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Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 1 sur 10

Chap. 11 : Étude du cas de mouvements plans – Exercices


Exercice n°2 p265
Pour déterminer la valeur de v0x, il suffit de mesurer la composante horizontale du vecteur et
d’appliquer le facteur d’échelle (0,95 cm représente 10 m.s–1 – ou 1,0 cm représente 1,0 m.s–1).
Pour déterminer la valeur de v0z, il suffit de mesurer la composante verticale du vecteur et d’appliquer
le facteur d’échelle (0,95 cm représente 10 m.s–1 – ou 1,0 cm représente 1,0 m.s–1).
vx   x   vx  13 x  
Cas  : £v0 et _OG0 ; Cas  : £v0 et _OG0 ;
vz   z   vz  0 z  2,5
vx   x   vx  – 10 x  
Cas  : £v0 et _OG0 ; Cas  : v0 et _OG0 ;
vz  –  z   vz  –  z  
vx  18 x   vx  9 x  1
Cas  : £v0 et _OG0 ; Cas  : £v0 et _OG0 ;
vz  8 z   vz  – 7 z  
Exercice n°3 p265
x  v0.cos .t
y0
1. a. Les coordonnées du vecteur position sont : _OG
z  – g.t2 + v0.sin .t
2
Le mouvement a lieu dans un champ de pesanteur £g uniforme et en la chute libre.
x  0
On remarque que _OG0 = _OG(t=0) = y  0 .
z  0
Ainsi l’origine du repère est choisie en O, position du centre d’inertie à l’instant t = 0.
x est croissant : l’axe horizontal (O ;£i) est donc dans le sens du mouvement.
z dépend de – g.t2, donc l’axe vertical (O ;£k) est orienté vers le haut.

dx
vx =  v0.cos 
dt
d_OG dy
d_OG vy =  0
Le vecteur vitesse se détermine en calculant : £vG = dt
dt dt
dz
vz =  – g.t + v0.sin 
dt
v0x = v0.cos 
Initialement £v0 v0y  0
v0z  v0.sin 
b. Le mouvement est plan puisqu’il ne s’effectue que suivant deux directions. En effet la coordonnée y reste constante
(nulle car l’origine des axes passe par la position initiale du centre d’inertie).
c. Le mouvement de la projection de G est uniforme sur l’axe horizontal (Ox) : vx = cste.
2. a. L’équation de la trajectoire de G est z = f(x).
Pour déterminer l’équation de cette trajectoire, il suffit d’exprimer t en fonction de x et de réinjecter l’expression
précédente dans celle de z :
t= x . Ainsi : z(x) = – g. x 2 + v .sin . x  = – g. x + x.tan 
2 v.cos  v.cos  2 v .cos 

0
v.cos 
ainsi : z(x) = – g .x2 + x.tan 
.v.cos 
b. La distance maximale atteinte par le projectile correspond à la valeur maximale de x = xmax. Elle est atteinte pour
z(x) = 0. z(x) = – g .x2 + x.tan  = 0.
.v.cos 
Factorisons par x : (– g .x + tan ).x = 0.
.v.cos 
Deux solutions sont envisageables. x = 0 correspond à l’origine, et n’est donc pas acceptable.
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g g .v
et –   .x + tan  = 0    .x = tan   x = xmax = .cos2 .tan .
.v .cos  .v .cos  g
.v sin  .v v
xmax = .cos .
2
= .cos .sin  =  .sin 2.
g cos  g g

vx = dx  v0.cos 
dt
dy
3. a. £vG = vy = dt  0

vz = dz  – g.t + v0.sin 
dt
b. Le vecteur vitesse est horizontal lorsque sa composante verticale est nulle : vz = 0 = – g.t + v0.sin , donc pour
t = v.sin .
g
v .sin 
c. L’altitude maximale atteinte correspond à l’instant où sa vitesse verticale est nulle. Ainsi pour z = zmax, t = 
g
     
