Documentos de Académico
Documentos de Profesional
Documentos de Cultura
Jean Jacquelin
La première raconte: Mon fils est prêtre et quand il se présente n‘importe où, tout le
monde lui adresse la parole avec les mots suivants:
« Mon Révérend »
La seconde dame rayonne: Eh bien, mon fils est évêque et tout le monde lui adresse la
parole par :
« Son Excellence »
La troisième déclare: Bien que je ne veuille en aucun lieu vous offenser et diminuer
leur mérite, mais mon fils est Cardinal et quand il entre tout le monde s‘adresse à lui par:
« Son Eminence »
La quatrième sirote sa tasse de café et ne parle point. Les autres la regardent d‘un air
inquisiteur. Alors elle chuchote: Mon fils est un homme formidablement baraqué d‘1m90 et
il est stripteaseur. Et quand il entre en scène tout le monde crie:
« OH, Mon DIEU ! »
Une fois encore, il nous faut rétablir l'équilibre entre le yin et le yang, pour le bien
de l'ordre universel. Mais on va la faire courte :
« Le volet supérieur du diptyque s'ouvre sur une fresque magnifique, d'une grande
maîtrise, dans un style d'un réalisme saisissant. Malheureusement, le nom de l'artiste ne nous
est pas parvenu, de même que la partie inférieure originale de l'œuvre ( a-t-elle seulement
existé ? ).
Que le volet du bas soit un ajout tardif ou qu'il ait été rénové de façon peu
respectueuse du primitif, quoi qu'il en soit, sa facture moderne met l'accent sur la primauté de
l'évolution intérieure transcendant l'apparence matérielle, dans un mouvement qui n'est pas
sans propension au surréalisme.
Néanmoins, cette interprétation est fortement controversée. D'aucuns pensent que
l'Emule qui a tenté de reconstituer le volet disparu n'avait pas la puissance du Maître et que,
partisan du moindre effort, il n'a rien trouvé de mieux pour se faciliter la tâche que de répéter
six fois le même motif au lieu de se donner la peine d'en peindre des différents.
Le sens profond du dernier motif reste mystérieux. Faut-il y voir une allégorie aux
cycles de l'évolution éternelle, comme certains le prétendent ? Ou, plus trivialement, une
intention délibérée de poser une énigme dénuée de sens ? »
Maître corbeau sur un arbre perché Jeannot lapin est invité ce soir
reste à glander toute la journée. par son ami l'écureuil à s'asseoir.
Un lapin voyant ainsi le corbeau, A notre santé bois donc ce vieux marc
l'interpelle et lui demande aussitôt: et un verre encore de ce nectar.
moi aussi, comme toi, puis-je m'asseoir Tant il a bu la bouteille sans remords
et ne rien faire du matin jusqu'au soir ?" que voici maître lapin ivre mort.
Le corbeau lui répond de sa branche : Il me faut te traîner jusque chez toi,
bien sûr mon ami a la queue blanche, dit l'écureuil, à ma queue accroche toi.
je ne vois ce qui pourrai t'empêcher Ainsi tiré, Jeannot rentre pépère.
le repos, de la sorte, rechercher." Merci beaucoup, dit-il a son compère,
Blanc lapin s'assoit alors par terre , reviens demain, je t'invite, vieux frère,
et sous l'arbre reste a ne rien faire, c'est bien a mon tour de te satisfaire.
tant et si bien qu'un renard affamé, Le soir suivant l'écureuil assoiffé
voyant ainsi le lapin somnoler, de vielle goutte bois plus que de café,
s'approchant du rongeur en silence, tant et tant de verres qu'à la nuit noire,
d'une bouchée en fait sa pitance. cette fois c'est lui qui est le plus noir.
A moi de te tirer pour aller chez toi,
Moralité : dit le lapin, à ma queue agrippe toi.
Pour rester assis a ne rien branler, Mais la queue est si courte qu'il glisse,
il vaut bien mieux être très haut placé. L'écureuil ne peut suivre son complice.
Bah!, dit Jeannot, ne te fait pas de bile,
nous prendrons ma grosse automobile.
Moralité:
Quand on a une petite queue,
il faut avoir une grosse voiture.
MARC BLONDEL: Parce que c'est le seul trajet que son entreprise lui accordait de prendre.
SADDAM HUSSEIN: Ceci était un acte de rébellion qui justifie pleinement que nous ayions
laissé tomber 50 tonnes de gaz dessus.
CAPITAINE JAMES T. KIRK: Pour aller là où aucun autre poulet n'était allé avant.
