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NOUVEAU BRUNSWICK
COUR DU BANC DE LA REINE
ENTRE:
Plaignants:
destruction du peuple Métis causé par les politiques de la Couronne de 1710 à ce jour.
Défenseurs:
l’obligation morale, et les responsabilités fiduciaires et légales des traités divers avec le
peuple indigène identifié dans ce document et a le devoir moral et légal de redresser les
Nouveau Brunswick.
gouverneur général du pays a une obligation morale, légale et en fiducie envers le peuple
indigène du territoire connu comme le Nouveau Brunswick que ce soit appliqué aux
terres, la gestion des ressources ou a l’aspect inné de l’impacte culturel, social et la base
énoncé de réclamation afin d’ajouter la Reine dans son droit d’affaire sur le Nouveau
Brunswick comme défenseur pour réclamer une déclaration de confiance ainsi stipulé par
DEFINITIONS
Canada
telle :
Brunswick
l’isthme de Chignecto ainsi que les terrains intérieurs incluant toutes les
Evidences matérielles
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11. Les plaignants qui représentent cette litige partagent les injustices des
leurs terres, territoires et ressources. Ces injustices historiques imposées par les Lois
coloniales britanniques ont empêché libre cours aux représentants d’exercer leurs droits
leurs besoins et leurs intérêts. De mise, les représentants réclament leurs droits a la
reconnaissance des lois indigènes avec les traditions et les coutumes et énoncent leurs
Lois britanniques.
12. Les plaignants ont subi la discrimination imposée par la Loi coloniale de la
Grande Bretagne, loi continuée par les Couronnes fédérales et provinciales qui ont décidé
Mi’kmag et Métis en ce qui concerne les terres, les territoires et les ressources de la
Nouveau Brunswick.
nation indigène avec les traditions et coutumes de telle communauté ou nation et ceci
15. Les plaignants réclament leurs droits a une évaluation des délies du passé par
voie d’un tribunal impartial qui reconnait sans préjugé les Lois des indigènes, les
traditions, les coutumes et les traditions orales qui réfèrent aux pertes de leurs terres,
territoires et ressources.
16. Une prise de conscience de génocide (par définition des Nations Unies) a
transpercé les relations entre le people indigène du Nouveau Brunswick et les formes
les valeurs normales des structures indigènes et imposer un système de valeurs désignées
17. Les plaignants ont pour intention de se fier à l’évidence historique et décrire les
succès de la colonisation ces nouveaux venus ont imposé au peuple indigène un système
qui avait pour but la destruction des traditions politiques et sociales et les structures
culturelles enfin de réaliser un ordre de dominance sur leurs terres, leurs territoires et
leurs ressources.
Mi’kmaq offre protection et liens avec ses frères et sœurs Métis avec lesquels il partage
indigène comme étant égal a tout autre peuple, tenant compte les différences d’un peuple
19. Les plaignants se fient aux traités de Paix et Amitié conclus avec la Couronne
britannique et la nation Mi’kmaq Nation tels ces ententes de 1725/26, 1749, 1752, 1760,
20. Les plaignants peuvent établir l’initiation depuis 1610 - de la nation Métis qui a
pris racine dans les territoires en dedans et aux alentours du Nouveau Brunswick dans le
pays connu le Canada. Ils peuvent démontrer que le mot “Acadie » est d’origine du mot
Mi’kmaq “a’kati” et “a’katikewak”- qui signifie un « peuple qui vit avec le travail de la
terre » ce qui donne aux Métis du Nouveau Brunswick le droit d’une déclaration de leur
la province connue le Nouveau Brunswick. Cet événement est un modèle historique qui
donne évidence de génocide subi par le peuple Métis et qui a soutenu le renvoie du
provinciales ont fait preuves de discrimination contre le peuple Métis lors de ces
déplacements et dérangements - ce qui confirme une politique publique qui nie leur
existence et les soumet a des persécutions sans fin pour la chasse, la pèche et des soit
23. Les plaignants se fient a l’histoire Mi’kmaq depuis la création – cette histoire
qui maintien le système indigène juridique pré européen donnant ainsi l’information
système anglais avec une capacité apte a la reconnaissance des sujets indigènes, la
24. Les plaignants affirment le Traité de Paix et Amitié de 1725/26 comme étant le
nœud des traités qui ont suivi pour soit changer ou renouveler le traité initial. Ces traités
s’appliquent a tous les Mi’kmaq selon la Loi des Mi’kmaq. Ceci démontre une continuité
des relations qui valent d’être évaluer en faveur des plaignants car ces traités avaient
déterminé que le peuple indigène ne devait jamais subir la dépossession de leurs terres,
juridiques.
