ou moins de temps.
Le mal lui-même peut n’être que « tristesse » ou « lassitude ». L’aptitude à faire
face à la vie sera, dans tous les cas, réduite.
Toute substance qui apporte un soulagement ou rend la vie moins dure
physiquement ou mentalement sera alors bienvenue.
Dans un environnement perturbé et incertain, les maladies psychosoma­
tiques sont très répandues.
Par conséquent, avant de commencer à réprimer trop sévèrement la
diffusion de drogues, un gouvernement devrait d’abord reconnaître qu’il s’agit
là d’un symptôme de l’échec de la psychothérapie. Le spécialiste des sciences
sociales, le psychologue et le psychiatre, et les ministres de la Santé n’ont pas
réussi à contenir l’expansion des maladies psychosomatiques.
Il est trop facile de mettre le problème de la drogue sur le dos du « malaise
social » ou du « rythme trépidant de la société moderne ».
Les faits réels et indéniables sont que jusqu’à présent, il n’y a jamais eu de
psychothérapie efficace largement pratiquée. Et le résultat en est une
population sous la dépendance des drogues.
Il a été établi que les personnes qui prennent des drogues ont commencé
dans cette voie à cause d’une souffrance physique ou d’un état de désespoir.

4
Ensuite, poussée par la douleur et le désespoir que lui inspire son
environnement, la personne continue à prendre des drogues. Bien qu’elle ne
veuille pas devenir dépendante, elle a l’impression qu’il n’y a pas d’autre
solution.

Toutefois, avec un traitement approprié, la dépendance vis-à-vis des


drogues peut être entièrement résolue.

Dès que la personne peut sentir qu’elle est en meilleure santé et plus
compétente mentalement et physiquement sans drogues, elle cesse d’avoir
besoin de drogues.

La dépendance vis-à-vis des drogues a été dédaignée par la psychiatrie qui


l’a considérée comme « pas importante », et le problème social provoqué par
l’utilisation de drogues n’a reçu aucune attention des psychiatres, bien au
contraire, étant donné qu’ils ont eux-mêmes introduit et popularisé le L.S.D.
Et beaucoup d’entre eux sont de véritables dealers.

Les agences gouvernementales ont échoué de manière visible à stopper


l’augmentation de l’utilisation de drogues, et il n’y a pas eu de remèdes réels ou
connus.

La personne qui a pris des drogues court le risque, même après avoir arrêté
de se droguer, d’avoir des « vides » à des moments imprévus, de connaître des
périodes d’irresponsabilité, et elle a tendance à tomber facilement malade.

La technologie de Scientologie a pu éliminer les principaux dégâts causés


chez les gens qui ont pris des drogues, ainsi qu’à rendre de nouvelles
dépendances inutiles et non désirées.

La Scientologie ne s’intéresse pas aux aspects politiques ou sociaux des


différents types de drogues, ni à l’utilisation de la drogue en elle-même. En
revanche, les drogues constituent une menace grandissante pour les améliora­
tions mentales et spirituelles, lesquelles constituent la véritable mission de la
Scientologie.

Par conséquent, la Scientologie contient une technologie exacte qui non


seulement permet à une personne de se sortir sans douleur des drogues, mais
résout également leurs effets physiques, mentaux et spirituels, et localise et
traite entièrement la raison sous-jacente pour laquelle une personne prend des
drogues. Rien d’autre n’est capable de réaliser cela avec certitude.

5
Lorsqu’une
personne ne
trouve aucune
solution à un
problème quel
qu’il soit, de la
souffrance
physique au
désespoir...

... elle
découvrira tôt
ou tard que les
drogues
peuvent
soulager ses
symptômes.

Cependant, le
problème n’a pas
disparu ; il n’est
que masqué par
les drogues.
Jusqu’à ce que le
problème soit
effectivement
résolu, la
personne
dépendra des
drogues à un
degré plus ou
moins élevé.

6
LES DROGUES

ET LEURS EFFETS

SUR LE MENTAL

Les drogues sont essentiellement des poisons. L’effet qu’elles provoquent est
déterminé par la quantité absorbée. Une petite quantité agit comme un stimulant
(augmente l’activité). Une quantité plus importante agit comme un sédatif
(empêche l’activité). Une quantité encore plus grande agit comme un poison et
peut tuer.
Ceci est vrai de n’importe quelle drogue. Les quantités varient simplement
selon les drogues.
Le café en est un exemple, car la caféine est une drogue. Une centaine de
tasses de café tueraient probablement une personne. Dix tasses l’endormiraient
probablement. Deux ou trois tasses stimulent. Il s’agit là d’une drogue très
courante. Elle n’est pas très nocive car il faut l’absorber en grande quantité pour
qu’elle produise un effet. Elle est par conséquent connue comme stimulant.
L’arsenic est connu comme un poison. Bien qu’une très faible quantité
d’arsenic agisse comme un stimulant, une dose plus importante fait dormir et
quelques grains peuvent tuer.
Mais il existe de nombreuses drogues qui comportent un autre risque : elles
affectent directement le mental.
Pour avoir une bonne compréhension des effets mentaux des drogues, il
importe de savoir ce qu’est le mental. Le mental n’est pas un cerveau. Il s’agit
de l’accumulation des enregistrements des pensées, conclusions, décisions,
observations et perceptions d’une personne tout au long de son existence. En
Scientologie, nous avons découvert que le mental est un système de
communication et de contrôle entre un thétan et son environnement. Nous
entendons par thétan la personne elle-même, l’être spirituel, non pas son corps
ou son nom, l’univers physique, son mental ou quoi que ce soit d’autre.
La partie la plus apparente du mental peut être reconnue par toute personne
qui n’est pas en trop mauvaise condition. Il s’agit de l’image mentale.
Différents phénomènes se rattachent à cette entité appelée le mental.
Certaines personnes, lorsqu’elles ferment les yeux, ne voient que du noir alors
que d’autres voient des images.

7
Le mental est un système de communication et de contrôle entre un thétan et son envi-
ronnement. Le mental n'est pas un cerveau.

Par le système de communication appelé mental, le thétan reçoit différentes


impressions, parmi lesquelles des vues directes de l’univers physique. De plus,
il reçoit des impressions de ses activités passées et, chose plus importante,
conçoit lui-même à propos du passé et du futur des pensées, indépendantes des
stimuli du présent immédiat.
Une personne qui a pris des drogues, en plus des facteurs physiques
impliqués, conserve des images mentales de ces drogues et de leurs effets.
Les images mentales sont des images en couleur et en trois dimensions avec les
sons, les odeurs et toutes les autres perceptions, plus les conclusions ou
les spéculations de l’individu. Il s’agit de copies mentales des perceptions
qu’une personne a eues à un moment du passé, néanmoins quand elles sont
enregistrées dans les moments d’inconscience ou de conscience amoindrie,
elles existent en dessous de son niveau de conscience. Une personne qui a pris
du L.S.D., par exemple, conserverait dans son mental des « images » complètes
de cette expérience, avec des enregistrements visuels, des sensations physiques,
des odeurs, des sons, etc., qui se sont produits lorsqu’elle était sous l’influence
du L.S.D.
Supposons, par exemple, qu’un individu ait pris du L.S.D. un jour à une fête
foraine avec quelques amis et qu’il ait expérimenté des sensations de nausée et de

8
vertige, une dispute avec un ami, une émotion de tristesse puis, plus tard, une
sensation de grande fatigue.Il aurait des images mentales de la totalité de cet incident.
Si, plus tard, l’environnement de cette personne contient assez d’éléments
similaires à ceux de cet incident du passé, il pourra expérimenter une
réactivation de cet incident. Il pourra ressentir des nausées, des vertiges, de la
tristesse et une grande fatigue, tout cela sans raison apparente. Ce mécanisme
a pour nom restimulation (il s’agit de la réactivation d’un souvenir du passé due
à la similarité entre les circonstances présentes et les circonstances de cet
incident du passé).
De telles images mentales peuvent aussi être réactivées par des résidus de
drogues, car la présence de ces drogues dans les tissus du corps peut simuler
les expériences de drogues passées.
En reprenant l’exemple ci-dessus de la personne qui a pris du L.S.D., quelque
temps plus tard — peut-être après plusieurs années — les résidus de la drogue
qui se trouvent encore dans son corps pourront provoquer une restimulation
de cet incident de L.S.D. Les images mentales seront alors réactivées et il
expérimentera les mêmes sensations de nausée, de vertige et de fatigue, et se
sentira triste. Il ne saura pas pourquoi. Il peut aussi percevoir les images
mentales de personnes avec qui il se trouvait, avec la vue, les sons et les odeurs.
Voici donc les effets provoqués sur le mental d’une personne qui a pris des
drogues dans le passé. L’utilisation actuelle de drogues provoquera sur le mental
un effet similaire et plus immédiat.
Lorsqu’une personne prend une drogue telle que la marijuana, le peyotl,
l’opium, la morphine ou l’héroïne, les images mentales passées peuvent
« s’activer » ou être restimulées en dessous de son niveau de conscience
éveillée, et cela peut la conduire à percevoir les choses différemment de ce
qu’elles sont en réalité.
Ainsi, bien qu’il soit ici devant vos yeux, apparemment dans la même pièce
que vous et en train de faire les mêmes choses, le drogué est en réalité
partiellement dans le présent et partiellement dans des incidents du passé.
Il semble être là, mais en réalité il ne « suit » pas totalement ce qui se passe
dans le temps présent.
Les événements perçus par un observateur rationnel ne seront pas perçus
par lui.
Il ne comprend donc pas ses interlocuteurs, mais essaie de faire
correspondre leurs affirmations à sa réalité composite, c’est-à-dire sa réalité
composée de différents éléments. Pour pouvoir opérer cette correspondance,
il doit les altérer.
Un drogué pourra, par exemple, être sûr qu’il est en train d’aider quelqu’un
à réparer un plancher, alors qu’en fait, il est en train d’en empêcher le nettoyage.
Ainsi, lorsqu’il « aide quelqu’un » à nettoyer le plancher, il introduit en fait de

9
Les drogues
affectent le
mental en
réactivant des
incidents du
passé d’une
personne, en
dessous de son
niveau de
conscience
éveillée.

Ceci peut
altérer les
perceptions
que la
personne qui
prend des
drogues aura
de ce qui se
passe autour
d’elle.

Le résultat
sera que les
actions d’une
?
telle personne
pourront
apparaître
très bizarres
ou irra­
tionnelles.

