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historique et anecdotique
des proverbes et des
locutions proverbiales de la
langue française [...]
P. BERTRAND, tIBRAIRE-ÉDITEUR
IMPBÏMEBIE WHIPPOtTTE TUXIARB
«CE S.-BÏACISTHE-S.-Jliair.l. 30.
sistible, et pousses, on peut le dire, par la volonté toute-
société; dès
qu'ils eurent constituéon tangage suffisant i
de leurs besoins les proverbes prirent naissance et furent
comme le résumé naturel des premières expériences de
l'humanité. Ils consistaient alors en quelques formules
simples et naïve* comme les mœore dont ils étaient le
résultat et le
étaient parvenus jusqu'à nous sons leur forme primitive
il» seraient le pins enrienx monument du progrès des pré-
roières sociétés; ils jetteraient un jour merveilleux sur
l'histoire de la civilisation dont Us marqueraient le point
de départ avec une irrécusable fidélité.
LEcclésiaste qui dot se modeler sur lei sages des an-
et
secret des proverbes et te nourrira de ce quil y et de caché
dans Us paraboles. Les sept sages de la Grèce et Pythagbre
Socrateet Platon
firent des recueilsdo proverbes pour leur usage. Aristote
les
et
imita et fat à son tour imité par ses disciples, Cléarque
Théophraste.Les stoiciens Chrysippe et Ctéanthe seM-
mots..
quelque observation étymologïque fondée sur l'origine
des choses plutôt que sur celle des
La langue proverbiale est à peu près aujourd'hui une
langue morte, et il est certain que la lecture de nos vieux
auteurs, qui ont fait un si irvquent usage des proverbes,
exige, pour être complètement Iriuiucuse, une sorte de
commentaire de cette langue.
Ce commentaire, je me suis attaché à le-mettre dans
velle.
O
Engelvor jeden Téufel sletu que le. crime est rusé tr II
place uta ange devant chaque démon. Ce qui revient
notre expression couvrir son' diable du. plus bel ange
dont la reine de Navarre a fait usage daris sa xii'bou-
DES PROVERBES.
il
qui
chantent i/ii»/»/ m: f.nil xttutr que, [tour faire chanter
les lig.dfâ iju'oii :i
Min rauque et inonotom- que rendent ce part
|>ri-.t>, on lt.s roule entre le, doigts; car le
point
du j;<i»j«T, cuinnie ta prrii.ndu sainl Ambroise, très boit prélat,
mais Ih» in;iu\ai> vient de deux instruments
i (Ut et qui consisit^tt
m» ik«\ mtriiIïniiM> dont la civité renferme des
l<ari'ns, tuiilleuscs mu- ltx|Uull*=> ces lueoibraues flottent avec
un moine on ne
L'absence cm l'opposition d'un individu
de monsieur le fure.
suivant les uns, du verbe rogner, dont l'action devait lui être
familière, et, dn verbe
sion'la
toutes les
mauvaise humeur à laquelle iN se laissaitemporter
fois que, voyant son opération manques, il était
obligé de la recommencerpour la manquer encore. L'histoire
de ce Malencontreux personnage a été probablementsuggérée
par un passage de Rabelais (liv. m, cit. 52), où Carpalira,
valet de Panurge, parlant du tailleur Groingnet, ainsi nommé
sans doute du vieux verbe groinguer (grogner), fait le détail
suivant des infortunes survenues à ce tailleur dans l'exercice
de son métier, parce qu'il avait employé en patrons et en me-
sures asu parchemin sur lequel était écrite une vieille clémen-
tine ou décrétale du pape totits
• habillements faillez sus tels patrons, et pourtrakte sus telles
mesures, feurent guastez et perdus, robbes, cappes, man-
« teaulx sayons, juppes, cazacquins
a
• cottes, gonnelles, tailler
une cappe, Inilluît la forme d'une braguette; eu lieu d'nng
savon tailloit ung chappean
«t'mtg fnaacquin tailloit une aumusse; sus le patron d'ung
• {toiirpoinci lailloil la guise d'une paelle. Ses vartets ravotr
« cjiiHif la desclitquétoientpar le fond et sembloit d'une paelle
• à fricasser
verdugualle
faisoit ung tabourin •
de souisse. Tellement que le paovre homme par justice fut
ctind-imnc à payer les esloffes de touts ses chalands et de
prisent en estau saphran. (Voyez le anot Safran.) Punition
disi Itomenaz et vengeance divine! »
-^mmmA'KUiu L'abommation de ia désolation.
Expression tirée de l'Écriture sainte, pour désigner les plus
grands excès de l'impiété, la plus grande profanation. Elle
«
inc4d'abonûmbOD,o^aiisl'usage la suite, signifie
idole. Les aimées romaines portaient dans leurs enseignes
les images de leurs césars et de leurs dieux; ces enseignes
•'
«
étaient aux soldaisun objet de culte et parce que
« selon l'ordre de Dieu, ne devaient jamais paraître dans la
a terre sainte, les armées romaines en- étaient bannies.
ainsi que
maturité. Hais ce proverbe, très
application au figuré,.
signifier que tropde choses entreprises à la foisne pou-
pour
vant obtenir tous les soins que chacune d'elles réclame en par-
ticulier, sont exposées à ne pas réussir ou ine réussir qu'im-
{•arTailcmcnl.
.ne peut guèru .empêcher de parier des choses dont on
On
LftwGoBLAK,)
Souvent
àu.
vingt procès gagnés.
épit. 3.)
mt*0c.,0e.-
Ce
•
œâmihléat, ks rimes enchaîntte, lesvers rapportésou coupés,
les toi» naménux, les vêts rétrogrades par lettres et par
:>_
édition est de
ou d'une idole. Au
c tin cramoisi ou salin paille, satin blanc, Velours, toile d'or
« ou toile d'argent» ou aube sorte que savent bienprendre ou
c choisir. Elles
« sont plus phaleréesque idoles ou raines de cartes. Leur lit est
« couvert de fins draps de lin de Hollande, ou toite eotonine
«tant déliée que c'est rage, et plus uni et poli que marbre.
a Il leur semble que serait une grande faute,
si un pli passait
l'autre. Au regard du châlit, îi est de marqueterie ou de bois
« taillé à l'antique et à devises:
H y a un livre, imprimé on 1633, qui est^iatiwlé RecueU
gC-ncml des caquets de l'accouchée.
Elle est parée comme une accouchée.
Celte locution, dont on se sert en parlant d'une femme qui
est rort parée dans
dans l'article précédent.
*eee*â;^tfftmtifarder une oreille pour l'accusé.
Il faut écouter celui qu'on accuse avant de le'condamner.
Cette recommandation, qu'on fait particulièrement en faveur
des absents, est une allusion au trait d'Alexandre-le-Grandqui,
jugeant un jour une cause» se boucha une oreille avec le doigt
pendaot le plaidoyerde l'accusateur, et dit aux assistants je
chir. Passé cet âge, elle aflljge plus qu'elle n'éclaire. La jeu-
nesse, dit i.-i. Rousseau, est le temps d'étudier la sagesse; la
vieillesse est le tempsde la pratiquser. L'adversité ne profite que
pour le temps qu'on a deomt soi. Est-il temps, an moment
qu'il fout mourir ï d'apprendre comment on aurait dû vivre?
Ces observations philosophiquessont très bien résumées dans
as autrefois,
responsables,
résumèrent
connaî^ait bien son homme, nV-nvisages qu'avec fra3reor ta
C'est-à-dire,
amusons-nous
aujourd'hui
sans
penser
àaucune
EJl'aigfe.cooragettteelfièTe,
la hàti-he et deux
Nouer l'aiguillette.
Ami lecteur, vous avez quelquefois
Ouï conterqu'on Douait l'aiguillette. (Voltaire.)
Cette expression, dont on se sert pour désigner un prétendu
maléfice auquel le peuple attribue le pouvoir de réduire
nouveaux martes un état d'impuissance, est venu, dit un
excellent commentateurde Régnier, de ce que, autrefois, le
haut-de-chausses tenait au pourpoint par un lacet nommé
aiguillette, ajustement dont le costume de l'Avare, conserve
au théâtre dans celte pièce de Molière, peut donner une idée.
C'est î'espîicanon ia pîus décente, et je m'y tiens. Si l'on en
désire une autre, on saura bien la trouver sans moi.
On au, dans tous les temps, qu'il y avait des sotciers.
capables d'empêcher fa consommation' du mariage, et cette
croyance, tout absurde qu'elle est, a été partagée par des pbi-
heofim, des saints, des législateurs et des papes. Platon,
livre xi des Lois, conseilleaux nouveaux époux de se prémunir
tjnire !es charmes ou ligatures qui trompent l'espoir du lit
ont écritla auteurs qui
cérémonies nuptiales, consistait à frotter de
graisse de loup le haut et les poteaux de la porte de la maison -f
sa les mariés devaient le
est tenu de-cette onction faite par
a dit d'abord wwor. du verbe mgert, oindre, et
eth.
aussi la même unitédevantX
et
la même
tion, ctX, à son' tour, servit à priver de toutela valeur numé-
tique qu'il a les chïfires L^t C qui en furent précédés desbrte
? de
On
•te la
est trop miner quand ait en meurt.••
Ce proverbe est du moyen âge. dont il atteste la, simplicité. •'
11n'a plus d'application dans notre siôcle égoïste. On dit au
contraire aujourd'hui Bort d'amour et d'une fluxion de
longtemps auparavant, de
n itmonie jusqu'à Cyrua, qui exhortait ses soldats eu
s'écriant Qui m'aime, me wuivel
Qui bien dôme,
Qui btui amat,
Le conseil exprimé par ce proverbe, étranger aux mœurs
actuelles, fut un des points fondamentaux de la méthode du
stoïcien Chrjsippe pour l'éducation des enfants. il pard même
.1 vtiirfait partie de la doctrine socratique si l'on en juge par la
quatrième scène du cinquième acte des
un dist-ipk ite Sociale est représenté b«uant son père, en disant:
a ISatire ce
qu'on aime est l'effet te plus nabwel de tout senti-
• ment d'affection
Arme un troioii-Dielarron
Qui ni«it matin atitonm
JuaatHaïA. Enterrer tatlehàa.
1 On eu
temps
i'oncessede le chanter aux offices, c'est-à-dire le samedi veilledu
iroiipes
la ,'joie
et
i^rtttnattre, et fit chanter attehét en l'honneur d'une telle
due
{tnmesse. Mais tothaife, qui arriva- sar ces entrefaites avec tes
dtte de Bourgognefleuri,.
fieer conquérant, le
démâte, le poursuivit jusqu'à Soissons, et s'empara de tous
en
ses bagages. Ualteim* d'Othon passa en proverbe,, et servit
autrefois à désigner une réjouiaanceintempestive on unefim£i-
ronnade soivle de qaeiqoe effet désagréable pour la fenferoo.
.êtiUMMêim. m. Paire une
Faire une qoerclk sans «ijet ou pour un 1res mince sujet. Ce
la que les
came eu »
Les Allemands, que Ronsard appelle la gent pronte ta*
a»
famm, c'est-à-dire prompte à Eure dit bnut, Jurent longtemps
tout propos, fois
vaut
Cett é* haut allemand.
écrivains de la réforme.
loin qae lorsqu'on ne sait
où fm va.
Ce proverbe qnelque-
AXMAMAxm:
Fîeury de Bcllingen donne cette, explication « Passer te
4 a temps, commeon dit, à compter les étoiles et tomber dans les
« mistutg en négligeant les aflairës importantes ainsi
que cet
aslrolciguc qui, la fixée le ciel,
a vue sur ne prenait pas garde à
• la fusse qui était devant lui et y tomba. >
Faire dei almanaclu s'emploie aujourd'hui le plus souvent
pour signifier faire des pronostics en l'air, te !emplir la tète
d'idées fausses, d'imaginations extravagantes. On dit aussi dans
te niéiMe sens qu'an homme est ttnfaiieurd'nîm^f^ffff
Prendre des almanachs de quelqu'un.
On dit à un homme qui a prédit juste ce qui devait arriver
inicril ira mura. (O\ ÎB.)La colère se passe quand on en retarde l'ettet.
faut casser le noyau pour eu avair l'a-
li fanlt-prcmlg: de la peine avant de retirer du profit de
i|ml.|iicthosc. Les Laliito «lisaient Qui ituclatm esse vuttfran-
git ffiurju; en casser la coque. Rabo-
tais (l'roloytie du 4*r livre Cas pour
m sucer la moelle.
&WMSwam. il txmi mieux être mûrier qu'amandier.
il*} :t [ilusili; |iralît à cire sage qu'à être fuu. L'amandier
n>t ctïiisïklri-û comme le \vmboie de l'imprudence, parce que
sa Iruj» et
le miiricr comme celui de la prudence, parce qu'il fleurit à
une é|HKjitc vu il oe peut éprouver aucun dummage.
*mmxt. –L'amed'vn amantvit dan» un corps étranger*
nipfiorté par Plutarqûe dans la vie âe
Maw;-AiHoiue,signifiequ'un amant est tout entier à sa pasrion
et s'apparliem }ffls à lui-même. L'amcd'un amant vit plus
%k
dans ce qu'elle aime que utins ce qu'elle anime, Anima plus
vieil ubï mnat quant, obi anhmt, parce que, disent les philoeo-
fendis qu'elleest
(Tant que vous serez heureux, vous aurez des amis; mais si la
furtunevous devient contraire, ils vous laisseront seul.)
!fçu$ avons encore une coinjaniison proverbiale qui a ins-
piré cet ingénieux quatrain à Menuet poêle du seizième
aiment,
qui
monde", vous
ne se soudent pas de vous, et vu» amis .qui
vous
vous
toujours
le troisième
clianger; el que si
»V;
ïidilli:
et
pas capable de bien aimer celui qui ne peutmettre beaucoup
en
la
quand! il ne l'aveugle point. Mais
w
labaincet le désirdVi.
prtnent jamais que nous tourmenter. On «A
de la ténacib"'
amismettre de
les affaires qui
dans
li
faut-il «lonc être cruel pour les uns para:
que l'on i-M tennn- pwr !«« autres •jwrsM'uteur pour être ser-
non. Pour nuji j«: dc-dare tjuo j« suis un faible ennemi,
sois ami
en furee, mais eu inteution, quoique je
iris ute très
Cerf-à-dire dam> tout ix qui n'est pas contraire à la religion.
par Aulu-Gcllo et \nr i'lutarque, est
un*; rî-giuroe de I't-riclès â un de ses amis qui t'engageait à faire
un (aux on sa Êivetir. Il antique
de jurer,la main i>oséc sur^ûn autel.
1" en fit une noble application lorsque, va 1531,
suisvotreami, mais jusqu'aux autels..
« la consommer. •
L'amitié est aussi comparée au vin dans i'EccIésiastique(ch.9,
v. 15) Vhumi uovum aniieus novus: vetwmseet et ami maritale,
biba illud. Le nouvel ami eu comme un vin nouveau il vieillira,
H alors tu le boiras avec plaisir.
Ce proverbe a âonnélien à en
rimes de la manièresuivante par je ne sais quel auteur
il &ut
(et
L'amitié rompue n'est jamais bien sondée.
Les Espagnols disent par la
toute,
Il n'y
Asmodée,
ou la lrahison s'y mêlent presque toujours.
de-sa dispute avec paillard or, a dit avec aulant de vérité que
<lc'(iii«Ase • Onnous réconcilia, nous nous embrassâmes,
m dffiuis ce temps, miiis sommes ennemis mortels. »
y
il a un proverbe tr:t-
ducii»n.lilléralc L'amitié rompue ne te renoue point, mus que
Après le
jniivrc: Souvenee-vous mon rîfs, qu'il n'y a qu'une ch«* qui
iwîcnne ions les jours dans le ménage c'est le (KK-au-feu.
le repentir.
Hélas! nous ne pouvons aimer toujours, et le- repentir nous
pu ml ou l'amour nous laisse.
pauvreté font ensemble nuatuai* ménage.
le ménage le plus uni cesse de l"«requand il est pauvre. La
pauvreté ttie l'amour. Le» Anglais disent
in àt the door, tovefliet oatattbe tùmlom;
que
\fthe faillir, et ce proverbe, lire dit latin, Injuria tolvit amorem,
les mauvais Irailenv.iils font cesser .amour.
O|M.-mtant le cas n'est point sans exceptions. On sait que les
=
du
î h ilruce avec laquelle elles ûlaicut battues et qu'il n'y avait
ni i«ii\ ni contentement pour elles avant d'avoir éprouvé la
bras marital. Experieniia tettaturfœminasnw$co-
riika$ wrbtnbmpkcari.(Drex., de Jejuiiio, lib. s, cap. 2.)
Une vieille cfiaiwon languedocienne atlnbue aux filles de
Munipcllkr le
Lei cassafftB&saabraaîé
Pétooo q*n ttmu pu mourdodos;
de
éloges.
L'âne de la communauté
trouver il
au
recueils.
son! externe,
la faim, entre un».*
faisant
lieu
la même opinion.
ayant au-
le n';fule ainsi
• a d«iix de pii'çcsde l'«iui-
et pour
'j-itre
•Les dites du
L'ajiïmuMfé des Aihénk-iis
des habitants du Dijon contre le» ^ixtauts
<te îîttiune. S'il (-tut en cruini UmDijobais, l'air seul du pays
I-Tirs aiîvcrsaîrcs- tsj ahrufissant, et c'est à qui racontera
sol a«eeon
moineheureuse, satiété.Mais
que
distinguésdont le nométait Asne.
une famillede négociante
Lorsqu'un citait
équivoque
Itbeisqui sontfaitssur leur compte.
La sépulture des ânes.
Aumoyenâge,ceuxqui moulaient
i-iaicmjetés dansles
ou excomsiuniés
la voirie, commedeselia-
rogiMs. lit dans
auxjouissances éprouver
parallosion
tère*, les
initiés
auxmystères lorsqu'ils
d'Eleusis, étaient
admis par.
l'hiérophante,
après
denombreuse laconnaissance
épreuves,
decesmystères, ditTibulle
sisecrets, 5,liv.ni),qu'il
(élég.
paspermis
n'était detesrévéler
mfmeauxdieux.
dit,dans
sasixième
homélie,
deson
que, temps,aucommencement onpoussait
duvtrsiècle, si
loin
ladébauché presque
nepouvait
devinque,lorsqu'on plus
boire,
on adressait,
pours'yexciter dessantés
encore, aux
i.iaux
siinis nnges.
Otto d'ivrogne
superstition renouvelée
des
qui,àlafind'un
Gn-cs repas,
vidaient
quelques deélus
coupes
ml'bunnmrdesdieux,a-tlonnû à^expression
naissance boire
s'ex-
auxauge*c'esi-â-dire
boîte de<atoif,oucomme
audelà
prime
B.'ibelais,
boirepeut
lasoif
àvenir.
Onditde(iMi'lcjuMn
qui surlesyeux,
reçuuncoup qu'il'
lui
à
n eu les nuijet violets, qu' 0 a fait voir tea auges violets. C'est
iini-alliiMuM i lY'blotii-sriHeni lumineux qui accompagne d'or-
dinaire :!Orles du cu«|st, à la: couleur violette dé la partie
à celle du toiltime t-piscopat qui est aussi violette, et
à i'utjige ou t'on était autrefois de désigner les évêques par le
wtm iYautfts que saisit Jean l'évangéliste leur a donné dans le
(ifMixiumc chapîiredeson.A[wcatj()se.
L'Aradrinie s'es! bornée à dire que Voir 4e* anges motets
signifieavoir des visions creuses; mais il est certain que cette
t:\pnawian a toujours été employée d'ans te sens que j'ai donné
i-i cimimi! synonynit; de cette autre plus usitée aujourd'hui:
Voir trente-six chandelles.
par des créanciers rigides. Le
ment payée.
Anglais qui prétendaient que cette
On
lémy qui suivant le martyrologe,fut écorché et mis en'croix;
un étudiant de cette ville, nomméLangaille, chargé de faire
le rôle du martyr, fut tellement épouvanté, au moment où tes
bourreaux le saisirent pour simuler le: supplice, qu'il ne put
s*eni|cbcr de pousser des cris. Et de là vint la locution pw»-
qu.'on appiiqueàune personne qui s'effraie sans sujet,
qui se plaint avant de sentir le anal. D'après cette explication
donnée par Fleuryde Rellin^n, il faudrait dire: ressemble
Lttiiguille,et non pas aux anguille*de Melun; mais ta seconde
quoique fautive, n'est pas moins usitée que ta pre-
mière, et le Dictionnaire du l'Académiel'a consacrée.
AMaonsm. Faire mater à quelqu'un des foire» d'an-
yohse.
il
lui faire essayer de mauvais traitements dont ne peut
C*«M
Ijp sutin;,
r^
bitinuii condamne par Cctûs à une iatnim: dévorante, avait
dit
li> la
l'oiir ce qu'un nous permet un dégoût triomphant,
plusvirpour ce qu'on nous défend.(PittOX, Mitmm.)
aMMWt. Qiuuid l'arbre est tombé tout le monde coun
aux branches.
Pour dire a\an-
lagi; de la tlisiwce tlui atteint un homme «levé en dignité.
0B l'arbre chargé defruits.
il n'y aqucf'linmmedistingué qui soit en butte aux traits
••I lais«'til en le
rnvwMinfe «le l« crilique les détracteurs atuiauent le mérite
mitliocriu' Un vieux proverbeles assimile
aux chkm qui u aboientqu'aptes la pleine lutte sans se soucier du
possède.
disait d'une belle
( brûler)..
t.
in
à forée"
U vrai
appartient pas.
talent du
mit Joule
en 0 rendue
On dit Jtmer. payer aiijeut tous corde, dans te même sens que
Faire le cheval
on dit Faire le chenal fTAristole, pour désigner une péni-
tence qui est imposée dans le jeu dû gage touché, ou dans quel-
que autre jeu semblable,qui consiste à prendre.Ia posture
d'un cheval a6n de recevoirsur, son une dame qu'on doit
offertes. satisfaire un
un jour
magistrat: « II y cinquième degré
vous «tes Haitay premier, et je suis Harby-quînt. » Telle fut,
suivant Ménage, l'origine du nom d'Arlequin. Hais quoique
cet auteur ait rapporté sérieusement une telle étymologie, on
ne doit la prendre que poux ce qu'ene vaut, c'est-à-dire pour
une plaisanterie. Geort de Géfaeiin la rejette avec raison, parce
que le fait sur lequel elle repose ne lui puait. pas avéré et ne
s'accorde
de Marlay. 11 pense que arlequin est un mot composé do l'ar-
ticle ai, oit l s'est changé en r, et de leeco,
qui, en italien, désigne un homme adonué à la gloutonnerie,
un lichatr de plats. Eneû«, Arlequin se montre constamment
avec ce début sur ta scènede sa .pairies mais il s'en est un peu
corrigé en «l'établissant en France. Ce qu'il y avait de trop gros-
dam ses par l'heureuse influence de
notre pays. 11 s'e¡t aussi amendé sur son penchantà la
que bouffonnerie, et il su joindre à seslazzi un esprit et une'
malice àe meilleur ton, qui sont devenus les
de Md caractère. Ptorian est le seul auteur de quelque mérite
li lui
un bon fils, un bon époux, un bon père, et il a su même le
eu
innovation, quoique justifiée par le
bien
été
tement comme nnefiurtecapitale; car il n'est jamais permis de
dénalnreràcepoiiadesin(Enisco9is»cifeautliéatee.D*aUleuis
avec son
quité,quïontprissoindeïwustransmettiequelques-unsde 0.
qu'Un'yavaitriendesadivertis-
assurent
leursbitsetgestes,
tamridkubm qmm fa*an,tmtùt,vmtmdk mari'
Lecostume decesmimes,touti habitudes
etauxhabitudes
grecques secomposait
romaines, d'unpanta-
Iondediverees«*uleuis, avecunevesteà manches, pareille-
mentbigarrée,qu'Apulée, danssonApologie, désigneparle
nomdecenamadut,
asavaient t
habitdediverutpUeet
latêterasée, Vossius,
noirdefuméeSam
--le..
cotant*
et le visage
barbouillé
abduOi.
de
Tous
cestraitscaractéristiques
setrouvent
retracésdansdesportraits
empreints*sa*^desvasesantiquessortisdesfouillesd*Bercula-
numet dePompéia etl'onpeutenconclme quejamaisdes-
codantde nobleracen'aoffertuneressemblance defamille
aussifrappante entreArlequin
quecellequiexiste etsesaïeux,
les saunionsconservèrent leprivilège
toujours les
d'ainuser
maltie»du monde,et ce-privilègenefatpas même suspendu
Sanslasuite,un
à tantdedésastres.
tytanqui nevoulait consolalion
à sessujets,
Tibère,
sichéris;il sevitobligé
actews delesrappeler
pourapaiserla
muîûtudet*^ «arévolter plus
a kurewnurtantaite politiques,
etil n'ya point
quipuisse
derérohition les'karenlever Lesbeaux
entièrement.
desaintJérôme,
sermons desaintAugustin,deTertuitien,
de
pourtant sembla s'être perdue parmi les raines. Us ne consa-
(le
leurs, affecté à ce genre de comédie, qui représente des cor-
porations individualisées, chaque losange servant à marquer
une corporation. Ce que j'ai dit plus haut de remploi de cette
bigarrure allégorique dans les fables atellanes .prouve qu'elle
'n'est pas de l'invention des modernes; il est probable que son
origine remonte aux Égyptiens. Le dieu Monde chezce peuple,
gueux.
Lorsqu'un pauvre fait l'important, qu'il a l'air de trancher
du grand seigneur, on lui conseille de prendre let armoiries
de* guetuc. Ces armoiries sont deux carottes de tabac en croix
avec ces metsautour Die* vousbêmtte.
