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Boviogne s/Me™ GROUPEMENT D‘ETUDE DE PHENOMENES AERIENS DEPART DE L’ENGIN DE LA PREMIERE OBSERVATION DE WHEELER ON REMARQUE L’INSCRIPTION QUE PORTE CET ENGIN (voir l'article en page 28) t de la reproduction par ““GICOFF Information” d'une illustration parue dans "SAGA’ PUBLICATION PERIODIQUE TRIMESTRIELLE REDACTION - ADMINISTRATION. c. P. AL 69, rue de la Tombe-Issoire, 75014 PARIS 46 4° Trimestre 1975 DECEMBRE 1975 A notre tres vif regret, notre bulletin n'aura jamais paru si tard et nous présentons ce propos toutes nos excuses a ses lecteurs. Nous espérons quills seront néanmoins indulgents @ notre égard, car l'aggravation de nos difficultés visuelles, difficultés que nous avions déja signalées, et une pénible maladie ont constitué de graves obstacles a notre travail, entrainant des retards sans précédent. En outre, la dimension de l'article que nous avions initialement projeté — et qui ne portait guére que sur I'incident de New Berlin — a donné lieu a des développements que nous n’avions pas prévus, mais qui nous ont paru si importants et si intimement liés & la matiére de notre article initial que nous n’avons pas cru pouvoir les omettre, ce qui a contri- bué a retarder beaucoup Ia parution de ce bulletin. ° On peut dire quiavec ces additions auxquelles nous ne nous attendions pas, ce numéro de « Phénomenes Spatiaux » est devenu une sorte de numéro spécial sur les pannes des soucoupes volantes. Dans notre avant-propos précédant |'article, nous avons déja souligné importance, sous certains aspects, de ces pannes des soucoupes volantes. Mais elle est plus grande encore que nous ne l'avons dit, car, sur d'autres aspects, dont nous n'avons pas parlé, du phénomene si déconcertant des soucoupes volantes, elle nous apporte des indications du plus haut intérét. . ly a présentement toute une tendance, illustrée par Vouvrage de Jacques Vallée « Le Collage Invisible » — qui a fait l'objet de notre éditorial de N° 44 (juin 1975) de « Phéno- menes Spatiaux » — a faire des soucoupes volantes des manifestations en quelque sorte = surnaturelles » ou parapsychologiques, des hallucinations ou visions a caractére religieux — au sens usuel de ce terme — et de leurs occupants des personnages célestes, angéliques ou démoniaques. Faute de preuve, nous n'entendons pas catégoriquement nier que certaines manifesta- tions attribuées au phénomeéne soucoupe volante puissent relever de telles explications, mais, comme nous l'avons dit, nous restons attentif & préserver I'hypothése — ce n’est bien sir qu'une hypothése — de visites faites 4 notre planéte par des représentants de civilisations techniques extraterrestres. . Or, ceux qui écartent cette naturelle hypothése, ceux qui refusent aux soucoupes volan- tes un caractére technique naturel, ceux qui ne veulent pas voir en elles des machines, au sens humain du mot, tirent argument, pour appuyer leur thése, de la complete invulnérabilité qu'ils attribuent aux soucoupes volantes. Tout récemment, un de nos correspondants nous a fait parvenir un bref exposé établi par un prétre qui a lu l'article « Créatures en réduction », paru dans le N° 45 (septembre 1975) de « Phénoménes Spatiaux » et soutient |'hypothése de Vorigine surnaturelle des soucoupes volantes. Cet ecclésiastique écrit textuellement en par- lant de leurs occupants : « Je orois que personne ne pourra jameis mettre la main sur eux ou leurs appareils. Ils se jouent des techniques humaines. Ils sont invulnérables. » C'est une opinion, ce n'est pas un fait et, & vues humaines, l'un des intéréts majeurs du présent bulletin est de le démontrer. Ce qui lui donne, sur le plan philosophique, une importance que nous avons tenue a mettre en relief. Nous ne saurions trop insister sur ce point qu’en matiére de soucoupes volantes il convient de ne pas se livrer sans information suffisante — lire