ANDERSEN CONSULTING: Deregulation of the chicken's side of the road was threatening its dominant
market position. The chicken was faced with significant challenges to create and develop the competencies
required for the newly competitive market. Andersen Consulting, in a partnering relationship with the client,
helped the chicken by rethinking its physical distribution strategy and implementation processes. Using the
Poultry Integration Model (PIM), Andersen helped the chicken use its skills, methodologies, knowledge,
capital and experiences to align the chicken's people, processes and technology in support of its overall strategy
within a Program Management framework. Andersen Consulting convened a diverse cross-spectrum of road
analysts and best chickens along with Anderson consultants with deep skills in the transportation industry to
engage in a two-day itinerary of meetings in order to leverage their personal knowledge capital, both tacit and
explicit, and to enable them to synergize with each other in order to achieve the implicit goals of delivering and
successfully architecting and implementing an enterprise-wide value framework across the continuum of poultry
cross-median processes. The meeting was held in a park-like setting, enabling and creating an impactful
environment which was strategically based, industry-focused, and built upon a consistent, clear, and unified
market message and aligned with the chicken's mission, vision, and core values. This was conducive towards the
creation of a total business integration solution. Andersen Consulting helped the chicken change to become more
successful.
MARTIN LUTHER KING, JR.: J'ai la vision d'un monde où tous les poulets seraient libres de
traverser la route sans avoir à justifier leur acte.
MOISE: Et Dieu descendit du Paradis et Il dit au poulet "Tu dois traverser la route". Et le
poulet traversa la route et il jubila.
RICHARD M. NIXON: Le poulet n'a pas traversé la route, je répète, le poulet N'a PAS
traversé la route.
MACHIAVEL: L'élément important c'est que le poulet a traversé la route. Qui se fiche de
savoir pourquoi ? La fin en soi de traverser la route justifie tout motif qu'il soit.
FREUD: Le fait que vous vous préoccupiez tous du fait que le poulet a traversé la route révèle
votre sentiment d'insécurité sexuelle latente.
OLIVER STONE: La question n'est pas : "pourquoi le poulet a-t-il traversé la route" mais
plutôt "Qui a traversé en même temps que le poulet, qui avons nous oublié dans notre hâte et
qui a pu observer le poulet ?
DARWIN: Les poulets, au travers de longues périodes, ont été naturellement sélectionnés de
telle sorte qu'ils soient génétiquement enclins à traverser les routes.
EINSTEIN: Le fait que le poulet traverse la route ou que la route se meuve sous le poulet
dépend de votre référentiel.
BRIGITTE BARDOT: Parce que rien n'est fait pour la protection des poulets.
SHERLOCK HOLMES: D'après les restes du poulet écrasé, nous pouvons dire qu'il était
poursuivi par un chien de race teckel agé de 3 ans et boitant de la patte arrière gauche.
SALVADOR DALI : Pour satisfaire a son destin sublimental investissant en son chef-
d’œuvre ultime (tableau surréaliste « Etude en Rouge sur chemin de campagne »).
LE FERMIER : Sacrediou ! Qui c’est t’y qu’a pas fermé l’poulailler ? Bon Diou d’bon diou !
UN POULET : Nonobstant l’absence de passage clouté, une volaille de sexe non précisé, dite
« poulet » et non imatriculée, c’est engagée sur la chaussée transversalement au sens
longitudinal de la voirie. Cet usagé mobile non automobile, sans mobile declare, a fait usage
délictueux du droit à traverser les voies de circulation autoroutières. Nonobstant l’absence de
preuve dûment constatée, subséquemment, je partage unanimement l’opinon du Chef en ce
que le-dit poulet avait purement et simplement envie de traverser la route.
Des énigmes de ce genre a été proposées depuis longtemps, sous des formes, des
présentations et dans des histoires très diverses. Les nombres qui y figurent ne sont pas
toujours les mêmes. Voici un exemple typique :
Trois amies ont passé un moment à la terrasse d'une brasserie. Bien que
leurs consommations ne soient pas toutes au même prix, elles décident de partager
la note en trois contributions égales. Elles mettent chacune un billet de 10 francs sur
la table, soit 30 francs au total.
En fait, la note s'élevait à 25 francs seulement, si bien que le serveur, qui a
encaissé les 30 francs, leur rend la monnaie, soit 5 francs.
Ne pouvant partager exactement en trois ces 5 francs, finalement, elles
récupèrent chacune 1 franc et laissent les 2 francs restant pour le serveur.
Tout compte fait, chacune a donné 9 francs, puisque elle a récupéré 1 franc
des 10 qu'elle avait d'abord avancé.
Cela fait 3 x 9 =27 francs, plus les 2 francs laissés en pourboire, donc au total
29 francs, au lieu de 30.
Mais qu'est devenu le franc manquant ?
Dans la version suivante, on a recherché les plus petits nombres possibles, tout en
conservant la cohérence interne de la soit disant "énigme".
Bien que son style ait une apparence ancienne, cette nouvelle version intitulée "Le sou
du diable" a été rédigée récemment (1999) et un peu plus tard, mise sur le site :
http://www.les-mathematiques.net/pages/curiosite1.php3 , à l'alinéa : "Le sou disparaissant".
n!
Il est incontestable que 1 avec n aussi grand que l'on veut (n tendant vers l'infini).
n!
