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vx = dx v0.cos
dt
dy
3. a. £vG = vy = dt 0
vz = dz – g.t + v0.sin
dt
b. Le vecteur vitesse est horizontal lorsque sa composante verticale est nulle : vz = 0 = – g.t + v0.sin , donc pour
t = v.sin .
g
v .sin
c. L’altitude maximale atteinte correspond à l’instant où sa vitesse verticale est nulle. Ainsi pour z = zmax, t =
g
v .sin v .sin v .sin v .sin v .sin
zmax = – g. + v0.sin . =–
2
+ =
2 g g 2 g g 2.g
Exercice n°6 p266
1. Définition du système : le système étudié est {l’obus} dans z
le référentiel terrestre supposé galiléen ;
On choisit un repère (O ;£i ;£k) avec £i horizontal dans le sens
du mouvement et £k vertical vers le haut.
Le plan (£i ;£k) contient le vecteur vitesse initiale £v0.
vz0 £v0
Bilan des forces extérieures : {l’obus} est soumis à son
poids £P (chute libre).
On admet pour simplifier que la poussée d’Archimède et
les forces de frottements fluide sont négligeables devant le
poids de l’obus.
Utilisation de la seconde loi de Newton : £k x
£Fext = m.£a £P = m.£a m.£g = m.£a £a = £g. vx0
0 £i
Conditions initiales :
L’obus est lancé depuis le point O, choisi comme origine.
x v v.cos
_OG0 et £v0 x
z vz v.sin
ax 0 v.cos
£a , donc la vitesse £v étant la primitive de £a, il vient pour £v : £v
az – g – g.t vsin
La coordonnée vx de la vitesse est vx = vx0 = v0.cos : vx est indépendant du temps.
La coordonnée vz de la vitesse est vz = – g.t + v0.sin : vz est une fonction affine du temps.
v.cos .t + x0 v.cos .t
De même _OG est la primitive de £v : _OG – 1g.t2 v sin .t + z soit _OG – 1g.t2 v sin .t
0
2 2
Ainsi l’équation horaire de l’abscisse x(t) du projectile est : x(t) = v0.cos .t : fonction linéaire
L’équation horaire de l’altitude z(t) du projectile est : z(t) = – 1g.t2 + v0.sin .t : fonction parabolique
2
2. D’après les équations horaires paramétriques précédentes : t = x , donc :
v.cos
z(x) = – .g.
x 2 x
+ v0.sin .
v.cos v.cos
g
z(x) = – .x2 + tan .x
.v .cos
g g
3. z(x) = – .x + tan .x = 0 et donc (– .x + tan .x = 0 si x = 0 ou si x = xP
2
.v .cos .v .cos
Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 3 sur 10
g g.xP g.xP g.xP
– .xP + tan = 0 v0 = v0 =
2
=
.v .cos .cos .tan .cos .sin .cos .sin
,×.
A.N. : v0 = °= 1,1.103 m.s–1.
×cos °.sin
4. La vitesse initiale réelle pour atteindre 120 km de portée est plus grande que la vitesse théorique dans l’hypothèse de
frottements fluides négligeables. On peut donc penser que sur cette distance les frottements fluide ne sont pas en
réalité négligeables !
Exercice n°8 p266
1. La distance horizontale parcourue par le centre d’inertie G de la balle tous les 67 ms ne varie pas. Elle reste constante.
2. La vitesse horizontale vx du centre d’inertie de la balle est donc constante : vx = 3,0 m.s–1.
3. La composante vz n’est pas constante, puisque la balle monte dans un premier temps (vz > 0), puis descend ensuite
(vz < 0). Par ailleurs la balle est soumise à l’accélération de la pesanteur. Par conséquent l’accélération verticale est
constante, en l’absence de forces de frottement, donc la vitesse verticale vz dépend du temps !