On dit aussi Le blason de» gueux.
tje grand art de l'homme fin, dit Montaigne, est de ne le
est l'apparence de la finesse, l'effet n'y est
me vert-
chaut.
cuire des asperges.
,"-;
de-gris dans le fond de ses mélanges, que les teintes légères du
rouge fuient absorbées, et la rosé en séchantdevint un. arti-
faut pour
ge»
Il
lais (liv. v, eh. 7), est traduite de l'expression latine Citida
quian atparagicoquuntur. Érasme, qui la rapporte dans ses Ada-
ob&ervc qu'elle était Euniiiôre
n'y a point assez, s'il n'y a trop.
Ce proverbe, qu'on exprimait autrefois d'uae manièreabré-
giV qui jinHait à l'équivoque, Atttz, n'y a, ti trop n'y a, ren-
ferme une observationmorale d'unegrande vétité c'est qu'on
le
Forme sanscesse desdésirs immodérés. Les grands enfants, qu'on
les hommes, ressemblentce petit- enfant gâté qui,
invité fixer iui-niéma»te nombre des hochets qui devaient lui
être donnés^ ne ré{xwidait^qtie par jxs mots Dormez-m'en
trop.
Senèque écrivait à Lucilius (épit. ii9) Quod mturm ma* ett
kommi rum ete; invetum* eu qui concupiteeretaliquid pod omnia.
Ce qui swHU à ta nature ne suffit point à t'homme; il s'en est
trouvé un (Àte&andre-le-€rand} qui, maitre de tout, désirait
quctquc chose de plus que tout.
les Yolofe habitants de
à thomvne que ce qttUn'aptu.
Beaumarchaisa très spirituellement enchéri sur nôtre pro-
tetbe, totsqu'il à mis dans b bouche de sonFigaro, parlant de
l'amour, ce mot charmant quî est aussi devenu proverbe: Trop
n'eu pat a$$n..
même
iz,
disent
Faire la
I js Grecs exprimaient
la même idée
par un tour de paradoxe
josy
Il
soi-même..
Les hommes ne se mesurent pas à
es
par la taille.
comme une
On dit prêtre vive de l'autel, pour signifier qu'il
-"Tioii. avoîlTari saSïré qui te iaissc sans inquiétudesur tes besoins
qu'il
de
trouver un honnête profit.
egeiiaie ait. U y
te soleil» des richesses conservées avec soin pour le tourment
de celui qui les possède il les voit périr dans une extrême
-affliction, Il a mis au monde un fils qui der-
misère.
Quand
tous vices sont vieux,
réduit chanter
""
• Cot-Jt-dire, être féhrit à h misère, VoUaiie, après avoir
employé cette expression prie de la ebansoa de l'avenue,
de donner des avis.
(Test un meugle qui juge des couleurs.
Ce proverbe, qui ne paraît susceptible d'aucune exception,
en a eu pourtant plusieurs assez remarquables: Il s'est rencon-
de
Une ori-
sièrc piété eh
te Utàt
pour la plus grande gitiîre de bien et pour l'édi&catiott des
soit autre que celuide passion corrompu par
gaire, ainsi que le prétend l'anteur cité. 1 Il ya sur ce Mot tittib
seconde conjecture, d'après laquelle, bled loin
duit fer altérafîcnï, il l'aurait été par choix, en" retitpbtcement
du nom de Christ, qui ne potraùt figurer dans ttn jeu à catfte
de la cootame religieuse de ne jartiais le prononcer sans Ihirè
quelque démonstration de respect; &. le choix alitait été d'an-
tant plus nafnrel, que les chrétiens primitifs,obligés de couvrir
leur doctrine' d'un voile mystérieux pour se soustraire aux
perséadions, avaient désigné le divin législateur par le terme
gn* l'xefs (poisson),dans lequel se minvent tes initiâtesdes
cinq niots sacDcs
Christ, ïzz_~ 25mt^p, Jésus,
viiù ecclésiastique..
tè commence
C'est avoir quelque défaut corporel dont nom
par b
ou borgne, ou bossu.
Il faut Ù défie» des gens marqué» auB.
On n'a pas plutôt dit ou fait une. chose qu'on est entraîné à
<jn<?lqu!im
voudrait me faite avouer qu'il est aveugle.
Nos vieux
suivante, après coup.
Une jeune-villageoise, atteinte du niai secret qui lait mourir
1rs bergères, allait, soir et matin, se prosterner devant une
image de* Vénus tenant par a main et là,
dans l'effusion elle priait presque à haute voix la
d'ocrer sa guérison,
mi lui faisant épouser tin beau jeune homme -qu'elle aimait.
Pautet, l'ayant entendue, voulut,
s'amuser à .ses dépens, et s.'ecria malignement Ce beau jeune-
homme n'eut pat pour sous. La suppliante ingénue crut que ces
mots (-(aient partis de la elle
•l'un on de d<-pît Taiuz-vmts, petit bdboùin; laissez parler
de-prenare
rien de plus naturel
que, le sobriquet de badaude qu'on leur a appliqué par alhi-
sion :ru bateau des armoiries de Paris. ».<-
Bien des lecteurs penseront peut-être qu'ils feraient un acte
de badauderie en attachant quelque importance à ces étyinolo-
pies,. et ils seront de l'avis de Voltaire,, que,' si l'on a qualifié'
de badaud te peuple parisien plus volontiers qu'un autre,
cVst uniquement parce qu'il y a plus de monde à Paris qu'ail-
leurs, et par conséquent plus de gens inutiles qui s'attroupent
pour voir le premier objet auquel ils ne sont pas accoutumés,
Saint-Mesmin-sur-Loiret^q\ii donné
cogner un second,
(ilusife»n> coups de marteau qui M-robtent
•
l'un
La
donne des bayes, dit-il, est un homme sujets'ébahir de
|ie*i de chose.
bailler belle ci quelqu'un.
On pense généralement que te pronom la, par lequel com-
mence cette phrase proverbiale, représente le substantif bourde
[défaite, meiuomje, et
«|iit» tu
v'crlic bailler doit m: prendre comme
M. CharUrs >i«idier croit-qtu: ce vi:rbe usurpé la place de bayer
(troiiiprr) je le crois aussi et je regarde le mot bette (voyez. c«:
m'
Un
! f;iit <i«i nif parait le prouver, c'est que anciens, auteurs'
ont dit bnilUr belle, sans substantif ni pronom. Cette manière
d«- Paulin et dans- 1rs
piites dt- tjiynn, uu je lis <|K«ï. 401) C'eit baillc-luy belle et
du loin rien; c'est-à-dire, ce sont, des promesses sans effet.
tu; jiniitnls [xi.s, tiiuf-Tnis, qu'il
J«- faille revenir à écrirebayer
Mit au lu» de -bailler belle. l^i locution la bailler belle au la
En
dernier belle est aujourd'hui la seule admise et la sente ration-
nettpavtc Jiïmpîfii du pronom.
bon bâilleur en fait bâiller deux.
(hniunie vnô deindè oieitalet aller.
C<: proverbe, dotitonscsert four exprimer la contagion du
duîtëtre fort ancien. Socrate (apud Plat, il,
uauuoi. A bêles baise-mains, j
adverbiale, venin*
du la
coutume de rendre hommageà une p asonbe, suit en lui
baisant la main soit en se baisant la main
Cette coutume, très ancienne et presque universellement ré-
fils.
wpl mille hommesqui n'ont point fléchi les gehoux
et qui ne l'ont point adoré en
Salomoii rapporte que les (Eu et lessuppliants de son
twnps ne cessaient point de baiser les ntains ( leurs patrons
jusqu'à ce qu'ils en tussent obtenu
Priam
Hector, pour le. conjurer de lui rendre le corps ce malltt.-u-
rcux
Les Romains adoraient les dieux en portant la ïn droite
à la boud1e la adormuto dit Mille dextemm ad otcàfum refe~
des
raux
et l'on regardacomme quelque chose d'extraordinaire la
soldats de Varméc de Caton qui allèrent tous lui
baiser la maia, lorsqu'il fut obligé de quitter le commandement
embrasser comme auparavant, ils étaient trop
au lieu «le les
Provcrl»^ galant
cueillir
mania
Hume tibi reliquat noa ero dura, dutu.
La première syllabe est toute à mon époux
Prenez je le veux bien', les deux autres pour vous.
wuuut. Avoir rôti le balai.
Ceux qui fréquentaient le sabbat devaient s'y rendre avec
un balai dont ils tenaient la tote entre les mains et le manche
entre lesjambes, ce qui les fit appeler la Ferle-Milon charnu-
eheurt de rmnon, et à Verberie chevaitchatrsd'escoueetfe Jranton
sont deux vieux mots qui signifientbalah. Tous les
Edoctus
quuqut, dit Gaguin, xopani Htmere et interfemora equitit in-
tiar poutre. Une fois passés maîtres en sorcellerie, ils pouvaient
351er à t'assembla: infernale sur tm cheval, sur un âne ou sur
un botte. Quelquefois :même ils n'avaient pas besoin de mort-
ture; il leur suffisait de se frotter de certain onguent ou «le
prononcer certaines paroles dont la vertu touteseule les y
transportait, en les faisant passer par les tuyaux des cheminées;
niais avant de jouir de ce privilègevraiment magique il fallait
qu'ils eussent bien chevauché sur le balai. Lorsque le balai
avait bit le service exigé, il était râti, c'est-à-dire brûlé dans
le grand brasier destiné à faim-bouillir la grande chaudière des
se dévouait par oet
acte symbolique à la géhenne des feux éternels pour ne plus
être séparé de Satan, son seigneur et maître. Telle est l'idée
attachait
bustion du balai. Il est tout naturel qu'elle ait donné naissance
mené
Cette
xi plaisante description des meubles d'une .courtisane, sa-
tire M
vais rap-
qu'on y trouve la preuve que rôtir a etc employé
i daiit le sensde brûler. Rôtirle balai, dit-it signifiait autrefois
bniler un fnijot en Ojm|Kignie, entrer en goguette au point de
O,n appelle
|BiHjnie, et figurëiuent celui qui i;st «Hevé dans la de
H»n 'père. •
A vvus la ùalte.
Cela vous regarde.
Tournées -expressions Sont des métaphores prises du jeiixde
minné quis'adresse
à tousceuxdon:ellepeutes|iérer
dusecours
ouquelque appuipourle succèsd'uneafTaire.
Chateaubriand, séniounaienl
jour leservicedu"fîermiliiaiic, leursvassaux directs,les
• dws,comtes, barons,chivaliers,châtelains, celaRappelait
«leban;quandilsséinonnaiiiilleurs leurs
vassauxindirects, c'«4-â-ilii!f et lesvassaux
lesseigneurs des
• seigneurs,
lesposM-sseurs
d*arrièr«!-fiofs,
celas'appelaitl'àr-
• Tiint-ban.
Cm:molestcomposé dedeuxmots«lel'ancienne.
• îaitguc^Aai-,
camp,etban,appel; latinité
»heribarinum.
il n'estpasvraique rétlêralif
la croix
C'est ainsi que le clergé de Home allait aiwtevant de IV'xarqtie
r«Tnj)er«ir, -pour lui rendre hommage;
ce
okvmtm'nï fut observe- par le |W|m> \«hien Ier, lorsque Chartema-
gne fit son énorme à Morne, comme l'alitste le passage suivant
du liber Pontificali* (
signa, sicutmos est ad
les
ejuathum ttut palricium smcipicndum aun cum insiijni honore
sincip't fecit. On mûmes honneurs aux rois et aux
t
princes dans les villes cl les villages où ils passaient, Quant
«-le roy (Mint taiiis) arriva en Aire, dit Join ville, ceulx de
«rfat^tté^ viadrfnt recevoir jusques a la rive de la mer, o
(avec) leurs processions à ire?, gnwrt joye. Les wigneurs
dans IwsfiefeÉfaient reçus dVw «eroWable manière. C'estdo
cel usage qu'est venue noireexpresssipn proverbiale dont on
_sert pour, une réception fort honorable.
Il faut l'aller cliercher avecla croix et la bannière.
Se dit d'unepersonne qui se fait attendre, et cette façon de
parler est fondée sur un ancien usage observé dans quelques
chapitres, notamment dans celui dès chanoines de Bayeux.
Lorsqu'un de ces pieux
baptisé.
C'esi une superstition bien ancienne qu'il y des
a noms
heureux et des nottts malheureux et que la destinée de chaque
individu est pour ainsi dire écrite dans celui qu'il porte. Cette
superstition était fort accréditée chez les Romains, quicher-
chaient oïdinairemem à connaître par un présage appeléOmen
wrnhm., ai les penonm auxquelles on confiait la direction de
quelque affaire, soit publique, soit privée, rempliraient leur
mmkm avec succès. Ils détestaient les noms
tion rappelait quelque chose de triste ou 4e désagréable, et
quand ils levaient des troupes, le consul devait prendre soin
qw tes jwemiera noms inscrits sur le contrôle fussent de bon
«égare, comme ceux de Valérius, etc. S'iJ ne
deux ans avant la Saint-Barthélémy, et nommçc paixboiteuseet
était boiteux,et SI. de
a touta
intéressée d'un hypocrite qui ne fait que de mauvaises offrandes
rompue par
eu ayant l'air d'en faire de bonnes,
cet
du mal, appela chez eux Jes Israélites
ce qu'elle valait. Ce peuple, quoique esclave de l'autre, ne
cessa point de porter la .barbe en présence de ses oppresseras
et il est certain que sa beau-
sa captivité; car, je vous le
demande, Moïse et Aaron auraient-ils pu opérer sa délivrance
s'ils eussent été des blancs-becs? Non, non; croyons-en le
témoignage d'un docterabbin qui nous assure que le Seigneur
avait communiqué une vertu divineà leurs barbes, comme il.
attacha plus tard une force miraculeuse à la chevelure de Sam-
son, et ne nous étonnons plus, après cela, qu'Israël, malgré
l'inconstance de son caractère ait toujours «onsidéré la barbe,
Miit comme un gage de salut soit comme un objet de religieuse
v.inmtion et qu'il ait entrepris une guerre exterminatrice
pour en. venger l'honneur outragé. David mit àfeu et à sang le
pays des Ammonites qui avaient eu l'insolence e
eouperia
moitié de la barbe à ses ambassadeurs. Jugez de ce qu'eût fait.
ce roi dans son indignation s'ils eussent pouseé le sacrilège
la leur couper tout entière.
£*était alors l'époque brillante de la barbe. Queléclat elle
n>pandit bords de l'Eu-
rota! Nommerait-onunegloirequi ait-été séparée de la sienne?
La barbe obtint des Grecs enthousiastes les honneurs dg l'apo-
théose. Elle flotta majestueusement sur la poitrine de leurs
dieux, comme un attribut dé Ja puissance céleste. Elle s'arron-
dit avec grâce autour du menton de Vénus, adorée dans l'Ile
de-Chypre "sous le nom de Vénus barbue; elle fut consacrée
la miséricorde, en mémoire dê l'usage des suppliants qui pres-
saiwt dans leurs mains pieuses la barbe de ceux dont ils
ebafent à émouvoir la «mipassiftn; <#e figura dans plusieurs
fois aa maene fitre que tes choses saintes et inviolables; elle
para les béro», plus redoutablesavec elle, d'un lostre non moins
glorieuse^ décernée aux veuves argiennes qui sous la conduite
de la le meurtre de leurs maris,
en chassant' de leur ville les années .réunies des deuxrois de
de
faits. II
df Minus,
de S*)loa, d'AnarrAin de 5i!tiad<%
de
disait avec raison Tant
On
râttLta et il est à remarquer que pen-
dant le îanps oft cet adage fui en honneur, la Grèce occupa t.-
premier rang parmi les nations. On peut même croinr qu'elle '.s
n'en aurait point été si elle n'eûtpas
date de cette innovation,
qui
de la
l«î tkmtuiû*
Ta le
faire
Accïuis Katiuii au projet qu'il avait de cri*:»- trois
u'iie^choseque je |»eua«; en ce niomrm ?
te roi, je veux
en taitott avec ce. Navius; et let
tiiUwi fui «wii|*ê eu deux. presque tous les historiens ont attesté oe fait
wbiiw il* ««H ailrtic la preroiC-re apparition des Larbiers l'époquede
le courroux des dieux barbus de l'Olympe, qu'unetelle
sacrer les poils abattus. Cet acte religieux du dépôt de la barbe,
pareille
te
fut renouvelé depuis par tous ceux qui
se firent raser pour la première fois, et
lui
nous apprennent que Néron, en
du
et ils étaient remis ensuite an parrain qui les déposait dans un
d"-
dépouille vouée à Dieu. Cette
nation religieuse des rognures de ta barbe était bien préférable
même
temps donnaient à la barbe entière, eu l'envoyant en présent,
h pour opérer
ccafttfe
l'abolir sous peine d'excofantanication.Les détcfts obéirent;
les autres forent indigné» «m se disputa, on â'atma d« déak
méat et Ton vit la barbe. Enfin,
Loris Vil, dit le Jetâfe, affalé s6x détentes «nerdotalcs, se lit
raser Piéfre Paris,
d'après
eeriaift éeyœfoîogistedont jeciie l'opinion sans l'adopter, poilr-
imrodatt te terme dé galanterie, car, dit-it, les
dames 6e aïfjntraieot jalottacs de caresser des barbes si bien
il
autres. Je dirai cqicndant qu'aucun pour
«IKTûn plus grand amour les Espagnols et tes Portugais:
C'était «une pasjionqui conservait quelquefoissa force après le
Uépâs. Je point. %"oici ce que don .Sebastien de Co-
barruvias raconte à ce sujet « CidRai-Bios, gentilhommecas-
se mettait déjà enposture de lui tirer la barbe,. lorsque le corps
se leva soudain, et dégainant à moitié son épée qui se trouvait.
prcs.de lui, causa une telle frayeur au juifqu'il s'enfuit comme
s'il eût eu cinq cents diables à ses trousses. Le corpsse remit
la
plus Dieu est près, Je groster die Noth dette naher Gott.
Les Grecs et les Latins avaient ee proverbe: Si Die» le veut,
t* tuwkjmeras tur une cbàe.
poursuitede eeux"
encore existante
C'esi une ancienne croyance populaire,
Le
tour
et
Basque.
unw
Cette eïpfewoa et
Allusion aa trésor des rota lombards qui était dans cette ville.
Arriverae troii bateaux.
comique,
ptiant d'une personne ou d'une chose dont on veut relever
en
l'importance, eat une «Iloaion à l'taage de faire escorter par
On a regardé e on
Faire une chose Ci bâtant rompus.
de parler comme nne alIuMOn wik
il y ara» nm mattieqni
« ^ecoromandaitàses disciples de jeter de
« leurs :.delà cet
Lycophron,
de en
quement qu'il se pendrait s'il se trouvait
tendre scm po6me de la
quiput en-
ne'
ne purnenneot à
On
8, de Watefceaaer croit que l'qpwion vnimant oonique
de La Fontaine qui dit en
l«ifaaldai»a»Bd–l«falA>it WOrn
mu
Cafmrt iam im tiors àtjmr m phw dro.
badin qni est d'une lecture agiéable.
Tenir quelqu'un,le'
toutes
pièce à un nouveau venu, lui tirent ta plume lorsqu'il ta nui
à ta bouche, et. lui barbouillentles lèvres d'encre. Voilà deux
deux sont probables. mais
quelle est celle qu*îl faut préférer?' En vérité» je ne le sais, et
je ne cherche pas à le savoir, car je ne vois pas que ceux qui
le savent aient un grand avantage sur ceux qui t'ignorent. J'es,
père que mes lecteurs voudront bien penser comme moi.
qu'on emploie
suspecte.
Obsenronsque, du temps même de saint Louis,on désignait
tin détot pas conservé cette
acception. La preuve en est daas cette phrase de ioinviite
« Quant le f01 estoit en joye, si me disoit Sénescbat, pour-
pèrtt mit mangé lé vojut, et les dent* de leurs filsen ont été agacées..
Saint Grégoire e e
Mazianzeappelle gain illicite tes arrhes
du malheur, dans un beau vers grec traduit ainsi en latin
cent mille livres pesant
trésor de
ta
rale Ce trésor n'avait point de garde, pane que
était qu'il porterait malheur à ceux qui l'enlèveraient. Le
consul Servilius Cépion, étant entré dans la ville, qui s'était
A<
pour foire parler de soi.
litre «Twian– $1sans fruit
Piuemt tm bitmtltr, afin qu'on parled'eux. ( Récrie*.)
et d'autre.
côtéjusqu'au
Dure tombeau. »*-_
Ce proverbe, qui fait sentir toute l'importance delà première
éducation, en rappelant que les impressions et les leçons reçues
dans l'enfance sont ineffaçables, s'exprimait autrefois de cette
maniète Ce qui s'apprend au ber dure jusqu'au ver.
Les Espagnols disent Lo que en la lèche se marna en la mor-
nommaBerthe ta fitandiêre.
i*wrt er ta bêle
Expression fondée sur l'opinion de quelques physionomistes
qui enseignai) qu'il eshto des rapport 3 frappants de ressem-
le premier donné des
Un
le ennemi mort n'est plus en étal de nuire.
due d'OrléiBs proverbe une apptica-
tion qui prouve qu'il avait fort peu d'affection pour le cardi-
l'influence.
Jet'attends
ce«ritàsouper.
»
ascendante
n'ai pas le
une allusion aux
l*d»euts d<pt les nasses restant ta nuit dans la rivière,se
tableau.
villes. On ne sait si c'est la flatterieou
de ce
on cherche
trouve le mal sans le chercher..
tonte du
ammur
cœur.
signifier que le bien ne doit pas être Eût en vue de quelque
là
Rien ne s'oublie plus si c'est
Isocrate ou Aristote qui a dit le premier te mot suivant, attri-
bué à l'un él à l'autre « On n'a jamais vu de bienfait par-
venir à l'extrême vieillesse. » Le poëte Stésicbore a Eût sûr
le même sujet un beau vers dont voici
Le bienfait disparaît4?ec le bienfaiteur. •
celui qui l'a reçu l'oublie, Dieu s'en souvient et en tient compte
à son auteur. Voici un apologue très original qui semble avoir
été fait expiés pour graver ce proverbe dans fat mémoire.
» Dieu dit un jour ses saints dc se tenir prêts fêler l'ar-
rivée d'un les honneurs du cérémonial
observé dais la cour céleste à l'égard d'un petit nombre de
rois admis & l'éternelle béatitude; et les saints se hâtèrent. de.
cmrrir t'enta du Paradis, afin de recevoir de leur mieux
ud hôte si important et si rare. Ils pensaientque ce devait être
monarque qui variait d'expirer; mais, au tien du per-
sonnage qu'ifs attendaient, ils ne virent arriver qu'un pied,
un pied en chair et en os, détaché du corps dont il avait fait
partie, il était surmonté d'une riche couronne, et il s'avançait
Saisis
d'éforanemcm à la
vue de ce phénomène, ils s'en demandaient
i
l'un l'autre l'explication, et personne ne pouvait la donner;
En ce toom#at apparut au-demn» de i leurs «êtes l'archange
deluilebaquet
avec
lepied,afinqu'ilpûts'ydéaltérer.
Ces*
savie,que
testedesoncorps est
cettenouvelle
sur la tare, pour
Ou Rattache parsesbienfaits.
une bonté ditChamfort;
dela nature,
la récompense
debienTain!
suitd'aimer.
il estjusteque
LotsqueRolton reçutde de
l'iaveetiture
la Normandie représenta
que,danscettecérémonie, il<devait
rendranommage aaroi
enluibaisant
sonsuterain lespieds.La
Pourne
pa»rompreletraitéonconsentit qu'undesesofficiels
eac-
ensonnomdecedevoir;
quittât mats pritlepiedde
cehti-ct
CHaries jx/ur leporter à sabouche,etlelevasihaut,quete
futjetéà larenverse.
prince D'anciens rapportent
auteurs que
Bolion,enprotestant paslespieds
qu'ilnebaiserait duroi
danssalangue.:
s'écria Neteby
làTientlenom âebigot,qu'on d'abordauxMormands
appliqua
quijuraient
souvent delasorte,etensuiteauxdévotsoutrés
et sapentitieux
ainsiqu'aux fauxdévols.
heutéuide?Uhor
deLendw,
lorsqu'il
wçutl'ordre
deseren-
dreàt'amMfe'.
tireséparation
enpareil
cas estunechose
bien
croeDe. uneextrême
elle fesalh dé
tenir,
le serment de n'en jamais aimer d'autre-quelui. Ibis elle
? crut pas liée un seul instant par un engagement si téméraire;
4 ,«* dans le momentmême on elle manquait à h foi jurée de
manière la moins équivoque, elle s'écria plusieurs fois âk! &
-bois
verbe, pour signifier une assurance peu solide sur laquelle il ne
faut pas compter.
faux,
syllogisme composé de deux propositions contraires entre les-
quellesil n'y a point de milieu,et dont on bine le choix à un
iidversaire, pour tirer contre lui de celle qu'il choisiraune
conséquence sans réplique. Il faut donc rigoureusement que ce
il
syllogisme ne Soit pas susceptible
sonne à qtri on l'appose car m établissant ainsi le pour at ^e
n'aurait aucune valeur. Or, comme dans l'ancienne
•Jcoîe ou nommait argument eanlâ, i cause de aa force, un bon
r
iiç
«frai, c'est-à-dire doobleraent corna, un mauvsi* dilemme
qui pouvait tour à tour servir d'arme à l'un et à l'autra. On
de cette manière d'argumenter
élément firrorable â l'attaque et à la défense dan» l'articfe
cwmacré au proterte. De mmvau toute* tmuumt ouf.
ou pique
à
le sens
portaientencore du temps de Charles IX, lorsqu'ils marchaient
leur tète. Hais
de profiter habilement de quelqueavantage, et c'est une
métaphore prise du jeu de paume, où l'on appelle bkque un
avantage de quinze ^points qu'un joueur reçoit d'un autre, et
qu'il compteen tel endroit de !a partie qu'il veut.
pourManque,
dela détenteoude l'amorce,et le motMme,
exprimequecebruitestenpureperte.
non. Toutes le*femmesde Bloiê sont rousseset
Unvoyageuranglais,passanteBlois,écrivitsut sonalbum
royaume.
mot
français boem, auquel certains gtosaateurs attribuent la signi-
fication de voleur; et certains autres edle d'ensoroefcor. Les
Bohème*~ou Gougott ont toujours été accusés de voi et de sor-
s'opposer à de pareils
reine Marieet
Selden (iixor hebmica) a signalé parmi les rites de l'église
de la confarréaliondes anciens.
et gothorum, p. 103, Aiitiun
de 1572) rapporte une scène charmantequi avait licu4auxJÏ;m-
<jailles*clicz les Suèves et les Goths. Le fianejf eiiSant dans la
• maison où Jevait se faire la céivmoiiie, prenait la coupe dite
in:iri|nl(\•( .ij>n->
sur s*ih changement de vie, il viilail cette M'une en .»igw de
« on>i:ino\de fiircc et de [iriilatiuH, à la saut* «le
qui
il promenait ensuite ta c'est-
à-dire une d«l jHHtr prix de ta virginité. La fiancée témoï-
j;n:iii si rçtonnai'SKince, |iuis> elle se retirait pour quelques
inM;ml< et ayant son voile, elle rencaissait sous te
r..siuim- de IV-puttsc, coiqicqui lui
•lail tid<;litr> diligence et wrtimission.»
