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2010-2011
Encadrement :
Présentation :
Sidiki COULIBALY
Abdoulaye SISSOKO
Bèga OUEDRAOGO
Septembre 2011
RESUME
Le village de Guélédo se trouve dans la zone sahélienne avec de faibles pluviométries
annuelle. La température dépasse souvent 45°C. La présence d’eau souterraine est liée à la
fracturation et au degré d’altération de la roche. La perméabilité et la porosité de ces
formations sont faibles ce qui est traduit par l’assèchement des puits traditionnels et cours
d’eau pendant la saison sèche.
Pour un accès à l’eau potable, à l’hygiène et l’assainissement des populations, le
gouvernement du Mali appuyé par la Banque Africaine de développement à travers le projet
de lutte contre la pauvreté a financé les études d’Avant projet détaillé pour l’adduction d’eau
solaire du village de Guélédo. Ce projet a pour but d’améliorer les conditions de vie et de
santé des populations. Le rapport des études socio-économiques, les consommations
spécifiques de la population et du cheptel, le plan de la localité et les levés topographiques
nous ont servi d’outils pour la réalisation de cette étude. Pour assurer une pérennisation des
installations la gestion de l’ouvrage a été confiée à l’association des usagers de l’eau. Les
études ont permis de dimensionner les conduites de refoulement et d’adduction ; de
déterminer le nombre de borne fontaine et leur débit de fonctionnement ; de déterminer le
nombre de module pour l’alimentation de la pompe en énergie ; de déterminer le type de
pompe et d’estimer les coûts du projet. Les populations étaient déjà assujetties à des
cotisations mensuelles pour les frais d’entretien et de réparation des forages ce qui va
favoriser leur sensibilisation sur l’achat de l’eau au niveau des bornes fontaines. Les pannes
régulières des pompes manuelles vont également inciter la population à utiliser l’eau des
bornes fontaines. La sensibilisation et les pannes des pompes manuelles feront leur effet dans
la rentabilité financière des installations qui seront mise sur place. Pour mieux inciter la
population à venir vers les Bornes fontaines, une tarification sociale sera mise sur place tout
en tenant compte des charges totales d’exploitation.
RESUME ................................................................................................................................................. 2
INTRODUCTION ................................................................................................................................... 9
I. Présentation du projet......................................................................................................................... 12
III.7. Situation avant projet sur le plan Alimentation en eau Potable ................................................ 19
V.1. La Population............................................................................................................................. 23
XIV. Conclusion.................................................................................................................................... 40
DEDICACE :
Mes très chers parents qui n’ont donné la vie et m’ont dirigé
vers le chemin de la réussite ;
REMERCIEMENT
Monsieur Bèga OUEDRAOGO qui malgré son emploi du temps chargé n’a
ménagé aucun effort pour la correction de ce document ;
Tout le personnel du (BICD) pour leur soutien et tous les moyens mis à ma
disposition afin de produire ce document;
Mon très cher camarade de tous les jours Firmin Clément AKPAKO ;
INTRODUCTION
L’Afrique a beaucoup de potentialités en matière hydraulique. Elle dispose des grands
fleuves parmi lesquels le Congo, le Nil, le Zambèze et le Niger. Cependant, l’Afrique est le
deuxième continent le plus sec au monde. De millions d’Africains souffrent de pénuries d’eau
tout au long de l’année. Ces pénuries sont souvent dues à une répartition inégale de la
ressource, la crise de gouvernance et les changements environnementaux. Selon le deuxième
rapport mondial des Nations Unies, un habitant sur cinq dans le monde souffre de pénurie
d’eau. Ce rapport met l’accent sur la mauvaise gestion des ressources en eau. Selon la même
source 1,1 milliard de personnes dans le monde n’ont pas accès à des ressources suffisantes en
eau potable. 2,6 milliards ne bénéficient pas de service d’assainissement. Une large majorité
d’entre elle se trouve dans les pays les plus pauvres notamment en Afrique subsaharienne.