v .sin  v .sin  v .sin  v .sin  v .sin 
zmax = – g.  + v0.sin .  =– 
2
+ =
2  g   g  2 g g 2.g
Exercice n°6 p266
1. Définition du système : le système étudié est {l’obus} dans z
le référentiel terrestre supposé galiléen ;
On choisit un repère (O ;£i ;£k) avec £i horizontal dans le sens
du mouvement et £k vertical vers le haut.
Le plan (£i ;£k) contient le vecteur vitesse initiale £v0.
vz0 £v0
Bilan des forces extérieures : {l’obus} est soumis à son
poids £P (chute libre).
On admet pour simplifier que la poussée d’Archimède et
les forces de frottements fluide sont négligeables devant le
poids de l’obus.
Utilisation de la seconde loi de Newton : £k  x
£Fext = m.£a  £P = m.£a  m.£g = m.£a  £a = £g. vx0
0 £i
Conditions initiales :
L’obus est lancé depuis le point O, choisi comme origine.
x  v  v.cos 
_OG0  et £v0 x
z   vz  v.sin 

ax  0 v.cos 
£a , donc la vitesse £v étant la primitive de £a, il vient pour £v : £v
az  – g – g.t  vsin 
La coordonnée vx de la vitesse est vx = vx0 = v0.cos  : vx est indépendant du temps.
La coordonnée vz de la vitesse est vz = – g.t + v0.sin  : vz est une fonction affine du temps.
v.cos .t + x0 v.cos .t
De même _OG est la primitive de £v : _OG – 1g.t2  v sin .t + z soit _OG – 1g.t2  v sin .t
 0 
2 2
Ainsi l’équation horaire de l’abscisse x(t) du projectile est : x(t) = v0.cos .t : fonction linéaire
L’équation horaire de l’altitude z(t) du projectile est : z(t) = – 1g.t2 + v0.sin .t : fonction parabolique
2
2. D’après les équations horaires paramétriques précédentes : t = x , donc :
v.cos 
z(x) = – .g.
x 2 x
+ v0.sin . 
 v.cos  v.cos 
g
z(x) = – .x2 + tan .x
.v .cos 

g g
3. z(x) = –  .x + tan .x = 0 et donc (– .x + tan .x = 0 si x = 0 ou si x = xP
2

.v .cos  .v .cos 

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g g.xP g.xP g.xP
–  .xP + tan  = 0  v0 =  v0 =
2
  =
.v .cos  .cos .tan  .cos .sin  .cos .sin 

,×.
A.N. : v0 = °= 1,1.103 m.s–1.
×cos °.sin 
4. La vitesse initiale réelle pour atteindre 120 km de portée est plus grande que la vitesse théorique dans l’hypothèse de
frottements fluides négligeables. On peut donc penser que sur cette distance les frottements fluide ne sont pas en
réalité négligeables !
Exercice n°8 p266
1. La distance horizontale parcourue par le centre d’inertie G de la balle tous les 67 ms ne varie pas. Elle reste constante.
2. La vitesse horizontale vx du centre d’inertie de la balle est donc constante : vx = 3,0 m.s–1.
3. La composante vz n’est pas constante, puisque la balle monte dans un premier temps (vz > 0), puis descend ensuite
(vz < 0). Par ailleurs la balle est soumise à l’accélération de la pesanteur. Par conséquent l’accélération verticale est
constante, en l’absence de forces de frottement, donc la vitesse verticale vz dépend du temps !
4. vz(t1) = 2,6 m.s–1.
vz(t3) = 1,2 m.s–1
vz(t7) = – 1,7 m.s–1
vz(t9) = – 3,1 m.s–1
Le calcul de vz(10) est impossible car si la première position de la balle correspond à t0, la dernière correspond à t10. La
position 11 n’est donc pas accessible.
5. az(t2) = , – ,– = – 10 m.s–2
×.
az(t8) = –,1 – (– , = – 10 m.s–2
×.–
Voir le cours pour la démonstration : g = 9,8 m.s–2 et az = – g = – 9,8 m.s–2
Exercice n°9 p266
a. Vraie : si l’orbite est circulaire l’accélération est normale, et donc dv = 0 : la vitesse a une valeur constante.
dt
b. Affirmation vraie.
c. Affirmation vraie.
d. Affirmation fausse : la vitesse diminue lorsque l’altitude est plus importe
e. Affirmation vraie.
f. Affirmation vraie.
g. Affirmation fausse : ils sont fixes dans le référentiel terrestre !
La proposition 1 est donc VRAIE ! La proposition 2 est également VRAIE. La proposition 3 est VRAIE ! La proposition
4 est FAUSSE puisque l’affirmation g. est fausse.
Exercice n°13 p267
z
£v0