2*3* 4*5*6*... etc.
C'est-à-dire, en l'écrivant explicitement : 1
2*3* 4*5*6*... etc.
Nous multiplions cette égalité par deux. Puis nous simplifions le membre de droite :
La ficelle est un peu grosse ! On va quand même décortiquer le développement qui a été fait :
Disons tout d'abord que la catastrophe "des petits points" a encore frappé : Il est ambigu de
mettre des petits points pour indiquer qu'une suite de nombres se prolonge.
n N
2*3* 4*5*6*... etc. n
Au lieu de : 1 écrivons : 1 limite N n 1
N
2*3* 4*5*6*... etc. n
n 1
( ou pourrait omettre "limite" puisque c'est toujours vrai, même si N ne tend pas vers l'infini ).
En suivant pas à pas la "démonstration" qui a été faite au début , multiplions cette
égalité par 2. Puis simplifions le membre de droite :
n N n N n N
( n ) ( n ) ( n)
2 limite N 2* n2 n2 n2
limite N 2* limite N
N N N
(n)
( n) 2* ( n)
n2 n 3 n 3
et avec m n 1 on a :
n N n N 1
( n ) ( n)
2 limite N n2 limite N n2
*N
N 1 N 1
(m 1) (m 1)
m2 m2
m N 1 m
2 limite N * N
m2 m 1
Chacune des fractions (2/3), (3/4), …(m/(m+1)), est inférieure à 1. Donc leur produit
est inférieur à 1. Mais ce produit est multiplié par N, ce qui avait été oublié dans la fausse
démonstration présentée au début.
Par conséquent le résultat qu'on en tirait était grossièrement erroné, ce qui ne pouvait
pas échapper, bien évidemment ! Même sans une explication aussi alambiquée.
Et d'autre part :
REPONSE
Une réponse "facile" serait de dire : Vous oubliez que [1] 0,5 est égal soit à 1 soit à -1 puisque (1)2=1 et
2
(-1) =1; Vous avez choisi la mauvaise racine ; alors ne vous étonnez pas de trouver un résultat faux !
D'un autre côté, d'aucuns pourraient dire : La formule a été strictement appliquée ; le résultat est faux ;
donc la formule est fausse !
C'est comme dans le litige classique entre Fabriquant et Utilisateur. L'utilisateur dit : "Votre appareil ne
marche pas". Le fabriquant répond : "Vous vous y prenez mal pour le faire marcher". Ce à quoi l'utilisateur
réplique : "La notice d'utilisation est insuffisante". Ce à quoi le fabriquant répond : "Vous manquez de
compétence", etc., etc.
Le tort est plus du côté de celui qui à la connaissance que du côté de celui qui ne l'a pas. Le fabriquant a
plusieurs possibilités : soit il fournit une notice d'utilisation compréhensible de tous, soit il avertit que l'appareil
doit être employé dans des conditions restreintes pour l'utilisateur commun, le reste étant réservé aux
spécialistes.
Revenont à la question posée. La formule est incomplète donc fausse et toute rigueur. Elle ne devrait
pas être disjointe de ses conditions de validité :
- soit les conditions d'application devraient figurer sans ambiguïté pour x<0,
- soit la formule aurait du être accompagnée d'une restriction telle que "à condition que x>0" ce qui délimite son
domaine "fiable" d'application.
Il est vrai qu'un autre point de vue est celui de l'enseignant qui met volontairement l'étudiant en situation
d'utiliser une formule sans son "mode d'emploi" : L'étudiant doit le connaître, si non il n'a pas le niveau de
connaissances voulu. S'il donne un résultat exact, il est jugé compétent, si non, il est recalé !
Un paradoxe ?
De nos jours, même les enfants savent que l'on peut écrire les nombres entiers sur des bases
différentes. Par exemple, la base deux permet d'écrire tous les nombres entiers:
0, 1, 10, 11, 100, 101, 110, 111, ... etc.
L'écriture en base dix est encore plus commune:
0, 1, 2, 3, ..., 8, 9, 10, 11, 12, 13, ..., 98, 99, 100, 101, 102, 103, ... etc.
Et que trouve-t-on dans cette liste? Toute la liste précédente des nombres écrits en base deux!
C'est-à-dire TOUS les nombres entiers! Alors que viennent faire ici les nombres
superfétatoires : 2, 3, ..., 8, 9, 12, 13, ..., 98, 99, 102, 103, … etc. ? Quels sont ces intrus?
Bien sûr, vous n'êtes pas sans connaître la réponse générale qui a été apportée aux soit disant
"paradoxes" de ce genre et les noms des mathématiciens les plus connus dans ce domaine.
L'ensemble infini des nombres entiers (appelé aleph-0) peux être mis en correspondance terme à terme
avec l'un de ses propres sous-ensembles. La soustraction peut donner pour reste un ensemble fini ou infini. Un
aleph-0 peut être soustrait d'un aleph-0 pour donner un aleph-0.