10
la confusion dans cette activité. Puisque lui est en train de réparer le plancher,
il interprète la requête « passe-moi le balai » par « donne-moi le marteau ».
Comme un manche à balai est plus long qu’un manche de marteau, le seau sera
renversé.
Cela peut être léger ; la personne peut ne faire que des erreurs occasion­
nelles. Cela peut aller jusqu’à la folie complète, où sa réalité apparente est
complètement différente de celle des autres individus. Et tous les niveaux inter­
médiaires sont possibles.
Le problème n’est pas qu’elle ne se rend pas compte de ce qui se passe. C’est
qu’elle perçoit autre chose que la suite des événements du présent.
Par conséquent, les autres lui paraissent stupides, déraisonnables ou fous.
Comme leurs actions et leurs ordres ne correspondent pas à ce qu’elle voit
distinctement, « ils » ne sont pas raisonnables. Exemple : un groupe déplace des
meubles. Pour tout le monde excepté une personne, ils déplacent simplement
des meubles. Cette personne s’imagine en train de « transporter des formes
géométriques dans un nuage ». Par conséquent, elle « fera des erreurs ».
Comme les autres ne voient pas ce qui se passe à l’intérieur de cet individu,
mais qu’ils ne voient qu’un autre individu comme eux, ils ne comprennent pas
pourquoi il « sème une telle pagaille ».
Des personnes telles que les drogués ou les fous sont ainsi, légèrement ou
totalement, sur une piste de temps apparemment différente des événements du
« temps présent ».
Une personne peut prendre une drogue pour s’évader d’un temps présent
insupportable ou devenir complètement inconsciente.
Certaines personnes ne retournent ensuite plus totalement dans le temps
présent.
Un thétan peut aussi échapper à un temps présent insupportable en sautant
dans le passé, même sans drogues.
À un degré plus ou moins grand, le drogué aussi bien que le fou n’ont pas
regagné le temps présent. Ils pensent donc qu’ils se trouvent sur une piste de
temps différente de celle sur laquelle ils sont.
Il s’agit là des faits sous-jacents au comportement humain bizarre.
Comme les événements qui se produisent d’après les perceptions et la réalité
subjective d’une telle personne diffèrent à un degré plus ou moins élevé de la
réalité objective des autres, une telle personne dérange son environnement et
empêche le fonctionnement correct de tout groupe, de la famille à l’entreprise
et à la nation.
Nous avons tous connu de telles personnes, elles ne sont pas rares dans la
civilisation actuelle. La remarque soudaine qui n’a aucun sens, totalement en

11
dehors du contexte de la conversation, le regard vide suite à un ordre ou à une
remarque, derrière tout cela se cache un monde totalement imaginaire qui est
bousculé lorsque nous essayons d’accomplir quelque chose dans le temps
présent.
Les répercussions des drogues vont donc bien au-delà de leurs effets
immédiats ; leur influence s’étend souvent à de nombreuses personnes autres
que l’usager. Les conséquences peuvent être dramatiques. Et ceci ne s’applique
pas seulement aux drogues illégales, mais aussi aux drogues médicales
supposées aider les gens.

Les Calmants
Les docteurs et d’autres personnes prescrivent des calmants tels que
l’aspirine, les tranquillisants, les hypnotiques et les soporifiques (drogues qui
induisent le sommeil) dans un désir compréhensible de soulager la douleur.
Cependant, on n’a jamais su, ni en chimie ni en médecine, exactement
comment et pourquoi ces produits fonctionnaient. Ces composés proviennent
de découvertes accidentelles comme quoi « ceci et cela diminue la douleur ».
Les composés existants n’ont pas de résultats uniformes, et produisent
souvent des effets secondaires très négatifs.
Comme la raison pour laquelle ils ont produit des résultats était inconnue,
la biochimie — la chimie des processus et substances de la vie — a fait très peu
de progrès. Si cette raison était connue et acceptée, des chimistes pourraient
développer de véritables calmants ne produisant que des effets secondaires
limités.
Les douleurs ou les inconforts de nature psychosomatique sont causés par
des images mentales, créées par le thétan, qui pressent contre le corps et
l’affectent. Une image mentale d’un incident du passé dans lequel un bras a été
cassé, par exemple, peut être réactivée dans le temps présent, et affecter le corps
en produisant une douleur à ce même bras.
Des tests cliniques réels ont montré que les actions de l’aspirine et des autres
calmants consistent à :
A. Inhiber l’aptitude du thétan à créer des images mentales
Et
B. Faire obstacle à la conductivité électrique des canaux nerveux.

12
Il en résulte que le thétan devient stupide, a des périodes de vide, est distrait,
irresponsable et imagine des choses. Il entre dans une sorte d’état où il est
« insensible », sans sentiments, sans sensations, incapable et vraiment pas
digne de confiance ; en réalité, une menace pour les autres.
Lorsque l’effet des drogues se dissipe ou commence à disparaître, l’aptitude
à créer des images mentales commence à revenir, et fait que les somatiques
(sensations du corps, maladies, douleurs ou inconforts) se manifestent beaucoup
plus violemment. L’une des réponses de la personne est alors de prendre plus de
drogues. Sans parler de l’héroïne, il existe des drogués à l’aspirine. Cette

Les médicaments
antidouleur
inhibent
l’aptitude du
THÉTAN thétan à créer des
images mentales.

Calmant

Image
mentale

Ils font aussi


obstacle à la
conductivité
Impulsion électrique des
électrique Calmant canaux nerveux.

DOULEUR

Canal nerveux

13
compulsion vient d’un désir d’être de nouveau débarrassé des somatiques et
des sensations non désirées. L’être devient de plus en plus insensible ; il en a
besoin en quantités de plus en plus élevées et la prend de plus en plus
fréquemment.
Habituellement, sur le plan sexuel, une personne sous l’effet de drogues
sera tout d’abord très stimulée. Mais le premier élan passé, il lui sera de plus en
plus difficile d’obtenir la stimulation des sensations sexuelles. Son effort pour
obtenir une telle stimulation devient alors obsessif, tandis qu’elle apporte de
moins en moins de satisfaction.
Le cycle de la restimulation des images (ou de la création en général) par
les drogues peut avoir d’abord pour effet d’augmenter la création, puis de
l’inhiber totalement.
Si l’on travaillait à soulager la douleur à l’aide de produits biochimiques, le
produit antidouleur le moins nuisible serait celui qui empêcherait la création
d’images mentales avec une « insensibilité » ou une stupidité résultante
minimale, et qui serait soluble dans le corps afin de pouvoir rapidement être
évacué des nerfs et du système.
Les drogues bloquent des sensations non désirées, mais il existe également
de nombreuses sensations désirables et les drogues bloquent toutes les
sensations.
La seule défense en faveur des drogues est qu’elles amènent un oubli bref
et immédiat en cas de douleur extrême et subite, et permettent ainsi de s’occuper
d’une personne pour la « rafistoler ». Mais même ceci ne s’applique qu’aux
personnes qui n’ont pas d’autres moyens de soulager leur douleur.
La dextérité, la compétence et la vivacité sont les principales aptitudes qui
permettront de ne pas se placer dans des situations douloureuses. Toutes ces
aptitudes s’évanouissent avec les drogues. Les drogues peuvent ainsi mettre une
personne dans des situations réellement désastreuses, et l’y maintenir.
On a le choix entre la mort avec les drogues et la vie sans les drogues. Les
drogues soustraient de la vie les sensations et les joies qui constituent de toute
façon les seules raisons de vivre.

14
AIDER UNE PERSONNE
À SE SORTIR DES DROGUES
Lorsque l’abus des drogues a commencé à s’étendre dans le monde, le
problème de la désintoxication est devenu de premier ordre. Tous les efforts
antérieurs à la Scientologie visant à aider les consommateurs de drogues ont
échoué, et ils ont toujours échoué tout au long de l’histoire de l’homme.

Par contre, des solutions pratiques ont vu le jour en Scientologie. Ces


solutions permettent à une personne, non seulement de cesser de prendre des
drogues, mais également de trouver et de supprimer les causes fondamentales
qui l’ont amenée sur cette route sombre.

Lorsqu’un utilisateur tente d’arrêter les drogues, celles-ci peuvent lui faire
payer un prix atroce.

Les symptômes dits de manque se manifestent. Il s’agit des réactions


physiques et mentales consécutives à l’arrêt de l’utilisation de drogues. Elles
sont effrayantes. Aucun tortionnaire n’a jamais imaginé quoi que ce soit de pire.

La personne est alors confrontée au problème suivant :

A. Rester sous l’influence des drogues, être piégée et souffrir à jamais, ou

B. Essayer de quitter les drogues, et devenir si atrocement malade qu’elle


ne pourra pas le supporter.

Il s’agissait là d’un problème du genre pile je gagne, face tu perds.

La médecine n’avait pas résolu ce problème de manière appropriée. La


psychothérapie était impossible.

Il existe maintenant deux approches à ce problème de sevrage, qui devraient


toutes deux être utilisées :

1. Des expériences de nutrition ont montré que les vitamines et les minéraux
aident au sevrage.

15
2. Des procédés objectifs légers facilitent le sevrage progressif et le rendent
possible.

Un procédé est une suite exacte de directives ou d’actions entreprises pour


aboutir à un résultat voulu. L’application d’un procédé est appelée audition (du
latin audire voulant dire écouter ou entendre). Il existe dans les textes de
Scientologie de nombreux procédés qui peuvent être utilisés pour aider une
personne à détacher son attention d’elle-même et la porter sur son
environnement, sur les personnes et les objets qui s’y trouvent — une action
très thérapeutique pour une personne tentant d’abandonner les drogues. Ces
procédés sont appelés procédés objectifs. Correctement utilisés, ils atténuent
les symptômes de la personne et rendent le sevrage des drogues possible avec
un minimum d’inconfort.

Le mot objectif se rapporte aux objets extérieurs, non aux pensées ou aux
sentiments de l’individu. Les procédés objectifs s’adressent au réel et à
l’observable. Pour les faire, on exige de la personne qu’elle regarde et trouve
quelque chose d’extérieur à elle-même.

Les procédés objectifs auxquels on fait référence ici sont appelés « légers »,
car ils sont plus simples et moins avancés que les autres procédés objectifs
existant en Scientologie.

Les détails concernant l’utilisation de ces deux approches de sevrage des


drogues sont donnés ci-dessous. Si vous connaissez une personne sous la
dépendance de drogues, vous pouvez l’aider à s’en sortir en appliquant ces
principes et techniques.

Pour les cas de dépendance aiguë, il faut envoyer la personne à un médecin


qualifié afin qu’il l’examine et détermine s’il faut prendre des précautions
particulières avec cette personne.

Certaines personnes prennent une drogue thérapeutique prescrite par un


médecin et doivent peut-être la continuer. Mais il ne s’agit pas là des drogues
auxquelles nous avons habituellement affaire. C’est à la personne et au docteur
qu’il incombe de décider ce qui doit être fait dans de tels cas.

16
Données nutritionnelles
Selon la nutritionniste de renommée mondiale Adèle Davis, des thérapies
à base de vitamines ont permis de traiter les symptômes de manque avec
succès.

Au lieu de juste demander à la personne d’abandonner les drogues,


avec toute la souffrance et le risque d’échec que cela représente, on lui donne
de fortes doses de vitamines. Les données sont répétées ci-dessous pour
information.

La Bombe antidrogue

Une formule de vitamines appelée « bombe antidrogue » a montré son effi­


cacité dans la lutte contre les effets du manque. Cette formule est la suivante :

— 1 000 mg de niacinamide (pas de l’acide nicotinique). Ceci aide à


surmonter tout trouble mental ;

— 5 000 UI de vitamine A (UI = unité internationale) ;

— 400 UI de vitamine D ;

— 800 UI de vitamine E ;

— 2 000 mg de vitamine C ;

— 500 mg de carbonate de magnésium (pour l’efficacité de la vitamine C) ;

— 25 mg de B6 ;

— 200 mg de B complexe ;

— 300 mg de B1 ;

— 100 mg d’acide pantothénique.

17
Cette formule devrait être administrée quatre fois par jour à une personne
qui tente d’abandonner les drogues, approximativement toutes les six heures.

Elle ne doit pas être prise avec l’estomac vide, car elle risque alors de
provoquer des brûlures d’estomac. Il faut la prendre après les repas, ou entre
les repas, avec du yaourt.