Ij* ïiKIK's de ThtV»criie et les i^togûcs de Virgile n'offrent
|x>s du tableau plus gracieux.
tlnirr comme tm chantre.
l, • î.iiui augmenlf la soif, de là vieni la réputation qu'oni
des buveurs tnfiiiigables.
|î«ri» de ce luûlier oui toujours la pépie,
a dit i'oisMiii, et, k wrers de cc fameuxCrispin n'a rien d'exagéré.
Col une opinion ^>|iulair<r, consignée par Laurent Joubcii
il;ins son. llmnà* de propos vulgaire» que, quand on a bu on
riwHlemieux- HHe u ét«*r aoçréditée,1 sans doute, par les chantres
*«x»ini'?nMis, «lin «jiiVrt» cfit «h;
coutume,
eau* hs jours de gala, de choisir un des convies pour faire
Celui à (pli ce sojn était confié se
nommait tymp&timque en Rome, et roi
dm jtum en France. Il réglait h» nnp>iit-i- dès santés, ainsi «|ue
h manière de les porter,et il
condamnait quiconque n'ubscr-
VtaûpttS.l'êtfqnetie à boire <|n<lq«c coup de plus, soit à*ïn
n. 13) dit
mettaient que les Allemands,
point
la débauche,
se
qualités
siècle, un
de ta coupede
réréinûuir. qui était d'un diamètre prodigieux, et le compte-
très spiriuieilc
envo><«dans toute l'étendue de l'ordre, qu'on divisait en di\
cercles, savoir: Champagne, Bourgogne, Provence,
Guyenne, Nèkre, Rhin, Espagne,Italie, Arcbipel.
Cette réunion d'aimables épicuriens cessa d'exister peu de
teui|« 3{iris h mort du grand-maitre,ijui finit Uanquitiement
ses jfMirs,en 1736, au milieu de ses amis, auxquels it
recom-
.maiMbd'inscrire oies vers surson tombeau
Va pourvivre débarrassé,
trop teniemctn
des ailes, pouf faire voir que le mat arrive trop vite et le bien
de
m uipoaafrieoVant
signa.
fiait que le failli *ou le cessionnatre était devenu
pauvre par sa
folie, attendu que celle couleur était affectée aux fous.
«*< )iv. iv/ch. 10.) Le dictionnaire de Tréroux,au contraire,
croît qw^fe annonçait qn'il était entièrement libéré après avoir
É»il l'abandonnement de ses biens, parce qu'elle était
le svm-
boledebUberté.
Cest mm éemaetnmge.
ci
le itsuig & b d
axait îa tète cfaatide dan» ion bomiat, car
dispose à remportemënt.Pour moi,jeçroi$
peuvent être assimiléesni pourle fond ni pour la forme. Quand
titre
d'office.
Ce bonnet rappelle la fameuse boutade de Triboulet, fou de
l'empereur
Charles-Quint est assez peu sensé pour voyager en France sur
la parole de notre roi qui a tant de raisons de le 'traiter en
ennemi, donnerai mon bonnet. Et s'il y voyage,
répondit lé monarque, sans avoir s'en repentir? Afors,
répliqua Triboulet, je" reprendrai mon bonnet pour en faite
•
à lort Au royaume des aveu-
gle*, etc., car la MiltMiiutiuR du mot royaume au mot pays
'détroit le.et. de ce proverbe, pris du latin,
Locution
cet homme qui fit tourner la roue de fortune, et qui ne ssii
Pendant que les capitalistes,
La
ville de France, et une vieille tradition, rapportée par La Fon-
bess*».
|H»int des gibbositis, niais des feux ou clous. Ua vieux rituel
à I Ms-igc du dergùde cette ville contientune formule de prière
où le curé demande à Dieu de délivrer ses paroissiens de ces
se peut qu elle soit venue de là. ainsi que celle de» Ita-
H
propoÊÏtio di m chioda di cam à propos d'un chu
deehmrette} mais elle peut avoir eu une origine historique que
grandeur
était proportionnée au rang de ceux qui les portaient, on gar-
les- Vides que les pieds ne de-
vaient pas remplir dans ces chaà|sares; et c'est ce qui donna
lieu à l'expression proverbiale,11 a mis dufoin dans set bottes,
qu'on emploie en parlant d'un homme devenu riche par des
moyens peu honnêtes. C'est comme si l'on disait vuilà un
hommedont les bottes n'ont, pas été faites pour lui; ou bien,
en passant du sens propre au sens homme
dont b fortune ne luir est pas venue légitimement.
H y â laissé ses battes.
il y est mort. Métaphore tirée des hommes de guerre
d'autrefois, qui partaient bien bottes et bien éperonnés pour
des expéditions dangereuses d'où ils ne revenaient pas ton-
jours, il y la la même
dequins qui se fermaient avec des boucles et des courroies..Ces
deux expressions ne s'employèrent primitivement qu'en parlant
des nobles ou chevaliers auxquels une pareille chaussure était
spécialementaffectée, parce qu'ils combattaient seuls à cheval.
les roluriers combattaient pied; et portaient des guêtres; co
qui donna naissance à la location, H y a lamé iet, guétret,
piœ communémentusitée aujourd'hui que les deux autres.
Gntôscér «es bottes.
^€e qui « été dit dans t'arlkle précédent explique pourquoi
cette ïaçoo de parler signifiese préparer à la mort, être sur le
point de faire le grand voyage.
à la fete des
solennel, on amenait au
au mois de* septembre, En ce jour
"grand-prêtre deux boucs, sur lesquels il jetait le sort, à l*en-
irée du iabemacle du témoignage, afin de connaître par ce
m«yPn fd»i ifas Amt dont laver les fan-
les de la nation, et dont la chair devait être offerte en hoïo- t
canstc. Aussitôt que la victime était désignée, il la consacrait
|iar sa bénédiction, puis, étendant les mains, il
confessait et
déplorait haate voix les iniquités d'Israël, en chargeait la
taie de l'autrebouc, et proférait des imprécations contre cet ani-
mai réprouvé qu'il désignait sous le nom è'Asaad, qui signifie
éntiuaïre la
ont expliqué ce terme hébreu que quelques interprètes ont
regardé, par pure conjecture, comme un surnomparticulier dit
démon et quelques autres comme une désignation du désert
ot'i ta bête maudite était menée et mise en liberté, car onne la-
tuait point de peur qu'elle ne parut immolée à l'esprit desen-
fers, et son conducteur était obligé de se laver te corps et les
vaenuatts avant de rejoindre ses concitoyens.
La fête des expiations, dit M. Salvador, émit une espèce
d"aTOn««ie morale, ear tous les citoyens, toutes les familles
Spencer, auteur d'un ouvrage curieux sur les fois des Hé-
tweus prétend que le culte rendu aux boucs en Egypte et ail-
leurs fut une des raisons qui engagèrent Moïse à choisir un de
ces animaux pour objet de malédiction.
Que%]U€s*]tisloriensrapportent que les magistrats de Mar-
seille, dans l'antiquité, avaient adopté un usage pareil à celai
da borne Mniseaire. ils lésaient nourrir pendant une année, de
la manière la plus somptueuse,
>
propos le vin contenu
coupes dont on se servait alors; de là le pro-
verbe. Les Espagnols disent De la mono a la boea te pierdela
ne:
Phrase proverbiale,
«ne laide figure dont
et comique dooton se sert pour
le menton et
er
dessus d'une bouché très fendue qui semble,
vouloir mordre les oreilles.
memmsM.
Le porc «M, de
,dn peuple. Lorsqu'on psysa» tue son pore, il en met te sang
I profit en
_amis et connaissances.qui HuTen
èmnem*à teor Kwr ojuand ils «ont dans
boudin. - le même cas.
aïïé'm eau de
»
locution est tirée du conte du Bûcheron
OU iumiiié*, et été corrompue
ptefûa à teite
poini de bouillie data la crainte qu'ils ont de se salir les battes.
m cathedra, testa
pour toujours. du
comme un Bourguignon.
cution.
lut, qui a la
buecaretlus,bmet-
signilicaiion. Caseneuve le tire du grec
bonoâ, dévoreur de chair humaine; et if observe que, dans un
glossaire, monter ioc&ïir est pris pour bourrelet. Suivant Borel,
'ik eu dérivé du latin tora, roux, parce que les gens roux sont
on'diants, où parce haute justice en di-
était Ducaiigeveut
qu'il ait sa racine dans te mol bourrée, faisceau de verges, à
fustigation. Eusèhe Salverte croit qu'il
a été formé du bourguignon buro, lance. il me semble qu'il
Et ceci est I
mort, que, quel que soit le roe qui règnei je serai vicaire de
importuns, quel,
propres à y résister par la solidité de leurs principes.
remarqué très fine et très judicieuse de
défauts
une
quelque-
nous soient les défauts
notre
Il faut
ne pas perdre en paroles un temps qu'il importe
proverbe s'appliqueparticulièrement pour
signifier qu'à table il ne faut pas trop parler, si l'on ne veut
pas être dupe de l'avidité des convives.
Brebis comptées, te loup les mange.
Proverbepris de Celui qu'on trouve dans la septième églogue
de Virgite 'Non ovium curât numerum 'lupus. Il s'employait au-
trefois, comme on le voit dans les Adages d'Érasme (Chil. u,
jcentur. iv, n° H9), pour dire que, si un voleur timide s'abs-
tient de toucher à certains objets parce qu'il sait qu'on les a
comptés, un hardi voleur n'estjamais
sidération. Aujourd'hui ce proverbe se prend dans un sens plus
général il signifie que les précautions ne garantissent pas tou-
jours d'être trompé, et même que l'excès de précaution expose
quelquefois à l'être. Les joueurs s'en servent fréquemment, et
ils entendent qu'il ne faut point compter son argent pendant
eux
fait
qu'on joue, car c'est une superstition de la plupart d'entre
que l'argent compté appelle une mauvaise chance qui le
vite passer en d'autres mains. a
suRAom. Qui a a chape sans
chaperon.
Le château de Jugon, qui fut démoli en i420, était là* prin-
cipale forteresse de -là Bretagne, 11 garantissait ce pays des, in-
cureions de l'ennemi, comme le Chaperon, dont le manteau
appelé chape ou piuvial était surmonté, garantissait le voya-
ou de nièce.
On raconte qu un capucin. prêchant
fille de sa cousine-germaine, s'écria « Quel honneur pour
vous, 6 ma cousine, qui devenez la belle-mèredu Seigneur,
et quelle gloire pour moi qui vais être; l'oncle du bon Dieu
à la mode de Bretagne!»
Je ne garantis pas l'anecdote; il se pourraitpourtant qu'elle
fût vraie, et que le capucin eût voulu enchérir sur saint Jérôme,
qui disait à Paula pour la féliciter d'avoir voué au ciel la vir-
ginité de sa fille.
avez commencé 'd'être Dieu. (D.
t.i,V.14O, ad Etutochium.)
La chanson dit que c'e« bien prouvé par e déluge. Hais, sans.
oute, il ne faut pas aller chercher si loin la raison de ce.pro-
boivent de
l'eau sont moins expansife que ceux qai boivent du vin, l'ex-
pansion étant regardée cpirune une marque de bonté. Cepen-
dant, s'il tte remonte pas jusqu'au déluge, il est d'une assez
grande antiquité; Démosthènede
Cotirt de GeËelin dérive ce mol de rapporté
par
de
dans le.Vaine, 1-Acajou, le Poitou et l'A unis; extamx et eaqtuux
l'expression proverbiale.
Maris qui voit
lez i"ire aiméesde vos maris, vous n'avez qu'à prendreun couple
de cailles dont vous extrairez les deux cœurs pour les porter
sur vous, a savoir te mari celui du mâle, et ta femme celui
de la femelle, et vous pouvez compter que vous ferez très bon
ménage. Ce n'est pas moi qui donne cette précieuse recette, c'est
Antoine Mizauhl, médecin français du. seizième siècle, auteur
d'un livre de Centuries où il l'a consignée. (Cent. 8, n. 18.)
mérique.
La
chose..
grec; mais il n'est pas probable que les Romainsaient pris
te mot dans la langue d'un peuple qui ne connaissait pas la
Çmt
de sa montre? »
Un ctymologisle a dérivé cet» des paroles que l'exécuteur
Z^ttes haotes-cenvres adressa à Dom Carlos, infant d'Espace,
pour l'engager à ne passe débattre au moment où il allait l'é-
trangler par ordre d'an père barbare Colla, ailla, ténor Dom
Proverbe
vérité, la
tiré
même
et pour attaquer le
dit
pensée se trouve dans
le
h vie
pré?, du
mais qu'il n'a pas inventé; car avant lui Bacon l'avait cité
comme proverbial dans son ouvrage
fran-
çais deoet ouvrage l'avait rendu en ces termes Va! calomnie
hardiment il eu restera quelque choie.
pour
L'étoneappeléecamelot,parcequeoriginairement
elleétait
dite depoilde chameau,ne perdquetrèsdifficilement les
mauvaisplisqu'ellea pris.Delà le proverbe,
qu'onapplique
ilunepersonneincorrigibte.
a
gligiapointdefaireressortirleridiculedespartisansde kankam.
tesjuges rendirentunarrêt qui réhabilitale bénéficiaire,et
laissa
ce fameux
ta libertéde prononcercomme it voudrait.C'estde
litige, danslequelse trouvepeut-êtrela vraiecause
tic l'assassinatde Ramus, que plusieursélymologistesfont
venir te mol cancan,employéd'abordpour signifierune dis-
cussionorageusesur un sujetdepeud'importance,et appliqué
où il entrede la médi-
santé. Quelquesautrespensentqu'il a été formépar onoma-
tofKedu cri 'descanardesmaisleur opinion pourêtre admise
a besoind'être appuyéede faitsqui établissentqu'il était en
«sageavantla la Sorbonne, e»jusqu'ici
ils n'enont rapporteaucun.'Laremarquefaitepar Buffon,que
-te «*bccancanerexprimele cri désagréabledes perroquet
danste langagedes Françaisd'Amérique,ne peutleur fournir
uw;inductionprobanteen cecas, puisquerétablissementde
ces cotonsest po«t^ff<mr
«*am*mifjiipit Cest un
-il
h t'époque est*quesâon.
rappelé dans
où le désordre et la
huitièmei, a cause de
prononcés
ce temps d'être compté parmi les imbéciles.
Arriver comme marée en carême.
la marée ou te poisson
dans le carême.
Arriver comme mars en carême.
Se dit d'une chose qui arrive toujours en certain temps,
comme le mois de mars dans le carême.
casaçux. Tourner casaque.
C'est-à-dire changer de parti.
On à prétendu que cette locution était fondée sur la eon-
duite ifematite du duc de Savoie, Charles Emmanuel I*qwi,
tantôt l'alliéde la France, tantôt l'allié retournait
son côté et rouge de l'autre » quand il
abandonnait la cause du premier de oes pays pour celle du se-
coud. Mais ta locution date d'une époque pins ancienne elle est
nuptiale dansl'idéesopcntiikose
jouis bonheur, celle qui le remplissait ne pouvait manquer
d'avoir a son tour on époux dans un
l'on trouve encore au village plus d'une jouvencelle qui. sous
le charme d'une telle superstition, prend secrètement ses me-
snies afin d'attacher Il première une épingle au bonnet d'une
fiancée, Or, comme fiel, n'a pu jamais être observé à rê-
gaid d'aoesne des «aintes connues sons li nom de Catherine
puisque, d'après la remarquedes légendaires, toutes sont
mortes vierges,on a prisde là occasion de dire qu'une vieille
pour la jNttronedes
vierges»
Les
peut Irès-DÛ»
Bathac
--appelle.lamon Ift^wyM et Il
•
On
divitice
mieux que la grandi* riekata; et probablementnotre proverbe'-
n'est qu'une traduction de çeitc phrase; car, ccmtitre s'est dit •
à ta ceinture, et où la cein-
même chose.
pour*avojr une autre origia» que voici.
baiser da paix à l'église, d'après
un par te pape Léon II, ver» I» Ga&. septième
reine
donna in ioar pe baiser de paix doqt Je cos-
de Paris renouvela en 4-420.' Comme on ne tint pas Main
à l'exécution de ce règlement, la ceinture cessa biènSfift d'être
le
de bois i for*-courtet fort petit. Le mot cmtoir, que
• a omis
dans son dictionnaire, désigne un couteau destiné à. ëer-"
-ner les noi|ic," c'est-à-dire à -les sqjarer pour en
saint
v. 24) mû ces paroles aux
crites guides aveugle», qui! faites passer
u camélia*
•altéré24). Quelques
ta
interprètes pensent que ce été
t dans l'orthographe du*-
par un
chameau,
drait rectification.
-ils cet autre proverbe
iâ;Ta|mad fi)
"jiVnctionrviléreedevint impérieuse,
en se servant-d'ùne expression, militaire que je ne rapporte pas
je ut, colonel
«wt tôt e Une
dame témoin de cette scène se trouvait égalementsur un.siège'
•;qui était une autre; invitée à son tour de quitter
vers d'un:
poète comique
dans la
comédie des Ckevatien par Aristophane (acte i,
se. 3)
tourner Cteil droit du côté de la'Carie et l& gauche du côté
parce que la Carie et la
de
Mins d'Athènes, l'une au midi, l'autre au nord decetlè ville,
étaient placées aux deux extrémités de t'hsie, et séparées par
un
aïeux.
'•'
timesdo même préjugé fortement ràreillé dans les esprits par le
celier. >\ du
Le chancelierde L'Hôpital qui avait défendu les calvinistes
avec tant de courage et d'éloquence, était accusé par. les catho-.
liqiics intolérants de pencher pour, le calvinisme, quoiqu'il
assistât régulièrementà la messe; et te
sion de ce reproche, que beaucoup de personnes encore %ajour-
d'hui regardent comme fondé. Hais il est certain que ce grand
homme hé- fut -pas l'es-
du
une
boggie roulée comme une corde et assa longue,' dit-on, pour
foire le tour de leur viBe.
A chaque taui ta cfutmUUe.
Il &at frire b cour à cbaqoe personne qui peàtnons frire
*du biea ou
DorniermeckcatddUàDieuetWMmSabU.
ca<Aée one-beBe
durant sa vie
pensée, samir que ks «afclôuat
que
fait
C'est en arracher la
voleur, surnommé
tence, demanda à embrasser sa mère
brouillé. On h lui amena, et lorsque cette pauvre femme se.'
fut jetéeles saisit le nez
avec les dents,. et en arracha un morceau qu'il lui cracha au
visage, en disant
je n'aurais pas commisles crimes qui m'ont
Cette
anecdote» qui n'est qu'une variante delà fable
tllutée le Voleur et ta Mèrtt
gner portait un
peau au lieu de capuchon, Maintenant on appelle quelquefois
pour lui servir de compère, et pour finie valoir son méritedans
te monde. Mais oh entend phis souvent par fière chapeau un
vers oiseux,
tique*, auquel il va tout juste comme un
borgne. Celte été créée par Boiieau.
ses avantages.
On dit aussi cjétt l* plut beau fleuron de m couronne. Le
peau, rosés, était une couronne que
nos pères se plaisaient à portex dans les circonstances solen-
seyant d'amour
j
tenait de sa très honorée dame, dont les btanches/nutins' la
lui posaient sur la tête.
":
sage de faire
langue le verbe chapitrer.
o
cherche
rangeait»- •
StmftrerU pauptr, H pauptr m,
Dantor op* ftffM «a nirt divititms.
Si tu es paovre Emilien ,yto seras Utnebems
mmmmmmm
te
Pantins de
ardents.
Salomoo (da. 36,
fielai
les fèrot de
qui âût du bien à son
colère divine,
lia/» 4»
en* ce» ternes
,dit,
,la etlMM «Tin
une
Ffcaaçois r» s'étu» à la
fcn.
fieu
eaftt le asuibannisr, fat de «an tenait, fiât
habitude et quecettechaise est à
Or, par droit et par raison,
même.
««mm* Charité bien ordonnée commence par
ainsi la même
soi-
sensconforme à lacharité
chrétienne c'est Qu'avant de morigéner les autres, el.de
(joui- s'appu^r: jÉak la cràinie dbnt ils soat asJaa kor hit
dfla-le •*?
sont tosabés,
ver, ce epri donne à ces parties tine nias grande setioade terier.
pour le dévorer..
et ntt âtrteur de œp>|s lui aattribué une autre
-
rapporterai car eiïe se rattache i one anecdote curieuse. Dante
et Gecc» avaient lTabinide de ae proposer l'un k l'antre des
à résoodfe. Un jour ils disputèrent
Gentilhomme de Beamx,
de à
de
personnage, et le peintre le corrigea. Le lendemain, le
en
la règte de «rint Bernard
à .cinq lieues
même
prirent le nom de
répliqua le monarque.
estmmam. Qui trop M hâte reste en chemin.
Ce proverbe est de Platon qui s'en servait pour recomman-
der de ne pas agir avec précipitation mais de suivre une mar-
che bien mesurée. Catôn l'ancien avait coutume de dire: Sar
ciio, si mi bentiMuez Tout cela revient au mot
célèbie de Chilon. Auguste
.se plaisait à répéter, et qu'Erasme appelait le mi des adages.
il faut se hâter lentement dans les affaires importantes sur-
pierres,
Meiat Htn-Ufu'itn jmr titi cheinm oit il n'y a point de
Ijc traiter fort cltiretnciit sans qu'il puis»? s-c tlrn-ndre? caf
affranchissait un esclave. On plaçait cet esclave dans un car-
refour qu'on appelait la place des Quatre-Chemins, Compi-
che» et les travaux qu'il fesait faire à ses troupes, après avoir
levé le siège
lavait mmmret, je tuni-
que «ait un vêtement de laine sans manches qui se portait
suis ta toge, et servait de chemise aux Romains.
.La tfïemiié est plus proche qure le pourpoint.
Les Latins disaient Ttatica pallia propior e*i> la tunique est
plus proche que le manteau; et les Grecs Le genou eu plus
proche que la jambe. Mous disons encore La plus proche
m
que
;bîenveilbnoedoivent se mesurer sur les degrés de la parenté,
on qœ nous devons
de
deSaurin,
ofltemt l'applicalioa et l'explication de cette locution prover-
pan- un
Les Italiensdiseut Erra il prête a Vallon, le prêtre se trompe
un autre.
C'est-à-dire avec hauteur et dureté, comme fesait, dans les
joutes et dans les tournois, un chevalier qui demaudait raison
« OÙ.
le
SuivantFeydel,ce proverbe
broute.
Ilne il a'agu^re
que pourimposer une femme
du
qui se plaintde sonmari. Tel est en effet,le sensqu'il a eu
autrefois maisle sensactuelest quetoute personne doit se ré-
ellese
où elleest établie.Letextea subi-aussiun changement.Dans
am
énoncé
en
suivre ses adversaires entrés dans son quartier. Il va, vient,
court de coté et d'autre, s'élance par saut» et par bond*, et pré-
sente ruatg» patureU» d'ao bonne qui
tous lei brusques mouvements que l'impatience et Il colère
^9 9^StS^SSj le ^W^|Si^SflBTPSJW^Wp»T
Vi4^SjrV^7 ^^T^WF et / t( fS^BefWVBT^F
v^lFpn^^HHSJr B^^^aWwSaB^gy
Les s'il est vrai qu'il n:yait que là-vérflé
chevnen de Shne».
ti«jiK-
CHXUf.
oJui qui «54 If plus, à craindre', ;"Ce proTerbe est trie ancien.
Ouinte-Curce nous a|«jirend usité tlifz les Bactrici»'.
