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Fascicule questions de cours et exercices Masters ACG, CCA

MODULE : FINANCE ET GESTION FINANCIERE A LONG TERME


Pr. Samira RIFKI

I. Questions de cours:

1. Quel est l’article fondamental en Finance ?


2. Pourquoi une politique d’autofinancement à outrance n’est-elle pas
saine ?
3. Quel est le fondement du raisonnement de Modigliani et Miller ?
4. Quand crée-t-on de la valeur ? Dans le choix d’investissement ou dans le
choix de financement ?
5. Quels sont les financements choisis inéluctablement en se basant sur la
théorie du cycle de vie des produits ?
6. Qu’appelle-t-on capitaux investis et comment doit-on les financer ?
7. Quelle est la différance entre la méthode de l’équivalent certain et la
méthode de l’annuité équivalente ?
8. Grâce à quel outil mesure-t-on le risque d’un projet d’investissement ?
9. Existe –t-il une structure financière optimale ?
10. Quel est l’article fondamental dans le domaine de la structure
financière ?
11. Pourquoi une politique d’autofinancement a outrance n’est-elle pas
sanie ?
12. Que doit faire une entreprise dont la rentabilité des bénéfices est
inferieure au coût des capitaux propres ?

13. Expliquer quel est l’impact d’un accroissement de l’endettement sur le β


des actions ?

14. Peut-on éliminer le risque de marche par diversification ? Pourquoi ?

15. Une entreprise au bord du dépôt de bilan procède à une augmentation de


capital. Est-ce un signal ? Pourquoi ?quelle idée retrouvez-vous qui est
nécessaire pour qualifier une décision de signal ?

16. De plus en plus les grands groupes demandent à leurs dirigeants de


consacrer une part importante de leur patrimoine à l’achat de leurs
actions. quelle théorie explique ce type de comportement ? pourquoi ?

17. Pourquoi les dirigeants ont-ils tendance à ne pas aimer la dette ?

18. Conseillez-vous à une start-up de se financer par endettement ? Si oui le


pourrait-elle ?

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Pr. Samira RIFKI

19. Qu’est-ce qu’un investissement ?

a. Un placement d. La décision d’accroître le stock de capital


b. Une dépense e. La formation brute du capital fixe
c. Un flux f. Un détour de production

20. Un taux d’intensité capitalistique (immobilisations/valeur ajoutée) très


élevé est spécifique :
a. Aux activités industrielles de type assemblage (confection, petite électronique, etc.)
b. Aux activités de services de type prestations intellectuelles (conseil en gestion,
informatique, etc.)
c. Aux industries lourdes (cimenterie, sidérurgie, etc.)
d. A toutes les activités commerciales et industrielles.
23. Pour évaluer la rentabilité d’un projet d’investissement il faut :
g. Tenir compte des frais financiers liés au financement du projet
h. Analyser séparément la rentabilité de l’investissement et le coût de financement du projet
i. Considérer que les variations du BFG sont financées par des dettes à court terme.
j. Ne pas tenir compte de l’inflation

24. La valeur actuelle nette d’un projet d’investissement calculée au coût moyen
pondéré du capital :
a. mesure si elle est positive, exactement l’augmentation de richesses des actionnaires
b. mesure la variation de valeur des investissements de la firme
c. varie en fonction du financement du projet d’investissement
d. ne peut être définie par aucune des réponses précédentes

25. Le taux de rentabilité interne d’un projet d’investissement est :


a. Un meilleur critère de choix que la VAN
b. Le taux d’actualisation qui rend nulle la VAN du projet
c. Toujours unique
d. Un indicateur qui permet d’estimer le risque d’un projet d’investissement

26. Le risque d’un projet d’investissement peut être mesuré par :


a. Le critère de délai de récupération
b. L’écart type des taux internes de rentabilité
c. Le pourcentage de dettes qui le finance
d. aucun des indicateurs

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27. Rechercher à autofinancer à 100% les projets d’investissement de l’entreprise est :


a. une excellente politique financière
b. une mauvaise politique financière
c. une excellente politique financière car l’autofinancement est une source de fonds
pratiquement gratuite
d. une politique de financement dont on ne peut rien dire a priori

28. Le coût moyen de l’endettement est égal au ratio :


a. Frais financiers / CAHT
b. Frais financiers / Dettes financières à LMT
c. Frais financiers / Dettes financières à LMCT
d. Frais financiers / Total des dettes figurant au bilan

29. Pour calculer le coût moyen pondéré du capital il faut :


a. Tenir compte de toutes les sources de financement notamment des dettes d’exploitation
b. Ne tenir compte que des dettes financières et des fonds propres
c. Utiliser la structure de financement de l’entreprise telle qu’elle apparaît au bilan
d. Ignorer les financements par crédit-bail

30. Le coefficient bêta d’une action cotée sur un marché financier mesure :
a. Le risque total de l’action, c’est-à-dire la volatilité de ses taux de rentabilité
b. exactement le risque intrinsèque de l’action, c’est-à-dire le risque diversifiable
c. exactement le risque systématique, c’est-à-dire le risque non diversifiable du titre
concerné

31. En pratique, quel est l’impact d’une baisse du coût de capital sur le niveau des
investissements ?
32. Citez trois parmi les limites des outils de la théorie financière concernant
l’évaluation et la sélection des projets d’investissements ?

a. ………………………………………………………………………………………………
b. ………………………………………………………………………………………………
c. ………………………………………………………………………………………………

33. Si on suit la logique du critère du TRI, la décision d’investissement dépend d’une


seule variable, laquelle ?
34. Que devient la production stockée quand elle donne lieu à encaissement ?