Il convient de faire particulièrement attention à donner la dose de telle sorte


que les vitamines ne rongent pas l’estomac. Si ce point est négligé, la personne
peut contracter un faux ulcère duodénal (intestin supérieur) et ne pas pouvoir
poursuivre le traitement. Habituellement, ceux qui prennent des drogues ou
des médicaments sont de toute manière en très mauvaise condition physique.
Par conséquent, les vitamines doivent se présenter sous la forme de pilules
recouvertes d’une protection entérique, afin qu’elles se dissolvent graduelle­
ment et n’attaquent pas l’estomac supérieur pour le brûler.

On doit donc donner du lait contenant des acides aminés en poudre pour
avaler les pilules.

Lorsque ces méthodes ont été testées, les brûlures d’estomac provoquées
par la formule de vitamines se sont avérées le principal obstacle.

Si les vitamines sont administrées sans protection, la personne pourra a) se


sentir l’estomac trop rempli après avoir mangé, b) avoir mal à l’estomac, c) avoir
une sensation de brûlure, d) avoir une douleur à l’extérieur de l’estomac. Ce
sont tous là des symptômes d’ulcère à l’estomac.

Si de tels symptômes se manifestent, arrêtez les vitamines. Des tablettes


d’hydroxyde d’aluminium à croquer et avalées avec du lait à chaque fois que
ces symptômes se manifestent soulageront l’estomac. Il faut ensuite donner des
acides aminés en poudre, du yaourt et du lait jusqu’à ce que l’estomac aille
mieux.

La bombe antidrogue a une très grande valeur car ses bienfaits potentiels
contrebalancent largement tous les inconvénients possibles. Les difficultés et
souffrances liées au phénomène de manque sont la cause première d’échec
lorsqu’on tente de sauver un être de l’aliénation des drogues.

18
Calcium et magnésium
Il existe une autre méthode qui, utilisée conjointement avec la bombe
antidrogue, soulage les symptômes du manque de drogues. Cette méthode
utilise des minéraux : le calcium et le magnésium.

Les spasmes musculaires sont provoqués par un manque de calcium. Le


magnésium, quant à lui, diminue les réactions nerveuses.

Le calcium ne se dissout dans le corps et n’est utilisé que s’il est administré
en milieu acide.

Des tests pour d’autres utilisations que le sevrage de drogues ont permis de
découvrir le moyen de faire dissoudre le calcium dans le corps avec du
magnésium afin d’obtenir les effets de ces deux minéraux. La solution a consisté
à ajouter du vinaigre qui permet d’obtenir le milieu acide nécessaire.

Il en a résulté une solution qui s’est avérée extrêmement efficace, appelée


« formule du Cal-mag ».

L’utilisation du Cal-mag, expérimentale au début des années soixante-dix


pour aider à soulager les symptômes de manque, a maintenant largement
dépassé le stade expérimental. Le Cal-mag a été utilisé avec beaucoup de succès
durant le sevrage pour aider à soulager et à faire disparaître les convulsions, les
spasmes musculaires et les réactions nerveuses importantes éprouvées par une
personne abandonnant les drogues.

Le Cal-mag utilise une proportion d’une part de magnésium élémentaire


pour deux parts de calcium élémentaire, mélangées avec du vinaigre dans de
l’eau.

Comme cette formule demande un dosage précis du calcium et du


magnésium, quelques explications plus détaillées sont données ci-dessous.

Le Cal-mag est réalisé au moyen des composés gluconate de calcium et


carbonate de magnésium. Ces deux composés se présentent sous forme de
poudre blanche et contiennent chacun plusieurs substances. En d’autres
termes, le gluconate de calcium contient d’autres substances en plus du
calcium. Il ne s’agit pas de calcium pur ; il ne contient qu’un pourcentage de
calcium élémentaire pur. De même, le carbonate de magnésium contient

19
d’autres substances en plus du magnésium, et ne contient qu’un pourcentage
de magnésium élémentaire pur.

Mais ce qui importe dans la préparation du Cal-mag est la proportion du


magnésium élémentaire par rapport au calcium élémentaire. Cela ne signifie
pas qu’on utilise du magnésium pur ou du calcium pur pour la préparation du
Cal-mag. On ne doit utiliser que du gluconate de calcium et du carbonate de
magnésium.

Carbonate de magnésium : le composé adéquat pour le Cal-mag, appelé


carbonate de magnésium de base, contient 29 % de magnésium. (Ce composé
est quelquefois appelé magnésium alba.)

Il existe différents composés de magnésium avec différents pourcentages


de magnésium élémentaire, mais l’utilisation d’un composé autre que celui
recommandé peut fournir une quantité de magnésium qui ne respectera pas la
proportion d’une part de magnésium pour deux parts de calcium.

Le composé utilisé pour l’élaboration du Cal-mag est le carbonate de


magnésium de base, contenant 29 % de magnésium élémentaire. Et il est
essentiel que ce composé soit frais, qu’il n’ait pas été préparé depuis trop
longtemps.

Gluconate de calcium : il n’existe qu’un seul composé de gluconate de


calcium, avec 9 % de calcium. Il ne devrait donc pas y avoir de problème pour
le choix de ce composé pour la préparation du Cal-mag.

Les ingrédients peuvent être obtenus dans la plupart des magasins de


diététique ou aux lieux de vente de vitamines.

Pour préparer le Cal-mag, procédez comme suit :

1. Versez une cuillère à soupe (15 ml) de gluconate de calcium dans un


verre de dimension normale ;

2. Ajoutez une demi-cuillère à café (2,5 ml) de carbonate de magnésium ;

3. Ajoutez une cuillère à soupe (15 ml) de vinaigre de cidre (au moins 5 %
d’acidité) ;

20
4. Mélangez bien ;

5. Ajoutez un demi-verre (environ 120 ml) d’eau bouillante et remuez


jusqu’à ce que la poudre soit dissoute et que le liquide soit clair (si cela ne se
produit pas, cela peut être dû à un carbonate de magnésium de mauvaise qualité
ou trop vieux) ;

6. Remplissez le reste du verre avec de l’eau tiède ou froide et couvrez.

Vous pouvez préparer de plus grandes quantités en une seule fois,


simplement en multipliant les quantités d’ingrédients en proportion. La
solution restera bonne deux jours.

Il se peut qu’il soit mal fait s’il ne se dissout pas. Des variations par rapport
à la procédure ci-dessus peuvent produire une mixture ratée au goût
parfaitement horrible.

(Notez de nouveau que la proportion est une part de magnésium


élémentaire pour deux parts de calcium élémentaire. Une personne qui voudrait
élaborer ce mélange avec précision pourrait se baser sur les quantités
élémentaires. La formule ci-dessus est donnée pour des quantités composées.)

Prendre entre un et trois verres de Cal-mag par jour, avec ou après les repas,
remplace n’importe quel tranquillisant sans droguer la personne (contrairement
aux tranquillisants qui produisent des effets mortels).

Il s’est avéré efficace pour aider à surmonter les spasmes musculaires, les
tics et les réactions nerveuses qui peuvent se produire lors du sevrage des
drogues.

Il est à signaler que de nombreux magasins de diététique proposent des


préparations de calcium et magnésium prêtes à l’emploi. Avant d’utiliser l’une
d’entre elles à la place du Cal-mag, il convient de lire la notice pour voir si le
calcium et le magnésium y sont en proportions correctes et de vérifier si la
préparation contient de l’acide (comme de l’acide ascorbique ou de l’acide
citrique). Si ces préparations sont incorrectes, elles sont sans valeur et ne
donneront pas les mêmes résultats que le Cal-mag.

21
COMMENT PRÉPARER LE CAL-MAG

1. Versez une cuillère à


soupe (15 ml) de
gluconate de calcium
dans un verre de
dimension normale.

2. Ajoutez une
demi-cuillère à
café (2,5 ml) de
carbonate de
magnésium.

3. Ajoutez une
cuillère à soupe
(15 ml) de vinaigre
de cidre (au moins
5 % d’acidité).
4. Mélangez bien.

5. Ajoutez un demi-verre
(environ 120 ml) d’eau
bouillante et remuez
jusqu’à ce que la poudre
soit dissoute et que le
liquide soit clair.
(Remarque : Placez
d’abord une cuillère en
métal dans le verre pour
éviter toute possibilité
qu’il ne se casse à cause
de l’eau bouillante.)
PRÉPARATION DE
GRANDES QUANTITÉS
6. Remplissez
le reste du Pour obtenir environ 4 litres
verre avec de de Cal-mag, utilisez les
l’eau tiède ou quantités suivantes :
froide. A. 13 cuillères à soupe
(195 ml) de gluconate de
calcium ;
B. 6,5 cuillères à café (33 ml)
de carbonate de magnésium ;
C. 195 ml de vinaigre de
cidre ;
D. 2 litres d’eau bouillante.
Remplissez le reste avec de
l’eau tiède ou froide.
Procédés objectifs
En plus de l’aspect nutritionnel, l’autre approche pour surmonter le
problème du manque consiste à utiliser les procédés objectifs.

Les drogues tendent à pousser la personne dans des expériences du passé


et à fixer son attention sur ces moments. Les procédés qui attirent l’attention
de la personne davantage vers l’extérieur l’aideront à se détacher du passé.

Il existe en Scientologie de nombreux procédés objectifs capables d’obtenir


de tels résultats.

Les procédés objectifs aident une personne à venir dans le temps présent et
à être plus consciente de son environnement et des autres personnes, et
détachée de ses problèmes du passé. Plus une personne est capable de faire face
au présent et moins elle est collée dans le passé, plus elle peut savourer la vie.
Elle peut être en meilleure communication avec son environnement tel qu’il
existe actuellement, et non pas tel qu’il a existé dans le passé. Ceci est très valable
pour qui que ce soit, mais pour quelqu’un qui a pris beaucoup de drogues et
qui en a subi les effets négatifs, ce peut être une véritable révélation.

Cinq procédés objectifs sont décrits ci-dessous.

Il est préférable de faire ces procédés dans un endroit calme, à l’écart de


toute distraction ou interruption possible, et en disposant d’un temps suffisant
pour faire le procédé jusqu’à ce que la personne aidée ait de bons indicateurs
et ait eu une cognition. Les indicateurs sont des conditions ou des circonstances
qui surviennent durant un procédé, et indiquent (révèlent ou montrent) si
celui-ci se passe bien ou mal. Le fait que la personne apparaisse plus radieuse
ou plus gaie, par exemple, est un bon indicateur. Une cognition est une nouvelle
réalisation à propos de la vie. C’est une remarque du type « Tu sais, je... »,
quelque chose que la personne comprend ou ressent soudainement.

Ces procédés sont administrés à la personne en plus de la « bombe


antidrogue » et du Cal-mag. Ils sont très efficaces lorsqu’ils sont effectués
plusieurs fois par jour pour aider la personne à traverser la période de sevrage
des drogues qui prend environ une semaine ou moins. On pourrait, par
exemple, administrer l’un de ces procédés le matin, puis en administrer un autre
quelques heures plus tard. Pendant la période de sevrage, la personne dort
souvent beaucoup plus qu’à l’accoutumée, spécialement au début d’un tel
programme. Par conséquent, on ne lui imposerait pas un horaire trop intensif.
Administrer à la personne deux ou trois de ces procédés objectifs chaque jour
devrait suffire à obtenir un résultat.

24
L’attention d’une
personne qui se
sèvre de la
consommation de
Images d’’incidents
du passé drogues peut être
très fixée sur le
corps, et des
incidents du passé
peuvent être
fortement
réactivés.