L’eau “ indispensable à la vie et à la santé”. “Le droit de l’être humain à l’eau est donc
fondamental pour qu’il puisse vivre une vie saine et digne. C’est la condition préalable à la
réalisation de tous ses autres droits”.
L’eau étant une source naturelle très indispensable à la vie et aux activités humaines, l’homme
l’utilise dans ces activités économiques, sociales ou culturelles et souvent en grande quantité.
Sa mauvaise qualité et son manque sont sources de beaucoup de maladies comme le choléra,
la fièvre typhoïde, les hépatites la diarrhée, le paludisme etc... Malgré les efforts consentis par
le gouvernement du Mali dans le secteur de l’approvisionnement en eau potable, les besoins
en eau des populations ne sont pas toujours couverts. C’est dans cette optique qu’il nous a été
demandé, dans le cadre de la lutte contre la pauvreté de faire les études d’avant projet détaillé
pour l’approvisionnement en eau potable du village de Guélédo dans le but de l’amélioration
des conditions de vie et de santé des populations.
La présente étude concerne l’Alimentation en eau Potable du village de Guélédo au moyen
d’une adduction d’eau solaire. Il s’agit pour nous de dimensionner le réseau d’adduction, de
distribution, et de stockage d’eau ainsi que les ressources d’énergie nécessaire pour une
échéance de vingt ans (20 ans), de determiner le nombre de borne fontaine et leur débit de
fonctionnement, de faire une étude économique pour déterminer le coût des installations afin
de déterminer le prix du m3 d’eau vendue.
SIGLES ET ABREVIATIONS
BF : Borne Fontaine
ND : Niveau Dynamique
NS : Niveau Statique
CH : Château
UB : Unité de Bétail
Cs : Consommation Spécifique
ZP : Côte Pompe
I. Présentation du projet
I.1. Contexte:
Le village de Guélédo est essentiellement alimenté par des pompes à motricité humaine et des
puits traditionnels qui malheureusement sont à sec en saison sèche. Les sources disponibles et
les moyens d’exhaure utilisés(puisage et pompage manuels) sont de faibles capacités pour
assurer la satisfaction des besoins en eau. La pénurie d’eau correspond à la période chaude et
sèche(Mars-Juin). Vu le manque d’eau croissant pendant la période de sécheresse le
gouvernement du Mali appuyé financièrement par la banque Africaine de Développement a
financé les études d’avant projet détaillées pour l’adduction d’eau sommaire du village de
Guélédo.
II. METHODOLOGIE
La méthodologie s’articulera autour de trois points :
- la source d’eau (forage), les points les plus haut pour l’emplacement du château et ces
accessoires, les emplacements futurs des bornes fontaines, et les ouvrages existants commes
les puits et pompes manuelles, la structuration du réseau etc.
- l’Altitude : 395 m
Légende :
D'une façon générale les caractéristiques hydrauliques de ces roches sont les suivantes :
- porosité secondaire pouvant être élevée grâce à des altérations argileuses quand elles ne sont
pas trop épaisses.
III.5. Démographie :
Sur la base des données fournies par les résultats des enquêtes participatives menées en Août
2002 et les résultats du recensement général de la population par la mairie de la commune en
2001 ; la population du village de Guélédo est estimée à 1500 avec un taux d’accroissement
de 1,25%. Dans ce projet on estime que l’accroissement de la population se poursuivra selon
le même rythme au cours des 30 prochaines années. Le cheptel est estimé à 550 UB.
L’habitat est essentiellement de type rural à un seul niveau dans le village. Le village dispose
d’une école communautaire de 3 classes en double division et d’une foire hebdomadaire très
importante. IL est constitué par un noyau central ancien à forte densité d’occupation et
quelques habitats périphériques au nord et au sud.
IV.2.1.Coefficient de calcul :
Les consommations varient en terme quantitatif suivant les saisons, les jours de la semaine,
les heures de la journée. Ces variations ont une influence directe sur les ressources en eau à
mobiliser et sur la dimension des intallations. Les dimensions du système de distribution sont
déterminées par le comportement des usagers qui ont besoin d’un service continu.