25. Les plaignants affirment que les principes constitutionnels indigènes sont dignes
Comme résultat une crise constitutionnelle existe entre le peuple indigène et la Couronne
(sous toutes ses diverses formes) ; cette crise doit être résolue pour voir a une
l’honneur de la Couronne.
27. Les plaignants affirment que la rétention du langage et des traditions orales
compréhension écologique pourraient assister cette crise constitutionnelle qui existe entre
indien de 1876 toujours en vigueur a servi de modèle pour les politiques apartheid Sud
ce qui résulte dans l’imposition des conditions de vie qui mène au dommage physique et
mental d’un groupe - ce qui est contraire a la convention des Nations Unis contre le
génocide.
29. Les plaignants dissent que l’imposition de l’Acte Indien depuis 1876 reflète la
conscience du génocide qui au sein du Discours de la Maison des Communes quand Sir
John A. Macdonald a dit: “L’objectif de notre législation est de rejeter le système des
30. Les politiques de la Couronne, par le vol des terres ont été historiquement et
Le peuple indigène avait commencé une relation d’alliance avec les européens mais ceci
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britannique.
peuple indigène ces avancements ont vu des retards indéfinis ce qui a aliéné davantage
les relations constitutionnelles entre le peuple indigène et la Couronne sous toutes ses
formes.
32. Les plaignants de la nation Mi’kmaq Nation et les plaignants du peuple Métis du
territoire connu comme le Nouveau Brunswick poursuivent leur litige au nom de leur
systématique contre les droits des traités du peuple Mi’kmaq en utilisant négociations
non réglementées basées sur des politiques dictant la mise en place et la continuité des
Brunswick.
34. Les plaignants maintiennent que le titulaire approprié des droits, que ce soit pour
les titres ou les droits du peuple indigène est la communauté du peuple Mi’kmaq et leur
Mi’kmaq est le peuple communautaire historique qui a partagé les coutumes, leur
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langage, leur expérience historique, leurs traditions historiques, leurs traditions légales et
35. Les droits des personnes Mi’kmaq et des personnes métisses au sein de la nation
Mi’kmaq dérivent des actions collectifs, d’un langage partagé, des traditions légales et
d’un partage d’expériences historiques entre les membres des nations Mi’kmaq et les
36. Le titre indigène entretien sui generis intérêt des terres a lesquelles on a droit, et
que tel intérêt est compétitif a part égal des intérêts ordinaires de propriétaire. .
37. Les plaignants maintiennent que le titre indigène réfèrent au droit d’utilisation
exclusif, a l’occupation et la possession des terres pour pouvoir l’utiliser pour le bien être
général et pour l’aisance des communautés indigènes. Le titre confère le type propriétaire
ce qui permet de choisir quel genre d’utilisation à faire des terres indigènes.
