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UNE ANNEE S’EN VA Une revue n'est pas un livre et, bien que nous n‘ayons jamais voulu faire de la notre un simple catalogue de faits mais cherché sans cesse a y aborder les aspects les plus généraux ct Jes plus significatifs du phénoméne étudié, nous sommes néanmoins exposé a subir les contraintes de l'actualité. Nous avions déja concu le plan de ce numéro et nous étions prét a le réaliser dans de brefs délais lorsqu’a éclaté soudainement au-dessus de ce pays ou a faible distance de ses frontiéres — nous pensons ici a Turin — une sorte de feu d'artifice d'observations, et notre plan initial s’en est trouvé bouleversé, Nous avons été ainsi engagé dans des recherches parfois difficiles — on le verra a propos de Turin — et, du meme coup, noire bulletin a subi un retard imprévisible, et pour nous affligeant, dont nous: nous excusons beaucoup. Nous le regrettons d’autant plus que, jusque-la, nous avions fait de nos bulletins de fin d'année des messages apportant des voeux tous nos amis de France et de l’étranger sans les encouragements et la collaboration desquels nous n’aurions pu persévérer dans notre tache écrasante, Pour nous qui n'avons jamais cessé de nous intéresser, au-dela de leur aspect techni- que, & l'aspect simplement et admirablement humain de nos rapports avec nos adhérents, abonnés et sympathisants, ce retard crée un pénible malaise qu’aggrave encore toute la force de notre gratitude envers ceux qui en seront victimes. Une gratitude d'autant plus justifiée que la corbeille des veux annuels qui nous sont adressés n'a jamais été plus remplie de lignes plus touchantes. Nous remercions de tout coeur tous ceux qui nous les ont écrites, en leur disant que c'est pour nous une peine grande et sincére de ne pouvoir leur répondre individuellement. C'est grace a I'action de tous ces correspondants et amis que, tout en conservant une attitude mesurée, courtoise et désintéressée, le G.E.P.A. a pu, sans recourit @ aucune publi- cité commerciale, non seulement maintenir mais encore étendre son rayonnement dans les milieux les plus valables, scientifiques ou non. ‘Ainsi qu'en témoigne le texte de Robert Frédérick cité dans notre dernier éditorial, la qualité intrinséque de notre action n’a cessé d'’étre reconnue et appréciée. Nous avons cons- nce des dévouements auxquels nous sommes redevable de ce précieux et persévérant credit. Nos chaleureux remerciements vont a nos proches collaborateurs qui n'ont pas épargné leurs efforts pour nous aidcr a surmonter nos incessantes difficultés. Nous signalerons, parmi ceux qui ont signé des articles parus dans l'année qui vient de finir ou qui nous ont aidé leurs conseils. Joél Mesnard, Maryvonne Eveno, Jean-Michel Dutuit, Michel Troublé, Jean-Loui Becquereau, Pierre Gestin, HenryJean Besset, M. et Mme Vonarburg, Bertrand Méheust, Pierre Bosc et. a l'étranger, Oscar A. Galindez, Rubens J. Villela, Christian Vogt, Vicente J. Balles- ter Olmos, Manuel Osuna Llorente et Cecilia C. de Puig. Nous ne voulons pas oublier dans notre gratitude ceux qui furent les animateurs de nos réunions publiques : MM. Lob et Gigi, Pierre Kohler, M. et Mme Vonarburg, MM. Jacques Scornaux de la SOBEPS, Bertrand Meéheust, Frangois Toulet et Jean Gou Au nombre de nos dévoués informateurs, que nous nous excusons de ne pouvoir tous citer, nous mentionnerons nos compatriotes Jean Bastide, Jean Cerles, Roland Dupire, Gil- bert Bianchi, Louis Bouquin, Charles Reynard, Christian Luigi, Joé! de Perthuis, Stan Le Sco- lan, Marie-Hélene Blanco, et, parmi nos correspondants a ['étranger Irene Granchi, Chris- tian Vogt, Paulo Coelho Netto, Claude Mac Duff, Jean Talbot et Ignacio Darnaude. Pour la traduction des textes que nous avons recus, Renée Corriol, Guilherme Concei- a0, Henry-Jean Besset, Hervé Matte, Monique Padroza et Christiane Huet nous ont rendu les plus éminents services. Sans le travail administratif et d’organisation assumé, en dépit de son travail profession- nel, par notre épouse, qui a été en outre pour nous-méme une collaboratrice inestimable, le GEPA. n'aurait pas survécu. Notre groupement