4. vz(t1) = 2,6 m.s–1.
vz(t3) = 1,2 m.s–1
vz(t7) = – 1,7 m.s–1
vz(t9) = – 3,1 m.s–1
Le calcul de vz(10) est impossible car si la première position de la balle correspond à t0, la dernière correspond à t10. La
position 11 n’est donc pas accessible.
5. az(t2) = , – ,– = – 10 m.s–2
×.
az(t8) = –,1 – (– , = – 10 m.s–2
×.–
Voir le cours pour la démonstration : g = 9,8 m.s–2 et az = – g = – 9,8 m.s–2
Exercice n°9 p266
a. Vraie : si l’orbite est circulaire l’accélération est normale, et donc dv = 0 : la vitesse a une valeur constante.
dt
b. Affirmation vraie.
c. Affirmation vraie.
d. Affirmation fausse : la vitesse diminue lorsque l’altitude est plus importe
e. Affirmation vraie.
f. Affirmation vraie.
g. Affirmation fausse : ils sont fixes dans le référentiel terrestre !
La proposition 1 est donc VRAIE ! La proposition 2 est également VRAIE. La proposition 3 est VRAIE ! La proposition
4 est FAUSSE puisque l’affirmation g. est fausse.
Exercice n°13 p267
z
£v0
B
£k
£i
1. O x
v.cos ×cos ° m.s–
_OB et £v0 =
v.sin ×sin ° , m.s–
vx0 v0.cos
La vitesse £v est la primitive de l’accélération £a : £v – g.t + v ainsi : £v
z0 – g.t + v0.sin
v0.cos .t + x0
La position est la primitive de la vitesse _OG – .g.t2 + v .sin .t + z avec x0 = 0 et z0 = 1,2
0 0
2
3. Équation de la trajectoire : il faut éliminer t. Pour cela on remarque que x = v0.cos .t donc t = x
v.cos
Ainsi, on remplace pour obtenir z(x), l’expression de t fonction de x, dans l’équation horaire de l’altitude z(t) :
z(x) = – .g. x + v0.sin . x
2
+ z0.
v.cos v.cos
Ainsi : z(x) = – g .x2 + tan .x + z0 (1)
.v.cos
4. D’après l’équation (1) : g .x2 = – z(x) + tan .x + z0
.v.cos
Par conséquent v0 = g.x
.cos .– zx tan .x z
Nous savons que z0 = 1,20 m et que pour x = 8,95 m z(x) = 0,40 m.
Ainsi : v0 = 9,81×8,95 = 9,81×8,952
×cos .–0,40 tan .8,95 1,20 ×cos .0,80 8,95×tan
(en °) 35,0 40,0 45,0 50,0 55,0
v0 (en m.s–1) 9,10 8,976 8,977 9,11 9,38
La valeur de la vitesse initiale v0 nécessaire pour parcourir 8,95 m dans les conditions énoncées est minimale pour 40°.
Exercice n°16 p269
1. La composante vx de la vitesse de la balle est constante. Elle vaut : vx = 2 m.s–1.
2. Puisque vx = cste, ax = dvx = 0.
dt
3. vz est une fonction affine du temps. Avec vz0 = 4 m.s–1 et dvz = az = – 10 m.s–2 ( – = –10)
dt – ,
vz = az.t + vz0 donc vz = – 10.t + 4
4. v0z = 4 m.s–1
5. L’unité du coefficient directeur est le m.s–2.
az = –10 m.s–2.
Cette composante est négative car l’axe verticale est orienté vers le haut alors que l’accélération de la pesanteur est
orientée vers le bas.
Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 5 sur 10
v0x = 2 et v0z = 4
vz
v0x = v0.cos et v0z = v0.sin . Ainsi tan = .
vx
Par conséquent = tan–1 vz. A.N. : = tan–1 = tan–1 2 = 63°.
vx
Exercice n°17 p269 : http://www.cnes.fr/web/620-principes-de-fonctionnement.php
v.cos
1. OG0 et £v0 = avec v0 = 525 km.h–1 et = 45°
27000 ft v.sin
2. Définition du système : Le système étudié est {l’Airbus A300 zéro G} dans le référentiel terrestre supposé galiléen.
Bilan des forces extérieures : {l’Airbus A300 zéro G} est soumis à son poids £P (chute libre).