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35. Que signifie l’égalité suivante : E(RP) = RF + 𝞫P [(E(Rm) – RF]
36. Quelle est la relation qui permet de tracer la droite de marché ?

Exercices pratiques :
I. Un entrepreneur entend absolument conserver le contrôle de son entreprise et
refuse tout partenaire extérieur. La rentabilité économique de son entreprise est
de 10% après impôt. Son objectif de croissance est de 25% par an.
Le coût de sa dette est de 7% avant impôt et le taux de l’impôt sur les sociétés est
de 35%
a. En l’absence de politique de distribution quelle structure financière
choisit-il implicitement ?
b. Même question s’il doit distribuer le tiers de ses bénéfices ?
c. Quel est le taux de croissance normal implicitement prévu s’il choisit un
effet de levier (D / K) = 1 ?
d. Sur quels autres paramètres peut-il jouer ?
II. Vous êtes consulté par le directeur financier de la société AMORA, sur
l’opportunité de substituer un endettement au financement par capitaux propres.
Vous envisagez de vous appuyer sur les propositions 1 et 2 de Modigliani et Miller.

Le taux de rendement obtenu pour les placements sans risque est de 4,5% la société
AMORA est supposée pouvoir emprunter à ce taux.

L’espérance mathématique du taux de rendement moyen obtenu sur le marché des


capitaux à risque est de 8%.

La sensibilité du rendement des actifs de la société AMORA est de 1.20.

Le flux d’exploitation annuel constant et perpétuel se situe à un montant de 40,35


MDH.

On envisage d²²²eux niveaux d’endettement possibles : 200 MDH ou 300 MDH.

1. Faire l’hypothèse d’une absence d’imposition et d’un financement intégral par capitaux
propres.
1.1. Déterminer le taux de rendement exige des capitaux propres.
1.2. Calculer la valeur des capitaux propres de la société AMORA.
1.3. Conclure en donnant la valeur de l’entreprise et le coût du capital.
2. Faire l’hypothèse d’une absence d’imposition et d’une substitution partielle de l’endettement
aux capitaux propres.

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2.1 Sans effectuer aucun calcul, dire si le cout moyen pondéré du capital sera modifie par
l’endettement de l’entreprise.

2.2 Selon quelles modalités l’entreprise peut-elle réaliser la substitution de l’endettement aux
capitaux propres.

III. Vous traitez les deux exercices suivants :


A-un projet d’investissement présente les caractéristiques suivantes :
1. Capital investi : 3 000 de matériels amortissables linéairement en 5 ans :
2. (taux de l’IS : 30%)
3. Valeur résiduelle, nette d’impôt, au terme des 5 ans de 90.

Les prévisions d’exploitation sont données ci-dessous :

Années 1 2à5
Chiffre d’affaires HT 3 000 3 300

Charges variables 900 1350

Charges fixes (hors amortissement) 930 1020

a) Calculez la VAN au taux de 12 %


b) Calculez le TRI
c) Calculez le délai de récupération, au taux de rentabilité minimum exige.
d) Calculez la VAN à 12% en prenant en considération un BFR d’un mois et demi du CA
(HT)

B-une entreprise envisage la réalisation d’un projet d’investissement pour lequel vous êtes
charges d’analyser la rentabilité. Ce projet comprend l’achat de deux équipements A et B

caractéristiques A B
Prix d’acquisition HT 800 000 2 000 000
Amortissement Dégressif sur 5 ans Linéaire sur 5 ans
Valeur résiduelle nette d’impôt 80 000 80 000
-l’étude prévisionnelle du chiffre d’affaires sur 5 ans a donne les résultats suivants:(en 1 000 Dh)

Années 1 2 3 4 5
CA 4 800 7 600 8 000 8 400 8 600

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Marge sur couts 20% 20% 20% 20% 20%
variables
-charges fixes, hors amortissements (en milliers)

Années 1 et 2 3 et 4 5
Charges fixes 800 1 000 1 120
-le BFR nécessaire est estime à 30 jours de CA(HT) prévisionnel. Il sera récupère à la fin de la
5eme année.
(Négliger les variations du BFR additionnel)
TAF : calculer la VAN a 11% et le TRI. Le taux de l’IS est de 30%

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