B
£k
£i
1. O x
 v.cos   ×cos °  m.s–
_OB et £v0 =
 v.sin   ×sin ° , m.s–

v.cos .t x  


 v.cos 
2. £a donc £v et _OG – .g.t  v .sin .t  z z  
–g –g.t  v.sin    

donc z(x) = – .g. x  + v0.sin . x


2
3. t = x + z0.
v.cos   v.cos  v.cos 
Ainsi : z(x) = – g .x2 + tan .x + z0
.v.cos 
4. Au point A : xA = 42 m. Donc z(xA) = – , ×422 + tan 19×42 + 2 = 1 m.
××cos 
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C’est une hauteur convenable pour la réception d’un ballon !
5. tA =
xA
=  = 1,8 s.
v.cos  ×cos °
6. Le coéquipier doit parcourir CA = 16 m et se déplace à la vitesse de 9 m.s–1.
A cette vitesse, pendant 1,8 s, le coéquipier parcourir une distance : d = v.t = 9×1,8 = 16 m.
La passe est donc réussie !
z
Exercice n°15 p268 £v0
 v.cos  
1. _OG0 et £v0 = G0
 v.sin 
2. Définition du système : Le système étudié est {Mike POWELL} dans le £k
référentiel terrestre supposé galiléen. £i
Bilan des forces extérieures : {Mike POWELL} est soumis à son poids O x
£P (chute libre).
On admet pour simplifier que la poussée d’Archimède et les forces de frottements fluide sont négligeables devant le
poids de l’athlète.
Utilisation de la seconde loi de Newton : £Fext = m.£a  £P = m.£a  m.£g = m.£a  £a = £g = – g.£k.
0
Dans le repère choisi : £a – g

vx0 v0.cos 
La vitesse £v est la primitive de l’accélération £a : £v – g.t + v ainsi : £v
z0 – g.t + v0.sin 
v0.cos .t + x0
La position est la primitive de la vitesse _OG – .g.t2 + v .sin .t + z avec x0 = 0 et z0 = 1,2
0 0
2
3. Équation de la trajectoire : il faut éliminer t. Pour cela on remarque que x = v0.cos .t donc t = x
v.cos 
Ainsi, on remplace pour obtenir z(x), l’expression de t fonction de x, dans l’équation horaire de l’altitude z(t) :
z(x) = – .g. x  + v0.sin . x
2
+ z0.
 v.cos  v.cos 
Ainsi : z(x) = – g .x2 + tan .x + z0 (1)
.v.cos 
4. D’après l’équation (1) : g .x2 = – z(x) + tan .x + z0
.v.cos 
Par conséquent v0 = g.x

.cos .– zx  tan .x  z
Nous savons que z0 = 1,20 m et que pour x = 8,95 m z(x) = 0,40 m.
Ainsi : v0 = 9,81×8,95 = 9,81×8,952
 