C'est précisément sur cette propriété que l'on joue en présentant de cette façon le soit disant
"paradoxe", qui n'en est pas un puisqu'il n'y a pas contradiction avec la théorie. ..
Dans les grandes étapes de la théorie des ensembles infinis, il faut commencer par la définition claire de
la notion de fini (Richard Dedekind, Bertrand Russell,.. .), puis de l'ensemble infini aleph-0, puis des ensembles
infinis supérieurs: aleph-1 , aleph-2, ... etc. (Georg Cantor ).
L'ensemble des nombres réels est de l'ordre de aleph-l, de même que l'ensemble des points d'une·
courbe, d'une surface, d'un volume; d'un hyper volume, finis ou infinis.
L'ensemble de toutes les fonctions mathématiques continues et discontinues, ou plus généralement de
tous les aleph-1 cités précédemment, est de l'ordre de aleph-2.
La puissance d'un aleph-n engendre l'aleph-(n+1). Cet aleph d'ordre supérieur ne peut pas être mis en
correspondance biunivoque avec l'aleph d'ordre inférieur qui l'a engendré.
Ensuite s'est posée la question de la continuité entre les alephs (Kurt Gödel, Paul Cohen,. ..).
"Comme nous le savons, aucun ensemble fini ne peut être mis en correspondance
terme à terme avec un de ses propres sous-ensembles. Cette impossibilité s'évanouit quand on
étudie les ensembles infinis car ils semblent violer la règle qui veut qu'un tout soit plus grand
que chacune de ses parties." [cf.: Matin Gardner, "La magie des paradoxes", Edt. Pour La
Science, 1997]
De même que l'on peut considérer un ensemble fini d'éléments concrets, rien ne nous
empêche de considérer un ensemble fini d'éléments "inexistants", ou "vide", ou "rien", ou
"zéro", peut importe son nom! Voici, par exemple, une image : dans l'espace interstellaire
vide, un élément d'espace vide, plus un autre élément d'espace vide, plus un autre, etc.
constitue un ensemble vide composé d'éléments vides.
Zéro + zéro+ ... + zéro = zéro, ou rien + rien+ ... + rien = rien, voilà une belle évidence !
On pourrait dire, comme dans la citation précédente : "Aucun ensemble fini ne peut
être mis en correspondance terme à terme avec un de ses propres sous-ensembles. Cette
impossibilité s'évanouit quand on étudie les ensembles vides car ils semblent violer la règle
qui veut qu'un tout soit plus grand que chacune de ses parties."
La suite de la citation est plus problématique: "On pourrait même définir un ensemble
infini comme un ensemble qui peut être mis en correspondance terme à terme avec un de ses
propres sous-ensembles". [cf.: Matin Gardner, id.]
De la même façon: "On pourrait définir un ensemble vide comme un ensemble qui
peut être mis en correspondance terme à terme avec un de ses propres sous ensembles".
Alors, la même définition pour un ensemble vide et pour un ensemble infini, voilà qui serait
paradoxal !
Toute la question est de décider si l'ensemble vide, ou l'élément inexistant, le zéro, le
"rien", est une entité unique ou non. Tout les "riens" sont-ils égaux, ou y a t'il des "riens" plus
égaux les uns que les autres, pour paraphraser une citation bien connue? Cette question n'est
ni plus ni moins incongrue que celle de l'unicité ou non de l'infini et la question de savoir s'il y
a des infinis plus grands les uns que les autres.
L'ensemble infini des nombres a été nommé aleph-0. Alors, dans la même veine et par
inversion syllabique, permettons nous de désigner l'ensemble vide des zéros par : phela-0,
mot tout aussi évocateur...
Naturellement, ajouter ou soustraire un sous-ensemble phela-0 de l'ensemble phela-0
donne pour résultat phela-0. Pour être bref, disons que, si l'on imagine un ensemble ne
contenant aucun phela-0, cela constitue un ensemble vide inférieur appelé phela-l. Les
éléments de phela-0 ne peuvent être mis en correspondance un à un avec ceux de phela-1, qui
peut être aussi appelé "puissance du vide discontinu" : c'est analogue à la célèbre preuve
diagonale de G. Cantor qui établi que les éléments de l'aleph-0 ne peuvent être mis en
correspondance un à un avec ceux de aleph-l, qui est aussi appelé "puissance du continu".
Pour être encore plus concis, contentons nous de dire que, lorsqu'un phela est abaissé à
la puissance de lui-même, il engendre un phela plus petit, qui ne peut pas être mis en
correspondance bi-univoque avec le phela générateur. L'échelle des phela descend donc à
l'infiniment nul.
D'aucun ne manquerons pas d'attribuer à ce bref exposé une note, dont je n'ose
imaginer le niveau dans l'échelle des phela-aleph !
FRACTALES :
La PENSEE et le STYLE
Les fractales ont été une grande aventure au XXième siècle. Maintenant, à l'aube du
ième
XXI siècle, que reste-t-il au chercheur pour se faire un nom [1], porté par cette lame de
fond qui a déferlé sur nos connaissances ?