11 t'emfidi qmmd
voyant que b gaerre allait se
• rallumer entre de à
son de trompe ses deux fils, Jean de Nivelleet Louis de Pos-
et de tenir
pJ^>irriié,ksdédÉenatenleBUahantdedUau.
dictionnaire de
Niàdle,
Ît
de quitter la Flandre où ils avaientdes biens coosidén-
te
seigneur de
et
en justice. Mais pins
côté, de b Flandre. D fat traité de chien,à cause de l'horreur
qu'inspiraient son crime et son impiété.
rrupliftiow généralement
fois
mue
Jean de kiveOe, qui
pent-are plus exacte. il y avait
du clocher de Nivelle un homme de
ear la cloche
1er,
antre-
.à t
«on nuiire.il tes connaît aux vêtements à la. physionomie,
à ta voix, semble même qu'averti
jar VoJyrat il les devine, avant de iex apercevoir. De là ce pro-
verbe, duoffe sens est qu'il n'es! pas besatm de signaler à un
fmmnnj habile et vigilant les piéga qu'il doit éviter.
Bon chien dkuse de race.
Les enfant* tiennent ordinairement dm indjaations et des
ntœuts de leurs parenls. Ce proverbe, appliqué & Me homme,
î.*ecapfeie ea bonne et .en' cgaavaiK part appliqué à une
femme, il se prend
Ob méam^ un
mmm préleste'quaad «i «at queniler ou
perare tjBÉKju'un1.
C'est lefeibfe aérant le fort ou le petit devant le
-grand, pont une fente que l'un et Jfo
Parce que le» Ni«« chiemi aont les pua habile» àdépister le
gibier dont ils connaiteent
pictatbeeat, qu'il n'ya point d'homme plus propres an con-
autre sujet.
pour quelqu'un des auditeurs, ramener
<wo«r.
la conversation sur un
après, un atelier de
reçut trois sous. Avec cet
cerâsea,
tout le monde fut bien fiiti-
%fë d'auirss.
était presque
chassa
sur l'ar-
en branche afin de découvrir
la chouette. la giu arrête leurs pieds
délicats et les livre au chasseur qui s'applaudit du succès de la
INicod, du pippit des petits oiseaux, parce que dans cette chasse
on imité aussi k cri de
un qu'on a pris, afin d'attirer lesautres..
ces petits oiseaux, ou l'an en fait crier
du bon chrême.
C'est être 'fort crédule. Mauvaise allusion
au sainuchrême,
dont l'évoque oint le front de ceux qu'il confirme dans la foi.
On trouve dans les XV jmjet de Mariage (p. 64, éd. de 1726)
« Ije bonhomme est de la bonne fuy et. boa crame.»
Ijeçon inconstante:
E swmto retm toM suevit, dit Tiie-Uve. Ainsi monter ce n'est
sauvent quYlcvcr sa ebute; et plus une chute est élevée
« Ue çrew in abîme profond.
plus
etc.,
foires tenues dans les lieux des sépultures. Ces foires, à la 1'60-.
rité, n'y restèrent pas longtemps, parce que les synodes s'y
ter-
des marchés près des anciens cimetières en plusieurs lieux de
Fiance et d'autres pays*
et d'an
pas on- pli, qu'il. ett ou qu'if va comme de are. Regaier-Desma-
rais observe que éua ces deux phtaaes il m'y a nulle construc-
tion, et que, pour y en trouver .quelqu'une, il but y rétablir
plusieurs mots ellipses, savoir les deux hommes sont
que
égaux comme deux figures de cire sorties da même moule;
que l'habit est ou ?a comme cefeii
dans le
moule. Les Espagnols se sentent, ajoate-t.il, d'une
expfeasion lout à fait semblable à la dernièrephrase, en par-
lant d'en habitqui lient extrêmement bien à la MiMe Le viene
como de moitié; U m comme fil
iial.deGberardJ, 6.)
Td» don»
Pmr de* row vmilaw-je dire.
fe ne sais quel ett U mieux. ( t» Foht«I5c.)
on veut. est
vraisemblable, la
autrefois
de même (voyez Et, dans œ cas, notre lo-
cution ainsi rectifiée, Cela ta de tire, reproduirait exactement
et
<|tti
«aagïé de» dfetortiw sf «ttrsotdinairw, H ae jpanfMit pas
11 iurêulii,dans
la jeuiMme, trois nooveHm !et.
tres qo'il lit ajout» dw» ta mite et dont « fit
adopter l'ange pour la» livra», iMBriptionsde
so» temps. Il s'appliqua à la liUÀaiure, et composa plus de
àmpante volumes, parmi lesquels se trouvaient les mémoires
linérate. On fanait autrefois acte de héritage
en
cUxgitï eu vertu daqud tn fesait grâce
il un homme qui méritait la corde, ionqu'il avait pa lice dans
le Une des psaume» certains passages déâgné» par. les juges;
dit
«mauvais latin
Les savants, toujours trop occupés de leurs travaux pour
»Cet
avec tout cela il est le plus
niais des mortels. Bon m me tmt attoimmesU rien,
pariant de son maître.
Genûhhommes^ de la
il faut la
ne peut cannalbe om affaire et la juger sur le rapport
' quelqu'un.
le poids des
cocjuon.
Je transcrirai ici ae que
biale dans le Jtmnmlde la langue fnmçdte, m rèponae à an
alwnnè qui m'avaitdemandé, t8 d'expliquerce que c'est que le
des
«k- »ttci*M»; sur «m fat chemina et dan» Umtm ks raa aont
de! «abto» drewée» où l'on va librement bc«ti.
que» <Nivene>où l'on pont prendre ce qu'on, ''¥élit m» payer.
M-y-t-aoe rifiêfe doai an côté est d'excellent Tin rou^t et
tin blanc; il)
f^^™ de flan» cbaud», «te.
qu tout y m
s» t'TOplaiwDia, /qu'après les avoir eboisiee àsoagté, «t ptttt
c'est que dans ces existe h* fontainerde-
où
-séjour de sauces, de potages, de brouets,de ragoûts, de resfcw-
l'on ruisseaux de
lait. Ce pays, ajoute-J-iJ, à dû tirer son nom de celui de son
menteur, et Cocagnen'est qu'une altération «tu
Le savant évêque d'A>ranche», Muet, quî
ijailie de gogue, espèce de tirec piquante ou de .saupiquet, a
payt de Cocagne.
de Es*
nutiiganl disent sur cette explication « Irnous parait très
vraisemblable que c'est du nom de ce pajs qu'on a Eût celui de
puys de Cocagne,
et que le nom de Cocagtia vient du proverbe:
II ntâiouaiie ccmmteUK coqen pâte; ou du latineoccNf graine
«lebernus, cochenille; ou du languedocien coco, pain mollet,
.m sucre et aux ceu&- » U dut avouer que ces messieurs,en
tv«p circtiostatKe n'ont pas rail preuve de leur sagacité ordi-
On 19 dans
qui semble
dansles
environs de Toulouse
et surtout le Lauragnais, fournissaient une énorme quantité
de pastet. Les coques de pastel qu'on y préparait jouissaient de
par «m
n'avons
-Père de machinât dont nous ne pansions (râttaer
h ame dam noire eeet» si nous savions bien l'y chercher.
Apprendre par coeur.
:.et de par
lioo de commodes et de
et précieux dont la confection exigeait certain talent; et les
rofiretiers appartenaient moins à la classe des artisans qu'à
.celle
BrêU comme un coffre. fifre comme offre..
îltnsonner comme ?? coffre.
coffres était garni de cuir historié où l'on
rensarquaii beaucoup d'inscriptions, de denses et de figures
grotesques. Le* trois expressions citée» sont
as peintures
L'amie des arabesques peintes oc scorptées sur les coffras
date d'une époque Irte reculée. Paosanias cite comme un des
monornentt de l'art des Grecs le
relief
enècatéea ea or et ea ivoire. Les sujets représentés sur ce coffre
avaient été choisis d'une manière arbitraire dans les mythes de
l'amiquiié et n'offiaieas aucun rapport entre eux.
coffres
'eu
on aa service de quelque grand.
qui
Et
On cottndlt ces deux vers
i
tofjpe la toc de quelques calant», au
à une personne constamment
héureose, par allusion la membraneappelée coi^« qui en vc-
leur nais»
dans ton» I» tamps etchai pees^
que iow$ les peuples, comme un présage de bonheur. LesGrecs
liëfemcDt
moins commune qu'en AngiettriB, où l'on net quelquefois
prit
d'Assyrie,
actes
du coite de la nouvelle déesse.Elle ordonna également qu'on
eût un respect religieux pour les colombes en tuerune, même
était un sacrilège qn.îdevait s'expier par une
raon violente. Après une règne glorieux, elle eut aussi son
a,»|héose. Ses
nitépar
un des oiseaux qui avaient
soigné son ën&nce, et qu'6 présidait encore sons cette tonne
mx destinées obtint à double
cire le nom de la Colombe; mais elle n'en eu) jamais la dou-
«nr, car elle fit périr le roi Ninps, son époux, poor régner à sa
fîmai dans la «rite aux Israélites, guerres
mandées souvent par tes oracles de son temple
et conduites tou-
enseignesdécorées de son image, on aura alors
dési-
gne comme un modèle de douceur, atote mAtt ùcut coiitmbce,
a donné lieu au proverbe Timete nom coiumbœ, craignez ta
colère de la colombe..
Les Italiens disent dans le même sens Gwtrdati d'oeeta di
vm dolce; garde-toi du vinaigre fait avec du vin doux.
lié de t'œuvre
Proverbe traduit de ce vers latin:
lamoi-
on
lt
On
le
On diidans le mêtûe sens Par compagnie 'on
si $i bonne compagnie qui
aimez eu
ils lat-
est bf
Qui
de
1m Anba d«wit CtMpcMMV
nulle. (e.
seul en éprouver les eflête, et que ta comsàllmn. comme en
dotât il jouit.
au
propre jC'€«t le ooq qai est ptaté tar k flècbe àfoa éo-
fîgaié,
dus un village, est MMJewutdes mottes
pâte..
de gens, ei estes dtokiemeatttug coq depareme.
Un appelle coq du village> un
galant cpu courtise toutes les belles du lieu.
Etre comme un coq en
«KPBBBWWM. j4
la ventes (&t coquecigrues.
C'est-à-dire jamais. Coquecigrue, dans ce
signe on oiseau tabulera dont le nom, soivanl quelques ao-
ioiis, est composé des uo» mois coq cggae, gne, et suivant
Ituef est de qa'Aris-
faix baiiret» l'airpar des oîaeaax. Il y en a qui préten-
lineaoxaprioeadesooiniaginatioQ,dit
la guérir.
pour
•
ceux
étendu que
au des-
gagné ta
lorsque ses étude» plient lermioees, an liea d'avûer aax
moyens
d'aocan ptoeès. Le matue aion, penaant que la conduite de
juges n'en
prise pour une vérité. « Le corbeau, dit cet auteur, du» son
roi
leur partialité en laveur
des Pépins qui avaient su gagner feretetgg gtanttesiar^
en ce cas, était d'autant plus naturette
que tes Pépins avaient occupé eux-mêmes les premières places
de l'Église et que les ecclésiastiquesavaient été déjà désignés
pu le à cause de leur» robe» noires, et
Pbloa, poêlecomique,
Gens
••
dont on lait l'apoticàtton à de mauvais garnementsqui ne mé~
riteut pts moins d'être noyés que d'être pendus, est liée «Mt
naagdkmaot d'one double alltwion
«cetdeb<«rrfe.
Les dieux, dont je «nulle FSmage
-Avec mon seul &OmiclMi&ent,
M'ocdomtent, pourmuon cbilimeat,
De me
(les cwnesdei'ar-
mée) que nom rendons pur In «fa* de tumée. était
aussi figraécoma, soit parce que les premiers vases dont on se
poétiquement qu'il
prêtait des cornes anx^buveur*. Se |à ce» vers d'Horace dans
l'ode à son amphore
de bouc; oîÇ.réj^x
iHé^iûmesi L'px-
et (ju'ib appelaient JH« de "dkèmre les -eabnts
pfession Planter et* cornet à qKelfK*im leur rut naânecorraue,
car elle est dans ces -mots
midore s'est sari en
dont Àrté-
(liv. 11,
où il dit que rêver de cornes
un mari. Nous apprenons en oottè que
l'empereur Andronic voulant reprocher aux habitants de Gons-
biiiinnplc l'inconduite de leurs
les. principalesplaces de cette ville les plus beaux
qu'ilpouvait se procurer.
cerf
LesIUrtnains attachaientaussi aux cornes une signification
pareille. Ils oarneiMj qui rc{Hinil
p&gçait baole-
wt 1res
qi»- Rabââ» noue groUièrv, terme dérivé de grotte (ou
gnJJUh oiseau les
sur le» épaules des
ils les
relèvent plus grandes que devant. Ainsi firent les dames, car
« les hennins ne furent jamais plus grands, plus pompeux et
le département du carme.
quelqu'un comme un corps-
C'est
temps ni le moyen de résister.
gïstes. une corruption de aoramoa double nom d'u-
suriers italiens, qui appartenaient, dium, à la famille desCor-
une
nuit, par ordre de l'autorité supérieure. Le mot est écrit ainsi
qu'il doit l'être, et désigneréellement le corps d'en saint-Rien
n'était phis commun, au moyen lige, que l'enlèvement d'une
Celle relique fort précieuse pour les bourgs et villes qui en
avaient la possession à cause de la nombreuse aftnienœ do
-fidèles et de pèlerins qu'elle y attirait. Cet enlèvement était con-
qui le fesatent, et ils y
«mptojâieiitbeaucoupd'adresse, de promptitude et quelquefois
«Je %iokncc, pour mettre en début la vigilance des légitime*
|ifopriétaires. L'historiend'Abbeville dît « Le grand nombre
Q«iTioUcefcs(io,GouiTiitpvfairaiDée,
A faii, eu bwii
j
qui tenaient table. U «nû enu* eux une
espèce d'éambtion à qui ferait paraiiie
Il un geùt
natter
oouopg-
céuf est
D'autres
veulent que ce soit celui-ci qui en lasse sa proie, ou du moins
qui les rende victimes de ? voracité, en s'appropriantles sub-
VHiVMIIIw WCK PuvvbDWmCDK l^DPOBHM0Bk vHEQBGHB
se tnwne dans ho
Sewéa de Boodiet, et <du» un viem «hnuMeb qui indique tes
voire
dùsset, mes amis, sur la situation qu'elle a donnée au eoode.
U à l'œil. Delà ce
Qui
Courtaude éotatfwe,
l'on croit qm ci
Les ainsi
enfur (mentir), sont des brevets qu'on expédie aux grands
11 y d*aaties disent
pane
que les sous son om-
bw, pendant les troubles
dont on ignCtaitle vrai nom, et qu'où
nulle homme», attendu
qu'avec ce nombre de soldats, ni plus ni moins, il se resait
bourgeois qui
les membres du
]<étÔA ce petit
¡Iris pour patron, pan» qa'il ihts dk-do, «dtdoaaier de son
wran t on bien à cause de en-
sur ce point.
point.
qui lui demandait la
et
ctets de fer attachésà de
ces inuramenis. On dit de même, al plus
d'aafm âbieânen
de oetfaines
q«aUté* on de cwtoias ou te
co-
>CepTmeftetn«tpmt4w<kMcpie,poarmarqMH-dix
de Gebetin,
• dan» Mm eseelkM» Butoir» 4» la
« que la croix la
(1).
le.Débonnaire avait fait meute suïr ses monnaies où elfes
soute-
naient une église surmontéed'une cmix, avec cette légende
XamuM*
tes monnaie»
Rome offirajent d'un côté la tête delanus, et de l'autre
v»iweati,i qui était quelquefois remplacé che* les Grecs un
par
me àvaient^éTshoWs en raison de ce
que Janus passait pour l'inventeur de l'argent monnayé, des
comme
Bffltten jàant eo l'air une pièce de monnaie, et ils disaient
Cqwt out moi*, lit» ou mmm*. Macrobe et saint Augustin
p9i!e« de ce Jeu. Les Italiens' disent Fions o mou» four
ou *o«», de
anjoaidlini elle a
C'est delà qu'ert venu noue contre le lu»
';
employée
d'abord au propre, en parlant d'un corps de cwaterie mis en
cmwji
C'est on
Cett-,UMe cruehe.
• bdies œnx qui servaient
«fan» In mxmm\ mais on n'en mettait pas
a» tGSdttefaes destinées an sarvice
au dbu^or, on finit pu- y pair. ftoverbe qo'on trouve
qué aux lempliats dans
<tam h»
dans
Ce»
P\mmià&:lkMMUirgodegit»eaThm,leaiiraçtprude
ma» été, pour dfemflnr c*e«i met tiaqa» et périb qu'on
fiait la
__Z
chaste que sa patronne. Le président de Thon, qui s'intéressait
de Suzanne Cujas,«ans
Maquette if a voulu taire revivre la Quaililla de Pétrone
et
l"A)ii de Maroc.
et à
disputer, cfaodttion que la
victoire donnerait pou* toujours à qui l'obtiendrait une auto-
lutte
s'engagea
choisis pour témoins, et sire Hains, après avoir éprouvé ta
plus opiniâtre résistancede dame Anieose, finit par emporter
te pri* de ce combat Massieu et Le Grand
d'Au»y pensent que le (abliau de PiauceUe a donné lieu aux
Ces de
muent, sont attestés par de graves
poUmment par H. A. A. Moqleil qui oaanalt-inîeaxque per-
pour
63-
fe
étaient 'réduits
à
et râpés; et quelques.' années plus tard il- fut employé comme
en dard imriiKaWecontte touYeeSut dont les écrits Ou les dis-
coure tendaient au nivellement révolutionnaire Cest ainsi que
le nom de
la haine que
leur inspiraient ces financiers. Tejtfe est^d'après Mercier, la
t. pour lit
l'obligeance de M. le lietttenant>cokmel
constit*-
tkmmeUedélp s'imprime_ce moment.
Le oMé gauche Je l'Asserabjée fcgisiatiTO, «fit ce sàwnt bis-
dont il se disaitl'unique
et les
Latour-dû-
Pin et il demanda que leur procès s'instruisit immédiatement
sur la dénonciation formelle des districts parisiens. C'était la
première fuis que le parti populaire intervenait d'une manière
aussi directe dans une question de gouvernement. -Le prési-
dent, au lieu de repousser une démarche à la Cois illégale et
"
permit d'assister à" la discussion. Commela plupart de ceux qui
une
surprise, quelque impatience* ott pour donner plus de force
C'est un reste "de l'usagede nos dévotsaïeuxqui
à témoin la vierge nommée
Sainie-Dome, Notre-Dame, expressions que nos vieux auteurs
ont employtedans te même sens que noua employons Tinter.
j/eainm dame. On vet
Saint»- Damt*
dans la farce de Patelin
comme il barbote
C'est avoir une
le supplanter. –Métaphore tirée du jeu de dames, où celui qui
dame ou pion à son adversaire, c'est-â-dliequi lui 6it l'avan-'
taxe d'âne dame, est beaucoup plus habile que lui.
Le
N
mière.
jeu de dames est, dit-on, un
féodale. Le pion ou dame simple représente la datmoisette qui
'luit la femme d'un écojer, et la dame damée
On compare au
représente la
dame épouse d'on chevalier, laquelle était au-dessus de la pre-
inutile,
une mémoire oo n>n ne laisse de trace, un Coeur dont tîeiî ne
pas,
cœurs glacés par I* temnr aonl imncenUei à ht pitié. On
dirait que Je ciel qui les
promeut*onbtUet. Ces
aux
aywBi. (a
II nag<«<njamai»d'haiiaier.
Donuerme
C'est le châtier, parce que celui qu'on châtie se débat sous
reçoit. et semble exécuter
es coups qu'il une espèce de danse:
quelqu'un le bonheur de» tortue*. Ce qui
sage d'une comédie d'Aristophane « O tortues que votre en-
velofife wus rrny heureuses vous êtes trois fois plus lieu-
renses que moi avec nia peau Cette écaille placée sur votre
des vous empêche de sentir les coups; mais, hélas! rim
ne garantit mon dos, et A» qu'on me bàtonne je cuis il
« Uwemt. 0
Le moi dame, au xv* siècle, était souvent employé pour
signifier de, remontrances, des reproches, une moralité, une
leçon, une correction; et c'est pour cela qu'il servit de titre a
plusieuracMivrages,tels que la Dame macabre, ta Dante det morts,
de la grande chan-
avance.
Ce proverbe, qui manque 31110014110! de vérité, est une
tune chez nos aïeux aussi facilement que chez nous. Autres
oonlktenle^l'Éli-
terne d'amour, parce qu'il était celui de la
senne dans le roman à'Amadu. Celte confidente la des
soubrettes lut ainsi à cause de
son vêtement rjolé (rayé). Mais M. Élot Jobanneau pense que
darioteitc est venu de dariole. petite pièce de .pâtisserie conte-
nant la b crème, a a été appliqué à une jeune Cite friande de
cette espèce
Scarron, dans, son Virgile travesti, liv. n, dit de la soeur
deDfdon
Enfin c*s de nécessité
Eue «et été dariotette.
Régnier » sa». 5, appelle dariotet un enfreméUettr.
• Duncq' la mfene vertu te ilre*aot au poulet,
'
sur les lits disposas autour de la table.
B£com»HJC. n faut en découdre.
trui. peuvent
le leur rendre, et quand on leur montre qu'on est sans res-
source, on les trouve sans
de noire indi-
gence, "a dit un homme d'esprit doit être le plus délicat et le
mieux gardé de nos secrets.
On trouve dans
Anima
de miel. Noms disons encore A oestre soûl, cerises soûl
le ea
sois; dOtpslablc banqueroutedfcnt
naie des un
cràtule «st la dupe! Demain
dont l'ange
-^ôttos.) •
Le proverbe est tort ancien. Bhne
q*e te
dais, etc.; les antns pensent qu'il a été fbnné par contraction
de axte noctem (avant la. nuit) mais ces étynxdogies sont jus-
tement révoquéesen doute il_est évidentque ami* est dérivé
fan qui signi-
fie jour. En faâ est une-expression qui se trouvé dans nos plus
anciens Unes, notamment dans le Roman de Bat, par Robert
Wsct\ Robert d'Artois disait aux Flamands qu'il conduisait
Nous ornons encore en fcw de ces bons vins de Saint-Omer. s
p- 43*.).
Celle phrase est dans la Chronique publiée par M. Sauvage,
valent un
ParœqtJeiorbqu'ondùménageontrouTetoujoiirsqii'onatrop
roe
malgré vous etceux qui sont plus puissants que ïobs. Dan,.
dont ou damp est un
se
employé!» dans l'Écriture sainte pour signifier se défaire des
inclinationsde la. nature corrompue. Elle est fondée sur la cou-
fume d« revêtir te néophite de nouveaux habits? Toas le myî.
liws anciensprescrivaient de dépouiller le vieil homme h l'entrée
dit sanctuaire;
On ne $e dépouille pas uni à fait du vieil homme.
On ne se dvfailjns entièrement des penchants vitieux qu'on
e cii'tiinitiw depuis longtemps on en conserve toujours quel-
que «aie enpMsani d"une vie mondaineà une vie pieuse. Ainsi
Radid, quittantla maison paternelle pour suivre Jacob dansla
sainte demeure des patriarches, emportait secrètement ses téra-
pfnm, idoles qu'elle avait adorées dans son enfance.
H ne foui pat je dépouiller, ou avant de
deceluiquidonne
sonbienavantsa mon.Qwm
dato.sm/o
Ces proverbe» ont été inspirés
sont que trop justifiés par l'ingratitude des bériliera souvent
« nance
pompes de quoyil n'aplus que
• faite, il doit en egttenwef voloatters ceux à qat par ordon-
naiurstic cela doit appartenir. >
•
comme un dératé.
sur
la'
ersojsiH* |*piiaireque fes^neiiieurs coureurs ont dû leur agi-
par des
celle recette par une abstinence de tonte grasse on
manquer.
je le prie de iwraer mes désirs aux seuls biens
o» tpù
beaucoup.
parum httbet
pieute rendre riefae Pithoclès? écrivait Éptcure à son
dieidere, diviser.
les babils mi-partis de deux couleurs, comme ceux des tche-
vins de quelques villes, tee livrées, lés aimoirieaet plusieurs
autres choses qui distinguaient lespersonnes et marquaient leur
dignité.
C'est la quelqueagrément
à h figure la moins jolie. La raison de cette expression est une
énigme dont le mot se trouve dans ce proverbe: Le diable était
.èâm Le temps de la jeunesse du diable est
celui où il était au rang des anges du ciel d'où iffat banni et
pTwjpîié dans des» rébellion.
nées,
disait-on,
par
des
spectres.
Saint
Louis
donna
ce
château
le diable et le
une lutte dans laquelle celui-ci, n'osant attaquer de front son
^adversaire, sans le_il
Le mitron qui «ire le diable par la queoe est
malheur
on symbole
et
quoi vivre.
On connaît cette phraseoriginale que
sa Lucrèce Bargia,
fout que la queue du diablelui soit soudées-, chevillée et vis-
sée à l'échiné d'une manière bien triomphante, pour qu'il
c résiste à l'innombrable multitude de gens qui la tirent per-
à Platée
en Béotié.
La dispute du Jupiter et de Junon est une allégorie de la
lutte du principe igné représenté par ce dieu, et principe
du
humide représenté par cettedéesse.Lorsque ces deux princi-
pes, ne se tempérant pas l'un par l'autre, ont rompu l'har-
monie qui
dans les régions La domination du premier
produit une sécheresse brûlante, et celle du second amène des
torrents de pluie. Ce dernier accident survint sans doute dans
la Béoite qui fut inondée, ainsi que l'indiquele séjour de Junon
sur le Cythfron et lorsque la terre dégagée des eaux eut
reparu, on dit que la sérénité rendue à l'aîr par te calme était
.l'effet de, la réconciliationdes deux divinités, comme le
vais temps avait éte l'effet de' leur division.
mau-
Après cette explication, il est presque superflu d'ajouter que
Jupiter qui triomphe du courroux do Junon, ou, suivantl'es-
le principeigné qui se montra'plus fort
que te principe humide. est le diable qui bat ta femme. qui
l'emporte; sur sa femme, tandis. que le même dieu qui fait la,
e
Boa; de la slalue, dont il est l'auteur ou ic jière, eu diable
qui titane mfiik. On sait que Jupiter a reçu le nom de diable
et de çmtul diable dans le tangagedes ctirétiens.