×cos .–0,40  tan .8,95  1,20 ×cos .0,80  8,95×tan 
 (en °) 35,0 40,0 45,0 50,0 55,0
v0 (en m.s–1) 9,10 8,976 8,977 9,11 9,38
La valeur de la vitesse initiale v0 nécessaire pour parcourir 8,95 m dans les conditions énoncées est minimale pour 40°.
Exercice n°16 p269
1. La composante vx de la vitesse de la balle est constante. Elle vaut : vx = 2 m.s–1.
2. Puisque vx = cste, ax = dvx = 0.
dt
3. vz est une fonction affine du temps. Avec vz0 = 4 m.s–1 et dvz = az = – 10 m.s–2 (  –  = –10)
dt  – ,
vz = az.t + vz0 donc vz = – 10.t + 4
4. v0z = 4 m.s–1
5. L’unité du coefficient directeur est le m.s–2.
az = –10 m.s–2.
Cette composante est négative car l’axe verticale est orienté vers le haut alors que l’accélération de la pesanteur est
orientée vers le bas.
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v0x = 2 et v0z = 4
vz
v0x = v0.cos  et v0z = v0.sin . Ainsi tan  = .
vx
Par conséquent  = tan–1 vz. A.N. :  = tan–1    = tan–1 2   = 63°.
vx 
Exercice n°17 p269 : http://www.cnes.fr/web/620-principes-de-fonctionnement.php
 v.cos 
1. OG0 et £v0 = avec v0 = 525 km.h–1 et  = 45°
27000 ft v.sin 
2. Définition du système : Le système étudié est {l’Airbus A300 zéro G} dans le référentiel terrestre supposé galiléen.
Bilan des forces extérieures : {l’Airbus A300 zéro G} est soumis à son poids £P (chute libre).
On admet pour simplifier que la poussée d’Archimède et les forces de frottements fluide sont négligeables devant le
poids de l’avion.
Utilisation de la seconde loi de Newton : £Fext = m.£a  £P = m.£a  m.£g = m.£a  £a = £g = – g.£k.
0
Dans le repère choisi : £a – g

vx0 v0.cos 
La vitesse £v est la primitive de l’accélération £a : £v – g.t + v ainsi : £v
z0 – g.t + v0.sin 
v0.cos .t + x0
La position est la primitive de la vitesse : _OG – .g.t2 + v0.sin .t + z0 avec x0 = 0 et z0 = 27000 pieds et 1 pied
2
correspond à 0,3048 m d’après les données donc z0 = 8230 m.
3. a. La composante verticale du vecteur vitesse est nulle. Il ne possède qu’une composante horizontale au sommet de sa
trajectoire.
v .sin 
b. L’avion atteint le sommet de sa trajectoire pour vz(tS) = 0 = – g.tS + v0.sin , donc tS = 
g
v0 = 525 km.h = –1  –1
= 146 m.s . Ainsi : tS = ×sin ° = 10,5 s.
, ,
c. z(tS) = – .g.tS2 + v0.sin .tS + z0
2
z(tS) = – ×9,8×10,52 + 146×sin ×10,5 + 8230 = 8,77.103 m soit 2,88.104 pied. Cette valeur est cohérente avec
2
l’indication du schéma : 28707 pied.
4. a. Équation de la trajectoire : il faut éliminer t. Pour cela on remarque que x = v0.cos .t donc t = x
v.cos 
Ainsi, on remplace pour obtenir z(x), l’expression de t fonction de x, dans l’équation horaire de l’altitude z(t) :
z(x) = – .g. x  + v0.sin . x
2
+ z0.
 v.cos  v.cos 
Ainsi : z(x) = – g .x2 + tan .x + z0
.v.cos 
b. L’équation de la trajectoire montre que z est une fonction de x2. Il s’agit donc d’une fonction parabolique : la
trajectoire est une parabole.
5. z(20,5 s) = – .g.(20,5)2 + v0.sin .20,5 + z0
2
z(20,5 s) = – ×9,8×(20,5)2 + 146×sin .20,5 + 8230 = 8,29.103 m soit 2,72.104 pied.
2
6. Pour montrer que l’avion est incliné vers le bas d’un angle de 42°, il suffit de calculer les coordonnées du vecteur
vBx = vB.cos 
vitesse (tangent à la trajectoire à chaque instant) en B et de remarquer que £vB donc :
vBz = vB.sin 

tan  = vBz. Par conséquent : tan  = – g.tB  v.sin  = – ,×,  ×sin  = – 43°. Cette valeur est
vBx v.cos  ×cos 
effectivement très proche de 42° !
Exercice n°18 p269
1. a. La trajectoire du centre S1 d’un satellite est une ellipse dont l’un des foyers est le centre A de l’astre.
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b. Le satellite S1 est en orbite elliptique autour de l’astre A, donc l’astre A constitue l’un des deux foyers de l’ellipse.
2. a. La seconde loi de Kepler est la loi de Aires : elle stipule que pendant des durées identiques, l’aire parcourue par le
rayon vecteur _AS est identique quelque soit la position du satellite sur son orbite.