38. Les plaignants disent que le titre indigène indique le droit à une utilisation
exclusive et une possession des terres incluant les ressources naturelles. Les actions et
Constitutionnelle 1982 protège le titre indigène contre l’abus, la fraude et les prétentions
traditionnels de la Nation Mi'kmaq a été partagé avec le peuple Métis avant la déportation
40. Les plaignants représentés disent que le titre indigène des territoires
traditionnels Mi’kmaq Sigenitog n’a jamais été remis ou renoncé par traité ou autre
moyen qui auraient dérangé l’existence du titre indigène. Tous les traités entre les
41. Les plaignants représentés disent que l’effet combiné de la Proclamation Royale
de 1763, Article 25 et Article 35(1) de l’Acte constitutionnelle 1982 confirme que le titre
42. Depuis l’imposition des lois coloniales britanniques, a partir du Traité d’Utrecht
y a eu des fraudes, des abus et des prétentions tous désignés pour déposséder et déplacer
les titulaires des titres indigènes et par conséquent affecter de façons adverses le titre
indigène. Les plaignants réclament au nom de tous les Mi'Kmaq et Métis dans le territoire
du Nouveau Brunswick le droit a une Déclaration des droits au titre indigène du territoire
43. Les plaignants réclament droits et compensation des enfreintes sur le titre
indigène depuis 1713 au jour présent. Ces enfreintes recevront une description plus
44. Les plaignants réclament que la Couronne n’a jamais obtenu la remise du titre
indigène dans le territoire connu tel Sigenitigog et a ces fins demandent la déclaration du
Article 109 a donné des terres et des ressources au Nouveau Brunswick – tous sujettes
45. Les plaignants - sur représentation des Mi'kmaq et les Métis du territoire connu
identifié dans tous les discussions ci haut. Telle Déclaration devra par suite engager
réconciliation.
46. Les plaignants réclament leurs droits au titre des nations indigènes qui existent et
retiennent les coutumes tribales et les traditions tenues par la Constitution s. 35(1) qui
permet un certain redressement pour ces terres. Ils réclament l’intervenir des
des entrées, ce qui en résultent des actes de génocide, la mort des personnes, le dénie de
47. Le peuple indigène prends conscience des nombreuses disputes qui s’affichent
par des barrières systémiques et extensifs quand ils tentent d’exercer leurs droits de titre
indigène; ces barrières systémiques incluent les rôles négatifs que les gouvernements
fédéraux et provinciaux jouent au sein des négociations des traités pour des résolutions de
ces disputes de traités et des terres et la faille continuelle des autorités fédérales et
provinciales a intégrer des normes internationales pour protéger les droits des indigènes
au sein des lois et politiques domestiques. Les plaignants représentés disent que les
font partis de l’expérience des indigènes depuis la venue des européens au présent jour -
car la perpétuité de ces dommages se continue par le passage interdit comme telle est
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définie le génocide culturelle par l’imposition de l’Acte Indien et leur vol des ressources
par le Ministère des Ressources Naturelles du Nouveau Brunswick qui imposent par suite
48. Les plaignants affirment qu’ils ont été privés de leurs droits humains et de leurs
du peuple indigène, particulièrement leurs droits aux terres, aux territoires et ressources –
tout ce qui leur revient par voies de leurs structures politiques, économiques, sociales et
aussi de leur culture, leurs traditions spirituelles, leur histoire et leurs philosophies. Cette
privation et cette dépossession imposent des conditions aptes a imposer des conditions de
vie qui pré déterminent les dommages mentaux et physiques d’un peuple.
49. Les plaignants disent que dut aux passages interdits de leurs terres, territoires et
ressources et les actes de génocide, leur peuple a vécu la privation systématique de leurs
droits nationaux qui leurs auraient donné accès a l’auto gestion de leurs affaires et qu’a
partir de l’absence des dommages qui n’auraient pas dut arrivé ils auraient pu avoir des
bonnes relations avec leurs terres et territoires permettant ainsi la préservation de leur
culture et la promotion des résolutions des disputes entre nation a nation - ce qui les
auraient libéré du système colonial britannique avec les mœurs Judeo-Christien qui
écrivent les lois assignées a nier le peuple indigène de tout redressement ou soutien
remédié et légale. Les plaignants réclament attitre ment aux droits de nationalité indigène
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50. Les plaignants dissent que les systèmes politiques du Canada et du Nouveau
Brunswick ont été désignés depuis le commencement pour priver les indigènes de toute
gouvernement qui leurs est imposé dans un système qui les gouverne mais ne leur permet
aucune représentation. En plus quand les plaignants se tournent vers la Cour pour le
redressement ils sont renvoyés par les règlements légaux qui sont mis en place pour leur
continuelles. Le cycle ne peut pas s’interrompre car toutes les portes d’entrée possible
pour les possibilités de redressement sont corrompues avec la discrimination, les préjugés
51. Le peuple Indigène de “Turtle Island” a partir des territoires du nord et sud
d’Amérique sont les victimes d’une conscience génocide qui a commencé en 1493 avec
les flèches et épées, suivi par les fusils et les balles durant les années 1700’s a 1867 pour
ensuite prendre la pire des formes meurtrières d’une destruction en masse ; plume et
papier – pour écrire des lois a partir de 1867 au présent jour ayant pour buts le dénie aux
nationalité ce qui les placent dans des positions peu enviable que d’être au dépend de la
Couronne qui ne leur donne aucun forum pour adresser les dommages portés contre eux
depuis la colonisation.