Des procédés
objectifs légers
peuvent extravertir
l’attention de la
personne et
soulager
grandement tout
inconfort. Les
incidents du passé
se détachent du
IO N temps présent et
ENT
ATT n’ont plus d’effet
sur la personne.

25
« Remarquez ce... »
Ce procédé dirige l’attention d’une personne hors de son corps, vers
l’environnement. Il s’effectue comme suit :

1. Dites à la personne que vous allez faire un procédé, et expliquez-lui


brièvement la procédure.

2. Le commandement utilisé est :

« Remarquez ce (cet) (cette) (objet indiqué). »

Assurez-vous qu’elle le comprend.

3. Indiquez un objet évident, en le montrant du doigt. Dites à la personne :


« Remarquez ce (cet) (cette) (objet). »

4. Lorsque la personne l’a fait, accusez-lui réception en disant : « Merci »


ou « O.K. » ou « Bien », etc.

5. Continuez à donner ce commandement en dirigeant l’attention de la


personne vers différents objets dans l’environnement. Assurez-vous de lui
accuser réception à chaque fois qu’elle a exécuté le commandement.

Dites, par exemple :

« Remarquez cette chaise. »

« Merci. »

« Remarquez cette fenêtre. »

« Bien. »

« Remarquez ce plancher. »

« Très bien. »

Et ainsi de suite.

6. Continuez ce procédé jusqu’à ce que la personne que vous aidez ait de


bons indicateurs et qu’elle ait eu une cognition.

Vous pouvez alors mettre fin au procédé. Dites à la personne : « Fin du


procédé. »

26
Remarquez
ce vase. Bien, je l’ai
fait.

Merci.
Remarquez Oui.
ce mur.

Très bien.
Remarquez cette fenêtre.

Bien sûr.

O.K. Remar­
quez ce sol. Oui. Je me sens
déjà plus éveillé.

27
Un procédé d’avoir
L’avoir est le sentiment qu’on possède ou qu’on a à soi. Il peut aussi être
décrit comme le concept d’être capable d’atteindre ou de ne pas être empêché
d’atteindre. Ce procédé met l’attention d’une personne sur l’environnement afin
qu’elle puisse l’avoir. La procédure est la suivante :
1. Dites à la personne que vous allez lui administrer un procédé, et
expliquez-lui brièvement la procédure.
2. Le commandement utilisé est :

« Regardez autour d’ici et trouvez quelque chose que vous pourriez avoir. »

Assurez-vous qu’elle le comprend.

3. Donnez le commandement : « Regardez autour d’ici et trouvez quelque


chose que vous pourriez avoir. »
4. Lorsque la personne l’a fait, accusez-lui réception en disant : « Merci »
ou « O.K. » ou « Bien », etc.
5. Continuez à donner le commandement. Assurez-vous de lui accuser
réception à chaque fois qu’elle a exécuté le commandement.
Dites, par exemple :
« Regardez autour d’ici et trouvez quelque chose que vous pourriez avoir. »
« Merci. »
« Regardez autour d’ici et trouvez quelque chose que vous pourriez avoir. »
« Bien. »
« Regardez autour d’ici et trouvez quelque chose que vous pourriez avoir. »
« Très bien. »
« Regardez autour d’ici et trouvez quelque chose que vous pourriez avoir. »
« Bon. »

Et ainsi de suite.

6. Continuez ce procédé jusqu’à ce que la personne que vous aidez ait de


bons indicateurs et qu’elle ait eu une cognition. Mettez alors fin au procédé.
Dites à la personne : « Fin du procédé. »

28
Regardez autour d’ici et trouvez quelque
chose que vous pourriez avoir.

Ce tapis.

Très bien. Regardez autour d’ici et trouvez

quelque chose que vous pourriez avoir. Ce portemanteau.

29
« Touchez ce... »
Pendant ce procédé, les deux personnes marchent. Si la personne à qui le
procédé est administré ne peut pas marcher, elles s’assiéront à une table sur
laquelle un certain nombre d’objets auront été éparpillés. La procédure est la
suivante :

1. Dites à la personne que vous allez lui administrer un procédé, et


expliquez-lui brièvement la procédure.

2. Le commandement utilisé est :

« Touchez ce (cet) (cette) (objet indiqué). »

Choisissez dans la pièce différents objets à faire toucher par la personne.

Assurez-vous que la personne comprend le commandement.

3. Donnez le commandement : « Touchez ce (cet) (cette) (objet indiqué). »

4. Lorsque la personne l’a fait, accusez-lui réception.

5. Continuez à donner le commandement. Assurez-vous de lui accuser


réception à chaque fois qu’elle a exécuté le commandement.

Dites, par exemple :

« Touchez cette table. »

« Merci. »

« Touchez cette chaise. »

« Bien. »

Et ainsi de suite.

6. Continuez le procédé jusqu’à ce que la personne que vous aidez ait de


bons indicateurs et qu’elle ait eu une cognition. Mettez alors fin au procédé.
Dites à la personne : « Fin du procédé. »

30
Touchez cette
chaise.

Merci.

Touchez cette table.

31
Toucher et lâcher des objets de la pièce
Il s’agit d’une très bonne technique, qui augmentera la réalité de la personne
sur les objets de la pièce. La procédure est la suivante :
1. Dites à la personne que vous allez lui administrer un procédé, et
expliquez-lui brièvement la procédure.
2. Les commandements utilisés sont :
a. « Qu’est-ce qui est vraiment réel pour vous dans cette pièce ? »
b. « Allez le (la) toucher. »
c. « Maintenant lâchez-le (la). »

Assurez-vous qu’il les comprend.

3. Donnez le commandement : « Qu’est-ce qui est vraiment réel pour vous


dans cette pièce ? »
4. Lorsque la personne a répondu, accusez-lui réception.
5. Donnez ensuite le commandement suivant : « Allez le (la) toucher. »
6. Lorsque la personne l’a fait, accusez-lui réception.
7. Donnez ensuite le commandement suivant : « Maintenant lâchez-le
(la). »
8. Lorsque la personne l’a fait, accusez-lui réception.
9. Continuez à donner les commandements dans cet ordre : a, b, c, a, b, c,
etc. Assurez-vous de lui accuser réception à chaque fois qu’elle a exécuté le
commandement.
Dites, par exemple : « Qu’est-ce qui est vraiment réel pour vous dans cette
pièce ? »
« Merci. »
« Allez le (la) toucher. »
« Bien. »
« Maintenant lâchez-le (la). »
« O.K. »
« Qu’est-ce qui est vraiment réel pour vous dans cette pièce ? »
« Très bien. »
Et ainsi de suite.
10. Continuez le procédé jusqu’à ce que la personne que vous aidez ait de
bons indicateurs et qu’elle ait eu une cognition. Mettez alors fin au procédé.
Dites à la personne : « Fin du procédé. »
32
Qu’est-ce qui est Ce tableau.
vraiment réel
pour vous dans
cette pièce ?

Merci. Allez
le toucher.

Bien. Maintenant
lâchez-le. Merci.

33
« Devenez curieux à propos de ça »
Il s’agit d’un procédé objectif de base, très simple. La procédure est la
suivante :
1. Dites à la personne que vous allez lui administrer un procédé, et
expliquez-lui brièvement la procédure.
2. Le commandement utilisé est :

« Devenez curieux à propos de ça. »

Assurez-vous qu’elle le comprend.

3. Indiquez un objet dans la pièce en le montrant du doigt, et dites :


« Devenez curieux à propos de ça. »
N’appelez pas l’objet par son nom, contentez-vous de l’indiquer. Ne dites
pas : « Devenez curieux à propos de cette chaise. »
4. Lorsque la personne l’a fait, accusez-lui réception en disant : « Merci »
ou « O.K. » ou « Bien », etc.
5. Continuez à donner le commandement. Assurez-vous de lui accuser
réception à chaque fois qu’elle a exécuté le commandement.
Dites, par exemple :
« Devenez curieux à propos de ça. » (Indiquez un objet.)
« Merci. »
« Devenez curieux à propos de ça. » (Indiquez un objet.)
« Bien. »
« Devenez curieux à propos de ça. » (Indiquez un objet.)
« O.K. »
« Devenez curieux à propos de ça. » (Indiquez un objet.)
« Très bien. »

Et ainsi de suite.

6. Continuez le procédé jusqu’à ce que la personne que vous aidez ait de


bons indicateurs et qu’elle ait eu une cognition. Mettez alors fin au procédé.
Dites à la personne : « Fin du procédé. »

34
Devenez curieux
à propos de ça.

O.K., je l’ai fait.

Très bien.

Devenez curieux
à propos de ça.
Oui, je l’ai fait.

35
LA RÉSOLUTION

COMPLÈTE
Une fois que la personne a été sortie des drogues, d’autres facteurs doivent
être abordés pour obtenir une résolution complète.
Ceci s’applique à toute personne qui a pris des drogues, qu’elle vienne juste
d’abandonner les drogues ou qu’elle ait arrêté depuis plusieurs années. Et ceci
s’applique aussi bien à celles qui n’ont jamais utilisé de « drogues dures » qu’à
celles qui l’ont fait.

Le Programme de purification
Nous vivons dans une société axée sur la chimie. Il serait difficile, dans la
civilisation actuelle, de trouver une personne qui ne soit pas affectée par ce fait.
La grande majorité des gens sont soumis chaque jour à une absorption de
conservateurs alimentaires et d’autres poisons chimiques, parmi lesquels des
poisons atmosphériques, des pesticides, et tous les produits similaires. Ajoutez
à cela les pilules contre la douleur, les tranquillisants et les autres drogues
utilisées et prescrites par les médecins. Et l’utilisation répandue de la marijuana,
du L.S.D., du PCP et autres drogues contribue à noircir encore davantage le
tableau.
En 1977, Ron Hubbard a découvert que le L.S.D. demeurait apparemment
dans le corps pendant plusieurs années après qu’une personne en ait absorbé,
se logeant dans les tissus — principalement les tissus gras du corps — et qu’il
était susceptible d’entrer à nouveau en action, pour faire faire à la personne des
« trips » imprévisibles.
La « restimulation » expérimentée par les individus ayant pris du L.S.D.
semble agir comme s’ils venaient juste d’en reprendre.
Des recherches ultérieures ont semblé indiquer qu’à la manière du L.S.D.,
les autres poisons chimiques et substances toxiques, conservateurs et
pesticides, ainsi que les médicaments et la longue liste des drogues dures (PCP,
héroïne, marijuana, etc.) peuvent aussi se loger dans les tissus et demeurer dans
le corps pendant des années.

36
Même les médicaments comme les pilules diététiques, la codéine, la
novocaïne et autres, sont entrés en restimulation des années après avoir été
absorbés, alors qu’ils étaient censés avoir été éliminés du corps.

Il semble ainsi que n’importe quelle substance biochimique nuisible peut


être piégée dans les tissus, et que leur accumulation désorganise probablement
l’équilibre biochimique et l’équilibre des fluides du corps.

Les conséquences sont nombreuses. Des tests ont montré que la vitesse à
laquelle une personne ayant pris des drogues apprend est nettement plus lente
que celle d’une personne qui n’en a jamais pris. Et la mémoire d’une personne
qui a pris des drogues semble faite pour lui enlever la peur des conséquences.