S
Les aires A1 et A2 balayées
pendant des durées identiques
b. sont les mêmes
c. En position 1 le satellite est proche de l’astre attracteur : sa vitesse est donc grande.
En position 2 le satellite est plus éloigné de l’astre attracteur et sa vitesse est par conséquent plus faible qu’en 1.
d. Lorsque la trajectoire est circulaire, la distance parcourue est constante entre des intervalles de temps égaux (même
arc de cercle) et par conséquent le mouvement est uniforme !
3. a. La troisième loi de Kepler lie la période T de révolution d’un satellite au demi-grand axe a de l’ellipse représentant

sa trajectoire : pour un même astre attracteur T = cste.
a
   
T T T a a a a T
b.  =    =  par conséquent si a2 > a1, alors  > 1 donc  < 1 et  < 1 et donc  < 1
a a T  a a a a T
Ainsi T1 < T2 et donc plus le satellite est proche de l’astre A, plus sa période de révolution est faible.
Exercice n°19 p270
1. Le mouvement de Charon est étudié dans le référentiel « plutocentrique », par analogie avec les référentiels
héliocentrique ou géocentrique : trois axes perpendiculaires entre eux et pointant vers 3 étoiles infiniment éloignées et
centrés au centre de la planète naine pluton !
M .m _CP
2. mCharon.£a = £Fext = £FPluton/Charon = G. P Charon.£n avec £n = , et CP = r.
r CP
£a = G.MP.£n.
r
Le vecteur accélération est donc radial, et de valeur constante si r = cste (mouvement circulaire) :
a = G.M P
= ,.–×,. = 2,4.10–3 m.s–2
d ,.
3. La valeur de l’accélération calculée précédemment est normale à la trajectoire.
v G.M G.MP G.MP ,.–×,.
Dans la base de Frenet : aN = =  P. Ainsi v2 = et finalement v = =
r r r d ,.
= 2,1.102 m.s–1 soit 0,21 km.s–1 : on retrouve bien la valeur proposée par l’énoncé.
4. La mouvement étant circulaire est uniforme la distance parcoure sur l’orbite circulaire en une période est : 2..d = v.T,
donc T = ..d
v
    
5. T2 = . .d ainsi T2 = 4.2.d2. d = . .d3. On vérifie donc que T = . = cste !
v G.MP G.MP d G.MP

T= . .d = × ×,. = 5,6.105 s.


– 
G.MP ,. ×,.
5,6.105 s soit 155 h c’est-à-dire 6,5 j. On retrouve donc la valeur de 6,4 jours proposée par l’énoncé !
Exercice n°21 p270