C'est la question que je me suis posée. Et là, dans une illumination géniale [2], m'est apparue
la notion de PENSEE FRACTALE (PF) et de son expression, le STYLE FRACTAL (SF).
[ SF : STYLE FRACTAL, à ne pas confondre avec Science Fiction, bien que, sous certains
aspects… (note du rapporteur) ]
Que peut-on imaginer de plus merveilleux pour notre avenir que le développement
d'une structure fractale de pensée (SFP), brisant, pour le petit comme pour le grand, le carcan
de la vieille pensée cartésienne ?
Croyez bien que je regrette de devoir sacrifier à une structuration linéaire et ordonnée
de mon texte, alors que n'importe laquelle de mes phrases devrait refléter le tout et le tout être
la magnificence de mes mots. Ainsi, comme dans certains ouvrages [4], vous pourriez
commencer n'importe où, vous interrompre, reprendre avant comme après, sauter et revenir
sur des passages, sans en perdre le sens général.
Et ce qui est vrai à l'échelle d'une phrase ou d'un paragraphe ou du mémoire entier l'est
pour la totalité de mes écrits. Je me cite et re-cite. C'est la force de cohésion, l'attraction
structurelle à tous les niveaux, la matière de preuve, la meilleure démonstration de validité. La
fractalisation des liens tissés rends la forteresse inexpugnable.
D'ailleurs, se citer et , et mieux, ré-incorporer une partie d'un mémoire ancien dans un
nouveau, a plus d'un avantage: Cela gagne du temps, fait du volume, appuie le propos sur une
base antérieure. Cela donne aussi l'occasion de commenter un texte ancien, qui serait douteux
ou contestable sur un point particulier, pour en faire ressortir un sous-entendu qui le valorisera
à posteriori [6]. Si vraiment la contradiction devenait incontournable, il faudrait reconnaître
que je ne maîtrisais pas encore bien le SF.
Que cela ne s'arrête point là ! Que mon idée soit reprise, commentée, étudiée,
approfondie, étendue par mes coreligionnaires et mes émules : Voilà la structure qui grandi,
se développe, s'épanouit. Que chacun ne cesse de se citer l'un l'autre et de me citer, voilà qui
conforte l'ensemble comme le détail.
Mais, attention, ce qui fait la structure fractale ce qu'elle est, c'est aussi et surtout le
motif initial, la graine, the seed. Ce motif se retrouve partout dans l'ensemble et à toutes
échelles. Aussi, n'oubliez pas que, içi, the seed c'est mon idée, ma Notion (PF-2001) [7].
Sachez bien que je veillerai à ce que cela ne soit jamais omis dans toute future publication.
La PF est plus qu'une théorie. C'est aussi une pratique concrète. De même que
l'alchimie a précédé la chimie, de même que le guérisseur à précédé le médecin, la PF a été
précédée par de nombreuses pratiques communes, souvent maladroites.
Voyez les publications et leur cortèges de références qui se renvoient l'une à l'autre !
Voyez les écrits hâtifs, verbeux, pédants, confus : quelles caricatures de la vraie PF !
Ecoutez certains discours. Et pas seulement des scientifiques : le Parler Fractal (PaF)
n'est-il pas pratiqué , plus ou moins bien, par certains politiciens et orateurs qui font du PaF
comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir. (à ne pas confondre avec le
bégaiement qui serait un genre de PaF pathologique).
Observez un enfant "zapant" devant un téléviseur ou "surfant" devant un ordinateur :
imaginez ce que peut être la moyenne que réalise son cerveau d'un ensemble de visions
déstructurées du monde ! Et surtout pensez à ce bastion réactionnaire qu'est l'Education
actuelle, qui apprend encore à nos enfants à structurer leurs pensées, leurs phrases, leurs
écrits. Héritage du cartésianisme.... Heureusement, nos futures générations résistent bien, ce
que chacun peut constater. La PF ne devrait pas rencontrer d'obstacle sérieux, physiologique
ou psychologique, pour s'épanouir dans un tel terrain.
Je sais que je serai attaqué, voire vilipendé, pour mes idées dérangeantes [9] que l'on
traitera de caricatures. Et par un invraisemblable retournement, on ira jusqu'à me traiter d'anti-
fractalien primaire, ce qui est un comble pour moi, défenseur des vrais Fractaliens et
inventeur de la PF, du SF et du PaF [10]. Mais tout progrès n'engendre-t-il pas ses martyres ?
BIBLIOGRAPHIE :
Que ce soit sous une forme moderne ou archaïque, ce problème issu de la nuit des temps et
sur lequel tant de personnages illustres se sont cassé les dents, ne devrait pas vous résister,
de nos jours…
Dr. Zèb-Hüt : Mesdéesses, Mesdieux, Esprits, Génies et chers Collègues, c'est avec une
incommensurable émotion que je déclare ceci : Oui, enfin, un succès notoire marque notre
Grand-Œuvre. Oui, je puis l'annoncer, il est né, il a grandi, il vit. Oui, je parle bien du premier
ENNARC (Etre Non-Naturel A Reproduction Contrôlée : N.d.T.)