On admet pour simplifier que la poussée d’Archimède et les forces de frottements fluide sont négligeables devant le
poids de l’avion.
Utilisation de la seconde loi de Newton : £Fext = m.£a £P = m.£a m.£g = m.£a £a = £g = – g.£k.
0
Dans le repère choisi : £a – g
vx0 v0.cos
La vitesse £v est la primitive de l’accélération £a : £v – g.t + v ainsi : £v
z0 – g.t + v0.sin
v0.cos .t + x0
La position est la primitive de la vitesse : _OG – .g.t2 + v0.sin .t + z0 avec x0 = 0 et z0 = 27000 pieds et 1 pied
2
correspond à 0,3048 m d’après les données donc z0 = 8230 m.
3. a. La composante verticale du vecteur vitesse est nulle. Il ne possède qu’une composante horizontale au sommet de sa
trajectoire.
v .sin
b. L’avion atteint le sommet de sa trajectoire pour vz(tS) = 0 = – g.tS + v0.sin , donc tS =
g
v0 = 525 km.h = –1 –1
= 146 m.s . Ainsi : tS = ×sin ° = 10,5 s.
, ,
c. z(tS) = – .g.tS2 + v0.sin .tS + z0
2
z(tS) = – ×9,8×10,52 + 146×sin ×10,5 + 8230 = 8,77.103 m soit 2,88.104 pied. Cette valeur est cohérente avec
2
l’indication du schéma : 28707 pied.
4. a. Équation de la trajectoire : il faut éliminer t. Pour cela on remarque que x = v0.cos .t donc t = x
v.cos
Ainsi, on remplace pour obtenir z(x), l’expression de t fonction de x, dans l’équation horaire de l’altitude z(t) :
z(x) = – .g. x + v0.sin . x
2
+ z0.
v.cos v.cos
Ainsi : z(x) = – g .x2 + tan .x + z0
.v.cos
b. L’équation de la trajectoire montre que z est une fonction de x2. Il s’agit donc d’une fonction parabolique : la
trajectoire est une parabole.
5. z(20,5 s) = – .g.(20,5)2 + v0.sin .20,5 + z0
2
z(20,5 s) = – ×9,8×(20,5)2 + 146×sin .20,5 + 8230 = 8,29.103 m soit 2,72.104 pied.
2
6. Pour montrer que l’avion est incliné vers le bas d’un angle de 42°, il suffit de calculer les coordonnées du vecteur
vBx = vB.cos
vitesse (tangent à la trajectoire à chaque instant) en B et de remarquer que £vB donc :
vBz = vB.sin
tan = vBz. Par conséquent : tan = – g.tB v.sin = – ,×, ×sin = – 43°. Cette valeur est
vBx v.cos ×cos
effectivement très proche de 42° !
Exercice n°18 p269
1. a. La trajectoire du centre S1 d’un satellite est une ellipse dont l’un des foyers est le centre A de l’astre.
Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 6 sur 10
b. Le satellite S1 est en orbite elliptique autour de l’astre A, donc l’astre A constitue l’un des deux foyers de l’ellipse.
2. a. La seconde loi de Kepler est la loi de Aires : elle stipule que pendant des durées identiques, l’aire parcourue par le
rayon vecteur _AS est identique quelque soit la position du satellite sur son orbite.
S
Les aires A1 et A2 balayées
pendant des durées identiques
b. sont les mêmes
c. En position 1 le satellite est proche de l’astre attracteur : sa vitesse est donc grande.
En position 2 le satellite est plus éloigné de l’astre attracteur et sa vitesse est par conséquent plus faible qu’en 1.
d. Lorsque la trajectoire est circulaire, la distance parcourue est constante entre des intervalles de temps égaux (même
arc de cercle) et par conséquent le mouvement est uniforme !