Pour les besoins de l’étude nous avons choisi les valeurs des coefficients de pointe
journalière et de pointe horaire respectivement égale à 1,2 et 2,7.
- du château d’eau,
- du réseau de distribution ,
a) Structuration du réseau :
Le réseau comporte deux tronçons : la distribution et le refoulement.
Le réseau de distribution est alimenté par un château d’eau situé à la côte TN de 360 m. C’est
la côte la plus élevée des espaces pouvant abriter le château.
b) Profil en long :
Les conduites seront enterrées pour des raisons de protection, de commodité d’exploitation et
de régularité de la température de l’eau.
La profondeur et la largeur des tranchées sont données par les formules suivantes :
Vu les conditions climatique de la zone d’étude nous allons choisir une hauteur minimale de
couverture de la conduite de 0,8 m selon les pentes du terrain. Cela dans le but de préserver la
qualité de l’eau distribuée en l’a protégeant contre l’ensoleillement.
2010 1500
2011 1519
- Besoins domestiques
- Les besoins annexes – école,
- Et les besoins du cheptel
Dans le cadre de ce projet, la population s’alimentera au niveau des bornes fontaines. La
consommation spécifique est estimée à 20 litres par habitant et par jour pour les besoins
essentiels. Au niveau de l’école la consommation est estimée à 4 litres par individu et par
jour.
Les besoins du cheptel sont estimés à 25 litres par jour et par UB (Le rapport des études
socio-économiques nous a permis d’avoir la consommation spécifique du cheptel.)
Les consommations spécifiques de la population nous ont été données par la Direction
Nationale de l’Hydraulique.
Cs : consommation spécifique.
Total 48710
Total 55930
Ces besoins sont majorés d’un coefficient de perte dans le réseau pris égal à 1,07 ce qui donne
les valeurs suivantes consignées dans le tableau 3 :
- Deux(02) forages situé côte à côte et équipés de pompes manuelles toutes en panne
- Un puits à grand diamètre au centre du village et une dizaine de puits traditionnels au bord
du marigot qui sont à sec après l’hivernage.
Actuellement le puits à grand diamètre reste le seul point d’eau de consommation pour le
village.
Avec le système de pompage solaire, le temps de pompage est estimé à 6 heures par jour à
cause de l’intensité du rayonnement solaire qui est maximale entre 9 heures du matin et 16
heures dans l’après midi.
Les besoins en eau du village sont légèrement supérieurs au débit du forage disponible. La
priorité sera donc donnée aux Hommes pour la satisfaction de leur besoin en eau. Le cheptel
pourra se rabattre sur les autres sources disponibles pour combler le déficit de production.
Refoulement F - CH 40 2,64
Ab1-Ab2 67 0,56
A3-BF1 75 1,52
A2-BF2 30 0,38
A2-BF3 20 0,38
A2-BF4 25 0,38
Nous avons pris 16 comme temps de fonctionnement des bornes fontaines (Tbf=16). Temps
de pompage compris entre 05H à 21h.
Nous adopterons des bornes fontaines à deux (02) têtes soit un débit de 0,42 l/s par tête.
Les abreuvoirs sont en béton armé 6x0, 60x0, 4 et de 12 cm d’épaisseur soit un volume
unitaire de 10m3 par abreuvoir.
les tronçons.
j= 10,29*Q2*L/ (Ks2*D 16/3).
VII.POMPES IMMERGEES
VII.1. Choix et caractéristiques de la pompe
La pompe d’exhaure est une pompe immergée vu le type de source qui est un forage. Elle est
déterminée par les éléments suivants :
- Hauteur manométrique totale (HMT) qui est la pression que la pompe devra fournir à l’eau
de l’aspiration jusqu’au refoulement.