U~. îfcilîchs
se servent du dicton le nozze del diavoto, te*
-^mms^du-tlhéle, <pmnr marquer cette" coïncidentedu s«il«il et
de la pluie tbna ralroosplicre qui lenti.à repremln; sa sérénité.
FaiTe le uui&le à ifiwire.
C'est Êwe beaucoup de bruit ou cie désordre, s'emportera
Dans l'enfance du théâtre français,où l'on jouait ks-sâiots,
nait aux grandes fêtes et dans les cimetières des églises. Ilétait-'
li y a
la religion:
un ancien recueil de Diablerie*,qui a été publié [«l'-
un noinmé Brigadier. C'est
i rareté donne aujourd'hui beaucoup de prix.
au de
Le diable devenu vieux se fil ermite.
On voit dans fatigurs de
li-nr iiic-chanccu- y ont renoncé en vieillissant |K>ur cmbnis-
monastique. Par exempte, le diable Puck «st rnltv
l» vïetRsAwinoé»(ayantlesrailleries
De*amanteéchappes à sesgalanteries
IVvoleparJcpil,dansun mystiquelieu
faitdes sacrificeà Dieu.
Martyr du diaiife.
1 Celteexpressionautrefois darts
livré
unsermonlatin deJeanGerma,puurttûûgnerun homme
à Yenwnellement des
ou de «kaotioa
aUacbet ans contrats de sente
l'usage
mis aux
De
nous «aw»u
tatd atait dit U> même mut en parlant 'de Henri Il, père dit-
diabolo
rirhl H» diable ettotéinblt il retournera. ().
sV-
Hit; il
ter.
un nomme fort et
disgrâces, est fondée sur une vieilleopinion
populaire goi attribuait au diaasant pbnkuis «Mus qu'il n'a
point, et parioaliénsMat celte de réunit*à t'acUoo dvnur-
épum
Lorsque la froidure 'inhumaine
De leur \erl ornement dépouille les fore»,
Sous une neige
Et fa oéan a pour eux la chaleur 4e la laine.
Dieu vmt bénisse!
s
pmtiilon établie à demeure fixe dans l'esprit humain dominé
toujours par elfe, soit aon insu, soit de sonconsentement, soit
mafgré kit, par l'énftemîsé des passions dont elle est insépara-
«>te. la superstition, due ce cas, a été favorisée par des fégtsla-;
teitts qui n'y ont rien vn qoe d'honnêtes Témoin ce précepte
abrégé du Zend-Avesta de Zoroastre «VaAhuno-
totsque tu
ai donné Hea cfaes
plusieurs peuples, soit anciens,soit modernes.Les Égyptiens,
sur un char dans les rues pour recevoir les félicitations de ses "x
âc où éme.
QtA don
• Celte fesoa déparier, dit
fon
Moisamt de Brieux, cet tirée de
enseigne que i« tivsuneil tient lieu
gager la loisir de les otite, sans la sur.
rien. On peut dire d'eux, avec Sjterne, qde leur tfite creuse est
Le philosophe espèce
l'apostrophe suivante,rapportée par Àulu-Gette scier atque
Au
quee dicta? Quidm, htmo inepte, ut iptod
ooiuequarû, tact*? •
Si toc* esprit veut cacher
'la belles choses qu'il peswe,.
Dis-moi, qui peut l'empêcher
De le serrîr du (Matmrd.)
_le, explique très
bien "comment des gens qui pour eux_,
Spéton-Spéroni, écrivain italien du xvi*
ron appliquâtplunnment
&UMW-
de i an aénatear dont le pète mit âé
£}*»
€
lier»; étant préBuméi
saient, et feor 'parier à l'oreille. »
• <fa'ils fe«ori-
de l'naage de
une victoire qui ce iai araft co«è qne le petit doigt d'an
fl n'y
luiqaiMMMeitdaiiaé. "
dw At, -1»
Gtaétalf! de cette penafedeSénègae Jîù <faf fd
est dl dotmar couMM-bmivowiiiaM-iMtMir»*3e boa casur, •
hli. ix.)
dame.
Pittmm douât
somma.
ut jxittim* ncqmt, il
Dormir
doum tat
le
à faire dm-
On ne
Italiens disent AroeM^m ¡ce.. boxa
mxro,
qu'avec Ai timdgn.•
tétûott-tei.
Owrf «fatite» «e –7
/aw;«pài«wite«y «f
o«ia»
qui ae trouve liés bien traduit daas cette
phrwe do Powm, peur te dimanehe de
te-
Mieot à hoanaur d'avoir fût sons Fhut-
«ois t", et «pii mol que leur
bannièreavait été diif-
Ce qui est mauvais pour l'un est bon pour l'antre. Le verbe
étbe,
lait,
•
proverbe employé la trop grande
vite,
ment est «uni
de Uemper le vin,
Voici une application plaisante de l'expression proverbiale,
lieux personnes disputaientun jour chaudement sur ce vers où
il est parlé de» Romains
et tes larme» da monde.
L'une d'elles soutenait qu'il était fort beau, et à chaque expli-
les àCécho. Il
cùnfonne à
la nature de l'écho.
Les Grecs exprimaient encore l'avantage de ne point se mêler
aux agitations populaires par ee proverbe
ceux qui dorment; car ils croyaient que le eotps de l'homme,
Les
les calvinistes,
dont en ne lalétalt pas les écoles, en avalent de clandestines
qui se tenaient dans .les haïtien» «les bois.
tioïîs se fondent également sur nu aitetda S août 4552,, par
lequel le parlement défendit tout enseignement que le diantre
tle Paris n'aurait pas autorité, et les écoles
buiuowiiira. Mais l'expression que
buissons?
courir les champs et chercher des nids dans
Écossais.
habitants à l'humilité, et cependant les Écossais sont de tous
Les
« alios tenmm tmtm
paroles s'envoient, et tes écrits restent.
Vezba notant et teripta maaent. Ce proverbe a deux sens
le premier eit qu'en affairesil faut traiter paï écrit, et non ver-
bakoidnl, ce qu'on exprime encore par cette phrase burlesque:
Le* egeu tout du mâles, et Ut parolettout des femelles; c'est-à-
dire les effiets ont plus de force qué les paroles.
Leseooàd sens est qu'on ne saurait être assez prudent quand
on écrit quelque chose, parce qu'un écrit venant à tomber en-
tre tes
On «tri que
de
de
quoi Je faire pendre.
désagréments ou des persécutions.
Richelieu soutenait qu'il D'avait lié-
FaHoMirto.aKfaCTêgtteitefiiiiirtTl.qriftittrttÉfoèiiwface
me
•
On lit dus
ce. joli passage « cent fois dit n'écrire*
hasard en
c détournera une de son adresse. Le
« cas po«ibiesi «t ïi
ne lui batque du temps pour amener
« la cronoi filiale.»
Les Iiàlietisontt» pnnerbe
geei
gtrâ
n'avaient qu'une assiette commune; ce qui s'appelait m?n*
|u e au figuré, s'employa pour marquer aocointanœ,
[ifouvenl ces deux vers d'un fabliau où tt
est parlé d'un onde
il ttclik2 que
avec «a nièce
chascun joor
paraître asset
étrange. Il tml se
se
&M8 fintÉmùr.
Jasa*
tx&MAM*.
C'est cogérer^une cix«e pour lai donner
ea usage ebéc
trame
c'est poar oefa qwe lè**lk«nàn le même sens
fin' recèdes",
da trois Atfdral~
comme
médecin,
«or aoo ait «( av h phyiigne. '
pbqae à' peu. prt» dam le mime «en» que- Il s'ap-
Il y a dés on
moine échangeâtles paroles
comme » principe et les
conséquence du
dicton
Diabolos.
prier JDitn,
Pacome, pemt-w
^^Ei6»reu«««neWeilairiiw«!
Ce qui monta es îaw, IKea le pnone
par
•
du oc d'en Eure:
le'.
bronze. » »
c iMHvfe, disait
Chamfort; il'fiuit
brùeoaae" que se
le- des
dtfux nouons. 'Le sacrincatenr tuait" un cochon sur l'autel, en le
mppint avec une pierre, et il disait Que
deviennentlégers pour
Utomineaiméde patienceet de résignation, commele sentent
ceux d'un marteau de plume sur une
du
solide.
»
«a» tèt châtelain en avait-il quelquefoispots de cinquante à
»on service. Ces jeunes gens remplissaient l'office de domes-
«iqœuMpre» de leurs maîtres et de leurs maîtresses. Us tes tes
ajouter tant de traits
« semble qu'elfe a
« commencé-que pour y mettre la dernière main, néanmoins
nous ne sommes jamais (ont i fiât famés. la y a toujotns
« quelquechose es
quoi les fiublat» «t les aentinenu de l'enfimce »'éteadenl
« toujours bien avant,
u garde, dans toute la
« suite de la vie. » (Bostuet.)
pris d'abord.
whu II faut
LTxclrtiasiique dit a
• car sa malice est comme ta rouille qui revient toujours au
<f cuivre. Quoiqu'il s'humilie et qu'il aille tout courbé, soyez
vigilant et clonnez>vous de garde de lui. Non credaa inimjco
eou-'
rajft^qi ia ealoît dejeetet failly et n'y a maUeur remède de_
victoire» é»é tûQn» des naine des vajnqueurepar les vain-
de
ses lois, avait raxwnmand£ amf Spartiates de ne pocusoin»
l'enBenii qâ'antant qall le fàBsit pour assunr la victoire, et
dans
le baudrier qu'il «ait
tes» d'Ajax. Celle tradition est rappelée
Ime de VÊttékk, lorsqu'il suppose que Bidon se
se donner la mort..
fit n'y a point de petit ememi.
0 ne bat s'exposer i l'inimitié de personne, car celui-là
mime qui puait Je moine eu eut de noire peut faire beaucoup
de mal, en » vengeant. -la Grecs, asaieai tin proverbe cor-
respondant paseé dans la langue latine en ces termes: lue* et
qu'une
parer la
gens» enife
jugement contradictoire, il était inutile d'entendre les deux
fautes Ou.. diakni-ite» ou son dire, ou
il ne Ta pas fwpuvé. S'il l'a promé, tout est dit. et k partie
doit «de condamnée; s'il ne l'a il a tort,
dit h'auinx maigrit de CméompovU rflatnd.
Panne.
Pbilippe Gamter, dans son
en 1613, a •
mit pour fiait:
ce qu'il voudra»
l'autre,
obtenir unegiandé intime,
sens
toi
Pasqoîer, dans ses Aee&ondkes(Iiv. vin, cfa.4V),la donné
richeou
lui et voohBS
richesseen
Iuy. Duquel dire apprisse
joueursde flux. 11advintqu'unquidam,en se riant, dtst
qu'ilavaitdeuxasensonjea, et lesexhibantsurla table fut
irouvéquec'estoïentdeuxvarieis,chacundesquels,comme
l'onsçait porteâmeusitésurtaptmU quoiayantappresté
meotqu'il tapante,
et pkque,aunasdessusl'espaute dequel
pourEurecognotstre
représentepasunas parquojr,si nousvoulonsrapporterce
coQuatto proverbe estredit
qu'autrement
avec
il semble
a*oiresté populaire.»
C'ett pro-
bableowwi de d'après
mettaitsurtee même,
pourmarquerqu'il le tenaittonssa dépendance
absolue.Cet
osage,dontles tempsféodauxoffrentplusd'unexemple,était
est en rapport,
par
désuets 145, 718 et 781). Des auteurs latins L'ont aussi em-
ployée.
parlant à Argyrippe
portatu*
La
ail •
valeur supplée aux armes.
Tandem
si le-
Un
d'eux C'est pour
frapper l'ennemi de plus près. L'épée romaine, qui
ainsi dire dé
pour
de ses mouvements; au figuré, se vanter, se prévaloir de son
courage, de son cridït, de ses moyens de toute espèce. On a
prétendu qu'elle était tirée des anciens jugements de Dieupar
Ici ou blanchi
Mme
du crime imputé; mais elle est manifestement plus nouvelle,
de l'avoir entendu pour signi-
fier l'action de celui qui qui s'en
couvre pour ainsi dire tout entier et qui 'éblouit son adver-
..ne..
CesJÏ>oite_ânjant_decoups qu'il y a
plus de mode,
Oit*, amis, qu'on n'oublie
De l'unie
«erwent à
en faire des
pointe devant.
manifeste dés la
Vtmm» materné méMiu§ pettifera tunt,
Les An-
»•
m M
PMMfuethiMme p– mt, ta
.s<. mbbble
il
les peuple», même che» les sauvage»« qui entourent leur nez
de petites pfaqi»esde pour ae souvenir des engagements
«pi'its ont pria. B te peut aaati qu'elle
des débiteurs, qui devenaient es-
OU QWB. wRWffipQQvp
wadw ewaine
•wdtoww b» f«3^i*Mprit «w le dtamp <fe
»M
rtfflî-
ye y«tt fl^atefk^ la
dwH qaTJ pwnart <! tmMl
le M dmoier wpr. te dwae
la
ewm am il le et
ils se
La temps.
comme.
de alt oe fin
te
que
et
•. jijjl|B%;SjPBliqJlB^gl^WBW"WK:WJp^
de 111*. que ce
du DIOBO0BMGS de MflFVUt*
« On sénébpidé œ BM««K»ai un
locn-
^w»<peMsUfti»«-mii8«awgae, lofsqaH a cbardiéè b Cure
Le bonheur
•»< pg*œ
CgweifwyMMMtfrwM.
beMKOopdauutsoom^esde «mue
de
4mM «pli signifie te Gûl Tenir de
7
0a
jwnipB 4 difëteocè
• m»,
et,
petitewes, comme
«tnt<
toOuence «tteâueel bœ-
«
lu Porae,-
«t
«
«raà pas monté sor
exception.
èens<]in
ne le croie point coupable, et 9 latee lés.
ékeoim, et
Ce* «ne
tirée du ppeftao.
peut même
J
Wûler
signifier
çt*a y de la diffiûrtMe éotte de» dxwes de oa
et comme »«»
js«te qui h i#mil 4m étmm 4»
et
je
Fait ce qm ébM>mm ee tfmje jfà».
ptowarfee,qm'ai»
Ce HffOtt èmUttçûmtâ'm ptéàkatew
auquel on
s» docîriw, oi|i6eaio«<lini «• paro*»
de. l'iêiHUiapte «la» «tww. ituiuai 4& nai. >«i 3) Saper CI!
/tt.ï*i pu M f»"ii»/c«»l; cor il* <b*«M « tpiil faut fan* & nI' le
«M^^a ^m^ B»
amie
ym» pfowrbefrançais
gel, ie rac.
qu'on «mploie ea parfont
Le (tittiiAawe.
de ne
le
joie
qu
p»
tmfemme **t
C"«st>*è-<iii«! imijwn. t»il»K
7
Ce venu
noaiîue* foi
__ëc»attë pr la <fams «i'mw sttr ce torolieaa..
SJ h femme êmi mari ptéte
kabttmeM complet et me cmnmm mec âne 1:.
«l gêit D" eu
fefcaadK eo Beaujotm jnûMueMd'twfMwl ptinl%e'i^ù
Oo le pas-
«âge «omtM t C41de-foide frapper ta dam et de la battre.
<t gna, si*
elle te déplsli, ta peux ta qalner. »
A ce
Bordenu, arn Bwri aecosé è'tmit tuémtemmmm-
ta toute défense: Je sois bie»
acbé d'arwwf "ta* *i»» femme; tuais c'est ta imle, car aie roV
d^nUUsdâflillI- ElÛS
m se retirer tnmpàtkmmi., porc»-
de
/' •
iwaaiocw qu'ib
*ww* «Imansurto
faite joli pr
bora8 aîeut
v
b Im iwfewe <pi
rt de poéâe «
fomw, pw wftae «weuaeIlewr»
{Vaseth
i»
*a* Stiet, eu» mm teffktémm, pwte d'oa
mua ce
opiiMOi»«ii»fldi6«. le pfa» «âgé «t de croire 4« en 00-
tapas wnt tçjdanait dit très Ken
II lio«6i%!ne, d'accuser wo se^e que 4'excuaer Taotié.
T«mij« pémmdé et femme muée f
•
*ii»««w *wcte. «b«, •#. 'Mtmnfmi
fc«we«^if ii i i fc
m
ôûo. tentée
affluer."•
la
imam do
twiwe
•
« 60».
°
maie, à
«n
yu
ma»; elles
d'édttrpe» M de &wtw», remplir le rtle qo'dfc»
cfeeyal cawcobM à
1»
laoem-
chewfcrie d-
.dl-
rt*f d'mi.
tonaM»4ffBBW.'
yi 4«e teifat b
le caquet:
appela danb pro>
«aa»kagQe,jaattdainatUtaa«o(r;oeqQidoanatieaatidis.
boatraîa,
m jour»
GD pnfose <fe
snr l'usage de damer suite, te kadearâ, «a rfiwTwimri
dnaient de "*«
i
On dit «an
tim.
HreutmUe «eyM^Sni; à «e
m
on- me et me
t
Hroniiri- dnnnuirnT If muni iVi Oiffîjiifii cette
«tpèw de gens «toi, uni en a|aat l'air de éu« beaucoup,
Umi sbiolatnem rien. Soétooe oot» apprend que Tibère Tut
ne
appelé aioti p»«e apré» trojr fet de grand»
de. » oyage, powalW wila h» prie-
des
«mwtw». CaJIipide éttil tm îîirtrioo doo» te talent .eon»-
avec Ht opidàé
tradîtkw de «rtte de pfampèdea'cit commée
à
l'iamm mêdm. Oene les
qa'oolenit tapparéa,
fin parterre wrooBte au
ifeomHMlwatiM»
Îo un toit
disait Pkaie, comme si lion eOl imenogê le
leb
«knt Mie <-uir imwpj»o«tabte, te nonunaieal «nageur rfc
hamac
/«»* ta fflém»dêMN»inàtîoo «tw*e<fans tepaMisdadénme-
mtnt de fAttrimm, oo aa
wiai qjwî liîi pmetmt d"imbécillité ow cl'cttfaTagancc.
les jages;
tiopîlitde. Ceal aniM qa'oa dît eflewe: tftliw MMK mwsi Mo*
lm pvmasnem peiaeiitq» le
dw» bydfe
De fmm, •rftâ h iMMlé
coroie la ope
d-'&ère de Robert Go»-
=de ct'Gtnlhane IV, (omit
qui, dan» l'épopée cfanale-
no» Vfbo géant
lï«»lée JÛ
Ce
^pr3ajp mHBbj^ib
>lbot deb
On tnww
môme
nommé
ao»p»^dtdebrerôeO^I^lfca^e.E»eaélérOTM>^e^l^Ml^
dote daot te (ftogue l'époqjae où lu coo&èresde
b fanion tepémâmm*h Kguèm éMmmitwm leur mttue.
conMoéitoeftuas ovfragBsdfs- .4
on
Mbûs l'ui finut toit au
Qmam&hfilkmmariéetvim*eai(k*gemért*.
Beuwl d» HiMlMfeaa se
fl t'op
d'où
Il »^ie "w»")
fcée «dear.
nuiiwirnwliiiyll y «witdM» ce pays.
et
dTaw flear. Ainsi cwttr
belles
mw |« te plus
<*»*«*P««* I* «• ?
note étaient awlbo-
rthmmé*
femme, doot
,ns«e p» b ^utttérie
mil sacré.
^<t-
0 fojail J'eau. comme te de nipére, au.-
fartxm'at»ieên{s:fièç*raàoiàm.
-le
rfde » Birarl «ne roule de soim qui lie loi bwent aman
.««pas, de MMe
^tnble
.paqoe
fie, êxm«eue ocàrpwk» cominodle,
mainte que -fmànt de «es richesses; et
wojoa» il derien» tel
il
efit, les
«««t aja'nne «mtte
iWf)fikàtm$t*.
culbute.
Oa ponw à ton qttt k root Mteakiim mot imfwoftre
4»i. h» mmum «t »
flrliiiïiiii, enne
-"
Il II faut avilir in pwi ife 'folie, n'ai oe xcai avoir plus de ses-
<{u*oo ot fee de la folie «m-
" mooe. •
u
mi togtm
la mie coMMune
k>Rniosd*ORm«iJecio tabite: il
ma de
«<
û
ue ffiw» ont <OxBBÉDtffn<9 4tft istmpBptttfe oft nifciEB#
»
tkn fias; irais ce rire est fi**?»
eïimtç un
et tH-ûtn tl j
,»• priant
mmi {&*?_
la
• peça de s» éumr l'a" winhi plm (m f*t wtur de Bësim, -C'en
m
'" tV««w
-;
*•«• *fc «*<vrit,
paye.
Si'
& Dan» <w «•««»»* il «ïMHiiwl baètto- BêiiefS,
#«re
car
Fou qui te luit passe
Cuus rwini* rient encore daïantigt.%
îfeaWriienll'un l'autrt à la joie.
pourtant.
Stmlim* qmtxpte* fuuerit mpieiu reputoiàm, ttùtempreuerii
mst pes..
le trajjrt
><w fc railbit d'aâèder,enmttt&ant «a peine, une
pllrtf^
«île, i) f^andit qu'il vmlalt que ceb fM ainsi, et qu'il liait.
Um méim de M de là, dit-on,
Ou pe«t «le raison,
cetKt-d Ckmam
VBAHÇâB.-
ta
d'ubiearilé,grïce à lliearataesîmplîdlé de
sa coaunfciMm qui, cwnfomuMH{M«aque dit M. Alkm,
se
qu'on
aaWîr «en axiome de grunaiaiic que « qn «*«t pas ttak
cumc de ab pim doute qa'oBeagfer
dirr que l"uoiqt>e boane foi cc« la cfarté. lÉûsil bat olnemr
!Sro*gae ne tk alor»
que OMMcnr l'amp de* dans
tt» mrnmm», poli. la plut fidèle «
")*»• «ww
,de anw d'an «on
fenwnpier que cette do»»
de tabngoe,
Le femcolio, etper»
IJftwcwWaéiMtBiiwwtdtpm,
Ea NbotidMMSM m Mit» «gt;
Il cbevenx.
uâ.
*»nle de f JCK:r»«i Cmm pnopinqui* amkîtïûmuasmra ipta ptpmt.
m Howiâ/M mbtiftmkmim. (8e Amkilàï. cap,
On votii que U»o«<é neéoïi pas avoir eu beancoop (tepe»»»-
<y » le
m.
Cmé^tt un appétit dâKMfdooné» une faim dévorante.
peuple de dire/nww pmufaêm a dbagé
jafc. QBiMttà
et vient
constances et parT^.
ch. vu, rapporte
celte expression qa'il explique en disant d'aprèsAristole, que
quand m souffle la bouche ouverte, on eshate on air intérieur
qui est chaud, et que quand on os m
Éa générai, •!
Itafiem dtent: JVra ùgriio. mdaltspocKegB
J»w. 0» w aitjammt
dans
ur,re
fôyèoe es gynntme prwluiiepar usse tibnte du même nom.
CAiia*. eau galère?
Ce proverbe dont on, tant rappSicnûon à un homme qm s'eù.
tmktrqatdam me mtnami*eaffaire, doit son origine à une scùne
de$ Stmfta, où le vieus (arenie, apprenant que
tetn kfamkne» mmm 4sm une il «e
j»:w: »u»tîr qu'eh dbooani cinq cents écus qu'il le prie de lut
et
â*«uî la t»K«ne miuationque Cnêrontc, et obtîgâ de compter w»i
de «on lîisT-drt-aassià pluâkui»reprisas
Que d«»Afe aller faire dam la goitre <fu» rare? Mais rimitafiuo
«f fei«a «féri*tt«fï
-
M l'esprit de Cjrân© de Bet-
i«w*C- le refrain auquel retiennent toujours les 'deux
t't-at k génie |'a rendu comique, et eua
a &mi un ptottrtte qu'on n'oubliera jamais.
ditoire, et donna Iiea «mt discours em-
est
le
Ja dictai
l»queilec£t auteur a eu pro-
we d'imiter et de dire ressortir l'inextricable
la
&.)
bbnw de» beUe-nière,
Voltaireune pièce de tende la &«oo d'un
-y
r
noouné M. de Gatî. II ne manque à cet ouvrage
quitta ieot mot s*écm4-il c'est celai de MatMat, qu'il faut
ffacer fauteur..
VoJtoire ataii pour exprimer cér-
Uiatt «flotkite yaiiing du ga/wnafAâu, qu'on »roùre quelquafoi»
présent it
fiivetn
un Je se» pahl» pu«« qu'il
cumie M
|»0t accotdcr à un bonune qu'elk
donner s» ganb. Élisabelb. reine-
fil
Je pettâtt Mit son elnpeau
Aar«Me1'a<'<(MgnetDÏC«altïeraiCtt^aâO«- qui
s'est proposé une
*« looopbte, soit
«
en politique, soit en poésie, suit dans les ans,
.ont-ib tons été méfancoliques?» (PnU., «et.
d'Anbocte, dit
msmle» intertttdii pcopledam ceux du roi, et les intérêts do
roi danseras du peuple.
Être monté comme m «tint George.
tin monté sur un die»! fort boa ou fort beau. -.Saint
Minua rasage de
I .«lite tonuJnc, roooié »or un cfaenl de bataille, anaé de
d'invoquer
foi.
donné à une est venô de
ce «p»e les habitants de celte province, en combattant les infi-
arappelk
qui ils atatenl aoe con&mce
particulière.
dernier Sût dans tes vers suivants, extraits
ce de son
nom rîotitttté lA mappemonde.
