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L
Ressources humaines misent
aujourd’hui davantage sur
les compétences d’adaptation
que sur les compétences-
métier pour pallier le e bore-out, beaucoup chologiques vont de la fatigue à
risque de désengagement moins médiatisé que le burnout la décompensation psychologique,
au travail. Pour éviter mais révélateur de l’époque en passant par la dépression et la
l’inconfort émotionnel actuelle, inquiète de plus en honte de soi. L’ennui au travail est
dû aux ruminations et plus les chercheurs en sciences un tabou dans une société en crise
procrastinations, des sociales. En effet, le monde du où le chômage a pris racine depuis
stratégies de contournements travail est tout autant capable de longtemps. Nouveau risque psy-
se multiplient chez les générer du stress par le « trop » chosocial, l’ennui au travail, lorsqu’il
salariés. Quoique mal perçu que par le « pas assez » d’activité. devient pathologique, porte le nom
socialement et source de Plusieurs définitions de ce syn- de « Bore-out Syndrom ».
culpabilité chez ses victimes, drome existent, mettant toutes l’ac- Comment peut-on s’ennuyer au
le bore-out peut néanmoins cent sur une souffrance psychique travail ? Quelles sont les causes du
révéler des talents… à durable imputable au manque bore-out ? Comment se prémunir
condition de pouvoir en sortir. de sollicitations durant l’activité de l’ennui professionnel ? Comment
de travail. Ses conséquences psy- aider les salariés qui en souffrent ?
COMPLEXE DU SURVIVANT pour aboutir aux très recherchées paresse. L’être humain n’est pas fait
Lors des réorganisations, avoir la soft-adaptability. Le salarié idéal pour l’oisiveté qui dure [6].
chance de garder son emploi crée aujourd’hui doit avoir des capacités
une situation paradoxalement an- de flexibilité pour le bien de l’orga- UN RISQUE PSYCHOSOCIAL
xiogène, car ne pas savoir « quand » nisation et de son emploi alors que MAL ASSUMÉ
seront redistribués les rôles précis les compétences-métier passent au
de chacun devient un enjeu fort de second plan [4]. CRAINTE DU REGARD SOCIAL
risque lors des réorganisations qui C’est l’une des premières raisons
s’éternisent. Un temps d’attente ENNUI, RUMINATION, PROCRASTINA- de l’opacité autour du bore-out. La
est toujours plus anxiogène, quelle TION : LES RISQUES INVISIBLES place du travail est si importante
qu’en soit l’issue pour un salarié, Le bore-out se mijote dans le temps, qu’il est impossible d’échapper à la
que la mise en action de ses compé- il se nourrit de tabou, de doute, de déclinaison de son identité profes-
tences pour un projet futile. Ainsi, la rumination et mène à la pro- sionnelle lors de contacts en société.
lors de ces périodes, certains salariés crastination. Ainsi, les salariés à « Que faites-vous dans la vie ? » est la
développent le « syndrome du survi- risque tentent de cacher leur état, question clé pour nouer un contact
vant » : ils doutent à propos de leur jusqu’à un certain point, dans le avec un inconnu. Réflexe social inté-
mission, de leur rôle [2] et surtout de but de préserver leur emploi et gré dans les normes de politesse,
leur utilité. Le temps suspendu de surtout leur honneur pour ne pas cette question offre la possibilité
travail empêche le salarié d’agir se- être catalogué de fainéant ou de d’une intégration facile en société.
reinement sur son environnement, placardisé. D’autant plus qu’il est De plus, mettre en avant l’impor-
créant un malaise parfois relayé par difficile de remettre en cause une tance de son travail et de la charge
le collectif. activité, dans laquelle, certes on que cela représente sera valorisé
s’ennuie, mais qui assure un salaire comme une ambition. À l’inverse,
COMPÉTENCE-MÉTIER VS CAPACITÉS à la fin du mois et garantit la sécu- évoquer son ennui au travail dans
D’ADAPTATION rité financière du foyer. Les salariés la conversation catalogue l’interlo-
Dans les nouvelles organisations qui s’ennuient au travail finissent cuteur comme personne sans ambi-
du travail, le salarié dérive vers par se laisser envouter par les bé- tion.