Terre
£FT/s Satellite

r
1. a.
£FT/s = G.MT.m _ST ; S : centre de gravité du satellite et T : centre de gravité de la Terre !
 .£usT avec £usT =
s
r ST
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mS : masse du satellite et r distance entre le centre de gravité de la Terre et le centre de gravité du satellite.
v
b. L’accélération normale subit par le satellite est : aN = (expression valable à chaque instant, quelque soit v et r)
r
G.M
Or d’après la seconde loi de Newton : ms.£a = £FT/s. Par conséquent £a = 2 T.£usT
r
L’énoncé précise que le mouvement est circulaire donc £usT  £n :
M .m v M .m v G.M G.MT
ms.an = G. T2 s  ms. = G. T2 s donc = 2 T et finalement v = .
r r r r r r
Or puisque le mouvement est circulaire r = cste, donc v = cste : le mouvement est nécessairement uniforme !
 On peut aussi remarquer (comme en cours) que pour un mouvement circulaire à force centrale :
£a = £aT + £an = FG.£usT avec £usT  £an donc aT = 0 = dv et par conséquent v = cste.
m dt
 Par ailleurs on peut aussi utiliser la seconde loi de Kepler ou loi des Aires qui stipule que pour des durées
égales, l’aire balayée par le segment de droite joignant le centre de gravité O de l’astre et le centre de gravité
S du satellite reste la même quelque soit la position du satellite sur son orbite. Donc, pour un cercle, si l’aire
balayée est la même, l’arc de cercle parcourue est le même pendant des durées égales et donc la vitesse du
satellite est la même !
2. a. Le mouvement étant circulaire et uniforme, la trajectoire du satellite est un cercle. Par conséquent : 2.r = v.T,
donc T = .r.
v
Nous avons montré à la question 1.b. que v = G.MT pour un mouvement circulaire à force centrale.
r
r
Ainsi : T = 2..r. .
G.MT
b. Les satellites étant situés à h = 20200 km d’altitude : r = 20200 + 6378 = 26578 km.
T = 2××26578.103× . = 431.102 s = 12,0 h.
,.–×,.
c. Les satellites utilisés pour la géolocalisation ne sont pas géostationnaires puisque leur période de révolution est
différente de la période de rotation propre de la Terre !
3. a. L’onde émise par un signal radio est une onde électromagnétique qui a la propriété de pouvoir se déplacer dans le
vide.
b. Dans le vide cette onde se propage à la célérité de la lumière : c.
c
Dans l’air elle se propage à v =  c puisque n est très proche de 1.
n
4. a. Nous savons que pour une onde se propageant à vitesse constante : d = c.t. Donc t = d.
c
Une onde se propageant à la vitesse de la lumière parcourt d = 10 m en : t =  = 3,3.10–8 s.
,.
Il faut donc pour mesurer des variations de durée avec une précision meilleure que 33 ns !
b. Comme le texte le précise, ce sont les horloges atomiques qui permettent d’atteindre une précision suffisante.
Sujets BAC : Quatre satellites terrestres artificiels parmi bien d’autres : France, juin 2005 – page 271
1. Le premier satellite artificiel

Terre
£FT/s Spoutnik
1
r
1.1.
£FT/s = G.MT.m s
.£usT avec £uST = _ST ; S : centre de gravité de spoutnik 1 et T : centre de gravité de la Terre !
r ST
r représente la distance entre S et T : r = RT + h.
1.2. Le système étudié est le satellite {Spoutnik 1} dans le référentiel géocentrique considéré galiléen.
Appliquons la seconde loi de Newton au satellite Spoutnik 1 : ms.£a = = G.MT.m s
.£usT.
r
Ainsi : £a = G.M T
.£uST.
r
Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 8 sur 10

2. Les satellites artificiels à orbites circulaires


2.1. Étude du mouvement du satellite Hubble dans un référentiel géocentrique
2.1.a. L’orbite du satellite Hubble est circulaire, par conséquent £usT = £n : £a = G.M T
.£n (= aT.£T + aN.£n.)
r
On peut remarquer que le vecteur accélération est normal à la trajectoire et le vecteur vitesse, par défini-
tion, tangent à la trajectoire (£v = v.£T), donc la valeur de la vitesse reste constante puisque le vecteur accélé-
ration est en permanence perpendiculaire au vecteur vitesse (modification uniquement de la direction !).
dv
L’accélération tangentielle est nulle, donc = 0 : le mouvement est uniforme.
dt

2.1.b. L’accélération normale est aN = v = G.M T
 . Par conséquent v =
G.MT et finalement :
r r r
v= G.MT .
RT  h
2.1.c. Lorsque le satellite effectue une révolution, il parcourt la distance d = 2.r en une durée égale à T, à la
vitesse v : 2.r = v.T, donc T = .r = 2.r. r =  . r
v G.MT G.MT
  