Etmih mm Gmtftn,
»
coup de
de
boojtoe,
in»-
de mon
cette vue, il
wrtonfïbet. ACinsum, «mocnir oebat ptosq^edejoie;il
Un* hs yeat «oôd, «»'faie: Bien soit béni! jasa» dans uo
le.
comme
la.
« quelleil fut condamné.
Cette tradition sur le gibet de Monl&ucon rappelle celle des
tata dta niait- par ttb ™^™^ qn'ib ne MUt ms des Gilltt*
C«tf, maajearo,- oe qaeje né propose de vous finie wnr dans
mon dSfGmns, dont vâq tmt le pU
h Forêt n»p-
timk de ton Kefiam <liv. t, n.
6WAC.
C"«s?4^fîf* qn»»qw dw<« de suspect dont il faut se denct.
appartements du Locnrae,chcfcbait
les
petmtmes qui étaient sorties avant hù, dans l'espérance qu'il
pomnait te retrocwrchez
jprc Ah!
nai! en puisqu'il y « du gnac, mon
imaUau m a fut allusion à ce trait dans le
wbw sȕ*antr
(SM. «-J
lé a été
JI. eu e» emche*.
imm» de Godant, que te peuple aujourd'huidonne spé-
ciakoenfau àôn d'une femme en couches, signiiïait autrefois
qui enfin* îfent de oalbe^ c'est
désigne
6 viande donne aux
d'one telle
d*uoe dM»c
comédie
de rfnl, lersjw'ife sjouienlfoi i denx fripons de iratets
Vemàet a» un bon
Amtnal de ta
Le mirent enit
goutte
Mm ex mn vîmx mot qui
ft c*«iM
remède
goutte.
Oridé'a dit faupéroecttoae dam. ce
cto«« de cel»
emjeaam,
contre la goutte.
«t:
. r-
cet- la
(«ociwoB; tooiet aooepiïow ooolbfTD» à celtes ^w
c"«m
les.
penser ainsi,
(jsje'le boa génie Il la bonne fortune furent toojoan ado»
t»d ftié>8topcabte.Ce» déna dWiniiét recelaient fea mentes
bonoeiinv è fkwae, dam wi tétnpte du Caoitole,,dontfeîas
plu&beuu
pbocjttt;Onde ce
kw» dipribi b*
*faï*. e»
mm^<i*mpt<ti$m*mi l&amrm, etc.
pour h génie,«le.
èm
t*«i mûm yi jmas «ppigndqqeyid «gnifie tobonne
..*•
OMiKjor <}oi {«ni leSIde toi Wm «
«k Picn« tiaaaaitoeé de Conliago. Cet unnUe
j. W.^ Jt _»*_ j_
car non» n'y «xewto» rien- Cette locuttoa » •*» doute (iié
Le avant
loi.fniencgê par Jacqoe» f* sur ce qu il pemait d'un amfns-
SMlear.fiaaçitt,boœme fort grand,a qui ce roi
(Kgntlier, (ri-
pu
ptmwjiw
mm
on Ixwnœ
pour désigner, au
fur. Le (îeuple,
thaittlief' est
f^nni gnjBJHT ufiW|i iitWMie, entame qmb k ivincfun saivant
aatu-
tinte,
panel
ta Rehaim de Centrée de
..
Pans
Uom, en de la Tille
On dit comme m
a pour
h gui de àvim-.
M vimmm *«k<m» ffrwSém ntniort mttttmt. (Oriat.}
n
ou de uara»),
fa maihtm. à «aiae de. maiéikt.» aiinfao^s par tasuperstition
celle Bswière de regtrdcr, qui l'envie.
«orr,T.»»og.– Ça^rir-ie gmUakm.
pnle, de uni temps pnttquéi dans le» portes de» ¥»Iks, sous
en
de M
C«at a» penaéet,
««rffiMil
Il
iu
parallmion
au
ht»- iaygifflm–
nous tliittn^km.
»fct iij i." ~_ï «v^ _j»t– . >
«mé)£
fjfo imiiii c(
mérite d'être fort plaisante, à elfe n'a pas cetai d'être mie.
ne concernait pas son petit négoce, ait
aniaae de
aucune
rzz espèœ de noûon sur la poésk. 11 s'adiesn à un maille décote
«pi n'en savait guère danantage,et lai demanda quelles étaient
antérieur à la
tbae d* un fait que toid. Nos
suivies d'un
parut pins utrd un en exigeant
«S*««- et
«â*iricméet qui étaient admae» d'apte te premier' prtiapeT":
te«ww pt^mbw» d-'jpréi te aecond, et dits derinrent des-lon te
__U
w
jfmwmH
irotrnm, dans
seul, de
wgat Wrt, rtpaadit is dnc, vow y
ntaie temps il rf^t>rha un collier d'or
<jtfl
tomber. Ea eflet,
à
en
de b jostio» i ttkjeaCe,
eoowcuoe«ncnt. Htrà est un dénié Ai
est le mtoe
a bit croirei
On,Iroutedans
du lempsde la répo-
btap?. -iL.. pbiue poWiqae
OCôar"
avaitâé profit?.
i ta
ojé«»equandil l'oo Ooo-
eri£tnts qui
fa «n-
Mu*-
<m
cet planta comme
le %aitit qtt'diet pmwaieix >"
m»
" incendies des ifnaléfice». t»»»
poîiii d'eflfcmis en
pmumi
Tmit, \frr tv,e, .3, « lit. v c. 3; 1~ Jfluber»,
n^^Xesa»^U«iiï^tteat£»âisn-eenetâniéiiioQn-
allier à l'étape tu.
.uattiral'eHitkede) imités mfeBedadks; oroaMiemae
»
«
wsie, dit-il, «eue hanetwgoMnnMide du
«««ta de ponner mec vigueur, et Njproduïsi de soc cOlé
«"«waniK du»
«•«ne. te preraieir-.il les laits de Phtoa d'avoir fownii
la
• itffMirrff' héritier m jot&t pu de»
qui jouit.. un
h aante yrowte da ifé mmi la.ioiûûn ttm» mort, nuju*
#*a*rpttéiwm.
le.
« an monde
ment de
(M. de L*«*»tim.1
n tt malheur.
rpi* fc? _ni décide
£*(«» ««aient un |«vnrbe seutbbbk, qu'Am^rota uwiliKtt
din» mm Traité ék
de ce fmmrbe, qni aitritme tout au swnt
m. hmm
J'f tienla pmieoce. Cependant il est mi de-ditV--
éy f*iaoq to.roa,ia^ est déiîiut et
b fcfîwwe sembk se moquer d'elle en donnant des résultai
S): i*« m «ou
ht
« Vbmr e4 le
^< futtssuwBt-
le. le fris ée
malfaetur sont à
a
Im
qu'il aeot
comme
âs»t AnduâlbèMs, le mourir beoietoeroent, qni fait 11m-
(( Fg»i *»£».)
'Les bo«uw«rt ckamgent le* metwn.
Marnera muiamt mont tg tnm sape m nuihra.
Plul»qoe < rie 81) rjpporle que ce proverbe
>i»t <*«» qui. d'un
doux H comfùùssautt, devint. pendant sadic-
auquel
ïldtMtna on-
que k» heftofB».
a sna pins les
Ccprorabeestime phrase retournée de Sénèqw, quâ a dit
Apactfagoînune, en {arfant de la mort de Tempe-
du
apprendre l'hejiie ptécise de
philcsopl»»
taUm éktK:fatitim
4.
m*
nsirè dans on
en G^mnadan*, apnX **o»r abdiqué l'empire»
atait ttmij«>un sur «a laWe une irenlaioe d'hodogesde poche,
foire marquerla même
à
lK ,iè
une
Oaufe,, (taux axait ton^ar*-eu un goâi Uvtptammtê pour l'hoir
«r^-M 4MHt «lo'i» «JiÈ*»pôn»rtde powoiir
f<nii »jf«rii»l «ouinsïbt >(uVu lui »#r»»0l
awc
quenttdjiaaès des voijgaua haies,
fans
et On
oo-
fierait en
fennaaiawc prédpitatioo fa bocfaeoo le pétrin. Ge
«nu «but réputé w» saluture dans planeras
iatr
t- '•
piiiH îimntiott
adapta Une
i droite,-
fa i'« simple, qooîqae, «don t'aotetu du
xvCaièele. Ce dw-
ntampÊm
de
Dîcw
ce proverbe pair se
Il
nmanxB. f
grand incendie.
ne nul q»rme
Ce
m
|i»«rt«iw est \vn au coroiseau propre, et il D*im-
pimMÙn: garde à l'étincelle qui pent melbe
<ku vi 'L» cr(\d>c qui peut
wndWn le fc'« j sa n»b«»n.
twc»jâï, (it»li*j?T mu
ObH vcii J«-* tiï«"n£»îis «|ui ||orf>:nt d'un csjKjit
•nui-, ipiit
«in l»i<j»tfjïf ne (*->»i i-*rr f»rrtlu b«*-o-
tn-,nwr- "ui ei en supposant nvèm*
«gu'ill !'«"ln-, (i«" \aul-il |ia.<> mii.-ux «je»*
'c:;i.:j
A<k»icni«(Mii»(v«tal^nfeurqaej«Mtki-)
Me m pcutTOM. tmonamwii ocntenltr
x
Bw dm Mâcher, Unir, UMter, tenier
.SnnnUut ferais de wk
Sewiiw» |mk feotuMMe--UN
pnrt^ les'innon^nb
–lJ-
CeM« susiioeeM boum ou œauraûe s«iiv«o* leé ciroons-
eux* Mais icntrfftMNi* peuple» t'adoptent
ute»d*»t»att*, 4»dte.ootifop»oii«>tdcmaaï«aeffetapeu
4t0â«ai* du «al Mil demin, puât mtoiter
C*da»g«nawbT«dbJeaa«ProgT^d<r<mnrd'Anusrlrtn-
parrinU
.«wlt dtyatét tm toi poar 1 ÎMtmiw deie.acfc^ « et
le candie
jl
dmtefe»d,oa»d6i<F11».ap«Vi««t<}ael»«aani»d«
fol te due nmçm im &la si 1, &*]NP& «
à
iMmoale eot«tn ferai
de boules, dans
et Me. #.
yiitAiéÊâk
VbaauMh
^iwiK
1^ma
de
tejardm de quelqu'un.
p« â'ane chose qaH
ce
UB«m*k:
dm* te tanne»
ww iIim i«i»mw
son Toir dans l*ar-
qwa'at
"ëwwm:d» dîflfcite à
Ven-
qMfots n inqte au
pm,d»am
dén
"
des «fflett wrfnwatt, « lo edoto» qu'on doit
de
UU
y a .aae t.«sertÊ piw de
mot au,
an ptobkxmr
qui «MOMSleà wooKér Mois dM»
ittftti}*» coniroe tio» jeudis dans une sendinc, à-l'egaid de
la terre
4519,
Cda w»«,dece
Torteat, etlai
joins.
et- bien ces
développédus le passage an»
DouUe
b fin de la journée,
savait et
Elle fort
VI, sur la fin de
sa vie, le pfaîodKda nulbear de la coaditioa narnuBe qui i
de Ctêwbb
a Bila». jeunes Aqpeos, Swloo à Cbèsus oommr
Dwmsw- Bci«»nï Jet jeux ol«n>|»-
mc'mtmt: qmuiam
çmé.
F m Imtbm dixûtu, m htmme éketrtitr; ut
i Céder, m dite
comme il w» pbin. iM«, ûnpé«tif At
Braaroop déjuge-
UiigoiGe sim- t
que te trap grand de la premier». nuit
leurfa«wo te
« soi-même,oaa plastic
'ïwnlwni. tet
-€>« a
pille de la
twfltetidtf que le» nvsefeaitnt aucun srni>
main en jintîce afin de reijdredefeiiAMmiiJte,
q«'»B"«aîe«i toujours (inits1 à jurer trois 'Ibis (t!rf»t
tui'ung quand îl tkvaii tear profit et «p'ik
;«a.k**t Usas pleur ce m»i cataetfTistique de l'un ilVns
J'tmjiïnemk, main je m le purinâî* pat, fcis
proverbial d'être fins déterminés
jtotkx [
m mesurer
b £»««e ct «y«f,lorsqu'dfe n'a na)
êjgtttf au* tnoMdffalioni raisonnables qui doiTCnMcnipêrer la
tiçgnK-mt de b kg. »
tk (mite k
éaht im ttimém •
Motet que caie pensée est b synthèse
cet immortel poblicisie sur h compo-
ËmdfBiii'adeMtpoiMfopnitrMdieilw,
tant
et qui a bu sans
• mfn pesisonne l'ahuit le pète Labulte est bien connu même
« d>: qui ne l*a pas m et l'on se représente aisément sa figure.
« rïnu^inaiion Mpptâc i sa pcéwnoe. »
II jura
«k -(/Item- oppnnénti combien vaut
/yw^ AummIû* qu'il les «ml r&tuîfs par b fofce des armes,
drviai m odirns,
mol m$r pour cwn-
le'jaûrdêâôâiM
aniMimt qn'ro
i»I«s mnitv «(.• b
; m jj^ nui* que
lanM plus |mHnnW<, tanUM plus
ton» «le
tkc là cvs> iil«^ir«. (|itï mtvA imtt mentent ces eflbns qui noiK
chmtfriips «le plaisirs «ni «le
Ce
«k
«fce
Oi Amh lu eau. Btmt est
que de la tangue. •
Ce pttwarfce<M pis du bain Satku e*t equo UH qnàm K»~
Jt» p*n* giraed* msutx jpr leur
fwrf'ff finiJ; ,tf/IIItftI 90). La
«ktieiei qui (êebe par «t ntf cvMmte
-»-- J^–i– jL «bm», *^ï njUaa_^a*| *|£ fi«iaL
pw
b: omàet eor mh- JMmdier ceucr
CW –r de fa fVaUf^lr.
penunnz Q'ea comme ai l'on
da»ii »wiMi(pwe àe-kk. L*Uomou n'a pas bonis d'Atte aqpb-
qiMor ai we peut
du en bmgt»» «k fa*» »wr le» dtwjptodK JqBwvCbriiB,W jour de
ae «itaot yat de
\'<em m.
ém.tfmt
ttvmçet ImiiiIimiiiii d'apto
4'afMts le ww de
le 'mm ém pnmAm; ton- >
lépiff– e, il jr'iwBit«m» de
•
et
wnargent*»«t letleotcntsg«ô>Ue
quele prélataepomaà
se
pavait les et cen-ci
calnicr, oü ik bavaient riniieiTmfiiil, soit pour
l"»»Ç<e*i »«
(•«Min' des foncs afin de miens sonner, soit pour ae débwr
fiftt, o«! ,liat#, cbw Me «iens «meurs, pou n> ment diear:R«ia|
K«nf» qui a dii dam sein %logae
boire ounuuc
ce que le penffe
On iroawôaa»»
homme
la se du
agile
MttHwMTOwai ticliaw» de la paâno
dinde jmMV^BBBBBHBk
la cartes
si
toM*««MnMijtMi «ai ftt, m me mi*
w retKwnrotfcj
UmfimpmtmairéemxBemmàkfob.
fifewet é
m
si ne fawt p» pottfmû» dan agi»» i t» fois» (jWnwfeg
pu
fa/ça m'tmfmmd mou, dit un _le pitmtbe.
S fe» llàmi mMêmtjin
PU m'm
fTa'Hi on
>' nwfgniiw, se .pour
det'rtwiwpeai fa.
mm
dëûçatrAm pj^^
rapprfte an anôe»
l^w^ac,j«Ml puoMfi-iréiailne du» celle ville, soit parce
"qu'il
numais
limomadier. Celie esfémim |*m»ubùre wt vînai-
wmnctctit w huile i
qu'au
." •
Ce uis. ancien daits notre bi^we, Hé
jK»« le n*»ul)O«ksttrPons «le Ca|nJual
Juin Laden et
.(. -ma 4e.ma_mÉifi;je rentrerai «bas le- »riin
« *!«• I» fetne fflwtt nu.de » te 4 mais H!»3,
sa mort, anvtêe.
\msîut
mmmit* dans teqael il devait et qu'un'
C'était te en
eut Mikm d'une auiiim*
d^o^^aodUaloiroirîtogrand «afaOÈre.
lie
an homme
en de ce que ksx^fy-
(art «agir
Hwp
îl
h det»|4e de h GaacvMde, où Penîtnx i«$ul. la
pourpre.
piaisnit un
il drMBna nai^-tuft- aOT tilâtlta.
4j« tf/, ^rond! mal.
peu
v/
un attamslre mlutitable pour
w*fe» pu médiuiMr», est
INd«rotadit:«i,*lioinin«
Celle
cwwbort jadiobire
b coo-
IVHfadede«lots
du» leurs terres,
paître de»
ortte
ïiHWiatiap ne wraoaté pas ph»
«n»%s da de Grégoire VO
et las hauts
fwor
lève sur Voote>
de la inJâiîmefenneut
6wiik«n«eista ocwfniiww» et (bree l'épée
ma).
umMMJm Urraim wllmm, neïirt fliat ri a* Vrr>-
îwjicrj»- »«<ut»t-
Ixarr.
iju'mi «tannât <jat.
i<mra> w iimwa
un Iiobium» d"
Pu',
a un hsmvat: pour
j vk- Tournât «pa '« e( aaa.is ette s'af>-
i wc«n! i. à Il:
ff w. u cké û-«Ki Or ia obitr n
Le* Laits» «Œ-
. %ku'.
|jwrvj3i.ia.
m
k twi
une «ciia1»-' daa» b
de Ckéra»
fi,éoq!CO..
»rc.
cosaniaaie
.^oabfci-
!' -,f 'i»jr < •» vt*sj ns i ':a'«s*t- «te fe v«if*:ifc -tte job chw-
h Ku»-e; ûts
i- wafuœit au uu«C! •fit; h Weà tauui* «-mtt-
c wtdam >,«.ia*e t
• àu.uemi.1.
k» iiwteiu.
lxwqae m wu wi etfn ame
'y *fT
i« lanin» km ax ém tt
ptopramedfeAwr 4w« le
kémh dm ae toâsti» ici jwrJ&iww*«t net p* MWTiu.effet
J«(lt*«*fc
dmis
de il
ou
dam ïl une
ta
A
au
a
au,1
le et de
Ai- dit: Il
py», à «priMer km
rira sus,
JpCCTBm*BPg*
les jmn cromeml é» ma
jouis, aonûi ini fwr déroat«r tous les catcuk, le pipe Gtê-
uiw*
te swpfwimaut»ces dîï jouis dint l'atosée 4&S3, qui ne» fat
aïwi que 3&5, ce g«t b 6i i»nmB«ner fcpwtto wfe. Awwrt
CKiWt»wtfifei»wt.par faqadle l'année hr-
Taotiée iobiie, les jours dimitraùeatïwqu'aai orne.
&mnwe. dont la noii ««il la plue longue de toutes, comme
l'iaieae
Ce
te la
joli
Irae deroit
awtwfe» te terme
qui
fummwnaii l'aonée, sous
éttii «eaa
tî^ *i coirrect, a
daxaî «es joins» cha.rasoosf nm !il! tïoove tlar,a auniuo
haniM.ertlortk^iMâ^tte.tascnHiei.ilide.Je
ffam la dame, d» ce
T«nw burlesque
qui $*«fnpl«iië pour suppléer à un nom qa'on a oublié,, quanti
m me ttwt marquer aocume pour b personne
Le Roux dît qu'on traite de Iwtwnt un W-
un
f
«d «n roaiî trorapl.
Ix tact tomom a
Bi
mité m
1
i{ia*on
OE<mefa> patte d'anchef
«le flitmstiefs qui, *«nroé par les Esftigiiob de se lendte, ue
le Ut <n*"ap(ès awir wça l'aaairain» «kntneiaiiquar-
lier Itii et au% siens, et qw'oo ne kor ferait porter' ni p*ct»e
ai dtem*;c»c*iHa ainsi,, ajoute «lawlewr, que les Espagnols
-
Iwr vd.-Hhrif«e*n. (Gtrilletai de Pwdw» ta«r. In
ir, MMjlWt.f"
ma/ptîfttat 4
b
j^ôcc de asottisôt tgai se ïibii que moitié Il:- denier.
«to disaii atUneiiMsdans le mime sens,
ptroegaet» maille, au feu d'are rondccmnine
k» anUtisinoniaiat, atait une foemecurâ.
Awir MO& a partir mec qmtlq*'ii*.
A«i c'est awuir une maille à partager (iwt rir, tfrtîv-
•lui l»l«n fmiiri, stgnifibit portagjcT); 3a'%oiéf Coi
anwïr nwrl«|iïe dîKf«»d, p»it« qu'il n'apfxutïent qw% des {jeus
«-bkaagotsde ymalwif partager une amm plitg
fjmt»
te |»»wv«W qui Hait osiié dues les Grec» el cbetles latins,
w raadnt des ntwis
mats il s'emfloie dbnsuns«t»pifikiili«r, en f»r>
fauta de «faui, «ampêieit
l'un l'jtaift des Unis qu'on peat kmrinifubHr, ou qui rhetcoenl
h
i fam rmmiir qualité l'un de l'aulrc.. On «lit de nwHnw» »
ftimmwmnt
« Mtâûmëe «f
« lignilîe
« Ole «t le
Jmerâkmabtâmée.
Ce jeo, que le wwnwfa
jpdkmœ «bot toqpMile la asain d'un inanae
.êi^il^Bdteycwfi^Mp^
ttwif <k
*w*,ei,
mmmm, ..jr^u-f ««w «fa.
on ..et ne prend
aiMt ntar dit le
un jeune hommeqoT^&k-»e>
pu
mu lui, à l\:}j*«îue où le duc de Watuin M
nommé «le >'anilk-r>e- Citait l*hoimne le plusi
«te mm imtfe. A |nt»oc a^alt-il quille ses dtapeaut,qu'il
vtcmaii U une*%et *»n cowt aux pieds des belles. Se»
df&ri«** de c«*j««- wuws aes manières maïs ce n*é-
«lit que «k* par
wrt-k»
(e («fine*
mb
«k Ùomàê* Conii le dne<dic
jp«jwr
le" "duc «te 8ou6«t«t
qui fnHtrmhivai«ite««*l'aulonlé ait ordinal de Ma»-
>i«, faîte b tui «j«t ia»liêfe fa fesaie»!
va iiiwi», en an mut, «te les rettires;Ou saiit que- -
f-ftp*.
eh. », jr
ne peut eue
qaW Dbable
Uïimpmikm émet
pe««B. Tow>*ur» à nous loar-
nwifet, eUe
•
Ce sttscquibte d'une isws gonde «iicfi*wo et
fypiwc pov'-ea '-Chr te cotées de b hrre
1a dSkmi “
,lE qaajr»aa<r cfcojwtr»; de jcM
"
La 3'
s.
i" amgeviBÉa Ihi-
an- jf(i. il
*Tirtr r«;c-»
fUSJa U».'
m*
C eu €«* Um
4e memeka.
<?*•& b mode, MMkktojmde
Q£ HEttrVtmWt €HftQJBnUmp KlmilB MB MMtp
ŒM6 ÇyPWlBMOBi
dm
laumnt èv ptoûnnde Inus|nie«n,aolMMBeai
Tiwlm-0«r.wa.Ch.*l» Xot Elfefait
le laiUeue
parl«|aelJew
» ca.
au dePimpcidae,
ci sa
à llnstuK
et
Uaanettcondamnait
ilo'eitpsenmotpomour
wondrr Ignace; de
e Uir tu wojoms maris
boiteo»,
doslSociMetit,
Ce{mwerlte, diH»,
l'unealwr,o&*uu
hri P"
ftmtitr«~
5*f/ /îrif é«ni, prend* tm pratêt-tt
De Wb «Mtf*
de danger b wolartéda sortoa de h disposer « s» 6nev. 11
m» trouver dmsto» ks <*j«» de la natam des ananmes
lincitfs de celle qa*Uado«. Les Oems qui lui prêseoftnt son
l'onde de IV-
noar. Loàqn-il les la pnirie, Hcneilleaaennr-
il.
gnerile, il « amdke kmOt»
i1 se
joie. il.
k tronper»
.il boa
«le
<£*%»% tfttj pni i'oublier-
i c*a\ qui se marient de t'en somtair» et i-
C'en ce que en du
Vtmmt»,
pteiot tfm èa
k dîaye ne
mFfmdie,mm
ara» itoa a
fat'noce
taie pmjalmt ..elle vitdéfiler.
Cet
Ikhim»,
«ldefMrâ
lo»le»sotdbft
netwmqaeai
jaanndedtt-
itKiflder
à
gsasst <fte laowwi
ta fraywrr, fa
r-
mtrkr7-
lejmr ok f «m«emarienI. le Êmf*.
àwc ckjourdoîvem de ra-
lesprêacco|nti<ws
\Kfiit.tes.jeuxet 15 d'êtredesaison.;
cessent
licitepourrentmiimdelafemmequ'on;) cnbuls
qui"«ieadient.
iromaut
%«»»fâ qui
wis»»s*r un
qwe dai»ma CBïgaf
i
robot. Awsi'diMk uoe de s» amk*qui «Blwiii
wuim,
a tttl CftffitlO-
tftmrtmsteimntiitlatiwxdt: mtw^f, qtû »*3|)f)tiiqn«;à
iftc
4ew»r mortel eu
m»
*
Qatfqws util |*n»*- qur <*i|p Ê^on «fc* pria
fanUcs hnaknt toa|oHs «n «le. B y
chcmieetqti trpmi.
qui bit, coniroe on dit, la
.le |s«Ka»e Martin, or emnmeeUcsagisi»*
mari perdu.» elles poyieRtaosn tout d'un
Min Hw. m, cb. 4.)
itiffol
daw b quaife-singt-onième îtauce de l'JliMWt"trendi*
Mtati*
7^r-
tmétt'm fi Fiétmmmm €wmmr, Voici le passage «jai owaltBrt
t t*m wrîanie;
Qtr )e «««f>is**}« m eht.am*t
de l%Bte
par lèpre.
a
nier cwup de matines» cCqni, âaot coewe-à motlié èwfawmi,
ne mil tie qu'il Eiii bmmmmm,ip'*mnommait aowi Us pri-
§ar ftth
qa*îî m
qniv pewr-fc» de la amfrêrit 4m mit.