L’être (thétan) a, bien sûr, des images mentales de ces substances toxiques,
et tant que ces substances sont dans le corps, elles peuvent le restimuler.
Lorsqu’elles quittent le corps, la restimulation constante peut cesser. L’action
effectuée est donc une action spirituelle.

En Scientologie, nous disposons d’une méthode efficace pour purifier le


corps de ces substances ; il s’agit du programme de purification, qui aidera toute
personne vivant dans cette société inondée de toxines et de produits chimiques.

Le programme de purification est une activité étroitement supervisée qui


inclut :

— exercice ;

— sudation au sauna ;

— nutrition avec des vitamines, des minéraux, etc., et de l’huile ;

— un horaire personnel bien ordonné.

37
Exercice : L’exercice effectué dans le cadre de ce programme est de la course.
Son but n’est pas de provoquer une sudation, mais de faire circuler le sang et
fonctionner le corps afin que les impuretés qui s’y trouvent soient libérées et
expulsées.

Sudation au sauna : Après la course, la personne va suer au sauna. Les


impuretés sont ainsi chassées du corps et sortent par les pores.

Nutrition (vitamines, minéraux et huile) : Lorsque nous disons nutrition,


nous ne parlons pas uniquement de nourriture, mais aussi de vitamines et de
minéraux, car ces substances sont vitales pour une nutrition correcte et pour
l’efficacité de ce programme. Nous ne parlons cependant pas de « régime » dans
le sens le plus utilisé de ce mot. La personne mange normalement. Elle devrait
manger des légumes, en faisant attention à ce qu’ils ne soient pas trop cuits.

Les substances toxiques ont principalement (mais pas exclusivement)


tendance à se loger dans les tissus gras du corps. La théorie est donc que l’on
remplace les tissus gras contenant ces accumulations toxiques. Le corps a
tendance à s’accrocher à ce dont il manque. Par conséquent, si vous tentez de
vous débarrasser de quelque chose dont il manque, il ne le laissera pas partir.
Ainsi, si la personne absorbe de l’huile, il se peut que le corps remplace par la
bonne huile les tissus gras intoxiqués. Ceci est la théorie de base. Dans ce but,
nous utilisons des huiles végétales particulières.

Un des effets des toxines et des drogues est de créer dans le corps des
déficiences nutritionnelles en vitamines et sels minéraux. Il est facile à voir qu’il
existe de nombreuses substances toxiques qui créent des déficiences
nutritionnelles. L’alcool, par exemple, pour avoir des effets, dépend de la
capacité d’une personne à consumer la vitamine B1. Une fois que la personne
a épuisé toute la vitamine B1 présente dans son corps, elle sombre dans le
delirium tremens et les cauchemars.

38
Dans le cas d’autres substances toxiques, il est probable que d’autres
vitamines que la B1 soient épuisées. Il semble que nous ayons trouvé que le
L.S.D. et les drogues non seulement épuisent les vitamines B1 et B complexes
(ce que nous supposons qu’elles font), mais créent également dans le corps une
déficience en niacine, et que leurs effets dépendent peut-être du manque de
niacine (l’une des vitamines B complexes).

La niacine est essentielle à la nutrition et vitale pour l’efficacité du


programme de purification. Elle peut produire des résultats étonnants et, en
fin de compte, très bénéfiques lorsqu’elle est prise correctement pendant le
programme avec les autres vitamines et minéraux nécessaires, et ce, en
quantités suffisantes et proportionnées ; et qu’elle est combinée avec de la
course et de la sudation correctement faites. Prise en quantité suffisante, elle
semble désintégrer et libérer le L.S.D., la marijuana et les autres drogues et
poisons, des tissus et cellules. Elle peut libérer rapidement les cristaux de L.S.D.
dans l’organisme. Avec l’absorption de niacine, il faut courir et suer, pour faire
en sorte que les substances toxiques libérées soient effectivement chassées du
corps.

Un horaire personnel bien ordonné : Il est important qu’une personne sur ce


programme maintienne un horaire personnel bien ordonné. Cela signifie qu’à
partir du moment où elle a démarré ce programme, elle doit s’y tenir d’une
manière raisonnable, et ne pas sauter des jours, ou le faire irrégulièrement. Cela
signifie aussi qu’elle doit dormir suffisamment. S’il est fait d’une manière
ordonnée, le programme sera plus rapide et plus efficace.

Le programme de purification ne remplace pas les actions décrites plus haut


dans ce livret pour les personnes encore sous l’effet des drogues et qui
peuvent expérimenter des symptômes de manque lors du sevrage. Le
programme ne commencerait qu’après l’application de cette technologie.

39
LES EFFETS NUISIBLES DES DROGUES

Dans un monde tourmenté par les


drogues, l’individu se retrouve souvent
victime des effets nuisibles des drogues,
des médicaments et de l’alcool, même
s’il les a consommés des années
auparavant.

Les drogues sont essentiellement des


poisons qui coûtent cher au corps
d’une personne en épuisant ses
vitamines et ses minéraux.

3
4
En plus des drogues,
notre monde est submergé Il existe dans l’environnement des milliers de substances
de substances toxiques artificielles qui peuvent pénétrer l’organisme d’une
pour le corps humain. personne. Beaucoup sont toxiques. Nous vivons dans une
société orientée vers la chimie.

40
1984
Il a été prouvé que des résidus de
drogues peuvent être piégés dans le
MENTAL corps.

TISSU DU
CORPS

Résidus de 1994
drogues
5
MENTAL
Des années plus tard, ces
résidus peuvent se déloger
et affecter de nouveau la TISSU DU
personne. CORPS

Résidus de
drogues

Une personne qui ne prend plus de


drogues continuera à avoir des images
mentales de drogues et d’expériences de
drogues...

... qui pourront être réactivées tant que


des résidus toxiques de drogues
demeurent dans le corps. La conscience,
les capacités et les attitudes peuvent en
être affectées d’une manière négative. 8

41
LE PROGRAMME DE PURIFICATION ILLUSTRÉ

Il existe cependant
une voie de sortie de
ce piège : le
programme de
purification, une
activité précise qui
peut libérer le corps
des résidus de
drogues nuisibles et
autres substances
toxiques.

Après avoir reçu un examen


médical et avoir été orienté au
programme, la personne court
pendant un certain temps pour que
le sang circule plus rapidement et
que l’organisme soit réchauffé.

À cause de la circulation plus


rapide, le sang pénètre plus
profondément dans les tissus
dans lesquels les dépôts
résident, et les déloge.

11

10

42
Après avoir
couru, la
personne évacue
les résidus de
drogues par une
sudation dans
un sauna. La
sudation
abondante aide
à purifier
l’organisme de
ces substances
toxiques.

12

La nutrition sous forme de


certaines vitamines et de
certains minéraux constitue
aussi une partie importante du
programme.

13

La niacine, une des vitamines B complexes,


joue un rôle vital. Il semble qu’elle sépare
et libère les résidus de drogues et les dépôts
chimiques des tissus et cellules du corps.

14

43
La niacine peut produire des effets
impressionnants tels que des bouffées de chaleur,
car elle agit réciproquement avec les déficiences
qui existent déjà dans la structure cellulaire.

16

Comme les résidus de drogues ont


tendance à « se bloquer » dans les tissus
15 graisseux...

Mauvaise
graisse ... la personne absorbe de l’huile chaque
jour pour encourager l’échange de
graisse chargée de drogue contre de
Graisse
saine Huile l’huile saine.

HUILE

17

La personne continue à manger


normalement, et prend en particulier
beaucoup de légumes qui ne devraient
pas être trop cuits. 18

44
Le régime de course...

19

... de sudation dans un sauna, de nutrition et


de repos suffisant se répète tous les jours... 20

... jusqu’à ce que la


personne ne
ressente plus les
effets en
restimulation des
drogues du passé.
Le programme de
purification place
la personne dans
une position dans
laquelle elle
pourra faire de
réels gains
mentaux et
spirituels avec
l’audition de
Scientologie, car
les effets des
drogues sur le
mental et l’esprit
ne sont plus
constamment
restimulés.

21
45
Ce programme a tout simplement pour but de nettoyer et de purifier
l’organisme de la personne de toutes les impuretés accumulées, telles que
drogues, insecticides et pesticides, conservateurs alimentaires, etc., qui par leur
présence et leurs effets restimulants pourraient empêcher ou ralentir la
libération spirituelle de l’être, grâce à l’audition de Scientologie qui suivra. Pour
les personnes ayant absorbé du L.S.D. ou du PCP, ceci inclurait l’évacuation
des éventuels cristaux résiduels dans le corps.

À mesure qu’elle avance dans le programme de purification, la personne


devrait pouvoir voir une amélioration dans son bien-être physique grâce à
l’évacuation de l’organisme des impuretés accumulées. Le résultat de ce
programme est un corps purifié, libéré des impuretés, drogues, etc., qui s’étaient
accumulées. Toutefois, le programme de purification n’a pas pour but de guérir
les corps. Notre but est de libérer l’individu spirituellement.

Le programme de purification est disponible sous une supervision experte


dans les organisations et les missions de Scientologie à travers le monde. Le
livre Un corps pur, l’esprit clair : le programme de purification efficace indique
exactement comment ce programme est administré, et décrit toutes ses étapes.

Une personne peut effectuer le programme entier en deux semaines à raison


de cinq heures par jour. Certains auront besoin de plus longtemps, d’autres de
moins longtemps.

Avec le programme de purification, nous avons maintenant le moyen de


nous remettre rapidement des effets de l’accumulation des poisons chimiques
de l’environnement ainsi que des médicaments et des drogues qui inhibent une
personne mentalement et spirituellement.

Avec les vitamines, les minéraux et les huiles, nous pouvons travailler à la
restauration de l’équilibre biochimique du corps, et permettre au corps de se
reconstruire lui-même à la suite de dommages provoqués par les drogues et
autres substances biochimiques.

46
Le Rundown sur les drogues
Bien que le programme de purification soit une étape vitale dans la
résolution des effets des drogues, il ne constitue pas une solution complète par
lui-même.

Une liberté complète par rapport aux drogues et à leurs conséquences


nuisibles requiert également qu’une personne s’adresse directement aux images
mentales reliées au fait d’avoir pris des drogues. Bien que le programme de
purification évacue les résidus de drogues qui maintiennent les images mentales
en restimulation constante, ces images continuent à exister. Elles peuvent être
restimulées par des perceptions dans l’environnement et affectent la personne
d’une façon négative, en dessous de son niveau de conscience et hors de son
contrôle, un facteur qui est à la fois insidieux et extrêmement nuisible.

L’audition qui traite directement ces images est appelée rundown sur les
drogues. Elle est délivrée par des praticiens hautement entraînés dans des
églises et des missions de Scientologie.

Un rundown (mot anglais qui veut dire un sommaire fait point par point)
est une suite d’étapes conçue pour résoudre un aspect spécifique de la vie ou
des difficultés d’une personne, et qui a un résultat final connu. Le résultat du
rundown sur les drogues est la liberté par rapport aux effets nuisibles des
drogues, de l’alcool et des médicaments, et la liberté par rapport au besoin d’en
absorber.

Les perceptions et enregistrements de l’univers physique d’une personne


sous l’emprise de drogues sont imprécis (c’est le moins qu’on puisse dire), car
il s’agit d’une combinaison d’événements passés, de l’imagination et des
événements réels qui se sont produits à ce moment-là. Les perceptions du temps
présent d’une personne peuvent être enchevêtrées avec des images
d’expériences passées. Les images de son mental sont essentiellement
embrouillées à un degré plus ou moins élevé. Sa mémoire et son aptitude à
penser sont par conséquent toutes deux empêchées.