a été également redevable de leur aide précieuse & Mmes Elaine Ackerman, Anne Blaringhem, Marthe Moisan, Micheline Morel, Reine Procope; a Mlles Cristi, Régine Robin; a M. Christian Arsidi. Pendant toute cette année encore, notre fi ami Pierre Lacombe, correcteur professionnel des plus qualifies et des plus avert toute sa compétence @ notre service pour la lecture des épreuves de notre bulleti Nous disons aussi nos remerciements a Jean-Francois Boédec, de la « COMMISSION OVNI », qui nous invita a parler & Quimper; 4 Henry-Jean Besset qui, avec ses amis. orga- nisa notre voyage-conférence a Dijon; a Raphael Farriols et Antonio Ribera qui nous accuell- lirent si obliaeamment a Barcelone en mai dernier; a Jean-Louis Becquereau qui a contribué @ assurer la présence du G.EP.A. au Salon de l’Aéronautique et de I'Espace ainsi qu'au Se- lon de l'Enfance. A propos des manipulations de la « lumiére » Nous assistons présentement & une transformation graduelle, et dans un sens qui nous est favorable, de attitude générale, dans les milioux scientifiques comme dans les moyens collectifs d'information, a 'égard du probleme des soucoupes volantes, transformation qui nous semble s'accélérer et qui nous est d’autant plus agréable qu’ouvertement ou discré- foment nous avons contribué de facon sérieuse & la promouvoir. Nous constatons également que se manifeste dans des revues spécialisées un intérét grandissant pour certains phénoménes surprenants dont gine, phénoménes que nous avions déja signalés a I'attention de nos lecteurs il y a prés de dix ans, lorsque nous avions écrit dans le « Bulletin du GEP.A.» Ne 6, du 2° trimestre 1964 et encore ronéotypé, notre article «Etranges précisions sur les. inci et de Trancas ». Nous n'avons jamais cessé depuis de nous intéresser a ces singuliers phénoménes et, en particulier @ ceux de nature lumineuse ou « paralumineuse », tels les faisceaux tronqués, qui sont si déconcertants et sur lesquels s'est penché notre collaborateur et ami Jean Goupil. C'est tellement vrai que, pour interroger Mme de Trancas, notre ami argentin Galindez s'est inspii du GEP.A. (voi cas, sept ans apri ‘olié Moreno, un des principaux témoins de nos propres écrits et des enquétes ‘dans « Phénomanes Spatiaux »Ne 33, notre présentation de son article « Tran- 3s»). René FOUERE. soucoupes volantes sont & l'orl- jents de Monte Maiz REMERCIEMENTS ET VCEUX Trés touchés des voeux si encourageants qui leur ont été adressés_en si grand nom- bre, et dans limpossibilité matérielio d'y répondre, René et Francine Fouéré remercient chaleureusement, par la voie du bulletin, ceux qui ont eu pour eux cette aimable, cette émouvante attention, et leur offrent, en retour leurs voeux les plus reconnaissants et les plus vifs pour que l'année dans’ laquelle nous venons d'entrer leur soit, a tous égards, favorable. A NOS MEMBRES ET ABONNES En dépit de l'augmentation de nos frais, particuliérem« la composition et limpression de la revue, nous avons dé« encore les mémes tarifs do cotisation et d'abonnement. nsible en ce qui concerne 16 de maintenir cette année Nous serions toutefois heurcux si, en compensation de cet effort que nous faisons en leur faveur, nos membres et abonnés s'efforcaient de nous aider soit en adhérant itre de membres bienfaiteurs — ce qui leur vaudrait de recevoir doux exemplaires de Ta revue @ chaque parution —, soit en nous passant commande de numéros antérieurs. Nous remercions d'avance ceux qui voucront bien nous apporter ainsi leur encouragement. Nous rappelons que des exempiaires de tous les numéros de « Phénoménes Spa- tiaux» parus depuis l2 Ne 7 de mars 1968 sont encore disponibles au prix de 7.50 F Tunité et quion peut se procurer au méme prix unitaire des exemplaires du numéro spécial de « Phénomenes Spatiaux » cenvenant l'étude du Dr McDonald: « OBJETS VO- LANTS NON IDENTIFIES : le plus grand probléme scientifique de notre temps ?». ASSEMBLEE GENERALE L’Assemblée Générale du G.E.P.A. so réunira fe SAMEDI 23 FEVRIER 1974, @ 17h. 30, au Musée Social, 5, rue Las-Cases, Paris 7° (Métro « Solférino »).

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