3. a. La troisième loi de Kepler lie la période T de révolution d’un satellite au demi-grand axe a de l’ellipse représentant
sa trajectoire : pour un même astre attracteur T = cste.
a
T T T a a a a T
b. = = par conséquent si a2 > a1, alors > 1 donc < 1 et < 1 et donc < 1
a a T a a a a T
Ainsi T1 < T2 et donc plus le satellite est proche de l’astre A, plus sa période de révolution est faible.
Exercice n°19 p270
1. Le mouvement de Charon est étudié dans le référentiel « plutocentrique », par analogie avec les référentiels
héliocentrique ou géocentrique : trois axes perpendiculaires entre eux et pointant vers 3 étoiles infiniment éloignées et
centrés au centre de la planète naine pluton !
M .m _CP
2. mCharon.£a = £Fext = £FPluton/Charon = G. P Charon.£n avec £n = , et CP = r.
r CP
£a = G.MP.£n.
r
Le vecteur accélération est donc radial, et de valeur constante si r = cste (mouvement circulaire) :
a = G.M P
= ,.–×,. = 2,4.10–3 m.s–2
d ,.
3. La valeur de l’accélération calculée précédemment est normale à la trajectoire.
v G.M G.MP G.MP ,.–×,.
Dans la base de Frenet : aN = = P. Ainsi v2 = et finalement v = =
r r r d ,.
= 2,1.102 m.s–1 soit 0,21 km.s–1 : on retrouve bien la valeur proposée par l’énoncé.
4. La mouvement étant circulaire est uniforme la distance parcoure sur l’orbite circulaire en une période est : 2..d = v.T,
donc T = ..d
v
5. T2 = . .d ainsi T2 = 4.2.d2. d = . .d3. On vérifie donc que T = . = cste !
v G.MP G.MP d G.MP
Terre
£FT/s Satellite
r
1. a.
£FT/s = G.MT.m _ST ; S : centre de gravité du satellite et T : centre de gravité de la Terre !
.£usT avec £usT =
s
r ST
Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 7 sur 10
mS : masse du satellite et r distance entre le centre de gravité de la Terre et le centre de gravité du satellite.
v
b. L’accélération normale subit par le satellite est : aN = (expression valable à chaque instant, quelque soit v et r)
r
G.M
Or d’après la seconde loi de Newton : ms.£a = £FT/s. Par conséquent £a = 2 T.£usT
r
L’énoncé précise que le mouvement est circulaire donc £usT £n :
M .m v M .m v G.M G.MT
ms.an = G. T2 s ms. = G. T2 s donc = 2 T et finalement v = .
r r r r r r
Or puisque le mouvement est circulaire r = cste, donc v = cste : le mouvement est nécessairement uniforme !
On peut aussi remarquer (comme en cours) que pour un mouvement circulaire à force centrale :
£a = £aT + £an = FG.£usT avec £usT £an donc aT = 0 = dv et par conséquent v = cste.
m dt
Par ailleurs on peut aussi utiliser la seconde loi de Kepler ou loi des Aires qui stipule que pour des durées
égales, l’aire balayée par le segment de droite joignant le centre de gravité O de l’astre et le centre de gravité
S du satellite reste la même quelque soit la position du satellite sur son orbite. Donc, pour un cercle, si l’aire
balayée est la même, l’arc de cercle parcourue est le même pendant des durées égales et donc la vitesse du
satellite est la même !
2. a. Le mouvement étant circulaire et uniforme, la trajectoire du satellite est un cercle. Par conséquent : 2.r = v.T,
donc T = .r.
v
Nous avons montré à la question 1.b. que v = G.MT pour un mouvement circulaire à force centrale.
r
r
Ainsi : T = 2..r. .
G.MT
b. Les satellites étant situés à h = 20200 km d’altitude : r = 20200 + 6378 = 26578 km.
T = 2××26578.103× . = 431.102 s = 12,0 h.