Le rundown sur les drogues résout plusieurs aspects majeurs d’une


utilisation passée de drogues. Tout d’abord, les expériences que la personne a
eues en prenant des drogues sont directement abordées à l’aide de procédés
précis qui libèrent l’attention qui était fixée sur ces expériences, afin qu’elles ne
l’affectent plus.

47
Normalement,
une personne
enregistre
précisément dans
son mental les
perceptions de
l’univers
physique.

Images enregistrées

Événement
actuel

Mais les drogues


peuvent
embrouiller ces
enregistrements
et altérer
gravement les Événement du
passé
perceptions de la
personne, ainsi
que plus tard ses
Imagination
souvenirs des
événements qui
se sont
réellement
produits. Images enregistrées

Événement
actuel

48
Plus l’attention d’une personne est libérée des incidents du passé, plus cette
personne est capable de mener sa vie. Elle se sent plus légère, a de meilleures
perceptions, est plus capable de se contrôler elle-même et de contrôler les objets
dans son environnement, et devient plus capable d’avoir des échanges
rationnels avec les autres.

Un autre facteur abordé par le rundown sur les drogues est qu’une personne
qui a pris des drogues a aussi un tas de sensations physiques, émotionnelles et
mentales déplaisantes reliées aux drogues. En découvrant et en examinant la
source de ces sensations, on libère l’énergie nuisible qui leur est connectée dans
le mental.

Finalement, l’audition va droit au cœur du sujet, et localise les raisons


fondamentales pour lesquelles une personne a pris des drogues. La personne
s’est tournée vers les drogues à l’origine pour une raison — une souffrance
physique quelconque ou un désespoir. Le problème des drogues est donc
essentiellement spirituel. L’être souffrait d’une manière ou d’une autre, et les
drogues sont devenues un moyen de soulager cette souffrance.

La personne a considéré les drogues, l’alcool ou les médicaments comme


une solution à des sentiments ou des conditions non désirés — ce qui pourrait
couvrir un éventail presque infini, et pourrait inclure aussi bien des douleurs
physiques qu’une anxiété ou un manque de confiance. Il faut par conséquent
trouver ce qui n’allait pas avant que les drogues deviennent la solution ou le
« remède ».

Si l’on ne s’attaque pas à la raison première, le besoin ou la compulsion à


prendre des drogues, des médicaments ou de l’alcool demeure. L’audition ne
traite pas seulement efficacement les effets des drogues, mais elle permet aussi
à la personne de découvrir et de supprimer les causes qui l’avaient poussée à
prendre des drogues en premier lieu, éliminant ainsi tout désir d’utiliser ou de
dépendre des drogues à l’avenir.

Le rundown sur les drogues traite et résout les sentiments non désirés que
la personne avait pendant et avant de prendre des drogues, de l’alcool ou des
médicaments. La compulsion à utiliser encore des drogues ou de l’alcool est
supprimée, de sorte que la personne n’a plus besoin de se tourner de nouveau
vers eux.

Après avoir terminé cette audition, la personne est enfin libérée de tous les
effets des drogues.

Une résolution complète des dommages mentaux et spirituels causés par


une utilisation antérieure des drogues requiert toutes ces étapes.

49
Avec l’audition Do
ule
du rundown sur ion
sat rée
Sen dési
ur

les drogues, une no


n

Emo
personne peut ule
u r
tion

Do
localiser la Sensation

source de tous
les effets
mentaux
nuisibles des
drogues, de
l’alcool et des
médicaments. La
personne peut en
être libérée, et
être également
libérée du besoin
d’en prendre de on
Do
ule
ur
nn
nouveau. satio rée
Sen dési

Em o
tion Sen
ur
u le
Do Sensa on

Do
ul eur
n
tio e
nsa ésiré
d
on

Emo
tion
u le
Do on

50
LA VOIE DE SORTIE

La Scientologie est seule à pouvoir venir totalement à bout des effets des
drogues.
Les moyens permettant de sortir quelqu’un des drogues sont maintenant
connus — un programme nutritionnel et des procédés objectifs aidant la
personne pendant sa période de « désintoxication ».
L’action suivante est alors le programme de purification. Ce programme est
destiné à toute personne ayant pris des drogues, ou à quiconque ayant été
soumis à des substances toxiques quelles qu’elles soient.
Et lorsque la personne a terminé avec succès le programme de purification,
l’audition du rundown sur les drogues complètera le maniement des effets
mentaux et spirituels des drogues.
Sans méthodes opérationnelles pour venir à bout des effets des drogues,
nombreuses sont les personnes condamnées à vivre avec des entraves
chimiques. Bien que les drogues puissent paraître avoir des avantages à court
terme, elles masquent simplement les problèmes mais ne les résolvent pas.
Les autres approches de réhabilitation ont échoué principalement à cause
d’un manque de connaissance. Il leur manque une compréhension réelle du
mental, la nature spirituelle de l’homme n’est que peu ou pas du tout connue,
et les effets des drogues sur le mental et l’être sont inconnus. Le résultat est une
approche matérialiste (« L’homme est un animal ») qui ignore ces facteurs
fondamentaux et cruciaux. Et tout ceci conduit à quelque chose qui de toute
évidence ne fonctionne pas.
D’un autre côté, la Scientologie possède un programme de réhabilitation
des drogués, qui marche et est extrêmement efficace, car il s’adresse non
seulement aux problèmes corrects, mais aussi aux sources réelles de ces
problèmes.
Grâce à la compréhension de la véritable nature de l’homme, les méthodes
pour résoudre les facteurs biochimiques, mentaux et spirituels liés aux drogues
existent.
La Scientologie possède les réponses. ❋�

51
EXERCICES PRATIQUES
Voici des exercices que vous pouvez faire pour augmenter votre compréhension
et votre capacité à appliquer les données de ce livret.

1 Regardez autour de vous, chez vous ou à votre travail, et trouvez des


exemples de drogues et de substances toxiques. Lisez, par exemple, les
étiquettes de produits médicaux, d’aliments, etc. Faites cet exercice
jusqu’à ce que vous puissiez facilement reconnaître des exemples de
drogues et de substances toxiques dans votre environnement.

2 Regardez autour de vous dans l’environnement, et notez des exemples


d’effets de l’utilisation des drogues dans la société.

3 Procurez-vous les ingrédients du Cal-mag et faites-vous-en un verre en


suivant les instructions dans ce livret.

4 Trouvez un ami ou une connaissance qui a pris des drogues, et faites-lui


l’un des procédés objectifs décrits dans ce livret, jusqu’à ce qu’il ait de
bons indicateurs et qu’il ait eu une cognition grâce au procédé. Répétez
ceci sur d’autres personnes jusqu’à ce que vous vous sentiez confiant dans
votre aptitude à utiliser ces procédés.

5 À l’aide des données de ce livret, éduquez une personne sur le sujet


des drogues, afin que la personne sache ce que sont les drogues et quels
sont leurs effets, et qu’elle connaisse les seules solutions efficaces telles
qu’elles ont été découvertes en Scientologie.

52
RÉSULTATS D’APPLICATION

Les programmes de réhabilitation des était un drogué. Il décida de faire quelque


drogués financés par les gouvernements à chose pour se libérer de la cocaïne et des
travers le monde continuent à échouer ; ils autres drogues avant qu’elles détruisent
affichent en effet un taux de réussite totalement sa vie. Voici son récit :
lamentable de 15 %. Cela signifie que 85
drogués sur 100 continuent à suivre leurs « Je rejoignis l’armée, car je pensais que
habitudes — il ne s’agit pas là d’une la discipline m’aiderait à rompre avec mes
réussite. Les programmes de réhabilitation habitudes et à rester à l’écart des drogues,
des toxicomanes utilisant la technologie de mais en tant que parachutiste de combat, je
Ron Hubbard, par contre, suivent une pris finalement encore autant de cocaïne que
proportion presque inverse. Une étude durant ma vie civile. À peu près un quart de
indépendante réalisée en Espagne, par exem­ ma division prenait des drogues, et nous nous
ple, a montré que 70 % des personnes ayant étions appelés les “junkies volants”. Je
suivi la totalité d’un programme fondé sur les quittai donc l’armée après trois ans, à cause
travaux de M. Hubbard sont ensuite restées des drogues. J’avais manifestement besoin
à l’écart des drogues. En Suède, une autre d’autre chose qu’une vie militaire pour
étude indépendante a montré que 84 % des m’aider à résoudre mon problème. Les cinq
personnes ayant suivi un programme années qui suivirent, je commençai et aban­
similaire n’avaient toujours pas repris de donnai divers programmes de désintoxication.
drogues deux ans après avoir terminé le Je ne fus capable de vivre une vie sans
programme.
drogues qu’à partir du moment où j’ai utilisé
la technologie de Ron Hubbard. Depuis ce
Le programme de M. Hubbard pour la moment, j’aide d’autres personnes à se
réhabilitation de ceux qui prennent des
drogues et des médicaments est administré
dans les organisations de Scientologie par- LA SCIENTOLOGIE ENCOURAGE UNE VIE SANS DROGUES
tout dans le monde. Si vous avez du mal à Lycéens

mettre en pratique l’une des procédures 89,5 % Une comparaison


décrites dans ce chapitre et avez besoin Lycéens de l’utilisation de
d’aide, contactez l’église ou la mission la drogues et d’alcool
69,7 % entre les adoles­
plus proche, en consultant la liste située à la cents américains
fin de ce livre. et un échantillon
de scientologues
montre la valeur
L’efficacité des méthodes de M. Hubbard de la Scientologie
pour libérer les individus des effets dévas­ dans la résolution
tateurs des drogues — et le sentiment de Scientologues
du problème des
drogues.
réussite qu’on en retire — se reflète dans les 10,2 % Scientologues

pages qui suivent : 0%

Après avoir commencé à prendre des Consommation


d’alcool
Consommation
de drogue
drogues à l’âge de treize ans, un homme
reconnut finalement neuf ans plus tard qu’il