le doute (« Aurai-je encore ma néfices secondaires, à savoir ceux D’autre part, les médias et les pou-
place ? ») [3], avec un état d’esprit qu’ils y gagnent, malgré la plainte voirs publics ont communiqué à
interrogatif (« Que se passe-t-il ? »), évoquée [5]. outrance sur le burnout, qui est le
puis vers la frustration (« Pourquoi Cependant, il est urgent de réagir corollaire d’une société orientée
moi ? »), avant de se résigner ou car les effets de la non-action à vers la consommation, la perfor-
d’errer dans les limbes de l’ennui l’épreuve dans le bore-out sont mance et parallèlement rongée par
(« Comment vais-je m’occuper ? ») connus pour démultiplier les le chômage et la précarité. Dans ce
alors même qu’il occupe bel et bien risques cardiovasculaires [6]. Selon contexte, oser avouer son ennui est
un emploi. Il se trouve en décalage l’étude « Bored to death », réalisée une provocation suivie d’un risque
et commence à douter de lui et de en 2010 en Angleterre, par Britton de rupture sociale.
l’ensemble de ses compétences, et Shipley [7], portant sur 7 500
sans avoir les capacités de rationa- membres du service public, les sala- CONFLIT MORAL
liser son adaptabilité (« Mais alors, riés qui s’ennuient au travail pré- La seconde raison repose sur le
à quoi je sers ? »). Le processus et le senteraient un risque deux à trois principe que « toute peine mérite
risque de bore-out sont en marche. fois plus élevé d’accidents cardio- salaire ». Faire des efforts pour
Aujourd’hui les entreprises n’at- vasculaires que ceux dont l’emploi gagner de l’argent est donc nor-
tendent plus du salarié des com- est stimulant. Quant aux effets mal, d’autant qu’un contrat scelle
pétences-métier, mais surtout des psychiques, liés aux ruminations, l’accord. Alors, quand le contenu du
capacités d’adaptation. On assiste aux doutes et à l’anxiété, ceux-ci poste se vide à tel point que la tâche
donc à un passage des hard-skills sont connus pour préparer le terrain n’a plus lieu, la question du mérite
(niveau d’études, formation, an- dépressif en annihilant toute moti- se pose. Le salarié honnête y pense
nées d’expérience…) vers les soft- vation, intérêt et volonté. L’état de la jusqu’au conflit de valeur, source de
skills (capacités relationnelles, de personne en bore-out se rapproche sa souffrance psychique. Comment
coopération, de communication...) plus de l’état dépressif que de la peut-on ne « faire-rien » et cepen-
Ainsi, en écoutant un salarié en un double jugement mélangé de attendre, tout en ayant la crainte
bore-out, il livrera ce qu’il aimait honte et de plaisir-égoïste. qu’ils ne partent ailleurs ». Cette
bien faire avant et ce vers quoi il situation est douloureuse pour le
aimerait aller. En s’appuyant sur DERRIÈRE L’ENNUI : L’ATTENTE D’UNE manager parce qu’elle remet en
ses intérêts, certains managers AUTORITÉ question son propre pouvoir et
ou médecins du travail arrivent à Les salariés en bore-out attendent ses compétences d’autorité. Cer-
redynamiser le salarié en bore-out et expriment leur besoin d’être gui- tains arrivent à passer au-delà de
et l’inciter à se projeter vers un ave- dés, aiguillés, accompagnés pour cette absence de légitimité et ont
nir enrichissant. S’il n’a pas assez sortir de leur situation. « J’envie les le courage d’accompagner leurs
d’idée ou de motivation, le projet autres qui vont en réunion ! … ne rien collaborateurs dans une logique de
professionnel peut se construire sur avoir à faire est insupportable » et mobilité de survie, quitte à perdre
la base de ce qu’il ne veut plus (par puis il y a ceux qui expriment clai- leurs meilleurs éléments. Ce cou-
défaut), le tout étant de relancer la rement qu’ils ont besoin d’un déclic rage managérial est assez rare pour
réflexion personnelle avant qu’elle- extérieur : « Il faudrait que j’y sois le souligner.