52. Les plaignants disent que les réserves créés entre 1783 et 1838 au Nouveau
Brunswick se sont culminées dans « Act for the Sale and Management of Indian Lands »
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(Acte pour la Vente et la Gestion des Terres indiennes) de 1841. Les impositions de la
législation fédérale suite au « British North America Act” – (l’Acte Nord Américain
britannique) de 1867 a imposé des conditions désignées pour causer des dommages
mentales et physiques aux membres du groupe. Ceci est défini comme acte de génocide
selon la convention des Nations Unies concernant la Prévention et les punitions des
Crimes de génocide et selon les Crimes contre l’Humanité et l’Acte des Crimes de Guerre
l’assimilation du people indigène dans la société des nouveaux venus – les européens
colonisateurs – et ainsi irradier les modes de vie traditionnelle des indigène par moyens
et la culture indigène et l’instrument choisi a été l’Acte des Affaires Indiennes « Indian
Act ». Le peuple indigène s’est vu imposé une existence toute nouvelle ce qui en résulte
l’imposition des dommages mentaux qui sont en soit des actes de génocides. Une révision
humaine.
54. Les plaignants affirment que l’Acte des Affaires indiennes du Canada a été le
modèle pour la création du système apartheid de l’Afrique du sud. Par conséquent depuis
1867 le people indigène se retrouve condamné à des places qu’on appelle les « réserves »
d’où initialement on ne pouvait quitter a moins d’avoir permission. Quoique cette forme
certains terrains spécifiques n’a jamais cessé et la supervision par les agents
peuple mais agissent en fonction des agents de la Couronne sous la tutelle de l’Acte
Indien.
55. Les plaignants ont pour intentions de démontrer qu’il existe 633 exemples des
systèmes apartheid dans les territoires connus comme le Canada – tous supervisé soit
directement par des agents de la Couronne ou par une bureaucratie soutenue par la
Maritimes – quoique les restrictions et la répression de ces lois se soient relâchées avec le
temps le système demeure néanmoins existant. Les plaignants affirment que l’imposition
acte génocide pour lequel ils ont droit a la compensation. Cet acte de génocide se
continue au fur et a mesure que les chefs et conseils de bande ont été et continuent a être
indigènes.
56. Les plaignants affirment que les dommages a la santé mentale du peuple se
en place des lois qui suppriment le redressement et les possibilités de correction pour le
peuple indigène, ainsi que le pléthore de décisions judiciaires contre les intérêts du peuple
avancent que les dommages a la Santé mentale se continuent toujours car l’absence de
indigène, les pléthores de décisions judiciaires contre les intérêts du peuple indigène
peuple Indigène. L’isolation politique, la pauvreté, les hauts taux d’alcoolisme, les
suicides, l’abus social et physique et l’emprisonnement avec le nombre souvent basé sur
toutes évidences des maux et dommages mentaux soufferts par le peuple en ce qui
concerne les événements du passé et se continuent sans changement aux jours présents.