S*i»«}«n-, «T|«nreÔt
33).
haUûttusée la
l'a4MinwT7
Il' la'
se tumvstk jour miUmâmtbmm^mmmbnmmtom-
II ll»U»il«J
liiMl-. ms
tuait» k»
(te çemfimttm»
tfjuitt Mol t
La ra|watË «tel ffOé- Oroè aâdit
*ou «st comuê, «f fe siéilliaan! u'eH guère pta&ajaprfiteqMe
««wMiçiM k-*
îw «**
-<*» wb ànit- »««, «ne mutée
-de un «<mIc «le Mit
ea boode itfcaer ro un
ptn» pand «neote, comme !'«m«*giK l'afwtoçue
«tàwlnqtwl rboron».- qui pr<)aad«vou vnmi cbowgfwcumroc
allie.
Jfc»orm miiéiymiiii
de
n «mfB. Csqii.
la put de «tfoien- avait
qm
«•IBWWi*
matlùr.
ftydd ptomi
pmrmmâr. Sur
wmtir.
compactât
GiUm».
fmtctm et éto'c
fatai. Celle
ment à ne jamais dite b vèAté eu fait de dbaase. Les candidate
la. qui
Crfses «« te» laUn» dkueal i?« «tôle tit partout, M. de:
le a
ua nètkr
de J.-J. Houj^au de
te
«m b*ef» bû qae l'attire
«%njt<r «r^A|ij*, et le
o«%tae
d'an
d'un meunier à la
à
•
la condition
l'éïêtfue ne ptM^psrvwniràfésaadne^'
«tr mfttn'ksr, pute que
f&m&em qHcMkmfqui' lui fiment par on roi, tawfe
babillé
toil de dire ce que
Saint
riMe drjgoo tonna sm»
monstre le
tammYcn&itépooianlé tandis qoe tenKuitricr
testa: aamagsmenmtt. «i|«ès de aaùat. Celle tradition pope-
bawe, puiiit,
Il vaut
à quelque
KKunfre on lui
fifnillerojakztlIeBfloffiHiieoa
Fiawte, mm les
à Oîcn!
MtOet m vu.
te
Iw4 w» aoMK à li A».
W M«m«« dbn» riauAMAW
ftpi l*ttm auftw
la
ce que
JV«wo impelmm:
Iris.
wU litaJaii
a
corapos.pendant optm*«i Avlridie.la
«Qaeparte-
« je de b poiimcedesamitiésde la km? Variera»», n»
eamatoe
l*<ieod«teï Sim hemne tewniti
Hugo,.4
Les«e»ssuivants,eUrai»d'uaepiècedeM.Vfeta»
àe^w»'«w««fcw*dfew!
tm me*u dw«*ii Wo pet» ;"MMoae-4e* _la j«ow.
jtoifla..li(itqit1'ia>
Qw «il
kalieM qm «M la disnit
êt>it
«i» «km» du» œrUio |tére de
Uoudi) opioiiife aantm de la
faail observer k»
de mwdofd, qai te
de
Il qtû aiail b même xreplto» figurée
m li»d*)à
Ibie*
Trait i
fort piainnl et tout rait dipe de notte îaïaiiiobte 6ba-
tms&c&epœ
bomoif G», itw «untcte mw,
mm»
tm«^«»\, et
MawtiaJ (Ut- «,
ép%. 49) a miptojv une «pfemon «es
la «Mne /«• «e, !>#*$kmm* de nâhu tmpdB»,
pu' um
et
Il lu
ou
la
la ce
liaèi-
à
art* tom danBBijl| > OmtefV». dit Jefumdd'AiM». ai"
un bmqm, le jour de rtyiptiaate, phnieuf* cumws
«muc ksqods éuii Guilbaate de Humât, comte
coup uo hérwrt
\»w le edëâie, en tui disant tpt'tm \nimx qui ne portait pas
des
«a
es vint i tant.
vAcaMarA.
SùnlBsnuids'e&t
rinau,
Mà*iM–AM)c ém tmp*et de ta paiik, te* uèfla mi"
"j;J.
«K»jiH <umu dtac; et .M» dkïomB p*-
limu, Im/imHte*et mène»- éemmmeM et 1m *me.
dtowmir
'la«oemeidée Ont
rlianilt et emmiiodc»
«fo il aime à te tenir cwoehé.
Toenr ws «nrnlr.
On fut qae leur oet tambeai,
sur
«M
m
«ife a «a poaffowfcittfwt conte rapporté Béroaldede
ce p-w
(iota. da. 33) Ha
«w^r, y fil frilter du b*wlin pendsot q«oo dâait nniâmÉ.-
Atwiî daller eamtwcf, il mil, à h Mie «» boudin «faiw »
Conaroe l, n'ataU
tJs bas, «iie«t> <W», de («te q« le boo*o mm» an w« da
Le» tdbicxntt de b
peur éts
ni'
j isy»«B*e d«_Cie« «11 De «poil «ne seconde
miite
w»Mf<f
;-nrpf ifarai
*• |w*mwi Damier «n
si ifwèllifwt. t'ob lui paâ «ir te cfarf qu'dile a«ail au. «t les.
IAmmI» qu'un bassin, un dtaoVœed'%npL–
«rtiii*. ta appel* tei»£>n6es ftriaile ft Todaraiie, le»-
qwtltes «;lk« pana de riches
mil w te dtdT. «k chacune
prîttBesB«s«,
i aaaaps daatirt teawiit un miroir pudeur: qiî«;
k vit «i mumi du chevalier s'y monlroit ni'
que s'il efttitë pjteot. Dont
»r fanai idie gtoirequ>tte tsiîmoitign»ink<iJo.
propre* dïeox au meilleur enduit «I».
Et quant, et quant k» «aine» le prinditwt i
nattije de si boMW
l'oli
Iliea de upinerïe, les paroê les bàsr-
ea la ..ne pour hû dite son avis de ce qu'il y
lt««««]RHi. A {fooi il t*#«i; mais il n'eut le
atuîl de rboiis, de «fn'avnaM JKiqoèe en -;Iode. mît tontes.
fimmi, en aniêw pour s'approcher, do de fait
et exodknee de s»
booo-
et chanr
exercée
m» il»
dâeol h»
œ
ils Jamais aux
et àmxaàt* eut» msv
«1 le Mpa aku* da icitnrm uwjoa» une smaéSe
des
mariol
<a**o** wmèm^
et «
0
'
ni fli mi it
» wrtarw» «ai ou
Ftwnmnt ot
bxxi «t-ot pamr qur- p)uiM«air> d«-s |*«u-
«ByBL.it
nepuMfaii
en d&iNittïr ni la Un. t>- Ikn.ïbatnc»-
Me » ipftdaït -terni Gméim ou. mmé 4t Qmtkm. Il était .ni.
.,il «n ddbui.'ei
et
lui «Uûl
il' kp»rt> de
un
!«»*. il èf ph»»eui» »BUbHÏ«» pwur
épie,
le
<iit\fuïa»#&Bëët- ël <fa>é» ou acrotnpttt IV
**«?ISMil
acmafe» de
a am
de meaàkr Qom vivre
h Céai
il
mmt w*mit 4»
dnc os te tatfe
de 'Fuse m tiitfci état ou Mmfiw
pfao-
«Miltntoiaciénser «kGankfcdans b tragédie
grfwwi b pfeatant dign oefl gt mal de
ce qui se
Ï4
employéefipEngnwni pour dite qu'«o se moque d'onedMse.
xiiuns foi se
grande $Ne; m*i*
cwdutt de Pu*=
•«wi1, i«r««»tr daw mute nflenm
Cm poor œk
eaviroosde
llKPMffltUiiOO *joue* CAGQVO» MB|M UMIC1 €MJ la tBXKWT des
koimm de teneur.
«* fc'cfe
•
t%fe «mine a eu autrefois j*taf»"i trois curâmes,ceio»
d'araoi Pâqws ^a'dle a conservé et deux antres qu'elle a
~«»'jp|«H»*g» l'on de ces éeraieis méoiVbit îKoSI et œonMnen-
pii l? 13 tMivmtMe, leoésnaiii «le b |@ie de Stint-Mattin.
€mm £r*e" Hait akws OMMocfûe ctMume l'«st. atijouidlmi ge
nwm^^rw;»aux. aux R-^uw. et t'me. rùiwc» qui-
i«|>3Î de «*o* huMMt aawt« Affluait aar lotîtes tes laJWtes»
a tic km ybniKfe dépôts car le dindon. «waiii ind^gèiwi du
î*«atï;ttti> ïtn|MMié m tïu«n»fjw- par le* jAmites au \«" «ïèdie
cxfMdant «m rêgoe (»*« «icw*»* jmw*. les artisan*, dans.
été
myaiieat de lidBfBdtMt cam» de aet
«*ga«ît â
Bios de *5T6» et,
y;at un pt»»
«fcâpuatl le mnnplt m
«m didSdkinMf Irocnpé sur les
homme
qui, Moïse
de f «km*.
Êwe
vawtMs; cx|»essk» pite de la tweannetieoù dte s'emploie
bajouepar le ttocoo.
Léyer tomme t'têseet* de toiat Lmc.
€*«Mm&« banl maune Ma boeaf. On a donné powir#Urt>
lwtà^ml^K«MitK**uriil^qainiaûneàoMêdehii.Ce<t«Kft-
émpéde» éfUfié «mman «obiile,
(Mmiw»«m sjmbnfe du gBm de «ais ce o*««t
que ptr ïmme,qu'il ctt pns un Upe de li^gèmè.
«Mitles -Les
Le 'bmèmmmBk*md dîsaïl L'mmttê m tî trmxmeatqui
Allemands èt lis loliww appet-
*ÉÛ«Jlt*MwBi^ -t
Oo («me qB*il »agii îd dOUbriu* léuaieor
qui fait le le
et,
«:et
du
r
«•*«*«
de,
.1», fa mM. M
enfin •MtdoHnaent r«w-
canapés aux
soutes les
(tKwwC!*«fa* bnllmat à*uq «dit wwmfMur. M
fus»
feo**»**?,^ b
ée
ét^feHM»^airi€ide^:c«Msgaslsdtefaj^aaidu^^
Tuetw. ^IJliiaiilrêpnwfflrbè
4**» fa «.On ne
ê*m hs pslîi» <«*«*w», «lit nernaniîn de Soiirt-Pîené; «o "•
wtmije.
de t*WAH®e a
êmt il iorwyaii es ce
«fcswitr me
rau-d
dm fat Latins
plu» »dr de ce *qu'«M voit que de oe qa'on
imonpeitt lamntnt »
et les oreîlk*
mengwigier,
«
orjsfMe» nep««lgtt6re oïwis trotufacr; !«• second |*n« à chaque
î»*ii»nl ."nous
fBtatles finies,
erreur, 'et non»
•»
iJantié
jodidaires, appelées pour cette néon le*
fwMmt dira à ww
et de P!ïw le
iftaiuralisie, que les
mîiv
Mt
cwrifpail c* dr£tul à jCunoc de tes lêctocr ire
ks îlks
qu Vile»
sdmi ««««•
ne
que |>imir
eu («aiïssw»!. C"ea de celte opinion cmnofe qa'est venue
"S»â6»|*ooqwe pw tMjuvUe on désigne un
Il
€*iesj
ifc" la Hamrr «!« fttumt_ il ne, mm^ritjmspomr pâlir.
«j«b"«»jii -flii 4" mm- |wrmnni> qui de iVmtwo-
fmntn
L'ouft, «tiiswii I*1» (»t««iis»as, peut passer plusieuis se^*
«naines
mcutt de se,
<$mmt lui fait mimmst l'abaiweDCie: et,
de sa
wk'-Io cnHnmam»-
nxéie dans » .bauge, d'où il ne SOIt
qu'au feoiiide quafanie jouis, presqwî aussi gyns qu'il y «Mit
tmwè. ne noowHg.
|y«mt««j«K- le UvuïamUmr fUdutd de Barbôweo a dit dans ume.de
'SI-
m partout <wt ra%aï<g»it
de- sa dame Je m mis pu la nmumm-
Ae
H
qm'i ngnwe èfonct de
ni faut pas vmfoe la
mat. et.
peau de l'ours emmt ée t'omhr
mm far terre,
M ne i é'mn-thtœ de b pesstîfer;
d'un bîm
daw «s Mi-nwins, a «nïs «*t
é»,m h IVropefwjr
aur am-
fui de France* «yti, ao^Mro'de leur
de
rmng^icawni â se iai$ir des te*i*s
de J'EtnjJirv.
qu(f Je duc ik «uufwene
laine quelques, tous dessus pour
**ow
«w"»ï«c
te.taajBge typ^ue,
Rompre
lui.
pôûTêxprifwr
la paille acte
"
pemée, ôtait au.mois
w
foo
toute lûî-
je sert
tas
.U>
point- te i»hî-
*o*lr
ion» *»# on
njpiM il el d'ubstack» ni j a
votre. (iiunic; umli» ijue
sur la j*»3u bunm«K*
UttHMil imisble et
oeufs de Pâqaex.
lui hiw i|u»4qu«j |teiîi |ico«nl dam le, tem|w> de FiquiM.
C"«s»
« CVtaii un um^
Kuiuie or
.le--
se eâébiak à
et aux
la
b bbk* «t^T l^»»u les prirent pour
»}iadM4ede la réaMwaio» don» Jètas-Cfan* leur avait duoné
l'wtaroplie «t te ib diw«aey cjm-
b, «oukur rougie, «n iiwmairede
sur la n&mcolort mjtcîmangr
m memtrnm tffmti wwgnwiltSaJœtom, est-il dit dans a» et».
%»3S?e«wiewK îolitBlÉ Ot tuéh orieatèOâm..
•
dit tmmùt«
r pat.
L'bmmm toit la
père -«t mère, et
me mm «tmrmitM aommaœ « cowstoote L'mmmr én"t* .•
que
«t mêle pour I» enfants airpatee cetui de» enfuis
et
mai,
le «uiioient filial; mats, de celte disproponkm qa'elle à b»-
stethiits ramour, il y a bien loin jusqu'à h haine. L'une ex
damb nautte, et l'autre est icfulaat
rôftinimu dUetfgtins éamuœde
p*r «» paroia memaïqnaiiks dfet.'deces
« okminîeutptaA»« c*«st qu'en ks lisant ringrat «t te fils
mdémioté fMMffKMMt m
« mst.*NéfittM'tU U ûtm_ée qui n'ont
«écrit que pour la
estfrirt du memCiml.
fia €é*i fw »%%< *w *« ««< jfe»« «fe
<><*« le k éimpe; c» «ju» pris de cm |inralcs de Satomon
Qvi tmlfk «t émriktm$ e«r «a gy^m; $mfminr m mm optnm Awï-
yHfetâ). (Panbol. ch. «m, y. 9..)
t» thcOfiff^
dom
.celle du
fiefs ou qui en
un
la
Il 4m de
dus
de
*pu rien
du parue, ce qui
car. 411115 un
qu'on aille lentement.– Ce n'est pu de cofir qt|*a importe,
doit bientôt le
qu'une manche et ménage le mowan
Le» Italiens disent Cti r* frimo, m ano; di xx amo, tw
prtmkr
En loole est ce qu'il y a de plu*
difficile, Co«WM*«r,^««fejrai^iwf»/,dit un autre
\j» «rardinol de P«>lign»c nûMiiiti un jour, devant: nvtcbine
du tfc-&wi!, le tmn\w de toini Oww», qui, ajanl ^tê.dàapîlé
à M.i»iomrnf «
la porta, dans ses mains jastui'à
lui Cumule swn
awîi |"ajf de b woute «jiie
le laîot aiaïi jmw9(M|j*<-m (d C-iai, b spirituelle dame lui dit
pu <j«i eo*c.
**mam, Cm tmptueUm^-
bien reptéseeté'tepeisonnage
D'eu
la.
i6 du.
ladre:
«ce
h
Ce
que
C'est m bonne nés padeor, faahitoéà braver la respect
C*«« on» n»é «|tti ~v«-*iliiiii<Fineoi i #es Jîm «nos nîc» appt-
«ttûet de
Cett \m*
a- d'une fctwme-
te prewri» «g
« fe mtttimmeA mais si le fc^l^ff, w
« aanJrmftaB cofttribueoi â «a cfctt». 'Si le «|
pram o
« tmcmeés f«pnadMS}s11 Emleagemer*
M p« Eût W» fais', p», on te &it
• iwnlwr («wi-à-tiiL. »
JM AlkmztKh éim* A* ém Anett mil jtnÊmmmm
*f*»fA wèdiwv.
sur
«» » «« la nebom méfite.
dans
SCgW
/ni.– La Murii',
M
•
les
ne «oadnïl
a%oc
des autres hommes:
Odile «Sfmwèon prwwrbùk est rcgankV cumn» une 1;a-.
riante: de œue autre par
f*titm. #*f*fv* dl(' «wi ^»» .imm I«v«i
Inuaum qui
de Iww <»,&» lte saii point aa«««-ineti.i
qti'ttt ^oH. Wta
wir.|4«. Riu-ii tur Ï««iii»- Qui i*> pe h. ««;3S»"&. rt
lîtr* **i <]u'utÈ
il,- bil
k* «I
Jottnut ai
rtxsm±~ t'rdiè tttcfu r*i
<Sj»»i»»«J te pas au piieiié e«i <e»t
mmaâtr,wmiw «! est au»*
-<JNa <3efiuq*a «porte ftu nnu «alr a/jit uami et émit.
èfe/éw*. •
'Ne ««9» **c ^o«ï « «Md I >««r le
Awiw jvHKte«omrfr ce q» le nymHe  Cbaqw km» svrm
il$
w>,w4miitît,.
fewtr -fé*e \m
Doit remeowT
Qoel^aefms on &îl un cfaangwnewt au
Html ,le du
fX 'afcw'ôw wppaite en ro*iroe maptune dbsenatîtto raêtéoro-
kfMfW» et «ta préa^le «i'h^fiètie, par une double allusionà la
couleur du ciel et è ta cuoleuf du «in qu'on .reconunaade de
boire tÉMac k maim et roue te soir. Que tarante se trowne
par Jean de Prie '
(f 3?, «wnw) ftcwj* wmprt tt bteme mmtm rifomment. k «8-
du
fort penebrri t'exécutioo.parce que l'on pensait que
ffl
clmiflr, Ik»u» diîM*
cumeAkt ;au Châtekl. qui furent arrêtés par la Jjcimjh™ «fcs,
k 1i 15U1, à du malin, <cunl^>.
3 omt. Jdai» c'est une erreur; eu I kv-
«isïaît a*a«i l'eiamtHM» de ces trois noMes oV-fen*
Klte 3 dû son wJgiœ à la
oV 14
j>miic« qu'il détail clic pendu; et c'est ce qui loi anim dons
du temps marqué par la prédiction. Le seigneur de
ii!w.tt du Hue
une potence, dans cette ville, en pleut
iiMutdaè, pour le punir de s'êtrefendu coupable de pillage. E»-
immtv PwMfuier liv. «m, eu. 4i) rapporte awee
34) frj* à
f
Ce
{ncm^be Par te digne ûwc que je porte, dis»" frère Jean
P*ni«3ge. durant b tegipe^ tu as eu paottr sans cause et sans
rmm, car 'et datiKto tbiales ne sont à périr en wue. Tu se-
«* tsMjii «tt l'aer brasté.
Panoigt,
«ny, par
ïfcttwxM coouaiic j».-i» 14 vie lerroinée.– Voine» itespoodit P»-
eu «** «ècte.
Léonard "Atétîa, ittmwpiné -auteur
^Mii«. Ln périt* quoique mal enfilent, m kmmt
At .or
(£te Vmtc. 5- «<strtMu) rtpporle que Cnuatic, roi des Soèwes f
et en argent ,te coupsde «oo ISis malade, et en>'
le
Btc'ow
maître-
C«H fa c««r de rd Péumd.
(Hautex.)
on tin dans
Aiabelbis, en F«uwe,
è« wme pmwdtètt.
» tttcf
(
<p»'on
wof moqncl on oooooit pu pjimnteœ, le non oc P4ùuti,
du v««$e blio |M9, je daninde.
JWtMlB lkl.WBlpppTW*OHIIWWIII
(atniêmt h vkm. Sâaèqae
**" w •(Pi' jp^^lRP^^HW <Pp Qp
tniH «r b le Minirde
«sautde citationsprises
d«l et «tedttHieuKKt,etc. le tout pour décider on plutôt pour
hisser ïadânse «eneguw qnesikio Si fes cinaEeofsdotveat
wciarder k («fidnen» tax ctiiens ou sox. Étaooo». L"i«ntj«jrr«s.
<ji» te »tyfe d'une pareille amptmûm dodi» am loetwis»"
«wtota» qui $'aœntn à metare que b langue sabil des ebaa-
psaiËais, It dét«»é de l'écri-
et.
d*«n tabit empluroé, cwUé«tr te ooeps, était accoaapagné de
tous les andenshu
il .await au deram dte htî "ées wumom qui dtamtatieatet dan»
saknt dam les halles de h proeesnon, n-
dknlbaket le» sfeetâeiifs cootte lesqwls il y avait à gloser.
dite aax feu» ko» vériMs i« ptw cachi», d'oâ cat veame
oMtg e»pK»wao prowiniate comautmen r*roraxe, On» m
ra». jneif dm* te monde.
y &HE en «rime, en ooosidéraboa, y joawr un rtte
il
l'ancien nom
de
la Pologne, la. PamUme, d'où cette chaussure, disent-ils, fiai
'apportée en fkance>
_Tenne de mépris par leqoeT on désigne un horaroe de basse
et
namaiMce, qui ne mérii» aucune
leS fat-mm.
presque Mm fc»l««s, ttwlh «juç le
c»i wuu de
plxt$, <et
wigiKMf* avj%»t iks s«m*
fiers â talons Imul», «jo» éf»k»t unie nunjue «lbtincti«« de la
cbcx
la couleor et le goM Les EkpogMb dnenl:
le »cts,
la
Oo oQuiKiîï ogmmw daM
baadbe de Sosie» lun^ue Camaoi d'Akmène s'aaune à
»»té au
£#«tar«rfcfterf»
{B£s»ll»,|
*4 "tuï m atpfamm et te
ë# mmnf
décidé à la £aire.4.-
oi-itam aqtnit^aiE qui |>tofl$e
aiec bot Ae
atnïe leu, qu'il en étile le
f4.*rtb. qmi lui a bit douter k'awii «Jbt nuagywi
O île pteuiib
Les ttew*o»> de b Lotmune et par cww
beam tempa.
Je
pense, skaï donasuK on «mkgae expert qn sM' l"*wit»
«k» bu» et des ntnnais jotas. .
Il
ItaiR
iùm.4 feues
On lit
« Hmirnt apt+h 'il seimeat è ses
ev
goutter les mets «a trop» «opportun, « faire
« lowies le» chose»
patrons (Kv. ntl:
té» tro
Seat elk» tésMbtent, «fan* l'aithï-
j» M pwtvotr de ùirt à kur gré le batw temps
ci b ftaofrtgcs. Ib on>}ii«ot ttu can]aoét
pmenu «pett-
iMpe*.
U»balHtsnts
<bilieamême wMIé
la
conira
la n'a» plo$ de «tint Jean? lui dit-il. Si. tu<uin>
la do-
le «wsoil-on plus à
peUk? C*$t de saint Juan, moœkur le
qu'il
n'«s< pas le \ni j>oonj«wî ça?
Elle CI patst le
k um époque «iâ b ctlXim n'âait ps bien observée dbm
rwts menaces
nli>« pareil tyranneau y l'on en
A*» on
« «
ente» M que
'jmr; mali un pot ne fal yuxats tamà,
M«nl eowwe m
de
« Kxm«»i
du pot.
ëroonlocittioas ohnœm, au lien de s'éBoneer net-
fxwdre le lerop* en «aim puèjmalii» pour une aftaiie
"T
v
eonode (I)» et
son
wetn Umpt (pag. 173, êdft. de Londres,
ée_
la-4% 4638) rapporte que» bcaaawpd'endroits de l'àn^e.
»e»ie et du Paj*-Bats, on voyait une «ne peinte m beau «ai»
lieti da ptafoad de tealfc à manger,
On peat erow* qo'tin paire»! usage me fin pas înoooan aux
de
aaâw, «î 1*06 en
«m» WciïeaaÉtre» dit; avoir
quatre *ere que Uoyd, du»
M tr«u««$ Mr une Jatte
en ces
bftnal. Cest
disait il ne tnênle pu le non de docteur témi*
nMe, qui fat donné i Bagw Bacon, moine fiandûûn, rs-
on
gafdétauMnc Dontlfc
«ctrt Émib attendre, sans a «air Tair de blesser la
pottseste, qaW fewniie w*<k Pu èum/ê M pmére, on dit qu «a
éemmtre<mf*r.