même ne se fige. obligé, une nécessité, une obligation La deuxième est une autorité de
(…). Parce que là, je n’ai vraiment compétence attendue de la part
DERRIÈRE L’ENNUI : plus d’énergie, je suis fatigué. Je suis des RH. Dans les cas de bore-out, les
UN PLAISIR-AMBIGU comme un tuyau sans pression ». salariés attendent des RH qu’elles
Pour un salarié, avouer qu’il s’en- Ils sont en attente d’une forme d’au- soient visionnaires. Sans forcément
nuie au travail est très mal vu dans torité qui les guide. avoir d’accord de gestion prévi-
l’entreprise, d’autant plus s’il est En premier lieu, ce peut être le po- sionnelle de l’emploi et des compé-
manager. Cela peut être même sitionnement courageux de leur tences (GPEC) en place, les entre-
perçu comme une trahison et elle manager. Les salariés en bore-out, tiens professionnels obligatoires
est souvent niée par la hiérarchie en général, attendent de leur mana- depuis la réforme de la formation
« Quand, sur les conseils de mon ger de proximité qu’il leur redonne professionnelle [12, 13] sont déjà une
manager de proximité, je suis allée une activité à faire. D’autres font amorce de solution. Les périodes
en parler à la DRH, elle m’a ri au nez tout de même preuve d’initiative et d’ennui au travail peuvent ainsi être
en me disant : mais estimes-toi heu- profitent de cette accalmie pour op- de bons moments pour démarrer
reuse car, toi, tu as encore un job ! ». timiser leur espace de travail quoti- une réflexion en profondeur sur
Or, c’est justement cette plainte dien (classement, rangement, mise son évolution professionnelle avec
empêchée, qui peut également pro- en ordre…), fidéliser leurs clients l’aide des responsables mobilité, des
voquer de multiples manifestations (contacts téléphoniques d’affabilité, consultants ou des responsables
(présentéisme, lassitude, manque déjeuners…), s’informer des nou- formation. Les attentes envers les
d’entrain, d’énergie, sentiment veautés du secteur, mais c’est tou- RH sont importantes et celles-ci
d’inutilité, absentéisme, syndrome jours du « chef » qu’ils attendent un nécessitent d’être concrètes (bilan
anxio-depressif…). changement. de compétence, point carrière, en-
Ne pas se plaindre, parce qu’on a Or, les managers peuvent souffrir tretien conseil, aide à l’élaboration
la chance d’avoir un travail, bien eux-mêmes de bore-out, ce qui est de projet…). Cette autorité de com-
rémunéré, suffit à mettre les sala- plus difficile à vivre car celui-ci doit pétence fait partie de leurs missions
riés en double contrainte : s’en- trouver une activité pour lui-même et est très attendue par les salariés.
nuyer et ne pas avoir le droit de le et son équipe. Les plus grands cas de La troisième autorité renvoie à
dire est un savoir-(non)-faire très désarroi se situent d’ailleurs dans sa propre responsabilité. Le sala-
ambigu. Par-dessus la non-plainte, cette strate intermédiaire. L’absence rié peut se remettre en question
se rajoute la honte que ressent le de rôle managérial à jouer est vécu et mettre en œuvre des actions
salarié quand il compare sa situa- comme un déshonneur. « J’allais concrètes : veille du marché du tra-
tion aux chômeurs ou à ceux qui chercher des misions internes pour vail, recherche d’opportunités pro-
ont été licenciés lors de la dernière alimenter mes équipes, pour éviter fessionnelles, prise de contact avec
réorganisation. Ce double-regard, que le service ne disparaisse… mais à des cabinets de recrutement, des
introspectif et moralisateur que chaque fois, je devais annoncer à mes acteurs de l’accompagnement du
le salarié porte sur lui, provoque meilleurs collaborateurs qu’il fallait conseil en évolution professionnel
RESPONSABILISER LE vices RH, tout comme les salariés, déséquilibre entre le temps et le
COLLECTIF DE TRAVAIL peuvent trouver un conseil en se volume de travail. En 2008, une en-
Durant ce temps du vide, ce temps tournant vers des opérateurs du CEP quête réalisée sur 11 238 salariés par
du rien, le salarié en bore-out est en ou des centres interinstitutionnels Stepstone [17] révèle que 30 % des
incapacité de verbaliser des projets. de bilans de compétences (CIBC) : Allemands, 33 % des Belges, 29 %
Il se sent pris au piège, dépecé de bilan de compétences, pépinière des Suédois et 21 % des Danois, soit
son activité et de son rôle dans une d’entreprise, congé création d’en- en moyenne 1 Européen sur 3, n’a
entreprise à laquelle il appartient. treprise… Ainsi, à condition d’être pas assez de travail pour combler
Par confiance ou par incapacité à correctement accompagné dans ses journées. En 2010, une enquête
s’en sortir seul, il s’en remet totale- l’identification de ses compétences longitudinale menée sur 4 ans au-
ment au management et à l’entre- et dans l’élaboration de son projet, près de fonctionnaires anglais âgés
prise qui se doit d’assurer une pro- toute évolution devient possible, de 35 à 55 ans révèle que les risques
tection. Il est de la responsabilité de grâce à ces dispositifs. Sortir du bore- cardiovasculaires sont 2,5 fois plus
l’employeur de prévenir les effets out par la réalisation de soi (de son élevés chez les personnes ayant dé-
sur la santé des organisations du projet) est d’abord une question de clarés s’ennuyer au travail [18].