- Le débit du forage
HMT = Hgéo + ∆H
La profondeur d’installation de la pompe est à la côte 326,82 m selon les résultats des essais
de pompage. Les pertes de charge à l’aspiration sont prises égales 3m. Le tableau 9 résume les
résultats des calculs des différentes caractéristiques de la pompe et la détermination du
nombre de module.
Le château sera placé à une côte radier de 368m relié au forage par une conduite de
refoulement de 40m.
Abdoulaye SISSOKO GSE Promotion 2010-2011
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Etudes d’avant projet détaillées pour l’adduction d’eau solaire du village de Guélédo
357,82 327,02 326,82 0,14 45 9,5 1,16 1,1 MS 402 4320 GRUND
FOS
SP8A-7
A l’aide du catalogue des pompes en fonction du débit et la HMT, nous obtenons donc une
électropompe immergée inoxydable GRUND FOS SP8A-7.
Pm : Puissance mécanique (le catalogue des pompes nous a permis d’avoir la puissance
mécanique). La formule de la puissance crête (Pc) nous a permis de déterminer le nombre de
module pour l’alimentation de la pompe en électricité.
Pc (Pc)= 2,725*Qj*HMT Rg*E en Watt crête(Wc)
Pc : puissance Crête
La pompe a été choisie à l’aide du catalogue des constructeurs de pompes GROUNDS FOS
pour un débit de 9,5 m3/h, une HMT de 45m, une puissance mécanique de 1,1 KW, une
puissance hydraulique de 1,16 KW, un rendement de 0,6 soit 60%, une pompe de type
GROUND FOS SP8A-7, Epaisseur(E) = 101 mm ; Diamètre(D) = 95 mm.
Pmini h*n+
Tronçons Débits de Diamètres Diamètres DN (mm) Longueurs(m) Pertes de Pertes de Vitesse Nœuds Côtes ZI (côte Pressions
calcul calculés intérieurs charge charge (m/s) TN(m) radier) finales(m)
(l/s) (mm) (mm) j(m) cumulées
depuis CH
j(m)
CH-A3 2,64 57,99 67,8 75 30 0,28 0,28 0,73 A3 359,24 365,52 8,24
A3-Ab1 1,12 37,77 57 63 108,77 0,46 0,74 0,44 BF1 359,67 366,41 7,35
Ab1-Ab2 0,56 26,71 35,2 40 67 0,92 1,66 0,58 A2 359,24 366,90 6,86
A3-BF1 1,52 44,00 57 63 75 0,58 0,86 0,60 BF2 359,12 365,98 7,78
BF1-A2 1,14 38,11 57 63 158 0,69 1,55 0,45 BF3 358,8 366,35 7,41
A2-BF2 0,38 22,00 28,4 32 30 0,60 2,15 0,60 BF4 359,61 367,76 6,00
A2-BF3 0,38 22,00 28,4 32 20 0,40 2,55 0,60 Ab1 358,53 367,08 6,68
A2-BF4 0,38 22,00 35,2 40 25 0,16 1,71 0,39 Ab2 358,5 366,21 7,55
« Les valeurs des côtes ZR et TN du radier ont été arrondies aux chiffres supérieurs «
Pour éviter tout arrêt des pompes pendant les heures d’ensoleillement suite au remplissage du
château un réservoir est prévu au point R pour constituer une réserve suffisante pour
l’alimentation du cheptel de retour du pâturage le soir.
Le réservoir est en béton avec un volume de 10m3 alimenté directement par le château d’eau.
- Un suivi local qui permettra de contrôler le taux de chlore résiduel au niveau de la station de
pompage. Ce suivi sera un suivi quotidien ;
- Un suivi au niveau du laboratoire national des eaux (LNE) tous les trimestres pour une
analyse bactériologique.
l’eau en éliminant la grande majorité des microbes. L’eau du forage est claire et a une faible
turbidité ce qui permet la chloration sans d’autre traitement. Un système automatique de
chloration sera mis sur place pour relever le niveau de chlore résiduel. Il est constitué d’une
pompe doseuse qui injecte une solution contenant du chlore dans la conduite de refoulement
qui alimente le réservoir de stockage. Des pastilles de chlores seront prévues à cet effet. De
cette façon le chlore a le temps de se mélanger dans le réservoir et de faire son effet, avant
que l’eau ne parte dans les tuyaux vers les bornes fontaines.