57. Les plaignants affirment que l’apartheid est défini au dictionnaire comme une
sud qui implique la discrimination politique, légale et économique contre les non blancs
– donc une politique ou une pratique de ségrégation ou de séparation des groupes. Les
plaignants plaident que ce système a été imposé sur le peuple indigène des territoires
connus comme le Canada et le Nouveau Brunswick longtemps avant cette imposition sur
seulement sur les réserves mais a travers les territoires connus comme le Canada et le
Nouveau Brunswick.
qu’est le Canada. La politique intégrée avec « l’Acte Indien » contredit Article 2(b) de la
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l’Acte des Crimes contre l’Humanité et les Crimes de Guerre S.C. 2000, C 24
pour le tort continuel de génocide telle que défini dans les documents internationaux et
des Nations Unies sur les Droits des peuples Indigènes, la Commission Royale du peuple
principe “jus cogens” tel que défini comme une norme péremptoire de la loi générale
internationale [qui] est une norme acceptée et reconnue par la communauté internationale
comme une entité totale pour laquelle aucune dérogation est permise et qui peut juste
être modifiée par une norme a part égale d’une loi générale internationale du même
caractère. ”
60. Les plaignants affirment que l’imposition de l’Acte Indien – sans leur
consentement les a privé de leurs droits humains et libertés fondamentales inter alia, dans
propres besoins et intérêts. Les plaignants affirment un besoin urgent pour le respect et la
plus particulièrement leurs droits aux terres, territoires et ressources qui relèvent de leurs
61. En conséquences des négligences et/ou par bris des responsabilités, que ce soit
par devoir en fiducie et/ou par inflictions intentionnelles par sa Majesté la Reine et sa
majesté en dominance sur le Canada, et/ou ses agents qui - en son nom - sont
responsables en loi - les plaignants ont souffert injures et dommages qui incluent :
(d) Imposition d’un système apartheid avec restrictions des libertés mobiles
familles
(f) Imposition des chefs et conseils de bande qui agissent comme agents pour
significatifs
(g) Imposition des chefs et conseils de bande qui ne peuvent pas représenter
de façon équitable les besoins du peuple car ils sont les agents de la Reine
et du gouvernement fédéral
contrôlent les agendas, avisent les avocats – ce qui nuisent les gens
système apartheid
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dicté par les agents de la Reine et le gouvernement fédéral par voie des
(n) Empêchement des conciliations des disputes des terres, mené par une
(o) Division et conquête des plaignants par des lois écrites et des politiques de
l’Acte Indien qui forcent les familles a se séparer pour chercher des
(q) Perte de dignité et respect des plaignants forcés d’accepter les idées des
fier à ces rapports qui maintiennent qu’il n’existe pas de Métis au Nouveau Brunswick.
Cette position officielle n’est pas soutenue par les évidences physiques que 18,000 Métis
se sont auto identifiés lors du dernier recensement (Canada 2006) et qu’ils (Métis)
existent ainsi depuis au moins 1610 dans les territoires connus comme le Nouveau
Brunswick.
63. Entre les années 1610 a 1690 il y a eu 80 ans de mariages qui ont eu lieu entre
les personnes de la Nation Mi'kmaq et les nouveaux venus de la France. De ces mariages
le cours des temps a donné naissance au terme “les Acadiens” pour identifier leur peuple.
– “les Acadiens” dérive du terme “Acadie” le mot français pour le terme Mi’Kmaq
“a'kati” et “a'katikewak” qui signifie « le peuple qui prend son gagne pain des travaux de
Métis qui vit dans le territoire connu comme Acadie et dont le Nouveau Brunswick en
fait partie.
64. Le peuple Métis a établi des communautés parmi les communautés Mi'kmaq et a
partagé avec eux leurs traditions, coutumes et cérémonies du peuple Mi'kmaq. Suite au
Traité d’Utrecht de 1713 le militaire britannique a exercé son influence sur les territoires
et a semé le désordre chez le peuple Métis pour finir avec la déportation de ce peuple a
partir de 1755
dépossession des Acadiens, des terres, communautés et ressources par l’envoi forcé et le
à la destruction des valeurs normales de leurs communautés et est ainsi la raison que le
66. Suite a ce déplacement majeur de 1755 plusieurs personnes du peuple Métis sont
retournées aux territoires, mais leur capacité de ré établir des communautés permanentes
ou de faire usage des terres traditionnelles était compromise par la venue de nombreux
étrangers qui prenaient leurs places. A noter que les politiques coloniales britanniques ne
favorisaient aucunement la protection du peuple Métis comme telles sont les évidences de
novembre 5, 1976 lorsqu’on a enlevé et détruit les demeures des plaignants Jackie et Roy
nient l’existence des Métis au Nouveau Brunswick on leurs enlève en plus leurs droits
indigène garantie par la Section 35(1) de la Constitution Canadienne le défenseur nie leur
existence.