W
du
le» ients
rîmpétalnce « rèwnce à Rome à
poaleis mens Ks Ion» elle a*«at pw à craindre
diticun rnsem «avaewor, «t dfe ptmdit
tics, qm fiwwuéletés ivee beUe ftnneà bqaelle
oodoâea leoomdf tige ut fatàmm C'est par allusion à ce
«âpplieiiA,<jt*««
As, »» l>«î et nmi«
de
qui d'abord Soit gwpo de cuisiné
ciMSt Caiberine, docfaesse de Bar, «ewr de Beari
au« itttdligieat à ceprûxe pnar ffl'il le
If,
parut
dépatte»
«Mm de Sa galanterie, pane fila* lucraiirqa'biMMM^ble; il fit
le
nûm «A il» tort soanof, que de knr
y tflû«r. Us Gncnc
«w^nn'a*» patfont, pâme *ja*ik anaknl dévote plusieus «»-
hkmtm
Ce
cw tt# tanqniUstOBUrap'-
o'eaôtent b fccotunnMnce,
-Ce rH
|a»«^ ,•
-menotte ce
ex
qui nes'exprime
oravra», actesdiwloppte.
perdes
poûMt
Moo «me s'élewnceextase
àl'atueor
desmmeilksqirime
nappent, i'm îa qu'an iâçtéfèqot, du» ta visite de MB dk>-
m
«eut trop prouver m
promue 'tim.î "X
car
qui
rim pnnné.
me»». & n'eu fin primes.
Ce n'est pas pour rieo.– Sgsmrelle dit
eipédienl qœ lui
srçgéa no «tek drobiîqpt»t pot» s'eo tirer et se fiant eon-
éam à P*ri» aux lira» do procwent- de le. Ccttt »ww*inte a
m& pea
n'eo* pas nwios donné lîea i proveàmle.
le
dans quartier
Ternie
te Usêim mm aém&âaeut,
axpt <fva
btute.
« lemotde*– *er«»<MMgoalMnt<r
wmakm <fe
de risée; pme
Rome d'attacher me que» do bue
dm wfaént tv^wt
«mire la louve,
»;«*«
te
I
Le
happelés
queue, m
w soilc; un «nireionp » «net a _-ne «foi-ci, «I
tefiement
qfwwt ib de loup». De tt ert•
om otÀiféat <fe te iwme m ehma^ckm fiunof assistées de
ïmm puetm wwpectifs, qui devaient prendre, tour «1? «Ile,i
la place dm vainca, jusqu'à que Ils jogat dit combat eus-
mot âédàè qu'il n'y «mil: plus à faiiaGuie eux exigences du
point d'iunoMur. De tà, dît-on, l'expression preterfaiale.– Je
emmïs. fias volontiers que ceiie exfKaùm est venue de ce
que les, seigneurs, allemands, qui: se >eodaiea(aux diètes, ae Ce-
aaient suivre de la plupart de l«uis -vassaux. Cette: escorte,.
qu'ils appelaient leur queue, «iait toujours fort Considérable,
et, quoiqu'elle fût déErayée par eux* elle ne laissait pas d'être
à charge dana les endroits où elle s'arrêtait. Bonneton de Pey-
ri ni, parlant de cet usage. {Diaeri,. tm Ut réjauiwuux*pubtiquet),
non» apprend qu'il était passé en proverbe de dire gare la
ipttiu |»)ur un particulier qui donnant un replis, voyait arri»
v«t chez lui plus de geus qu'il n'en ava.it înv.jjtSs.
On rapporte premiers cotâtes de Savoie étant allé
Vérone au devant de l'empereur Henri II, qui passait d'At-
kmagïM en Italie pour :se faire couronner, se présenta à la porte
du palais «S ce prince avec une suite si nombreuse de vassaux
que huissiers ne vouluieni pas l'introduire avec elle. il leur
rê^mmiit fcreniem qu'il n'enirurait point sans' sa queue; et I"em-
pfn:ur, «nstruit de ta. réponse, onionna qu'on le laissât entrer
avpi.: « queux. Ce comte yrcit de là le surnom d'Ame la queue,
dire
1
«JTfuwien.iateurqwi, voukni «sotiq^er ie pnttr^utti d'une dbose,
faia, <j*m {popt* ipm, paxcK q*t), faute de
tfoow mm laiaoD. Cetie caipireaBiora est priât» des disputes de
l
l'«:oie7 ou 'MgumŒtoiion ae fessait En lalip.
lasi
dn» In «w saitaott, que je uantcm tels qo^tt Moment
la
rfiràu'l « dem
In écoles te
pirtici, dota l'ttoe appelée qmérmmm, tompmmt l'arilinafr-
bodê que
uiHii.iii» 1™
«wot de r«wwf»lMé cet aJon wn
«noir.
le
<T»'<*> ma») m Qmittétn oaQuwmmm yiMtûm pis
q^,
œuur-twom»
wnl«d»m
leroé^à
iB«oie9aib
la le dentier- la
kietu
ne doit pas«me trop farte nedoit pnd^nérer
«ii«Ane. te la la.
$mwmI» irat s'abstenir de h raillerie, mené
posptme*
mAut.. Cmuv comme m mfe.
de b familledet «m mm ta» grandb
màm, rats.
««ttToqpKâni»
«Méneor,
etlandeqûenestleprincipe
«tmenae.
»–Sitadmea'eApw
vraie»
onaon»
qu'elle
l*é>
dela
d debcolère,
derhypocMidrie etet«poor
cefaqa'on
dit
d'unbonuse
promribîalenKot quinleax
qnis'empaite
ans
telWort
afflâtammilka
de. misère
publique.
11«Mpris
Bw»de
d*«n t*daftfcnr
ftapo.
Oprince,
eoneini
des«ne»
la Mt«puae
hSac
wo«,amputa
i Laygi^–wn«g
c cunrmatf
avec fc» bienfait», £« üs wuwd eompmttm», dît
feMoe.Kwtfhptar» t^ii^t^^virtM wwafa parttrwi^
'1'6. la
d»ate uuf) |«bi«-; sans récomantie, il D'y
en a point d'as»»
«lûwt pâteé i Abatte,
de inoAlRilîtaada» de don
k- demi m
wiw *w«e,lpBnne «pT ocs
ctmn» sjm».
i««nis pioitaknt
^eiajga€ fat la ytvuâèi e qui k twt ta
<»tMt»âl»i»«*-4ieCierttsVIIJ.
ttiujl Mt
«fewl
fet imm du
rwninwlft. tes
tifetoyiew en gm.
les jm$ks «t
|^ki,l t
A-Syme'« à Itmne,
ftnuncs
le bleu, Ittoa^de
boae«edamaKq^doaiafrii»l*»ne
dujwle; (egmnipiMebiiiÂcetA-cibtene, «Toà ckwan est
Mi1ie<oâduemak^fenDer;leTwfet,ca]léorsoro^
nétiMMMxt puticipe- do bien, expriimii pour ceax-Gl t'es^.
Tans
it$
«riwri» » Qà $e rrpeat
te recueil. PfeiUppe
bu
que cène à un
de
comme
wiiii! qa'ettjt y a
Faire ripaille.
au ta j»«e
jwup»* s"
Arniit 0 fàmâm éjgi
Ut nèm a«aii
• %'mm Dg
-peu wi tomme
du <«:{*•» «pi eu.-
que
itojnfv
faf la
où IWdtsut droit.
un
imaleni l'Anoste ont tracé te portrait du»
kur% |mwtiK$. Ce mm eu dawno un apfidkiur, enaune celui
d*->V-A»«w, pour iin£ivoo,on
d'un
de ne tris quoi
Bdlin@en penêe qu'dle est le-
nmuné «oyer, de la famille de
l«t«e dte»e.
Iwwïwc» et giaod la
plues aoeniditée et la plu» probable, Î~
«M» «Hic de rdifêTêiwrar,; -qnï en rapporte roqpne à Ragpr
de Otftlef*e, Ce |«<«ê;s, qal tut
»J Aoxwtv, iran Ifculk-i et, François de Mnlevilfe, à h 6n
:a.y^iikte f« du *w% avait pm le titre
4, par fa de et de ases
da n" sièete, dteMioe
On n*a
appoyê «ne assertion d'aœnaepnowe.
«o
il MM«qttt» «hotte
M aullfedâebxaer
M «tenu» «fcs Tn«$, oabîbii kat meitletus dardons placés de-
mm tut, et «aufltaïl ta (tint
atUirtiUitW- •*
à
vcobk quelque brusque et qiud'q'ae biarra qu'elle paraisse
n'a paa lieu sans prepij-.itjon'ts sauts Kgulirùé- C'est uoe vé-
rité reconoBe,.e«a Ii«gui3ti«qiue :aiai3 il se trouve: plus d'un cas
oi'j il n'eu paa facile d« la mettre en évidence et les étymoJo-
giate», avec lenn conjectuies ne font trop souvent
la djflkaité. Ca» oa«S8i-euî3- habitués à voir Uat
de uho8E3 daiis I'i-yii»mh3^ge <j«! q»ja|n? ou. cinq leUruS-, n'y
voient pas d 'ordinaire b seuJe 'cfaoae qù'il împorte de décou-
vrjr lia K3Bemble»i aaaez bjem à ce personnagede ta Gageure
qui veut nommer tonales les pièces de'la serrure et
n'oublie que la cief. la clef, voilà justement ce qui leuraman-
qw-, lnjinj]u'ib op.1 voulu noua montrer l'origine du nom de
rime t employé comme synonyme d'hirmau m pniicip«» et tana
à et
nuxfirt, ptiéitat i u.3 meut
1 l'époque de la
ks
llsseauat bien
acoM-dés à nou» dire ce que l'histoire tous appirend, qu'îl fut in-
eM il *ervi* spéeialewient à
les iibertina de la ceux inaip ils ont
d,i,fans d'avis en cherchani à nous espliquer par quelle dédue-
Unn il pu êire amené à une sigtiiikaïioiia si
edle qu"i.1 avait mu jusqu'à 1er».. J« n'a offrir l'extrait des di-
qu'ils lui on( œoaacTéffl et Von verra combien
bited^dtiiDMpcwiaaverl'odteaxdetediGee.
lln*mdoacpu«tmixuuque^bnlbmCst«kKleiirsdBta
leur attira
point
de
b province
eimnl ans» kors nwés, (éterbénlioasdêgnâées de œ fo^er
b ou.
lit dâyaraMre noe te»e bn-
fore qu'on
tpntt*» Au» UoaeùgK (Est., B». », cb. est pme de b
twmsrif pa ette t'emfioie aa propre,
puxt&t de t ^pUISl pif <BB8 lOPgPt COWfflfr» OéfllA
Sm&rkmu* U*
de et rompu i
ma.
lequel on
« «fe» cuwsi
• de
le nui d*««eitks, à la cheville pour temal
poar alt%er k ma! de
« *a*e «t jw&r rwçne, au doigt aunoalaite pour b fième
fat
b On
v«gw«ir owirne m*)ien oêc«»utîr« pour réprimer l'aiguillonde
.tuba.. CT- wgle qa'glkritfah pfaiM|oée un joor
dit ttotp» tw>», qu'on dam les calemlriers des bié>
viura nuwaLsakjtw», sot» la dàMjmïnalkHi de £m «gw, i&tr
de.
H Vot p» besoin SMtsdoole de due qpM cette location est
Ions dieu, prar échapper
CI été à
'_le
i
dnwi6nesouk
qu'ils repcon-
mm. Ehmmr
Cattenmer, bd bire «ne eonractH».
cote*eîtdbi^teCggB«g«a8g«é8teÎMdeMoo<liK
m Kri menait
• MK»{oeb «m donaaii b Mwnw» fwye»
qui
m m-
le"
en
de me. Ainsi le rà
Uàpuatgé du «mntson de
en pillant de
des
de Irait «juiws-
mû
""r" ib »? «ouséteot pumr en adhcter «fcits ou'uofat dauxûiKS, ne-'
Ocillîfieiu hs gr>i>n de poivre quï s'y umaitakat. et les semé-'
ann de
lé» sytn*» laiiar. Tunb fuient
mani aaf
&t-.gnimî
dkn*
alots dans b jubilation et, kr-
imu»
ncKivvHe
ans
lents espérancws.
de «illc'
cousais. Haîs'dam;tin
tlai-^xsqui
laieni «-mkrée2b,àà prix
Il 'et) Fiante tfn .nwmlMie cmmidâralik- de os nibinsdé-
un de saint Matmre.
tmM dan* ce le
devient
a»
pas d'or»
pow
P^hu^.).
Ove lôiSuîoo ist wniie <*«• c«* que, «fans on tarif fait par saint
les dro«is tie pfisge qot-elakBi dus à l'enUée
mm h .il €hl(«S«4, étaient exempt»
«4e» {Ui)i«f «*n jouer id leurs le fx^fec
<)« ia>if Li «trcbim
4mbn gtwinr il p* tendre !• li sàngies
• eK à tutti»» si -qui-.
» il péagier»
• i
si par w»i jw éwbt^ne
**« t«a^«
«jatte* de toute b,
ioiigknr «sot quîUt pur uni
^ft "mtéiki*
wr «tr
• comme
•:
le tâalm d'an apdogue,
ne*
qui
IbrcRiit
curieuse, qu'on a pu toir au
en-
de .singes «'lui
«iintMtné ft»nwi.itientle fcwïi. L» *3|»j*j«jAgtira»-
fc»vwsqui ta lemaîoent:
eeneé^oqpe.angeittilsiMaunesetaax simples purtienSen.
t^éffymofa^îWaoeMMMpasd'aiottwdgttr
l'or^ioedanMit
&ttn^>:lesautKsdu«i«axlefinegpiaiiws^
c»og<é lelire de «r, <fa««t (a hmw fai" "wnme $y~
nww|aie de "imimu, tnaitte, « tayroduit dus te eompceé
îbUks «MMkrr, deot fhMOottagae rraoçai« est mttûre. Gs|m-
étnt l'opiiûon la plus en Elit un dCtÎMê du grec
«igmewr» Mac soumains do tfa^-Ero-
qo'oo écrirai primiii««nteot <jw, et que ..ce fut
du
po.ut du moi ainsi odfaogiaptiîéavec fyw,
vu». qu'on, choogo te en.. igaîenoe Pas*{«k» et d'auues
t
mtsms. m totyiatép» M.Ch. (Uierwnp-wHMMt--
nmuîoas que le eapnc» de t'oMbogmpbe
Wm Mk $eUmiemevmtMmmœ
a'y a
l*«in»lî
f«iftîEliMiBt»w>tt»an
le Bwt wf est fort «fldot dm ootn bagne. M èùlail da
&taanwMiMrier
i
ékhm coojoors pour les
rnm, Le ptiaw
nœ
»
que
attuwcbe, fMtir
llWWWi :SffiS *fltt-
« reprêmué la Cudooe portée sur
que des
tottf. <o wme qu'on dirait
*tw éé ptéieOioés au
rijj&n«i»e*ie
omm, un wt 6«-
pris es bonne put. Cet in» «nieal «• cfarf aafad; ib dm-
ri kiwi il I h M^-
tftinyw dt «a titet âiiit a» «nébagt auKutroana <fâ^M«L<feou
t
de ttm* y éaitcttiMifc* «ton eboatrtyt» iwiwnw»put mttrmUm a
omwmTmut.
s'en en pasdevine
d'an sot, dontla
mprétoil les
1 et toîBpowqooioù *t i««*«
or
Ma»««i ce«raït
aux Cr»» du si
fftMiitwiiiii–
M,
de
Pari»,
et d'obteoir son appnv
éemWUtiÊm
émawm la colère,,
i tmstcj t'«3H
les « d» plaoSi
U éwwimf et h comhn.
açmm \iAtttammit
(*«$«mm«* de œ nMMtlfe ofûuâue. Le gfaùrc le plus
me» i h gmqK. 0»
M ewemlile ehea
ne wape se
alun, et dit: Voilà «ne
pHtil ftaon, ils gwpu. Cdai ae nifaadit
•dUeawM «|o'«ib
te mot' d"ap»«s ne
de wwmé*
de
'iK^fc, ^^|i»iisi^uÉv:i:f(»i dl
wm, cosoae soo stf»
lubie.
wmmc
td On
la
usiiws à bsulie de bob Ihuboes
1579, feil «ne qamsêm «fait oe résodl poïnt î< jRwwpjpJBfcwt
pense»!
de
de
b «sauté éqè*
WUOUC
UCrllQHralp»BRHIDBC
Les
de
i
de. tes dêttoi, ««quel il avait «tonne
b«g«| éait sjnDoopse «îe'RGinper
dii en «Sfet Panorgeà ISodenaoïl»
iax éÊsm,
da Map!'
B s'p p»
Gepandamt dfe
.««f*oii.tSa £Wf»kpnwivcr:^inK)aau»qtt«ted»9«tier
lier est lui même «net borné. n'y a pas
Vlùmin En
<wct mnpii n'wwî moii» tiapmaot nti
IX,
{ntuMeum
«iliv, mm éonl sur
k mmrir, il ce ««ttlitt pont bùsgr i son jeune tels
ub te» génies
<m il croira
w«\ pou* fuil mu tous «e& «in» i h pinaleoger- P«»iai)«
don petit
passe pour
";noir oa rien de ta (bm
,fe«t.(»e pbmi«; mais on doit s'itamm 4"m trouver r«n»w-
la js beau mw,
fait valoir
ht»
Vmkàtmemm
il
b oacrvaxtacede»tdiai, «caméra (tans «vns
gi^;
par sa mêle
d'ékïlarde frire Knvojja
q^. ic priiBBJfewat» wt If» dtam: r«H jwwfca
lui
toit.
Cm I» nsndm twil^tte- OeUeespwssîoo,-
km est «nwe «Je ce
qw te éditot ée la Iodée "éalaot «Mie
y Les
de
$ou
Ce
'que$
pueks
VUllW
OOOBBB • 4M WuU
ftflwiiht, oo p* l'Mpaci et
da pain et da w»
éte «gardée par quelques isanones oooum- jon »wte des
Gesakml aonoellenKaC daos Ja" plus
Cejeo de moISprowetbial
aTadreae
va personnesqui ne
quelque
-V M
de
blonde, autre dnm qui
«fil;
ri», il dit se
Les fei». jgùî le
J«-
iwrir.
et
|*P «ir ngv>tfi jwï bnlitirtl..
'• jwfkt.
« am/tryt?»
C"«^i
Mai* à qt*u*
d
le flt,«BKanfc–
fixent,
fe :~|fo
de
'
.Ce o"o* |»&.d«r tri» duol j"ù» à
"V"
et
a
«
celle
nom
fui
Ctwrô-diw un faroauf un mauwûs pbisatu. Ce noro wyut
pris pu un dont
de Louis XIII
catholiques.
le dergê, bqmelle fin taiie par des re-
po-
te défense
pi», quand on
-learitu..
1
les %ui«s feuns* :;>:
ImuI, e« dn*l k
abot»
|b« mîn IU»bi*i CuiscanJ, le tes
un
swiwh" »:ti «Se sâ «fjuuItiM»,"» «t il g-iç»tt b kifailfc »|i- Duiaxco, le
AJtjy. "r"
ij<> «i« jmipte »n<»e«<s les «os coolrnï les aïiiras
iBitrtl «ti-* «»j»iiif« «le OHiJt à"«|ui b, xiœ. a|nitjgs
«luis;»* «l« **iï» eu ïntIUih's.; (le
«gtti lui ;ili;«H- totf
I» ?»yni&c:»»î«»n«Si qw la *•
ks g«Kï pieu habiles, m *c«ue» tliit-
y a*ai> à Vaugiiahl mu gireflfer qui*
gmt-i!»!.» «itaw*. un «wlnitt qui n"«tut «daine que |«|r uwe
e hai> qui
te1 &
et qui hiï attira beaucoup de
hnxxmk. Le pwste Koy-, que Voluîte apfdait un auuiir sjuiri.
tod, tnafc trop peu cfaaijg, pu aUitsian aux duts
~>fW point k poMe Re.y ne bïss» point ccfK>p{.er
:•*?.*>>« il pour.
ci. Vmmêt un n«r au mttir da d,lui
dom* one vote? de ennp» de anc*s Ibis c««fc ci«mti«tn 'ne*
parler'
dr b «««d«îte BMi^iœ du
de
«Mf» isolé oo
phek dans
or 12 certitude en souffrance
sur ce point. Mais cela ne lirapointa conséquence.On sait po*
tires "as du roi de France, où de«4ksderé-
f»**edo ««deGennaaie, là sainte bnnepissaî
elle
<Mi ou se cnmpmsaït de trois, ihùcms,
|witw>, un ttan$]wn!ntqui,
OMWtaltcr le.«lu Si
de J«sgp»«bn«le
le~ u des Œmme* fmtkmma
Tmilt' tin
laquelle il la fau^etii»
»««*» 'ans œsae analbêmatiaw» par $ts moines, doit avoir jonê
scrémmeat vu le«oitte de leur «atao* oatufoe l'avocat Pateliu
Oémeat par le «mAre «tmc-
JfoTOt
Cfon/e |1>, les Rt$-8rettias|nr le «««être aémt-Qmmt, «tfcs
sur qtMH Érasme a Kmançiéqueces
ilctnt^-»; «*«knl m<Mm atmpofctticiqsie Sacrale, qui ne jurait
«si
loi v&Tïmus.-
setea fepdatde
te fmmerbe pneêàmt
jl
connecte.
«!*
On» «starassaow^as, l'ivnaiw:
éwtoiè
du
nsfiect; «foi
qui prwive
pt©-
Fcjw,
«<s
je
owroliee»
chaire
•
iifi»-«k » «œpfaii
in-
vhis. ^u«> beaucoup plus im|«ur|aats.
-t ioocmpauMe.
«êlle dudrioe. en a fait une critique rigoureuse dans un tRMtir
de tous
qu'il m due» le moi eoèfce m we «s*
tins, suçota. Ibis, quoi
*w* bien trouvé pouf' bw» apprendre que notre prwsprtîi»:
wwi* "«tpwJT Haïti de neortas. 'C'est ainsiprudent ite
qu'il est
»ci*f* om» aianufâ» pour <Hie qu»il finit
i'««Mieoi(î« a c**st ainsi que Volcûre l'a «ntewhi dam ces
q«"îl «drawe. sa tum de
de la dire..
JjNwihl <*> m vwm de l'xotf
il toi wt«r
répoqaede
la doehoBe de aimafcfc et
Saint
Km
et pro>
En gâte* Rabi
potence?' TT7TT
1i «m», tu «VittUaiine*1
m panai m 8>St*,
Au n'pooJeni pu
-gtifc? teniLiiqijr qui ai «i tenmplbue î CmU vie et toekom.
Ce iacrîl«* «fe l'airtiir aq un calcul feux «
Quwile bonté» sVcric-lit, qudle
fonurws «{Wts
*3bue* «a» e^fâtît», «ftidk» infomife «bos le* corps n"oo»
pas
rk par, Vatmmr plaisirs Lai
« que
et enseignent d"tan
confondent
•
«
«anp» «e les
te qui twticcs
mk nwnâwr.
Si'
dans lai vie, :à
J"n»id <k »m cwmtae no pain de sel qui- *»aï-
tu»»
mijmtmû mm
«mtm. Vm^ém
«fe1 muâiw A me pu mùn mmx
t* sage» «OMttS donnée
smwrwtx de «mies ks
w». n^lle fa
\«k»oe
aujourd'hui
motts que tnuUr de LwnJteT pour «a Itase-
tes
wa*e mille toUau, du «{«uine Oujoa peupler
qu-uiK ternit
qni
3MHl lPOOIll KflV IJMPC Bl COttP Ml |MUtlOp DftBSGKSBCMly Ct
qu'irrités
si tm/t
il mm modn.
Xkax dktoo «Kîtô panai ks imUiis d'aiiirefio»pour appeler
la féfle de oooduîie qu'ils devaient
L« duc de Bwilion. du sine de mande
b tégeotepeaduit la nûnoritôideCbarlesVUl, disait aox bats.
1484 Je dw vifains S'Us
oppriment. Ole* lair lerafdenu
• es» BiJtes tous tes rmém. imwtenB, Mugie% insodables.
« Ce **eu qa'eo les iiaiuui durameot qu'on peut tes csnlenir
«s»»1 de ta }oor où iû
tire faii. Ellg eut
un 4m et ce dieu. Cette
Je peuple appelle nmféte é
aimasii
une
«aîi aMifefofe,en Ftawwe,ce que
«spéoede iwardî-g»»,
tm dit il làpage S68, «t (ou te.rooade la
qm. à
mitle %tmà h jaii^-atte&aae-<jg»te-fcniw. On ponnait
de cela que «aint te pa-
Opeoéjju oo asHireque celte impottanie
fKODonçûl ces
au lui nomelfe,
sur
On iftpêU mm ts lxm vin » p»n»' <p*««
ne vaut
de
te dégustant on
que &£
sois le Hewxm*.
Le vm entre et la nàsatsort.
t»e U »iis<
u» #w * &* u» rw 4« pommim, dunt «n« se semait
<-«««K' ipelqiterob (kmit qua.
«Jmftci eiKtsi de ta On a dit aussi un «m
<i» fîWdëfie.qm rend batâid
de cerf, tl un irfn th renard,
nvrogne, «t semble qu'on
*à <rawmn«.
uretsi se saui%«nt
«fa»# T'
Mmwm Jmm i. wKïïp> et *$mt+-
"
Pawe qa'ib q>m ut aigwit ni crédit pouf m «awtraing ï"h>
des au»
Ce»
«t l'en eu ««ut forte-
neni
Biieo dts dmm ne aont intuoeisiblesque
ac-
axOMttê à k» tarder comme telles une o|>înion confiai* et
du «owo^itr (endnkni U~
du siècle.
tiome une
; EftftATA* s.U^lS- f|
{^tanar
Eai
•
Iftts r te b<aw wim
j- ami- parti;
Htgtc (537,.