,.–×,.
c. Les satellites utilisés pour la géolocalisation ne sont pas géostationnaires puisque leur période de révolution est
différente de la période de rotation propre de la Terre !
3. a. L’onde émise par un signal radio est une onde électromagnétique qui a la propriété de pouvoir se déplacer dans le
vide.
b. Dans le vide cette onde se propage à la célérité de la lumière : c.
c
Dans l’air elle se propage à v = c puisque n est très proche de 1.
n
4. a. Nous savons que pour une onde se propageant à vitesse constante : d = c.t. Donc t = d.
c
Une onde se propageant à la vitesse de la lumière parcourt d = 10 m en : t = = 3,3.10–8 s.
,.
Il faut donc pour mesurer des variations de durée avec une précision meilleure que 33 ns !
b. Comme le texte le précise, ce sont les horloges atomiques qui permettent d’atteindre une précision suffisante.
Sujets BAC : Quatre satellites terrestres artificiels parmi bien d’autres : France, juin 2005 – page 271
1. Le premier satellite artificiel
Terre
£FT/s Spoutnik
1
r
1.1.
£FT/s = G.MT.m s
.£usT avec £uST = _ST ; S : centre de gravité de spoutnik 1 et T : centre de gravité de la Terre !
r ST
r représente la distance entre S et T : r = RT + h.
1.2. Le système étudié est le satellite {Spoutnik 1} dans le référentiel géocentrique considéré galiléen.
Appliquons la seconde loi de Newton au satellite Spoutnik 1 : ms.£a = = G.MT.m s
.£usT.
r
Ainsi : £a = G.M T
.£uST.
r
Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 8 sur 10
P A
T
36000 km
500 km A
3.2.
A
N.B. : A s’appelle l’Apogée de la trajectoire (point le plus éloigné sur la trajectroire elliptique de la Terre)
P s’appelle le périgée de la trajectoire !
S1
S2
A
P S4
T
S3
3.3.
Lorsque le satellite est proche de la Terre, il parcourt l’aire représentée en bleue pendant une durée t.
Lorsque le satellite est loin de la Terre, il parcourt une aire égale (représentée en vert) pendant la même durée.
Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 9 sur 10
La distance S1 et S2 parcourue pendant le satellite pendant la durée t est plus grande que la durée S3 et S4
parcourue pendant la même durée. Par conséquent la vitesse du satellite est plus grande lorsque le satellite est plus
proche de la Terre : elle n’est pas constante.
3.4. La vitesse est donc maximale en P et minimale en A !
Sujets BAC : Le lancer du poids aux championnats du monde : Nouvelle-Calédonie, Nov. 2004 – page 271
1. Étude des résultats de la simulation
1.1. Étude de la projection horizontale du mouvement du centre d’inertie du boulet
1.1.a. v0x = 10 m.s–1.
1.1.b. La projection du mouvement du centre d’inertie sur l’axe (Ox) est un mouvement rectiligne et uniforme car
la valeur de la vitesse vx est constante.
1.1.c. La composante vSx du vecteur vitesse du centre d’inertie au sommet de la trajectoire est : vSx = 10 m.s–1.
1.2. Étude des conditions initiales du lancer
1.2.a. À la date t = 0, la composante verticale du vecteur vitesse est : v0y = 9 m.s–1.
1.2.b. v0x = v0.cos et v0y = v0.sin ,
donc v0 = vx vy = = 13,5 m.s–1, valeur très proche de celle de l’énoncé (13,7 m.s–1).
et tan = vy, ainsi = 42 °. Valeur également très proche de la valeur indiquée par l’énoncé (43 °).
vx
1.3. Étude du vecteur vitesse du centre d’inertie du boulet
1.3.a. Au sommet de la trajectoire le vecteur vitesse du centre d’inertie du boulet
– est appliquée au centre d’inertie du boulet ;
– est de direction horizontal,
– est dans le sens du mouvement,
– possède une coordonnée horizontale vSx = 10 m.s–1 et une coordonnée verticale vSy = 0.