pour les méfaits de la Couronne contre le peuple Métis dans le territoire du Nouveau
du Nouveau Brunswick
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70. Les plaignants affirment que les persécutions continuelles pour les infractions
de pèche, de chasse et activités forestières contre le peuple Métis sont des actes sans fin
de génocide contre le peuple Métis et pour lesquelles les métis sont dus pour la
de ces persécutions contre les Mi'kmaq et le peuple Métis aux cours des paramètres de
cette litige.
71. Les plaignants réclament revendication des dommages pour le débarras de 1755
ainsi que les déplacements et dépossessions du peuple Métis de leur communauté dans le
72. Les plaignants affirment que la province du Nouveau Brunswick n’avait pas
gouvernement fédéral pour en faire un parc national car ce territoire est un sujet en
fiducie selon la Section 109 de la Constitution 1982, était et demeure avec le titre
réconciliation pour tous les méfaits de la part des défenseurs contre le peuple Métis dans
74. Les plaignants supplient que la Section 91(24) est ultra vires la Maison des
Communes de l’Angleterre. Par conséquent il n’y a pas d’autorité pour affirmer l’Acte
Indien au Canada et une déclaration est à l’ordre ultra vires du gouvernement fédéral. La
Section 56 du “British North America Act 1867 » et interdire l’Acte Indien selon l’ordre
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Royale de 1763.
Jus Cogens
75. Les plaignants supplient que toute enquête des principes de la justice
mais aussi pas la voie des lois internationales incluant “jus cogens.” Tenant compte des
obligations internationales du Canada telles qu’exprimé par les valeurs des lois
internationales des droits humains – déclarations, conventions, décisions menées par les
tribunaux internationaux et les coutumes normales. Les plaignants affirment que “jus
communauté internationale contre laquelle toute dérogation n’est permise et que dans
l’ensemble toutes modifications ne peuvent être faites autre que par une autre norme des
Fond financier
76. Les plaignants réclament leurs droits d’avoir le soutien financier pour poursuivre
Reconciliation
77. Les plaignants plaident vouloir développer un mécanisme pour réconcilier entre
qui pourrait mener a long terme une compensation juste et raisonnable pour les méfaits
et injustices du passé.
Couronne a admis que le système des Ecoles résidentielles avait été mal conçu et
inapproprié pour assimiler les personnes indigènes. Les plaignants supplient que
l’Enoncé de Réconciliation par la Couronne admette les faits et devoirs des paragraphes
Cette traduction est à partir du texte anglais entre guillemet des paragraphes immédiats ci
hauts de la déposition en anglais par Maitre Micheal Swinwood et ne constitue pas la
traduction officielle qui doit exister pour ce document au niveau des archives du
gouvernement fédéral. P Roy
(b) DECLARATION que les plaignants, au nom des Mi’Kmaq et des Métis
gouvernement fédéral;
Nouveau Brunswick;
(f) DECLARATION que les plaignants ont droits a un arrêt de procès pour
Brunswick
1982, U.K. C. 11, concernant « tous les terrains miniers, les minéraux et
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procédures en procès
(i) Un ORDRE pour des fonds base sur les principes d’Okanagan qui stipule
actes de génocide ;
(j) Couts pour cette action sur une base de solliciteur –client, et
(k) Tout autre support tel que le Conseil de cette Cour Honorable peut
permettre…
STATUES
C-50
(e) L’acte des crimes contre l’humanité et Crimes de Guerre, S.C. 2000, c. 24
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81. Les plaignants supplient et se fient aux documents des Nations unies:
(b) Convention des droits des enfants, Adoptée et ouvert pour signature et
(d) Déclaration des Nations Unies des droits des peuples indigènes le 13
Unies qui ont voté contre le texte – l’Australie et la Nouvelle Zélande ont
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par suite changé leurs votes en faveur – ce qui laisse le Canada et les
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Michael Swinwood
Avocat pour les plaignants