On retrouve donc la troisième loi de Kepler : T2 =  .r3  T =  = cste !
G.MT r G.MT
2.2. Cas d’un satellite géostationnaire
2.2.1. Un satellite géostationnaire est un satellite dont la période de révolution est la même que la période de
rotation de la Terre. Ainsi un tel satellite reste toujours à la verticale du même point. Il est immobile dans le
référentiel terrestre.
2.2.2. 2.2.2.a. La force de gravitation est exercée par la Terre. Elle est donc dirigée vers le centre de la Terre.
D’après la seconde loi de Newton, l’accélération d’un tel satellite est colinéaire à la force de
gravitation. Dans le cas de la figure 2 l’accélération passe par l’axe de rotation de la Terre mais pas
par le centre de la Terre. Cette trajectoire est physiquement impossible !
2.2.2.b. Seule la trajectoire de la figure 1 correspond à la trajectoire d’un satellite géostationnaire. En effet,
la trajectoire est dans un plan perpendiculaire à l’axe de rotation de la Terre (et passe par le centre
de la Terre !) par conséquent la trajectoire appartient au plan équatorial.
3. Les satellites artificiels à orbites elliptiques
3.1. Première loi de Kepler : l’astre attracteur, dans le cas d’une orbite elliptique, correspond à l’un des foyers de
l’ellipse.
Troisième loi de Kepler : Pour un même astre attracteur, le rapport entre le carré de la période de révolution du

satellite et le cube du demi-grand axe de l’ellipse qu’il décrit, est constant : T = cste.
a

P A
T
36000 km
500 km A
3.2.
A
N.B. : A s’appelle l’Apogée de la trajectoire (point le plus éloigné sur la trajectroire elliptique de la Terre)
P s’appelle le périgée de la trajectoire !
S1
S2
A
P S4
T
S3

3.3.
Lorsque le satellite est proche de la Terre, il parcourt l’aire représentée en bleue pendant une durée t.
Lorsque le satellite est loin de la Terre, il parcourt une aire égale (représentée en vert) pendant la même durée.
Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 9 sur 10
La distance S1 et S2 parcourue pendant le satellite pendant la durée t est plus grande que la durée S3 et S4
parcourue pendant la même durée. Par conséquent la vitesse du satellite est plus grande lorsque le satellite est plus
proche de la Terre : elle n’est pas constante.
3.4. La vitesse est donc maximale en P et minimale en A !
Sujets BAC : Le lancer du poids aux championnats du monde : Nouvelle-Calédonie, Nov. 2004 – page 271
1. Étude des résultats de la simulation
1.1. Étude de la projection horizontale du mouvement du centre d’inertie du boulet
1.1.a. v0x = 10 m.s–1.
1.1.b. La projection du mouvement du centre d’inertie sur l’axe (Ox) est un mouvement rectiligne et uniforme car
la valeur de la vitesse vx est constante.
1.1.c. La composante vSx du vecteur vitesse du centre d’inertie au sommet de la trajectoire est : vSx = 10 m.s–1.
1.2. Étude des conditions initiales du lancer
1.2.a. À la date t = 0, la composante verticale du vecteur vitesse est : v0y = 9 m.s–1.
1.2.b. v0x = v0.cos  et v0y = v0.sin ,
donc v0 = vx  vy =    = 13,5 m.s–1, valeur très proche de celle de l’énoncé (13,7 m.s–1).
et tan  = vy, ainsi  = 42 °. Valeur également très proche de la valeur indiquée par l’énoncé (43 °).
vx
1.3. Étude du vecteur vitesse du centre d’inertie du boulet
1.3.a. Au sommet de la trajectoire le vecteur vitesse du centre d’inertie du boulet
– est appliquée au centre d’inertie du boulet ;
– est de direction horizontal,
– est dans le sens du mouvement,
– possède une coordonnée horizontale vSx = 10 m.s–1 et une coordonnée verticale vSy = 0.
1.3.b. Au sommet de la trajectoire le vecteur vitesse du centre d’inertie du boulet
z
S £vS
zS

