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Série d'exercices *** 4ème Maths Lycée Secondaire Ali Zouaoui

LES N. COMPLEXES " Hajeb Laayoun "

I / L’ensemble des nombres complexes :


Définition : On appelle ensemble des nombres complexes , et on note ℂ , l’ensemble des
nombres Z = a + i b avec (a, b ) ∈ ℝ 2 et i un nombre vérifiant i 2 = − 1 .
i a est appelé partie réelle de Z , notée Re ( Z ) .
i b est appelé partie imaginaire de Z , noté Im ( Z ) .
i pour tout Z ∈ ℂ : Z est réel ⇔ Im ( Z ) = 0 ; Z est imaginaire pur ⇔ Re ( Z ) = 0 .
Opération : les propriétés des opération dans ℂ sont les même que celle dans ℝ avec
i 2 = −1 .
Théorème : Tout nombre complexe non nul Z = a + i b ; (a, b ) ∈ ℝ 2 admet un inverse Z ′
a  b 
( c'est-à-dire un nombre complexe Z ′ vérifiant : ZZ ′ = 1 ) on a : Z ′ = + i − 2 2 
;
a +b
2 2
 a +b 
1
Z ′ est noté .
Z
Remarque : En pratique , pour le calcul de l’inverse et du quotient , on ne tient pas
la formule , mais on fait intervenir « à propos » l’égalité : ( a + i b )( a − i b ) = a 2 + b 2 .
II / Conjugué d’un nombre complexe :
Définition : soit Z = a + i b ; (a, b ) ∈ ℝ 2 un nombre complexe , on appelle conjugué de Z
le nombre complexe Z = a − i b = Re ( Z ) − i Im ( Z ) .
Remarque : i pour tout Z ∈ ℂ : Z est réel ⇔ Z = Z .
i pour tout Z ∈ ℂ : Z est imaginaire pur ⇔ Z = − Z .
Théorème : Pour tous nombres complexes Z et Z ′ , et tout entier naturel n on a :
n
Z + Z ′ = Z + Z ′ ; −Z = − Z ; Z .Z = ′ Z . Z ′ ; Z n= Z
 1  1 Z  Z
 ′  = ;   = ; ( Z ′ ∈ ℂ∗ ) .
Z  Z ′  Z ′  Z ′
III / Module d’un nombre complexe :
Définition : Soit Z = a + i b ; (a, b ) ∈ ℝ 2 un nombre complexe ; on appelle module de Z
le réel positif : Z = a 2 + b 2 =  Ré ( Z ) +  Im ( Z )  = Z .Z .
2 2

Propriétés des modules :


Théorème : Pour tous nombres complexes Z et Z ′ on a :
i Z =0⇔ Z =0
i Z + Z ′ ≤ Z + Z ′ ( Inégalité triangulaire ) .
Z Z
i Z . Z ′ = Z . Z ′ et = ; ( Z ′ ∈ ℂ∗ ) .
Z′ Z′
n
i Zn = Z ; ( n ∈ ℕ∗ ) .
i λ.Z = λ . Z ; ( λ ∈ ℝ ) .

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IV / Argument d’un nombre complexe non nul :
Définition : Soit Z ∈ ℂ∗ et M l’image de Z dans le plan complexe rapporté à un repère
orthonormé direct (O ,u ,v ) ; on appelle argument de Z et on note Arg ( Z ) toute mesure de
r r

l’angle (u , OM ) .
r uuuur

Remarques : * Si θ est un argument de Z , tout autre argument de Z est de la forme :