quelques livres ou quelques articles de journaux ne donne pas la mesure d'un sujet qui parait défier notre pensée — a des jugements prématurés. Nous me nous dissimulons pas qu’en lisant le présent numéro d'aucuns seront tentés de prendre une position radicalement opposée & celle de l'ecclésiastique que nous avons cité. Voyant I'extraordinaire similitude entre les moyens mis en ceuvre par les occupants d'une part, et nos propres techniciens d’autre part pour la réparation de leurs machines res- pectives, ils se persuaderont que les soucoupes volantes sont terrestres et, par voie de conséquence, préteront & leurs occupants les sentiments et intentions des représentants de notre espace, c'estadire leurs propres sentiments et leurs propres intentions. De telles persuasions sont des plus aventurées et pourraient étre des plus trompeuses. Depuis l'invention du spectroscope — que n’avait pas prévue Auguste Comte — et la mise en ceuvre des techniques de la recherche astronomique et spatiale, notre science a acquis la solide conviction de l'unité matérielle et structurale de l'univers. Dans ces condi- tions, si électricité est un phénomane cosmique et si ses lois sont les mémes sur toutes les planétes du ciel, rien ne nous interdit de penser que le concept de moteur électrique se soit imposé de la méme maniére a toutes les espéces intelligentes et techniciennes peuplant toutes les planétes habitables — ou rendues artificiellement telles — du cosmos. Le moteur électrique peut bien étre, en conséquence, un phénoméne technique univer- sel. Mais il ne s‘ensuit pas pour autant que ses utilisateurs aient tous, hors du domaine pure- ment technique, la méme forme de pensée et que nous pulssions, nous terrestres, saisir leur vision du monde, pénétrer leurs intentions et leurs objectifs. Le fait que les Chinois et les Occidentaux soient aptes & construire les uns et les autres des moteurs électriques n’en- traine pas nécessairement que les seconds puissent pénétrer l'intime pensée et la culture des premiers. Nous ne voudrions pas achever ces lignes sans dire combien nous avons été touchés de la confiance que nous ont faite tant de nos membres et abonnés en dépit du retard exceptionnel et bien involontaire qu'a subi laparution du présent numéro de « Phénoménes Spatiaux ». Nous leur disons toute notre gratiiude. René Fouéré. AVIS IMPORTANT Dans le N° 36, de juin 1973, de « Phénomenes Spatiaux », nous avions inséré en demiére page de couverture une note trés libérale autorisant ia reproduction libre et gratuite, partielle ou intégrale, de n'importe quel texte publié dans « Phénoménes Spa- UX. », sous l'expresse réserve que les ragles de la courtoisie et du bon usage fussent respectées. Par la suite, des abus caractérisés ayant été commis, des déformations allant jus- qu’a la falsification ayant été infligées nos textes, nous avons dQ, par un avertissement Paru en page 33 dans le N° 43, de mars 1975, de « Phénoménes Spatiaux » et rappelé dans le N" 44, de juin 1975, restreindre aux seules publications ne présentant aucun caractére commercial les libertés de reproduction que nous avions antérieurement accor- dées. Les constatations déplaisantes que nous avons pu faire depuis nous ont contraint, A notre grand regret, a renoncer méme a ces libéralités A usage restreint, dont témoi- gnait le N° 43 de notre revue, pour revenir aux régles coutumiéres, En conséquence, depuis le N° 45, de septembre 1975 — et cette interdiction est valable pour tous les numéros ultérieurs, le présent numéro compris — la reproduction, méme partielle, de nos textes est rigoureusement interdite pour toutes publications ot tous pays sans autorisation préalable de notre part. Cette interdiction vaut également pour les dessins et photographies, paraissant ou a paraitre dans « Phénoménes Spa- tiaux », qui sont notre propriété.

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