53
débarrasser de leurs dépendances envers « Robert entra dans un état de dépendance
toutes drogues, de l’héroïne à l’alcool, à l’aide vis-à-vis de cette drogue, jusqu’à des centaines
de ce programme. » de pilules par semaine. Bien que cette drogue
était censée être prescrite sous contrôle, des
Le programme de purification est le seul médecins sans scrupules la prescrivaient. Il
programme de ce type dans le monde qui devint un drogué légal. J’appelai ces
soit réellement efficace, comme le dit un médecins et les menaçai d’actions légales,
médecin d’Amsterdam, aux Pays-Bas. Après mais Robert trouva alors un autre médecin
avoir examiné des drogués avant, pendant désireux de se faire de l’argent rapidement,
et après le programme de purification, il a et obtint encore son médicament.
déclaré :
« Il devint si difficile à vivre et si
« Mon opinion est que le programme de méchant qu’il nous volait, nous mentait et
purification développé par Ron Hubbard est menaçait sa mère. Je le fis finalement arrêter
le seul programme qui ait montré son effica­ pour vol qualifié juste pour le sortir de la
cité dans la pratique. Et je parle d’expérience, maison, et dans l’espoir de le remettre
car j’ai été en contact avec des drogués avant brutalement dans la réalité. Le juge le mit
qu’ils démarrent l’étape de désintoxication de en liberté surveillée, et il continua à prendre
ce programme. En faisant les étapes de pré­ de la Ritaline.
paration au début du programme, la personne
« Nous étions alors à un point de rupture,
change déjà tellement qu’il m’arrive parfois de
et envisagions de l’envoyer en prison avant
penser que je dois me tromper, que je ne suis
qu’il ne se fasse du mal à lui-même ou que je
pas vraiment assis en face d’un ancien
ne lui fasse du mal (Dieu m’en garde).
héroïnomane. »
Quelques réflexions d’un père à propos « Un matin, je vis à la télévision deux
de son fils, Robert, portant sur une période jeunes gens parlant de problèmes de drogue
de quatre ans : qui disaient avec conviction qu’ils pouvaient
apporter une aide dans ce domaine et qu’il
« Il y a quatre ans, Robert revint de sa suffisait de les appeler. Je les appelai, puis je
formation militaire, très silencieux et retiré, parlai à mon fils et arrangeai un rendez-vous.
n’éprouvant d’intérêt ni pour le travail ni Robert partit donc à un centre à Los Angeles,
pour les distractions ; aucune envie de faire utilisant la technologie de M. Hubbard. Ils
son chemin dans le monde. Il semblait aller commencèrent à travailler avec lui jour et
de plus en plus mal semaine après semaine, nuit pour l’aider à sortir des drogues.
très apathique et déprimé ; naïvement, je
n’aurais jamais pensé que la cause du « Robert commença à changer pour le
problème était les drogues. mieux — et oh ! quel changement ! Plus de
« Après de nombreuses visites chez des drogues. Il revenait à la maison les week-ends, il
médecins et dans des cliniques, les docteurs était calme et maître de lui et commençait à
ont commencé à lui prescrire une drogue qui parler intelligemment et à agir sainement.
altère la pensée, la Ritaline, pour “améliorer « Quatre mois ont passé, et Robert s’est
sa façon de penser”. Cette drogue contrôlée amélioré chaque semaine, n’embêtant plus
au niveau fédéral était censée l’aider à sa mère, ne demandant plus l’impossible, ne
commencer à “penser de façon normale” et “déformant” plus les choses pour les adapter
à faire ce que font les personnes “normales”. à sa manière de penser.

54
« Il a réellement vaincu la drogue et il « Ça se faisait sans effort et de façon
est véritablement en train de faire quelque stable. Le public et les membres de l’orchestre
chose de valable. étaient tous estomaqués par la différence.
« Nos amis et connaissances nous deman­ « Ce sentiment est sans prix. »
dent maintenant comment nous avons pu avoir
un fils aussi attentionné, calme et
Des années de toxicomanie à l’héroïne
avaient conduit un couple marié tout près
s’exprimant aussi intelligemment. Je me
contente de sourire et de répondre qu’il de la mort, sans issue. Heureusement, on
travaille à Los Angeles avec un groupe de présenta à la sœur du mari les découvertes
personnes aidant les jeunes gens à démarrer de M. Hubbard sur les drogues et ils furent
sur le chemin de la vie. capables de retrouver leur santé et leur
enthousiasme pour la vie.
« Bonne chance, Robert.
« Lorsque mon mari et moi avons com­
« Ton Papa. mencé le programme de M. Hubbard pour la
« Et merci à tous ses amis, ici au centre. » réhabilitation des drogués nous étions tous
les deux dépendants de l’héroïne et nous
Une musicienne retrouva la joie de créer prenions aussi d’autres drogues. Trois
médecins avaient dit à mon mari qu’il n’en
après avoir pu se débarrasser des effets de la
drogue. avait plus pour longtemps à vivre. Il avait
des convulsions récurrentes ; son cœur et sa
« En tant que musicienne, l’une des respiration se sont même arrêtés à trois
aptitudes les plus importantes est d’être très reprises et j’ai tout juste pu le sauver. Nous
consciente de ce que font et pensent les autres ne savions plus à quel saint nous vouer
musiciens. Pendant que je suivais le quand ma belle-sœur nous a parlé de la tech­
programme de purification, j’ai éliminé les nologie de M. Hubbard pour la réhabilitation
effets d’une grande quantité de marijuana et des drogués.
également d’anesthésiques médicaux. « Nous avons trouvé un centre qui
« Un jour, ma conscience a en quelque administrait le programme et avons passé
sorte explosé à un tout nouveau niveau : par le sevrage, ce qui fut étonnamment
couleurs, sons… toutes mes perceptions facile. Nous fûmes stupéfaits de la rapidité
étaient plus étendues et plus riches. C’était et de l’efficacité avec laquelle ça a réussi,
déjà plutôt emballant ; cependant, le meilleur particulièrement si l’on considère la quantité
restait à venir. Ce soir-là je suis allée à une de drogues que nous avions prise.
répétition et dès le début, j’ai pu voir que « Puis nous avons fait le programme de
quelque chose était différent et mieux. En purification. Le sauna a été plutôt dur, mais
tant que groupe, c’était comme on dit “dans il a aidé à évacuer par la transpiration
la poche”, toute la nuit – cet état incroyable toutes les drogues de notre corps. Lorsque
où vous êtes intimement et intensément mon mari a fini, il a dit qu’il avait l’impression
conscient de ce que fait chacun et où ils vont. qu’un brouillard venait juste de se dissiper
Toute votre attention est en dehors de vous­ de sa tête. Je me sentais à nouveau comme
même et des mécanismes de technique pour une adolescente, toute jeune et pleine de vie.
se concentrer totalement sur la création de la Quant au reste du programme, il m’a aidée
musique ! à sortir de ma tête les besoins maladifs et m’a

55
remise dans le temps présent et ainsi je persuadée d’y croire et d’avoir du courage
n’avais plus à ruminer le passé. encore une fois.
« Le programme m’a donné un nouveau « Ça fait maintenant quatre ans que
regard sur la vie. Je ne suis plus en manque mon fils va parfaitement bien. Il n’a jamais
et j’ai retrouvé mon mari tout entier. Il repris de drogues, il a un bon boulot et je
semble n’avoir aucun problème avec quoi constate qu’il a une grande confiance en lui
que ce soit. Il est en aussi bonne santé que dans ce qu’il fait. »
n’importe qui n’ayant jamais pris de drogue
auparavant. L ’existence était une glissade fatale vers un
désastre total pour un Anglais jusqu’à ce
« Je veux remercier les personnes du qu’un ami l’aide à s’arrêter, à faire demi-tour
centre de nous avoir rendu nos vies et et à remonter la pente vers une vie digne
procuré une vie heureuse, saine et sans d’être vécue.
drogue.
« Nous avons décidé de rester au centre « Avant d’avoir trouvé le programme de
pour aider les autres à avoir une vie sans M. Hubbard pour la réhabilitation des
drogue et tenter de libérer cette planète tout drogués, j’avais pris des drogues pendant
entière des drogues. J’ai l’impression de tout seize ans. J’ai commencé à fumer de la
pouvoir accomplir. Je me sens rajeunie, marijuana et en suis venu rapidement aux
dégagée du poids de ces drogues qui m’ont amphétamines, au L.S.D. et aux somnifères.
bloquée si longtemps. » Cela a duré environ une dizaine d’années
avant que je me laisse entraîner dans l’abus
À Milan, une mère italienne était déses­ de cocaïne “à la mode”. Je pensais vraiment
être en contact avec l’essence de la vie. Mais
pérée en voyant son fils se détériorer sous
les effets dévastateurs des drogues. Son je n’étais que l’effet de mon mental et de mon
désespoir s’est transformé en espoir, puis en corps qui, je le sais maintenant, étaient com­
bonheur lorsqu’elle retrouva son fils grâce à plètement souillés par les drogues (poisons)
la technologie pour la réhabilitation des que je prenais. Pendant tout le temps que ceci
drogués. a duré, je ne pouvais garder aucun travail
avec des responsabilités ni prendre aucune
« Pendant de nombreuses années, j’ai responsabilité dans la vie courante.
gardé l’espoir que mon fils pût être libéré des « La délinquance devint l’autre face de
drogues. Mais jour après jour je sentais qu’il ma vie. La gravité des crimes que je commettais
s’éloignait de moi. Pour moi, le moment de sa était proportionnelle à l’augmentation de
réhabilitation était très, très lointain. mes besoins en drogue. Je me suis recroquevillé
« Puis mon fils s’est inscrit dans un sur moi-même et il m’était difficile d’avoir
centre de réhabilitation des drogués qui des conversations normales sur quoi que ce
utilisait la technologie de M. Hubbard. Je soit. Mes capacités de maîtrise de moi-même
dois avouer que je ne croyais pas que ça étaient complètement anéanties et après un
marcherait. Il était dans le centre depuis à certain incident criminel je me suis retrouvé
peu près huit mois, mais j’avais peur qu’une en prison. Comme j’avais très mauvais
fois de retour à la maison, il reprenne de la moral, l’héroïne était une forme commode de
drogue, car nous avions eu une expérience fuite de la réalité de ce qui m’arrivait dans
similaire par le passé. Mais je me suis la vie. Après trois mois en prison, je fus

56
relâché dans la société pour reprendre là où bable que même ces personnes échappent
j’en étais. Mais malheureusement, pour moi aux effets de nombreuses substances nocives
et pour la société, j’étais maintenant devenu qui se répandent dans le monde moderne :
héroïnomane. pesticides, déchets industriels, pollution de
« Tous mes espoirs et ambitions se sont l’air, agents de conservation et
envolés et là, j’étais sur l’inévitable pente additifs alimentaires ; la liste n’en finit pas.
savonneuse. Le crime redevenait une Le programme de purification de
affaire quotidienne. Mais je n’avais M. Hubbard offre une réponse aux effets
absolument aucun contrôle, et avant de spirituels défavorables de cet assaut
réaliser ce que je faisais, je me suis enfoncé chimique. Pour cette raison, le programme
dans des difficultés plus graves que jamais. de purification a suscité un vaste intérêt,
non seulement chez ceux qui ont subi les
« Finalement, à la demande pressante ravages des drogues illégales, mais aussi
de ma famille, je commençai la longue chez ceux qui ont mené des vies
bataille pour surmonter ma toxicomanie. relativement exemptes de drogue. L’histoire
J’ai enduré de nombreuses désintoxications qui suit en est un exemple.
pénibles et ratées dans différentes cliniques
et qui m’ont coûté plus de 25 000 $. Mais, « Avant de faire le programme de
peu après chaque désintoxication, je reprenais purification, je n’étais pas du tout ce que
l’héroïne. Je ne pouvais pas comprendre vous appelleriez un “drogué”. J’avais bu
pourquoi, chaque fois que je retournais dans mon verre et pris des médicaments de temps
la société avec des intentions positives, je en temps, mais c’était tout. Je ne pensais pas
finissais dans l’état d’esprit que je ne pouvais que cela dût avoir beaucoup d’effet sur moi.
vivre ma vie sans héroïne. Cependant, lorsque j’ai entendu parler du
« Heureusement, j’ai rencontré quelqu’un programme de purification, ça m’a tout de
qui connaissait l’incroyable réussite des suite intéressé. Je pensais que tous les
techniques de M. Hubbard pour la réhabilita­ produits chimiques que j’avais pris au cours
tion des drogués. J’ai commencé le programme des années, avec les aliments sous
et très peu de temps après, j’ai repris contrôle emballage, l’atmosphère polluée des villes,
de ma vie ; probablement pour la première l’eau du robinet, etc., pourraient avoir eu un
fois. effet sur moi. Eh bien, j’avais raison !
« Depuis que j’ai fini le programme, je « Après avoir fait le programme le
sais que j’ai un avenir et que je peux vivre le changement en moi fut incroyable. Avant,
reste de ma vie comme le reste de ma vie, pas j’avais tout le temps des maux de tête. Je
juste “au jour le jour”. croyais que c’était juste une chose avec
laquelle il me fallait vivre. Après le
« Si vous cherchez à vous en sortir, c’est programme de purification, ils disparurent
la solution. Je le sais. » et ne revinrent jamais.
Il y a de nombreuses personnes qui ne suc­ « Mais plus important, je me suis senti
combent jamais aux pressions et tentations complètement sain et bien plus dans le temps
de la toxicomanie tellement courantes dans présent. Très frais et très alerte et “là”. Cela
la société d’aujourd’hui. Mais il est peu pro­ a fait une grande différence. »