θ + 2k π ; k ∈ ℤ , ce que l’on traduit par l’écriture Arg ( Z ) ≡ θ [ 2π ] .
Z = Z ′  Z = Z′
*  ⇔  car l’égalité des modules définit
( )
2
 ( Z , Z ′) ∈ ℂ∗
   Arg ( Z ) ≡ Arg Z ′ [ 2 π ]
l’appartenance à un même cercle de centre O et celle des arguments l’appartenance à une
même demi-droite d’origine O .
Argument d’une différence :
Théorème : Soit Z A et Z B deux nombres complexes distincts , d’image respectives A et
( )
r uuur
B alors : Arg ( Z B − Z A ) ≡ u , AB [ 2π ] .
Forme trigonométrique :
Théorème : Soit Z ∈ ℂ∗
* Z s’écrit Z = r ( cos θ + i sin θ ) avec r = Z et θ ≡ Arg ( Z ) [ 2π ] .
* Si Z = r ( cos θ + i sin θ ) avec r > 0 alors r = Z et θ ≡ Arg ( Z ) [ 2π ] .
Arguments et opérations :
Théorème : Pour tous nombres complexes non nuls Z et Z ′ on a :
Arg ( Z .Z ′ ) ≡ Arg ( Z ) + Arg ( Z ′) [ 2π ] .
Corollaire : Pour tous nombres complexes non nuls Z et Z ′ on a :
 Z 
Arg   ≡ Arg ( Z ) − Arg ( Z ′)[ 2π ] ; Arg ( Z n ) ≡ n Arg ( Z )[ 2π ] ; n ∈ ℕ .
 Z ′ 
V / Notation exponentielle :
La notation e i θ :
Définition : Pour tout θ ∈ ℝ , on pose e i θ = cos θ + i sin θ .
Propriétés : Pour tous (θ , θ ′) ∈ ℝ 2 on a :
i ( θ + θ ′) eiθ i ( θ − θ ′) n

eiθ . eiθ =e ;
e i θ′
=e ; (e i θ ) = e i nθ ; n ∈ ℕ .

Formules de Moivre et d’Euler :


Théorème : * Formule de Moivre : Pour tout θ ∈ ℝ et pour tout n ∈ ℕ on a :
( cos θ + i sin θ ) = cos ( nθ ) + i sin ( nθ ) et ( cos θ − i sin θ ) = cos ( nθ ) − i sin ( nθ ) .
n n

e i θ + e −i θ e i θ − e −i θ
* Formule d’Euler : Pour tout θ ∈ ℝ on a : cos θ = et sin θ = .
2 2i
VI / Racines nièmes d’un nombre complexe :
* Soit n ∈ ℕ∗ \ {1} et u ∈ ℂ , on appelle racine nième de u toute solution dans ℂ de l’équation :
Z n =u .
 Si u = 0 alors l’équation Z n = 0 admet l’unique solution 0 .

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 Si u = r e i θ ; r > 0 alors l’équation Z n = 0 admet n solutions c'est-à-dire u admet
 θ + 2k π 

avec k ∈ {0 ; 1; 2 ; L ; ( n− 1)} .
i 
exactement n racines de la forme : Z k = r e
nièmes n  n 

* Dans le plan complexe les images des racines carrées d’un nombre complexe non nul sont
symétriques par rapport à O ( origine du repère ) .
* Pour n ∈ ℕ∗ \ {1; 2} les images dans le plan complexes de n racines nièmes de u = r e i θ ; r > 0
sont les sommets d’un polygone régulier de n cotés inscrit dans le cercle de centre O et de rayon
n r .

VII / Equations du second degré dans ℂ :


Soit l’équation a z 2 + b z + c = 0 ou a ∈ ℂ∗ et ( b ; c ) ∈ ℂ 2 ; les solutions de cette équation
−b −δ −b +δ
dans ℂ sont : z ′ = et z ′ ′= avec δ est une racine carrée du nombre complexe
2a 2a
∆ = b 2 − 4 ac .
VIII / Linéarisation :
Il s’agit de transformer un produit de type : cos n x , sin n x ou cos n x . sin n x en une somme
de termes de type : a cos (α x ) ou b sin ( β x ) .
IX / Nombres complexes et géométrie :
Dans cette partie le plan complexe c est muni d’un repère orthonormée direct ( O ; u ; v ) .
r r