-La gestion financière des installations afin qu’elles puissent être rentable financièrement ;
-Maître à la disposition du comité des outils de gestion simples et adaptés.
Après la formation, le bureau de l’association va fixer le prix de l’eau pouvant couvrir les
différentes charges (d’exploitation, de maintenance et de renouvellement à court terme) tout
en restant dans le cadre technique et social.
L’association des usagers de l’eau travaillera par volontariat mais recevra des primes
d’encouragement chaque année après le bilan des comptes. Elle bénéficiera des séances de
formation à chaque fois que le besoin se fera sentir.
L’association prendra en compte l’assainissement des points d’eau et organisera de temps à
temps des campagnes de sensibilisation au près de la population sur l’importance et le confort
de l’eau ainsi que son impact négatif de sa mauvaise gestion sur la santé et l’environnement.
XIII.ETUDES ECONOMIQUES
FONCTIONNEMENT- ENTRETIEN ET RENOUVELLEMENT (AES GUELEDO)
EXECUTION DU
FORAGE
SYTEME DE
POMPAGE 1888000 1888000 1888000
SYSTEME DE
DISTRIBUTION 0 0 0
Réseau de
canalisation 227197,2 227197 227197
Réservoir de
stockage 94400 94400 94400
Avec ce coût de revient on peut adopter le prix de vente de 10 FCFA le bidon de 20 litre (soit
500 FCFA le m3) actuellement pratiqué dans la zone.
Pour faire face aux charges de fonctionnement et d’entretien le m3 d’eau pompée pourra être
vendu à 350 FCFA.
Par jour cela revient à 19950 FCFA (pour un ensoleillement moyen de 6 heures) ; pour
couvrir cette somme il faut faire payer en moyenne par animal 35 FCFA et vendre le seau de
20 litres à 10 FCFA. A ce prix l’investissement sera rentable.
XIV. Conclusion
Vu les sources d’eau disponibles et les pannes successives des pompes manuelles les besoins
en eau du village de Guélédo ont nécessité une amélioration du système d’approvisionnement
en eau potable existant. La présente étude d’avant projet détaillé a permis le dimensionnement
d’une adduction d’eau sommaire pour le village. Le dimensionnement a concerné le réseau
d’adduction et de distribution avec des bornes fontaines, un château d’eau et la source
d’alimentation en énergie. Ce projet aura des impacts à la fois sociaux, économiques et
environnementaux sur le village. La gestion des ouvrages a été confiée à l’association des
usagers d’eau. Une tarification sociale du m3 d’eau a été fixée tout en prenant en compte les
charges totales du projet. L’eau ainsi vendue coûtera moins cher à la population
comparativement à l’ancien prix. Des campagnes de sensibilisation pour la réussite du projet
ont été organisées durant toute la période du projet. Ces campagnes permettront de changer
positivement le comportement de la population vis-à-vis de l’usage de l’eau.
Une eau bien protégée de la source jusqu’à la consommation ne peut être que vitale pour les
consommateurs par contre une eau mal protégée et utilisée reste source de maladie.
BIBLIOGRAPHIE
BARRO, Amidou, Aboubacar NAON, Moussa OUEDRAOGO, and Ella SANOU. Avant
projet sommaire d'alimentation en eau potable de la ville de Ziniaré. 2008.
DNH. Guide méthodologique des projets AEP et textes législatifs et réglementaires en milieux
rural, semi urbain pour les collectivités territoriales. Bamako, 2002.
Figure 1 : le puits à grand diamètre du village. Figure 2: l'un des puits traditionnel du village
Schéma du Réseau
Château de 40 m3
Réservoir au sol de 10 m3