57
À PROPOS DE

RON HUBBARD

A ucune déclaration de Ron Hubbard ne personnifie mieux sa vie que cette simple
affirmation : « J’aime aider les autres. J’estime que mon plus grand plaisir dans la vie
est de voir quelqu’un se libérer des taches d’ombre qui viennent assombrir ses jours. »
Derrière ces quelques mots, succincts mais essentiels, s’articule une vie tout entière
de service à l’humanité et le don d’une sagesse permettant à chacun d’atteindre des
rêves de bonheur et de liberté spirituelle depuis longtemps espérés et chéris.
Ron Hubbard est né à Tilden dans le Nebraska, le 13 mars 1911. Son aspiration à
découvrir comment aider ses semblables et son dévouement à leur égard débutèrent
lorsqu’il était très jeune. « Je voulais que les autres soient heureux et ne comprenais
pas pourquoi ils ne l’étaient pas » écrivit-il en parlant de sa jeunesse ; un sentiment
qui devait guider ses pas pendant longtemps. À l’âge de dix-neuf ans, il avait déjà
parcouru plus de 400 000 kilomètres, et examiné les cultures de Java, du Japon, de
l’Inde et des Philippines.
De retour aux États-Unis en 1929, Ron reprit le cours de son éducation scolaire
puis s’inscrivit l’année suivante à l’université George Washington. Il y étudia les
mathématiques, l’ingénierie et une nouvelle discipline pour l’époque : la physique
nucléaire. Ces connaissances allaient se révéler fort utiles dans ses recherches
ultérieures. Pour financer ses recherches, Ron entreprit une carrière littéraire au début
des années trente et devint rapidement l’un des écrivains les plus lus de livres de
fiction populaires. Toutefois, ne perdant pas de vue son but premier, il continua ses
recherches fondamentales au travers de multiples voyages et expéditions.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, il fut nommé lieutenant (enseigne de
vaisseau première classe) de la marine américaine et servit en tant que capitaine
de corvettes anti-sous-marines. En 1945, estropié et à moitié aveugle à la suite de
blessures au combat, il fut diagnostiqué comme handicapé à vie et hospitalisé à
Oakland en Californie. Il avait cependant déjà formulé à cette époque ses premières
théories sur le mental humain, et les mettant en pratique, il réussit non seulement à
aider d’autres compagnons de guerre mais même à recouvrer sa propre santé.
Après avoir passé cinq années de plus à travailler la question avec ardeur, il
présenta ses découvertes dans La Dianétique : la puissance de la pensée sur le corps,
le premier livre de vulgarisation ou « manuel » sur le sujet du mental humain,
précisément écrit pour l’homme de la rue. La parution de La Dianétique marqua le

58
début d’une nouvelle ère d’espoir pour l’humanité et d’une nouvelle phase de la vie de
son auteur. Mais il ne cessa pas ses recherches et c’est ainsi qu’à force de découvertes
systématiquement codifiées les unes après les autres, naquit, à la fin de l’année 1951,
la philosophie religieuse appliquée de Scientologie.
Parce que la Scientologie explique la vie dans sa totalité, il n’y a pas d’aspects de
l’existence humaine auxquels les recherches ultérieures de Ron Hubbard ne se soient
pas intéressées. Résidant tour à tour aux États-Unis et en Angleterre, il poursuivit ses
recherches en apportant des solutions à des problèmes sociaux tels que le déclin du
niveau de l’éducation scolaire et le problème de la drogue.
Pour résumer, les travaux de Ron Hubbard sur les sujets de la Scientologie et de
la Dianétique comptent plus de quarante millions de mots écrits ou enregistrés qui
constituent l’héritage de toute une vie qui prit fin le 24 janvier 1986. Toutefois, le
départ de Ron Hubbard de ce monde n’a pas mis fin à sa présence puisque avec plus
de cent millions de ses livres en circulation et des millions de gens qui appliquent
quotidiennement ses techniques de développement, on peut certainement affirmer
que le monde n’a toujours pas trouvé de meilleur ami.❋

59
LE GLOSSAIRE DES TERMES

accusé de réception : ce qu’on dit ou fait pour personne qu’elle regarde et trouve quelque chose
informer quelqu’un que ce qu’il vient de dire ou d’extérieur à elle-même.
faire a été noté, compris et reçu. réalité : ce qui semble être. La réalité est fonda­
accuser réception : donner un accusé de réception mentalement un accord ; le degré d’accord auquel
(à quelqu’un). Voir aussi accusé de réception dans les gens parviennent. C’est ce que nous sommes
ce glossaire. d’accord de considérer comme réel qui est réel.
auditeur : une personne entraînée et qualifiée pour restimulation : la réactivation du souvenir d’une
appliquer des procédés de Scientologie à des indivi­ expérience désagréable du passé, due à la similarité
dus pour les aider à s’améliorer. Voir aussi audition entre les circonstances présentes et les circonstan­
dans ce glossaire. ces de cet incident du passé.
audition : du latin audire voulant dire « écouter » rundown : de l’anglais. Une suite d’étapes conçues
ou « entendre ». Une forme de conseil personnel pour résoudre un aspect spécifique de la vie ou des
unique en son genre, qui aide l’individu à regarder difficultés d’une personne, et qui a un résultat final
sa propre existence et augmente son aptitude à faire connu.
face à ce qu’il est et à savoir où il se trouve. L’audi­
Rundown de Purification : un programme d’exer­
tion est une activité précise, minutieusement codi­
cice, de sudation au sauna, de nutrition avec un
fiée, composée de procédures exactes.
horaire personnel bien ordonné. Il nettoie et purifie
avoir : le sentiment qu’on possède ou qu’on a à soi. l’organisme de la personne de toutes les impuretés
Il peut aussi être décrit comme le concept d’être accumulées, telles que drogues, insecticides et pes­
capable d’atteindre ou de ne pas être empêché ticides, conservateurs alimentaires, etc., qui par leur
d’atteindre. présence et leurs effets restimulants pourraient
cognition : une nouvelle prise de conscience à empêcher ou ralentir la libération spirituelle de
propos de la vie. C’est une remarque du type « Tu l’être avec l’audition de Scientologie.
sais, je... », quelque chose que la personne comprend rundown sur les drogues : une série de procédés
ou ressent soudainement. qui traite les images mentales liées au fait d’avoir
exercices d’entraînement : des exercices qui ren­ pris des drogues. Le résultat du rundown sur les
dent une personne capable d’améliorer son aptitude drogues est d’être libéré des effets nuisibles des dro­
à communiquer. En faisant ces exercices, l’aptitude gues, de l’alcool et des médicaments et du besoin
de n’importe qui à communiquer avec les autres d’en absorber.
peut être grandement améliorée. Scientologie : une philosophie religieuse appliquée
images mentales : des images en couleur et en développée par Ron Hubbard. C’est l’étude et la
trois dimensions avec les sons, les odeurs et toutes façon d’aider un esprit en relation avec lui-même,
les autres perceptions, plus les conclusions ou les les univers et tout ce qui est vie. Le mot Scientolo­
spéculations de l’individu. Il s’agit de copies menta­ gie vient du latin scio qui veut dire « savoir » et du
les des perceptions qu’une personne a eues à un mot grec logos qui veut dire « le mot ou la forme
moment du passé, néanmoins quand elles sont extérieure par laquelle s’exprime et se manifeste la
enregistrées dans des moments d’inconscience ou pensée intérieure ». Ainsi, la Scientologie veut dire
de conscience amoindrie, elles existent en dessous savoir au sujet du savoir.
de son niveau de conscience. somatique : un mot utilisé en Scientologie pour
indicateur : une condition ou une circonstance qui désigner toute sensation corporelle, des sensations
survient durant un procédé, et indique (révèle ou de maladie, de douleur ou de malaise. Soma signifie
montre) si celui-ci se passe bien ou mal. Le fait que « corps » en grec.
la personne apparaisse plus radieuse ou plus gaie, temps présent : le temps qui est maintenant et
par exemple, est un bon indicateur. Voir aussi pro­ devient le passé aussi rapidement qu’il est observé.
cédé dans ce glossaire. C’est un terme qui s’applique de façon large à l’envi­
PCP : (aussi appelé angel dust, poussière d’ange) ronnement qui existe dans l’instant actuel.
drogue vétérinaire utilisée comme hallucinogène.
thétan : la personne elle-même — pas son corps, ni
piste de temps : l’accumulation de toutes les ima­ son nom, ni l’univers physique, ni son mental, ni
ges mentales que l’on a enregistrées. Voir aussi quoi que ce soit d’autre — ce qui est conscient
image mentale dans ce glossaire. d’être conscient, l’identité qui est l’individu. Ce
procédé : une série d’instructions précises ou une terme thétan a été inventé pour éliminer tout risque
suite d’actions entreprises pour obtenir un résultat de confusion avec des concepts plus anciens et ina­
désiré. daptés. Il vient de la lettre grecque thêta que les
procédé objectif : un genre de procédé qui aide Grecs utilisaient pour représenter la pensée ou peut
une personne à détacher son attention d’elle-même être l’esprit, à laquelle on a ajouté un n pour en faire
et à la porter sur son environnement, sur les per­ un substantif, comme cela se pratique en ingénierie
sonnes et les objets qui s’y trouvent. Objectif se rap- moderne pour créer des mots.
porte aux objets extérieurs, non aux pensées ou aux TR : de l’anglais TR, Training Routines — exercices
sentiments de l’individu. Les procédés objectifs d’entraînement. Voir exercices d’entraînement dans
60 s’adressent au réel et à l’observable. On exige de la ce glossaire.
NEW ERA* Publications International ApS fabrique et des marques de services détenues par le Religious

Store Kongensgade 53 Technology Center et sont utilisées avec sa permission.

1264 Copenhagen K *Marques déposées.


Denmark NEW ERA est une marque de fabrique et
ISBN 87-7968-130-1 une marque de service déposée.
© 1994, 2001, 2003 L. Ron Hubbard Library.
Imprimé au Danemark
Tous droits de reproduction et d’adaptation réservés.
FRENCH EDITION
Toute copie, traduction, reproduction, importation ou

distribution non autorisée de ce livret, en tout ou en partie,


*
par un quelconque moyen, y compris copie, stockage ou

transmission électronique, est une violation des lois en vigueur.

Scientologie, Dianétique, La Scientologie, La Dianétique, Celebrity

Centre, L. Ron Hubbard, Flag, Freewinds, la signature de


L. Ron Hubbard et la croix de Scientologie sont des marques de
Une publication L. RON HUBBARD

61

También podría gustarte