* Colinéarité et orthogonalité :
r r
Théorème : Soit u et v deux vecteurs non nuls du plan c , d’affixes respectives Z et Z ′ ,
on a :
r r Z
 u et v sont colinéaires ⇔ ∈ ℝ.
Z′
r r Z
 u et v sont orthogonaux ⇔ ∈ i ℝ.
Z′
* Cocyclicité :
Théorème : Soit a ; b ; c et d quatre nombres complexes distincts d’images respectives
A ; B ; C et D on a :
 a −c a −d 
 ∈ ℝ .
Les points A ; B ; C et D sont cocycliques ou alignés ⇔  :
 b − c b − d 
Théorème :
Ecriture complexe
Transformation Au point M ( Z ) , la transformation associe le point M ′ ( Z ′)
r r
Translation de vecteur u Z ′ = Z + b ; b affixe de u
Homothétie de centre Ω et de rapport k Z′ − ω = k ( Z −ω ) ; ω : affixe de Ω ; k ∈ ℝ∗
Rotation de centre Ω et d’angle θ Z′ − ω = e i θ ( Z −ω ) ; ω : affixe de Ω ; θ ∈ ℝ
Point méthode :
* Somme et différence de deux termes : Pour transformer une telle expression , on peut essayer
de faire apparaître un cosinus ou un sinus ( e ix + e −ix ou e ix − e− ix ) pour une factorisation
appropriée.

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 i x
−i 
x x
x  x
Exemples : i e ix + 1 = e 2 e 2 + e 2  = e 2 . 2 cos  
i i

  2
1+5 
i 
 2 
x
ix
i e −e i 5x
=e (e (
i −2 x )
)
− e i 2 x = e i 3x (−2sin (2x )) .
* Module et argument : Une expression du type r e i θ ne doit pas nous abuser ; il est
indispensable de connaître le signe de r pour conclure :
Si r > 0 : Z = r et Arg ( Z ) ≡ θ [ 2π ]
Z = r e iθ
Si r < 0 : Z = − r et Arg ( Z )≡ θ + π [ 2π ]

* Expression de cos ( nx ) et sin ( nx ) en fonction de cos x et sin x :


(
Le calcul débute par : cos ( nx ) = Re (e inx ) = Re (e ix ) = Re ( cos x + i sin x ) = LL
n
) ( n
)
Le scénario se poursuit par le développement de ( cos x + i sin x ) ; la partie imaginaire du
n

résultat est sin ( nx )


* Transformation de a cos x + b sin x ; ( a , b ) ∈ ℝ 2 :
 La méthode consiste à écrire a cos x + b sin x = Re ( cos x + sin x )( a − ib )  puis à utiliser les
formes exponentielles pour aboutir à : a cos x + b sin x = r cos ( x − θ ) avec a + ib = re i θ .
 Une autre méthode ( sûrement moins savante ) consiste à factoriser par a 2 + b 2 .
 a b 
a cosx + b sinx = a 2 + b2  cos x + sin x  et à reconnaître un réel θ tel
 a 2 + b2 a 2 + b2 
 
a b
que : cos θ = et sin θ = 2 2
a 2 + b2 a +b
Une formule d’addition donne alors : a cos x + b sin x = a 2 + b 2 cos ( x − θ ) .
EXERCICE N°1:
Cocher la réponse juste
* Soit Z un nombre complexe non nul

1 Z
= 2
Z Z
1
Z =1⇒ Z =
Z
Z ≤ Re( Z )
∀Z 2 ∈ ℂ, ∃Z 1 ∈ ℂ / Z 1 + Z 2 = Z 1 + Z 2
Z ×Z ∈ ℝ +
* Soient : a = 2 + 2i 3 , b = 2 − 2i 3 , c = −1 + i 3 et soient A,B,C les points d’affixes
respectives a,b,c

