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1. Classification descriptive
1.2. Les conduites émotionnelles : quand on est face à certaines situations comme un
succès, un deuil, une menace,….On réagit par des manifestations telles que la
joie, le rire, les larmes, l’angoisse,…
directions de la psychologie :
Ce sont des conduites déclenchées par un stimulus défini qu’elles modifient dans un sens
défini. La conscience n’intervient pas.
Par exemple : Quand je pose ma main sur un poêle brûlant, je la retire directement.
Ce sont des conduites déclenchée par certaine situation sans les modifier : elles sont
expressives. La conscience intervient sous forme affective.
Par exemple : quand on raconte une blague, la personne à qui on va la raconter va rire.
Déclenchées par des stimuli venant d’un objet et modifiant cette objet. La conscience se
présente sous forme discriminative.
Par exemple : La lionne va se mettre en chasse, elle l’a en elle (son instinct) mais elle va le
développer au fil du temps pour attraper sa proie.
Ces trois conduites sont innées (en nous dès la naissance) et spécifiques (espèce).
A. Définition personnelle :
Il faut passer des messages, partager quelque chose avec l’autre personne. Qu’il y aie un
échange de paroles, que ce ne soit pas toujours la même personne qui parle. Savoir écouter
l’autre et se sentir écouté.
B. Définition :
D. Deux schémas :
1. Les éléments de la communication.
dans la vie de tous les jours (cadre professionnel, groupes sociaux, milieu familial)
- L’émetteur est la personne qui veut transmettre un signal ou une information à une
autre personne.
- Le récepteur est celui avec qui l’émetteur désire entrer en contact et a qui est
destiné le signal ou l’information.
- Le message est l’information qui est transmise par l’émetteur au récepteur. Il existe
plusieurs types de messages.
- Le code est le moyen d’expression COMMUN utilisé par l’émetteur et le récepteur
pour l’échange des messages : gestes, expressions du visage, dessins,…
On doit ajouter , aux cinq éléments de base, deux autres élément non concrets mais
qui on leur importance : le feed-back et les bruits.
2. Schéma de la communication
Le récepteur prend à son tour le rôle d’émetteur pour que l’échange se face et que se
poursuive le processus logique de la communication.
On comprend et on communique plus facilement avec certaines personnes que d’autre.
3. Variables de la communication
- Dans un local calme, avec du confort, bien aéré, bien éclairé et bien
chauffé pour que la communication se passe bien.
- La communication s’exprimera différemment si l’entretien se passe
dans un couloir, un hall d’attente, une salle de réception, un bureau
en désordre. Le lieu et le cadre peuvent être plus ou moins
sécurisants et propices à de meilleures échanges.
La position : Il faut être face à face très important, à la même hauteur = pied d’égalité et
aussi il est important de regarder la personne dans les yeux et être à une distance pas trop
grande entre les deux interlocuteurs. Pour que la communication se passe pour le mieux.
La durée et l’intensité : un entretien peut être perçu comme trop bref si sa durée est
calculée ou s’il est interrompu trop tôt ou de façon inopinée.
Il peut aussi être trop long et alors perdre de son intensité et de son dynamisme.
Le feed-back peut produire des effets sur la relation entre A et B (sentiments de frustration,
d’effort, d’hostilité ou de sécurisation).
2. Quelles « réflexions » ?
Conclusion
Le feed-back libre engendre confiance et bons rapports mais coûte cher en temps.
Pour une communication, il faut un véritable échange entre au moins 2 personnes, si il n’y a
pas d’échange on ne peut pas parler de communication, comme par exemple : un
monologue dans une salle vide.
Les messages qui sont échangés peuvent avoir différentes portées ou différents objectifs :
l’enquête (différentes questions), l’aide, l’expression de sentiments ou d’émotions,…
Toutefois :
2) Dans un sens encore plus général : on entend par communications : les moyens ou
processus par lesquels les messages sont transmis et diffusés : téléphone, la radio et la
TV,…
L’émetteur deviendra récepteur, le récepteur deviendra l’émetteur et ainsi de suite. Donc ils
sont considéré au même titre.
Les variables qui interviennent à leur égard sont nombreuses et principalement d’ordre social
et psychologique.
Chacun se présente avec:
o son système de références
o son statut
o son rôle
o sa personnalité (résultant de son tempérament, de sa nature,
de son caractère)
o sas attitudes
1) Une trop grande discordance entre les 2 systèmes de référence rendra difficile la
communication. Exemple : entre deux personnes dont les âges différent d’une génération.
2) Par contre, ce qui a été vécu en commun favorise l’interpénétration des systèmes de
références et facilite les échanges.
2.2. Le statut
On définit le statut d’un individu comme étant la position qui lui est conférée ou reconnue
dans un groupe par rapport aux autres personnes du même groupe. Cet individu occupe, par
exemple : un étudiant à l’école, on peut cependant le rencontrer dans un autre groupe avec
un autre statut : chef de scout.
- Il peut donc y avoir plusieurs statuts pour une seul personne mais pas simultanément donc
pas en même temps. Mais par contre un cas exceptionnel : un enseignant qui à son propre
enfant dans sa classe, il aura 2 statuts en même temps.
- Le statut est défini, matérialisé et renforcé par les signes extérieurs suivants :
- Le statut donne une position sociale et morale qui donne un degré d’autorité et d’influence
+/- fort, avec toutes les conséquences que cela entraîne sur le plan des rapports avec
l’entourage.
2.3. Le rôle
Le rôle est une notion corollaire (conséquence nécessaire et évidente sur la communication)
et difficilement séparable de celle de statut : les deux sont complémentaires et réciproques.
Le statut d’un individu définit la place, le rang, le titre qui lui sont attribués et reconnus par les
autres. Il joue un rôle par rapport à son statut. (adopter les bons comportements par rapport
à son statut).
Il arrive que quelqu’un ne joue pas le rôle qu’il devrait ou que ce rôle se modifie au cours de
l’entretien. Par exemple : un délégué pourrait se présenter chez un client non dans un rôle
d’offrant mais de demandeur. (mission de réclamer le paiement d’une facture)
2.4. La personnalité
a. Attitudes neutres :
b. Attitudes négatives :
c. Attitudes positives :
Les attitudes des deux interlocuteurs peuvent déformer aussi bien l’émission que la
réception du message.
En résumé :
La chose principale est de se connaître soi-même puis user de sens de perception d’autrui
pour essayer de mieux le connaître.
Les altérations du contenu (fond) sont souvent provoquées par des sentiments, des
émotions, par des interactions de personnes.
Les altérations de la structure (forme) sont causées par des distorsions dans les canaux.
Freud dit que les erreurs peuvent être attribuées à des fautes de mémoire mais après
examen il constate que derrière chaque erreur, il y a une déformation reposant sur des
choses refoulées (qu’on a pas envie de dire). Les causes de ces altérations sont
inconscientes.
c’est ainsi que l’on peut expliquer les blocages d’expression de certaines personnes sous
l’effet de la timidité, de l’anxiété, de la crainte abordée par un sujet scabreux, le statut social.
Un enfant apprend petit à petit qu’il n’est pas bon de tout dire.
Au sein de petits groupes, beaucoup de messages sont émis « avec restriction », soit
l’émetteur ne désire pas s’impliquer, soit qu’il ne désire se faire comprendre que d’un ou de
quelques élus.
Le reste du groupe perçoit une information incomplète, ou différente de celle qui a été
réellement « pensée ».
L’existence de relais est également source d’altération : le relais, agissant comme émetteur,
filtrera le message au même titre que celui qui présida à son élaboration.