L'auditoire : Hourra-c'est-à-voir-bravo-mais-encore-fantastique-c'est-pas-d'mon-domaine…
Dr. Zèb-Hüt : Je vous rappelle que le chromosome « D » code la Division cellulaire. Chaque
cellule se reproduit, avant de disparaître, en autant de cellules que le chromosome « D » porte
de gènes.
L'auditoire : Oui-on-le-sait-d'accord-passons-au-fait-on-va-s'endormir…
Dr. Zèb-Hüt : Vous brûlez de savoir quel chromosome « C » nous vaut ce succès? Ne soyez
pas impatient : Le secret, qui est enfermé dans notre boite de Pandore, sera révélé un beau
jour. Je vous dirai seulement que le nombre de gènes du fameux chromosome « C » est
supérieur à deux.
L'auditoire : Vils-cachotiers-génial-supérieur-à-deux-evidemment-mais-encore-Rrr-Zzz…
Dr. Zèb-Hüt : Il ne fallait surtout pas risquer de perdre cette première cellule, si ardue à
créer. Nous avons donc décidé, à ce stade intermédiaire, de la cloner selon le procédé CAC40
(Clonage Assisté Coefficient 40 : N.d.T.) L'avantage du clonage est de multiplier les cellules
sans que le nombre de gènes du chromosome « C » diminue, contrairement à la reproduction
naturelle . A la suite de quoi nous disposions d'une large réserve de cellules, toutes identiques,
mais encore incomplètes, puisque sans chromosome « D » à ce stade.
L'auditoire : Excellente-idée-clonage-vulgaris-l'enfance-de-l'art-super-continue-Bzz-Rrr…
Dr. Zèb-Hüt : Comme vous vous en doutez, la phase suivante a consisté en l'implantation
d'un chromosome « D » dans chaque cellule. Le rendement fut nettement meilleur, puisque
nous avons finalement obtenu trois cellules complètes et viables.
L'auditoire : Bravo-rien-que-ça-bravo-sont-vraiment-nuls-bravo-Rzz-Brr…
Dr. Zèb-Hüt : Ensuite, les trois cellules se sont parfaitement multipliées selon leur codage
interne respectif, générant une colonie mixte de trois populations. Nous désignerons les trois
types de cellules par Xcel, Ycel et Zcel respectivement. La colonie, maintenant adulte,
constitue l'Etre que nous pouvons qualifier de « proto-ENNARC ». Cette première
universelle…
L'auditoire : Hip-Hip-Hip-Hou…
Dr. Zèb-Hüt : Telle est la Genèse dont j'ai la fierté de proclamer l'éclatante réussite et
l'honneur de rapporter les détails de procédure…
Note du Traducteur (N.d.T.) : Fin de séance houleuse. Il est regrettable que l'intervenant se
soit fait houspiller. Le malentendu fut de courte durée. En effet, ce respectable
mathématicien, le Professeur Mat-Ref, était entré par erreur dans la salle du congrès. Il
croyait qu'il s'agissait du symposium (qui, en fait, avait eu lieu l'année précédente) organisé
par la sous-commission de la genèse des « Problèmes Abscons Pour l'Initiation aux
Sophismes et Mathématiques Elucubratoires ».
QUESTION :
Quels pourraient bien être ces deux noms qui, selon le Pr. Mat-Ref,
fourniraient la preuve de l'inexactitude du résultat expérimental
présenté par le Dr. Belle Zèb-Hüt ?
Gloire éternelle à A.WILES d'en avoir fait un théorème et, par là même, d'avoir
résolu l'immémoriale énigme : Avec n>2, il est impossible que la relation X n + Y n = Z n
soit exacte. Par conséquent, le Dr. Belle Zèb-Hüt ne disait pas toute la vérité (ainsi que
l'on pouvait s'y attendre ! Encore que, finalement, nombre d'indices laissent à penser que
l'ENNARC est quand même la création de l'Etablissement Non-Fédéré d'Engineering
Reproductif, mais je me demande bien par quel maléfice… : N.d.T.)
En tout état de cause, le Pr. Mat-Ref avait raison !
REPONSE :
J'ai reçu un coup de fil d'un collègue a propos d'un étudiant. Il estimait qu'il devait lui
donner un zéro a une question de physique, alors que l'étudiant réclamait un 20.