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 a −c 
( )
uuur uuuur
CA ,CB ≡ arg    2π 
 b −c 
a −c
= −i 3
b−c
(CA) ⊥ (CB )
(CA ,CB ) ≡ π2 2π 
uuur uuuur

ABC est rectangle en C car AB 2 = AC 2 + BC 2


2ik π
* Soit la suite de complexes ( z k ) où z k =e n
où k est un entier quelconque positif ou
nul et n est un entier positif fixé supérieur à 2. Enfin M k est l’image de z k

( )
n
∀k > 0, z =1
k
n
∀k > 0, zk = 1
z0 + z1 + z2 + ..... + zn −1 = 0
∀k , n − 1 ≥ k ≥ 0 ⇒ zk = zn −k
π 
M k M k +1 = 2sin  
n
EXERCICE N°2:
a + ib a − ib
Soient z 1 = et z 2 = avec (a ,b ) ∈ ℝ * × ℝ *
a − ib a + ib
Montrer que z 1 + z 2 ∈ ℝ et z 1 − z 2 ∈ i ℝ
EXERCICE N°3:
 z1 = z 2

Soient z 1 et z 2 deux nombres complexes tels que  et

 1 + z 1z 2 ≠ 0
z1 + z 2
Montrer que ∈ℝ
1 + z 1z 2

EXERCICE N°4:
Soient z 1 et z 2 deux nombres complexes.
 z1 =1

Montrer que z 1 − z 2 = 1 − z 1 z 2 ⇔  et
 z =1
 2

EXERCICE N°5:
Soit (α, β ) ∈ ℝ 2 , Montrer que :
 α +β 
iα iβ α − β  i  
1°) e +e = 2cos  e
2 
.
 2 

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 α +β 
iα iβ α − β  i  
2°) e −e = 2i sin  e
2 

 2 

EXERCICE N°6:
Soit Z = − 2 + 2 + i 2− 2
1°) Exprimer Z 2 sous forme algébrique.
2°) Exprimer Z 2 sous forme exponentielle.
3°) En déduire Z sous forme exponentielle.

EXERCICE N°7:
( )
r r
Le plan P est rapporté à un repère orthonormé direct O , u , v , on donne les- points
1 3
A (1) et B  − i .
 2 2 
Pour chaque point M ( z ) du plan on désigne par M 1 ( z 1 ) ,l'image de M par la-
π
rotation de centre O et d'angle , puis par M ′ ( z ′) l'image de M 1 par la- translation
r 3
de vecteur − u .
On note par T la transformation qui à chaque point M associe le point M ′ .
π
i
1°) a- Montrer que z ′ = e 3 z − 1
b- Déterminer T ( B )
c- Montrer que T admet un unique point invariant dont on précisera l'affixe.
2°) On pose z = x + iy avec (x , y ) ∈ ℝ 2
 z′
a- On prend z ≠ 0 , calculer Ré   en fonction de x et de y .
z 
b- Déterminer l'ensemble ( Γ ) des points M du plan pour que le triangle
OMM ′ soit rectangle en O .
3°) Dans cette question , on pose z = 1 + i
a- Vérifier que M ∈ ( Γ ) et placer M et M ′ sur une figure.
b- Calculer z ′ et l'aire du triangle OMM ′ .

EXERCICE N°8:

i
On considère le nombre complexe a = e .On note I , A , B ,C et D les point du plan complexe
5

d'affixes respectives 1, a , a 2 , a 3 et a 4 .
1°) Vérifier que a 5 = 1
2°) Montrer que IA = AB = BC = CD = DI .
3°) Vérifier que pour tout z ∈ ℂ , on a : z 5 − 1 = ( z − 1) (1 + z + z 2 + z 3 + z 4 )

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4°) En déduire que 1 + a + a 2 + a 3 + a 4 = 0
2
5°) Montrer que a 3 = a et que a 4 = a
( )
2
6°) En déduire que a + a + a + a −1 = 0
7°) Résoudre dans ℝ l'équation 4 x 2 + 2x − 1 = 0
 2π 
8°) Calculer a + a et en déduire la valeur exacte de cos  .
 5 
9°) Placer les points I , A , B ,C et D dans le plan complexe ( unité 4 cm ).