£v0

£k x
O £i xS
Il faut respecter le fait que v0x et vSx ont même valeur.
2. Étude théorique du mouvement du centre d’inertie du boulet
2.1. FA = ’.V.g.
P = .V.g.
FA = ’ = , = 1,82.10–4 << 1. La poussée d’Archimède est négligeable devant le poids du boulet.
P  ,.
2.2. Le système considéré est le {boulet} dans le référentiel terrestre supposé galiléen.
Appliquons la seconde loi de Newton au centre d’inertie du boulet : m.£a = £Fext.
Le système n’est soumis qu’à son poids, si l’on néglige les forces de frottement fluide et la poussée d’Archimède.
.V.£a = £P = .V.£g. Ainsi £a = £g.
ax  
2.3. Dans le repère d’espace défini en introduction : £a . La coordonnée az < 0 car £g = – g.£k donc az = – g.
az  – g
vx  v0x v0x
Le vecteur vitesse est la primitive du vecteur accélération : £v car £v0 v
vy  – g.t + v0y 0y

x  v0x.t + x0
Le vecteur position est la primitive du vecteur vitesse : _OG y  – .g.t2 + v .t + y .
0y 0

Terminale S Physique – Chapitre 11 : Étude du cas de mouvements plans – Page 10 sur 10
x  v0.cos .t
Or x0 = 0 et y0 = h, v0x = v0.cos  et v0y = v0.sin  donc : _OG y  – .g.t2 + v .sin .t + h
0

2.4. Par conséquent en éliminant le paramètre t, on peut établir l’expression de l’équation de la trajectoire du centre
d’inertie : t = x , donc y(x) = – .g. x 2 + v .sin . x +h
 v.cos 
0
v.cos  v.cos 
g
Ainsi z(x) = – .x2 + tan .x + h est l’équation de la trajectoire du centre d’inertie du boulet.
.v.cos 
3. Comment améliore la performance d’un lanceur
3.1.
Angle  fixé Vitesse initiale v0 fixée
Quand v0 augmente, la distance horizontale D du jet : Quand  augmente, la distance horizontale D du jet :
– augmente ; – augmente ;
– diminue ; – diminue ;
– est la même ; – est la même ;
– augmente, passe par un maximum, puis diminue ; – augmente, passe par un maximum, puis diminue ;
– diminue, passe par un minimum, puis augmente. – diminue, passe par un minimum, puis augmente.
3.2. Pour battre le record du monde, il faudra obtenir une vitesse initiale la plus grande possible et un angle  proche
de 41°.
Sujets BAC : Mouvements plans (extrait) : Amérique du Sud, 2004 – page 273
1. Affirmation vraie : D’après la seconde loi de Newton appliquée au projectile de masse m, dans un référentiel
galiléen : m.£aG = £Fext = £P = m.£g, donc £aG = £g. Le vecteur accélération ne dépend que du champ de pesanteur £g.
2. Affirmation fausse : d’après l’affirmation à la question 1 : aGz = dvz = – g, donc vz étant la primitive de az, il vient :
dt
vz = – g.t + z0, avec z0 = 0, donc vz = – g.t.
La valeur de vz n’est donc pas constante : le projeté du mouvement ne peut être uniforme verticalement : il est
uniformément accéléré.
3. Affirmation fausse : si  = 90°, la trajectoire n’est pas une parabole : c’est une droite ! En revanche si   90°, la
trajectoire est effectivement parabolique (d’où la nécessité de justifier une réponse !).
4. Affirmation vraie :
Si la vitesse initiale est horizontale alors  = 0 alors v0x = v0 et v0y = 0.
x  v0.t
ax   vx  v0
£a et donc sa primitive est £v . La primitive de £v est _OG : _OG z  – g.t2
az  – g vz  – g.t
2
H
Le point de chute est obtenu pour z(t) = – H soit : – .g.t2 = – H : par conséquent t =
 g
H
Par conséquent en remplaçant t dans l’expression de x(t) : x = v0.
g

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