Le professeur et l'étudiant se mirent d'accord pour choisir un arbitre impartial et je fus
choisi. Je lus la question de l'examen: "Montrez comment il est possible de déterminer la
hauteur d'un building a l'aide d'un baromètre." L'étudiant avait répondu: " On prend le
baromètre en haut du building, on lui attache une corde, on le fait glisser jusqu'au sol, ensuite
on le remonte et on calcule la longueur de la corde. La longueur de la corde donne la hauteur
du building. "
L'étudiant avait raison vu qu'il avait répondu juste et complètement a la question. D'un
autre coté, je ne pouvais pas lui mettre ses points: dans ce cas, il aurait reçu son grade de
physique alors qu'il ne m'avait pas montré de connaissances en physique. J'ai proposé de
donner une autre chance a l'étudiant en lui donnant six minutes pour répondre a la question
avec l'avertissement que pour la réponse il devait utiliser ses connaissances en physique.
Après cinq minutes, il n'avait encore rien écrit. Je lui ai demandé s'il voulait
abandonner mais il répondit qu'il avait beaucoup de réponses pour ce problème et qu'il
cherchait la meilleure d'entre elles.
Je me suis excusé de l'avoir interrompu et lui ai demandé de continuer. Dans la minute
qui suivit, il se hâta pour me répondre: " On place le baromètre a la hauteur du toit. On le
laisse tomber en calculant son temps de chute avec un chronomètre. Ensuite en utilisant la
formule : x=gt2/2, on trouve la hauteur du building. "
A ce moment, j'ai demande a mon collègue s'il voulait abandonner. Il me répondit par
l'affirmative et donna presque 20 a l'étudiant.
En quittant son bureau, j'ai rappelé l'étudiant car il avait dit qu'il avait plusieurs
solutions a ce problème. " Hé bien, dit-il, il y a plusieurs façon de calculer la hauteur d'un
building avec un baromètre. Par exemple, on le place dehors lorsqu'il y a du soleil. On calcule
la hauteur du baromètre, la longueur de son ombre et la longueur de l'ombre du building.
Ensuite, avec un simple calcul de proportion, on trouve la hauteur du building.
" Bien, lui répondis-je, et les autres?
" Il y a une méthode assez basique que vous allez apprécier. On monte les étages avec
un baromètre et en même temps on marque la longueur du baromètre sur le mur. En comptant
le nombre de traits, on a la hauteur du building en longueur de baromètre. C'est une méthode
très directe. Bien sur, si vous voulez une méthode plus sophistiquée, vous pouvez prendre le
baromètre a une corde, le faire balancer comme un pendule et déterminer la valeur de g au
niveau de la rue et au niveau du toit. A partir de la différence de g, la hauteur de building peut
être calculée.
De la même façon, on l'attache a une grande corde et en étant sur le toit, on le laisse
descendre jusqu'à peu près le niveau de la rue. On le fait balancer comme un pendule et on
calcule la hauteur du building a partir de la période de précession. "
Finalement, il conclut: " Il y a encore d'autres façons de résoudre ce problème.
Probablement la meilleure est d'aller au sous-sol, frapper a la porte du concierge et lui dire: "
j'ai pour vous un superbe baromètre si vous me dites quelle est la hauteur du building. "
J'ai ensuite demandé a l'étudiant s'il connaissait la réponse que j'attendais. Il a admis
que oui mais qu'il en avait marre du collège et des professeurs qui essayaient de lui apprendre
comment il devait penser.
Pour l'anecdote, l'étudiant était Niels Bohr et l'arbitre Rutherford.
1. votre voiture aurait un accident sans raison compréhensible deux fois par
jour,
2. chaque fois que les lignes blanches seraient repeintes, il faudrait racheter
une nouvelle voiture,
5. les autos ne seraient livrées qu’avec un seul siège, car il faudrait choisir
entre ‘Car95’ et ‘CarNT’. Chaque siège supplémentaire devrait être commandé à
l’unité,
8. les sièges exigeraient que chaque passager ait la même taille et le même
poids,
11. General Motors vous forcerait à acheter avec chaque voiture un jeu de
cartes routières Deluxe de la société Rand Mc Nally (depuis peu filiale de GM),
même lorsque vous ne le souhaitez pas ou n’en avez pas besoin. Au cas où vous ne
prendriez pas cette option, la voiture roulerait 60% moins vite (ou plus). A cause de
cela GM deviendrait une cible fréquente de procès,
13. enfin, il faudrait appuyer sur le bouton ‘Démarrer’ pour stopper le moteur.
Ou encore, selon Dilbert par Scott Adams (‘le futur de Dilbert’), il vous en coûterait
3000FF pour l’option ‘air pur de Megève’ au lieu de gravillons pour gonfler votre
airbag.
COMPLEMENT
( au risque de me faire traiter de misogyne )
Et encore heureux que Bill Gates n’ait pas été une femme ! En effet, si
l’informatique avait hérité des attributs féminins, si plaisants qu’ils soient par
ailleurs, votre ordinateur aurait un comportement très remarquable :
1. à une même question, traitée par un même logiciel, avec les mêmes
données, la réponse serait chaque fois différente,
2. chaque saison, et même chaque fois que le temps change, il faudrait racheter
un autre capotage (style, couleur, à la mode de préférence - très important pour
maintenir les performances),
5. Les ordinateurs ne seraient livrés qu’avec des logiciels sans grand intérêt,
comme par exemple ‘Après la nuit’. Les logiciels d’exploitation, ou ceux
indispensables avant d’utiliser les précédents (par exemple ‘avant la nuit’),
coûteraient beaucoup plus cher. Leur mise en route n’en resterait pas moins très
aléatoire et requerrait des dons particuliers et une bonne expérience.