1.3.b. Au sommet de la trajectoire le vecteur vitesse du centre d’inertie du boulet
z
S £vS
zS
£v0
£k x
O £i xS
Il faut respecter le fait que v0x et vSx ont même valeur.
2. Étude théorique du mouvement du centre d’inertie du boulet
2.1. FA = ’.V.g.
P = .V.g.
FA = ’ = , = 1,82.10–4 << 1. La poussée d’Archimède est négligeable devant le poids du boulet.
P ,.
2.2. Le système considéré est le {boulet} dans le référentiel terrestre supposé galiléen.
Appliquons la seconde loi de Newton au centre d’inertie du boulet : m.£a = £Fext.
Le système n’est soumis qu’à son poids, si l’on néglige les forces de frottement fluide et la poussée d’Archimède.
.V.£a = £P = .V.£g. Ainsi £a = £g.
ax
2.3. Dans le repère d’espace défini en introduction : £a . La coordonnée az < 0 car £g = – g.£k donc az = – g.
az – g
vx v0x v0x
Le vecteur vitesse est la primitive du vecteur accélération : £v car £v0 v
vy – g.t + v0y 0y
x v0x.t + x0
Le vecteur position est la primitive du vecteur vitesse : _OG y – .g.t2 + v .t + y .
0y 0
Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 10 sur 10
x v0.cos .t
Or x0 = 0 et y0 = h, v0x = v0.cos et v0y = v0.sin donc : _OG y – .g.t2 + v .sin .t + h
0
2.4. Par conséquent en éliminant le paramètre t, on peut établir l’expression de l’équation de la trajectoire du centre
d’inertie : t = x , donc y(x) = – .g. x 2 + v .sin . x +h
v.cos
0
v.cos v.cos
g
Ainsi z(x) = – .x2 + tan .x + h est l’équation de la trajectoire du centre d’inertie du boulet.
.v.cos
3. Comment améliore la performance d’un lanceur
3.1.
Angle fixé Vitesse initiale v0 fixée
Quand v0 augmente, la distance horizontale D du jet : Quand augmente, la distance horizontale D du jet :
– augmente ; – augmente ;
– diminue ; – diminue ;
– est la même ; – est la même ;
– augmente, passe par un maximum, puis diminue ; – augmente, passe par un maximum, puis diminue ;
– diminue, passe par un minimum, puis augmente. – diminue, passe par un minimum, puis augmente.
3.2. Pour battre le record du monde, il faudra obtenir une vitesse initiale la plus grande possible et un angle proche
de 41°.
Sujets BAC : Mouvements plans (extrait) : Amérique du Sud, 2004 – page 273
1. Affirmation vraie : D’après la seconde loi de Newton appliquée au projectile de masse m, dans un référentiel
galiléen : m.£aG = £Fext = £P = m.£g, donc £aG = £g. Le vecteur accélération ne dépend que du champ de pesanteur £g.
2. Affirmation fausse : d’après l’affirmation à la question 1 : aGz = dvz = – g, donc vz étant la primitive de az, il vient :
dt
vz = – g.t + z0, avec z0 = 0, donc vz = – g.t.
La valeur de vz n’est donc pas constante : le projeté du mouvement ne peut être uniforme verticalement : il est
uniformément accéléré.
3. Affirmation fausse : si = 90°, la trajectoire n’est pas une parabole : c’est une droite ! En revanche si 90°, la
trajectoire est effectivement parabolique (d’où la nécessité de justifier une réponse !).
4. Affirmation vraie :
Si la vitesse initiale est horizontale alors = 0 alors v0x = v0 et v0y = 0.
x v0.t
ax vx v0
£a et donc sa primitive est £v . La primitive de £v est _OG : _OG z – g.t2
az – g vz – g.t
2
H
Le point de chute est obtenu pour z(t) = – H soit : – .g.t2 = – H : par conséquent t =
g
H
Par conséquent en remplaçant t dans l’expression de x(t) : x = v0.
g