EXERCICE N°9:
On considère un cercle de centre O et trois points A , B et C de ce cercle. On désigne par
A ′, B ′et C ′ les images respectives des points A , B et C par la rotation de centre O et
π
d'angle .
3
Soient D = A ′ ∗ B , E = B ′∗ C et F = C ′ ∗ A , montrer que ces points sont les sommet d'un
triangle équilatéral.

EXERCICE N°10:
Linéariser cos 2 ( 5x ) sin ( 3x )

EXERCICE N°11:
 π
Soit ( E ) : ( cos 2 θ ) z 2 − 2 ( cos 2θ ) z + 1 = 0 ; θ ∈  0,  .
 2
1°) Résoudre dans ℂ l'équation ( E ) .
On notera z 1 la solution dont la partie imaginaire est positive et z 2 l'autre solution.
2°) a- Calculer z 1 + z 2
b- Exprimer en fonction de θ le module de chaque solution.
1 1
c- En déduire z 1z 2 puis + en fonction de θ .
z1 z 2
3°) a- Calculer S = z 12 + z 2 2
b- Pour quelle(s)valeur(s) de θ a-t-on S = 0 ?

EXERCICE N°12:
9 2
Soit P ( z ) = z 4 − 3 z 3 + z − 3 z +1
2
1°) Calculer P (1 + i ) .
2°) Comparer P z ( ) et P ( z ) .
3°) Montrer que si α est une racine de P , alors α est une racine de P .

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1
4°) Montrer que si α est une racine de P , alors est une racine de P .
α
5°) Déterminer toutes les racines de P .

EXERCICE N°13:
Soit l'équation (E ) : z 2 − α z + (1 + i )α − 2i = 0 ; α ∈ ℂ
1°) Montrer qu'il existe une et une seule valeur de α pour la qu'elle l'équation ( E ) admet
deux solutions complexes conjuguées.
2°) Résoudre l'équation ( E ) en utilisant la valeur de α trouvée.

EXERCICE N°14:
 z ∈ ℂ
1°) a- α ∈ ℝ ; Résoudre l’équation (σα ,1 ) : 
z − 2 z cos α + 1 = 0
2

b-En déduire la forme trigonométrique des solutions de l’équation :


 z ∈ℂ

(σα , n ) : z 2n − 2 z n cos α + 1 = 0 avec n un entier naturel non nul donné .

2°) Pour tout n ∈ ℕ∗ , pour tout α ∈ ℝ et pour tout z ∈ ℂ , on pose : Pα ( z ) = z 2 n − 2 cos (α ) z n + 1
On admet que pour tous z , α et n on a :
 α    α 2k π    2  α 2 ( n − 1) π  
Pα ( z ) =  z 2 − 2z cos + 1 × L ×  z 2 − 2z cos  +  + 1 × L ×  z − 2z cos  + +  1
 n   n n     n n  
n −1
 α 2k π  
et on note Pα ( z ) = ∏  z 2 − 2 z cos  +  + 1
k =0   n n  
α 
sin 2  
α kπ 
n −1
a- Calculer Pα (1) et en déduire que : ∏ sin 2  + =
2
n −1
k =0  2n n  4
n −1
 α kπ 
b- Pour tout α ∈ [0 , π [ et pour tout n ∈ ℕ* \ { 1 } , on pose : H n (α ) = ∏ sin  2n + 
k =1 n 
α 
sin  
Montrer que pour tout α ∈ ℝ* on a : 2n −1 H n (α ) = 2 .
α 
sin  
 2n 
a- Calculer lim H n (α ) .
α →0

b- En déduire que pour tout n ∈ ℕ* \ { 1 } : sin × sin


π 2π
× sin

× L × sin
( n −1)=π n
n −1
n n n n 2

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