12. contrairement aux pratiques actuelles, chaque fois qu’un nouveau modèle
apparaîtrait sur le marché, toujours plus attrayant que votre vieil ordinateur, vous
n’auriez absolument pas le droit de le posséder, pas même de l’approcher et à peine
de le regarder. Cela ne vous en coûterait pas moins cher, car ce serait une autre
occasion pour payer lifting et capotage neuf à votre vieux bourrin (comme spécifié
dans le contrat, bien entendu),
13. le treize n’existerait pas, bien qu’un ordinateur ne soit pas superstitieux,
14. enfin j’ai oublié de signaler que le démarrage du matin serait une opération
particulièrement ardue et de longue haleine, une demi-heure au bas mot, voir une
heure ou bien plus à l’occasion. Il serait même parfois nécessaire de revenir à des
pratiques anciennes des temps héroïques de l’informatique naissante : le ‘boot’ . Pour
les plus jeunes, sachez qu’il s’agissait, comme son nom l’indique, d’asséner au
système quelques bons coups de boots (bottes) pour le réveiller.
Ici,
les deux sont réunis :
rien ne fonctionne et
personne ne sait pourquoi.
La RECHERCHE,
c’est tenter l’impossible,
et parfois,
l’impossible se réalise.
Le DEVELOPPEMENT,
c’est réaliser ce qui semble possible,
et parfois,
le possible s’avère irréalisable.
Ici,
les deux sont réunis :
il devient impossible
de tenter ce qui semble possible,
et malgré cela,
l’irréalisable est parfois réalisé.
Question :
Réponse :
ECONOMIE BUDGETAIRE
« Pourquoi vous faut-il des équipements aussi chers, à vous
autres les scientifiques ?
Vous ne pouvez pas faire comme le Département de
mathématiques ? Eux, ils n’ont besoin que d’un tableau noir et
d’une corbeille à papiers.
Ou mieux encore, comme le Département de philosophie. Eux
n’ont même pas besoin de corbeille à papier ».
ECONOMIE BUDGETAIRE
( Parodie du précédent, écrite en 1999 )
CALENDAR
FOR URGENT WORKS
TUESDAY WEDNESDAY THURSDAY FRIDAY FRIDAY FRIDAY CHATTERDAY
8 7 6 5 4 3 2
16 15 14 12 11 10 9
23 22 21 20 19 18 17
30 29 28 27 26 25 24
37 36 35 34 33 32 31
.
Six exta-days are added in order to avoid the panic due to end-of-month overwork.
There is no first day in the month. So, late delivery will no longer occur.
L'idée de "tondre" le contribuable est venue après avoir trouvé sur la toile et visionné
un diaporama intitulé "Jus de citron" (Auteur : Quitino)
En voici le texte :
Dans un bar,
le barman est réputé avoir une poigne terrible.
Tout le monde des gros bras (les forts des halles, les dockers et autres
haltérophiles) s'est essayé à ce petit jeu, mais personne n'a encore gagné.
Un beau jour, un petit bonhomme, tout mince, tout fragile, avec des
lunettes aux verres épais d'un centimètre, se présente au barman et lui
dit : J'aimerais tenter ma chance au concours !
Pruprutela, ou Prouproutela :
L'étymologie du nom vient peut-être d'une onomatopée (« prou-prout ») imitant le son produit.
Note : Ces instructions sont périmées depuis que l'auteur a monté un moteur électrique à la
place du vieux moteur à essence.
7/ Dire que les femmes sont ... et pires que çà tout en sachant qu'il ne peut s'en passer.
8/ S'asseoir les pieds sous la table pendant que bobonne prépare la soupe.
10/ Déclarer qu'un œuf n'est pas rond du fait de la racine cubique de pi multipliée par le
seizième du logarithme népérien de la dérivée tierce de l'accélération de la pesanteur divisée
par le cosinus du quart de l'intégrale de l'intensité du courant induit par les variations de
directions bissextiles du champ magnétique terrestre à chaque crise biologique permettant la
radiation adaptative des malacoptérygiens sachant que la tangente horizontale de l'ellipse
décrite par la fonction des variations de la température de la lune codée par le corps des
quaternions sur le PGCD de l'angle du soleil à l'aube avec la 6543 et du travail fournit par
l'utilisation quotidienne alternée de diesel dans un pacemaker prenant en compte les
variations du nombre de photons libérés lors de l'excitation des atomes constituant
Ophiuchus par les radiations émises par la Galaxie M104.