travail, notamment par le biais de temps, de méthode et de réflexion Certains services de l’État sont
l’évaluation des risques profession- concertée. d’avantage soumis au risque de
nels. bore-out (Fonction publique territo-
Les services RH disposent pourtant REMETTRE EN QUESTION LA riale, Éducation nationale). D’autres
d’outils de prévention, d’alerte et CENTRALITÉ DU TRAVAIL sont, au contraire, en sur-régime
de solutions. Tout d’abord, annuel- Attente et espoir de prise en charge (ministères chargés de la Justice
lement, les entretiens d’évaluation par l’entreprise ne sauraient être et de la Santé) car ils doivent faire
permettent de faire un bilan de une solution unique pour le salarié face à la violence, au vieillissement,
l’année écoulée et un point sur les en bore-out. Les pouvoirs publics ont à l’accès aux soins [18, 19]… Aucune
attendus du poste en termes de mis en place le conseil en évolution étude, à ce jour, ne porte sur les
contenu, de charge, de compétences professionnel. En lui donnant accès entreprises privées, les associations
et d’intérêts. Ensuite, avec l'entre- à son compte personnel de forma- ou les institutions parapubliques en
tien professionnel qui doit avoir tion, le salarié peut, à tout moment, France.
lieu obligatoirement tous les 2 ans faire part de ses souhaits d’évolu- Les médecins du travail et les
mais systématiquement proposé à tion professionnelle, encore faut-il consultants en gestion de carrière
tout salarié qui reprend son activité qu’il soit en mesure d’élaborer des constatent une augmentation du
après une période d’interruption pistes et qu’il soit écouté ou accom- nombre de bore-out dans une socié-
(congé de maternité, parental, adop- pagné par les acteurs du marché de té qui connaît un chômage élevé. Ce
tion, soutien familial, sabbatique, l’emploi en charge de ce rôle insti- syndrome semble être une nouvelle
période de mobilité volontaire tutionnel. C’est bien la notion de co- manifestation de risque psycho-
sécurisée, arrêt maladie de plus de responsabilité qui est en cause ici. social et, à ce titre, doit être pris en
6 mois ou suite à mandat syndical). Celle-ci passera forcément par une compte dans les organisations de
Globalement, l’articulation du CEP remise en perspective de leur pou- travail. Cependant, sa prise en consi-
et de l’entretien professionnel per- voir d’évolution, à condition qu’ils dération par les services RH et un
met de mieux identifier les compé- s’en emparent. accompagnement adapté peuvent
tences, transférables ou non, ainsi apporter des solutions au salarié,
que celles requises pour un poste qui seront aussi innovantes pour
ou une fonction. Dans ces cas, si le l’entreprise.
bore-out est dû à une surqualifica- CONCLUSION
tion ou une mauvaise définition du
périmètre du poste, à l’entreprise Les chercheurs en sciences so-
et au salarié de trouver ensemble ciales alertent depuis 2005 sur
une solution pour faire évoluer les risques de bore-out. En 2007,
l’environnement ou la mission du Rothlin et Werer [16] conceptua-
poste. En outre, si ces solutions ne lisent le bore-out comme un mal-
fonctionnent pas en interne, les ser- être psychologique résultant d’un
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